affaire Clément Méric

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vivarais
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Re: affaire Clément Méric

Message par vivarais » 10 novembre 2018 19:22

Dernier message de la page précédente :

UBUROI a écrit :
vivarais a écrit :


juste pour info aucun juif n'a été inquiété sous mussolini
le regime de franco a permis à beaucoup de juifs d'echapper au regime de vichy et aux nazis
uste pour info aucun juif n'a été inquiété sous mussolini
le regime de franco a permis à beaucoup de juifs d'echapper au regime de vichy et aux nazis
Fake new! Deux périodes chez les fascistes italiens: avant et après 1938 Haro sur le juif
a guerre d’Éthiopie, en 1935-1936, marqua une première étape dans la mesure où elle introduisit le racisme dans les esprits. En effet, Mussolini justifia la conquête par l’infériorité des Africains par rapport aux Italiens. En avril 1937, une loi contre le métissage fut édictée : il était désormais interdit aux Italiens d’avoir la moindre « relation à caractère conjugal » avec des Éthiopiennes. Cette guerre fut l’apogée du régime, elle fut très populaire, même des antifascistes se satisfaisaient de cette conquête ! En revanche, l’implication de l’Italie dans la guerre d’Espagne, par le soutien que Mussolini accorda aux troupes franquistes, fut beaucoup moins appréciée. Le régime comprit alors qu’une mobilisation permanente des masses était nécessaire. Il fallait inventer un autre ennemi. Cet ennemi allait être le Juif.

Mussolini, par émulation avec l’Allemagne, entendait accélérer la transformation totalitaire de la société, c’est-à-dire créer l’« homme nouveau » qui ferait des Italiens un peuple discipliné, compact et solidaire. Il fallait régénérer la race. En inventant un ennemi, Mussolini créait aussi la figure d’un « anti-Italien » pour mobiliser l’opinion : désormais, les Juifs devenaient les « contre-modèles de l’homme nouveau fasciste ». Les mesures antisémites du régime fasciste s’inscrivent donc dans le projet de la révolution totalitaire.

En 1938, les premières mesures antisémites furent donc prises.
https://blogthucydide.wordpress.com/200 ... les-juifs/

"La vie est belle", ça ne te dit rien. Pourtant y a bien un festival du film italien en Lorraine. Pas à Hayange, c'est sûr! Faut aller le voir, on te parle de juifs arrêtés et déportés
juste pour info ; sous Mussolini les juifs étaient protégés , aucun juif italien n'a été déporté

pour un lettré vous n'êtes décidément pas fort en histoire
Après l’arrivée des nazis au pouvoir en 1933, l’Italie accueillit de nombreux Juifs allemands qui fuyaient le régime hitlérien. Mussolini eut même deux maîtresses juives : Angelica Balabanov et Margherita Sarfatti.
https://blogthucydide.wordpress.com/200 ... les-juifs/
Mais pour les Allemands, la lenteur des applications des mesures et le nombre particulièrement élevé de Juifs exemptés sous une forme ou une autre leur font craindre que jamais le processus de destruction ne se mettrait en place en Italie. Mais ils hésitent à intervenir, l’Italie étant le principal allié du Reich. Le 24 septembre 1942, quand Ribbentrop donne ses instructions à Luther pour la déportation des Juifs d’Europe, il lui ordonne de ne rien faire pour l’Italie.
La question est abordée lors de la visite de Himmler au Duce le 11 octobre 1942. Celui ci l’écoute poliment et approuve quelques mesures allemandes antijuives prises en Union Soviétique... Ce sera tout. Le 13 janvier, l’ambassadeur H. Georg von Mackensen rencontre Ciano pour lui signifier l’impatience des SS à voir s’appliquer les mesures de déportation aux Juifs italiens. Rien n’y fait. Les Italiens ne veulent pas entendre parler d’extermination ni d’ingérence.

Partout où prennent pied les troupes italiennes, les Juifs sont soumis à leur politique d’indépendance quant à la question juive et préservés des filets du IVb et des massacres des Quisling locaux. Le conflit véritable entre Rome et Berlin se déclanche à propos de la Croatie et de la France. En effet, dans les zones de ces pays occupés par l'Italie, les autorités militaires italiennes annulent sur place les mesures décrétées par Pétain ou Pavelitch, ce qui a pour effet l'affluence de milliers de Juifs dans les zones occupées par l'Italie. Ce chiffre atteint les 30.000 pour la seule France...


je ne sais pas ce que vous espérez voir dans ces films mais attendez vous à être déçus :mdr3: :mdr3: :mdr3:4
c'est comme franco , en laissant la frontière espagnole ouverte cela a permis a de nombreux juifs d'être sauvé de la collaboration du régime démocrate socialiste de vichy

vous ne dites pas où ce festival du film italien aura lieu en Moselle car j'irais bien volontiers rien que pour voir la mine déconfite des gauchiste comme vous lorsqu'ils verront le contraire de ce qu'ils comptaient voir :mdr3: :mdr3: :mdr3:

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Re: affaire Clément Méric

Message par tisiphoné » 10 novembre 2018 19:28

le sujet va être nettoyé

je rappelle qu'un forum Histoire est à votre disposition, il doit certainement y avoir un sujet fascisme existant, sinon libre à vous de le créer, mais ne digressez pas ici, ça éloigne trop du sujet.

la modération.

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Re: affaire Clément Méric

Message par Crapulax » 09 décembre 2019 12:55

..........................................Mort de Clément Méric: Procès en appel pour deux anciens skinheads.........................................


En 2013, une rixe entre deux bandes rivales avait provoqué la mort du jeune militant antifasciste. Des peines sévères avaient été prononcées en première instance.

Que s’est-il passé pendant sept petites secondes? Sept petites secondes d’une bagarre entre skinheads et «antifas», qui ont conduit à la mort d’un jeune homme de 18 ans, Clément Méric. C’est à cette question que vont devoir répondre les jurés de la cour d’assises d’appel d’Évry, devant laquelle s’ouvre ce lundi 9 décembre le procès de deux hommes, accusés d’avoir provoqué le décès du militant antifasciste.

Le drame s’est déroulé en fin d’après-midi le 5 juin 2013. Deux groupes de jeunes d’extrême gauche et d’extrême droite se croisent lors d’une vente privée de la marque Fred Perry, dans un quartier commerçant de Paris. Après avoir lancé quelques invectives aux skinheads (deux hommes et une femme), les antifas descendent dans la rue et attendent le long d’une église, à une trentaine de mètres de l’entrée de l’immeuble. Clément Méric les rejoint. Les skins les voient depuis la fenêtre de la salle des ventes.

La présence de ce groupe antagoniste les inquiète: Is appellent du renfort. C’est Esteban Morillo, qui arrive pour prêter main-forte aux nationalistes. La bande finit par descendre. La bagarre éclate, dure sept secondes. Clément Méric ne s’en relèvera pas.

Voici pour la trame de l’histoire, admise par les différentes parties. Pour le reste, le premier procès en 2018, tenu devant la cour d’assises de Paris, n’avait pas permis de lever les zones d’ombre du dossier, les experts se divisant et les témoins se contredisant. Qui a pris l’initiative de l’affrontement? Des poings américains ont-ils été utilisés? Deux versions s’opposent.

La première présentée par les ex-skinheads, qui affirment avoir voulu fuir par le métro le plus proche. Sauf qu’en sortant de l’immeuble, ils se trompent de côté, et se retrouvent face aux antifas, qui les agressent. Ils expliquent avoir répondu aux coups qui leur étaient portés pour se défendre, sans arme, avant de prendre la fuite.

A contrario, les antifas assurent que les skinheads se sont dirigés délibérément vers eux et les ont frappés avec des poings américains. Thèse que soutient le conseil de la famille Méric, Me Christian Saint-Palais: «Les skinheads ont appelé des renforts. Ils auraient pu partir dans l’autre sens, mais se sont au contraire dirigés directement vers l’autre groupe. Il est très clair qu’il s’agit d’une agression.»

Des peines lourdes en première instance:

En premier instance, cette thèse avait convaincu le jury, qui avait estimé que les deux principaux accusés, les anciens skins Esteban Morillo et Samuel Dufour, avaient bien fait usage de poings américains, circonstance aggravante. Les jurés leur avaient en conséquence infligé de lourdes peines. Le premier, 20 ans au moment des faits, qui a reconnu avoir frappé à deux reprises la victime, avait écopé de onze années de réclusion criminelle. Samuel Dufour, 19 ans à l’époque, avait été condamné à sept ans de prison. Tous les deux ont fait appel. Remis en liberté, ils comparaissent libres.

Les zones d’ombre n’auront pas bénéficié aux mis en cause, comme le réclamait dans sa plaidoirie le conseil d’Esteban Morillo, Me Patrick Maisonneuve. «On n’envoie pas quelqu’un en prison parce qu’un témoin est sûr à 60, 70, 80%», avait tonné l’avocat, fustigeant notamment le «champion des témoins» des parties civiles, sûr que l’accusé avait un poing américain, mais capable de «dire tout et son contraire».

Pour ce procès en appel, l’autre avocat d’Esteban Morillo, Me Antoine Maisonneuve, assure que les déclarations de son client «ont été constantes: il a tout de suite reconnu avoir frappé Clément Méric mais a toujours affirmé n’avoir jamais frappé avec un poing américain.» La défense de Samuel Dufour se refusait à tout commentaire avant le début du procès.

Dissolution de Troisième voie:

Un troisième accusé, Alexandre Eyraud, avait été acquitté faute de charges suffisantes à son encontre. Le parquet n’ayant pas fait appel le concernant, il n’est plus mis en cause et ne sera pas présent à Évry sur le banc des accusés.

Enfin, Serge Ayoub, figure de l’extrême droite radicale parisienne, devrait une nouvelle fois être cité comme témoin. Esteban Morillo était sympathisant de son mouvement politique, Troisième voie. Le groupuscule avait été dissous par le gouvernement Ayrault, un mois après le décès de Clément Méric, mesure censée montrer l’action de l’exécutif socialiste face à l’extrême droite radicale.

Après la bagarre, les skinheads s’étaient rendus dans son bar, Le Local, situé dans le XVe arrondissement de Paris. Dans la nuit, ils avaient demandé conseil à cette référence du milieu nationaliste parisien. L’enquête a montré que des dizaines d’échanges avaient eu lieu. Lui affirme avoir essayé de trouver un avocat et avoir conseillé aux jeunes de se rendre à la police.

Les audiences, présidées par Thierry Fusian, doivent se tenir jusqu’au 20 décembre. Philippe Courroye représentera le ministère public.
Source:Le Figaro.
https://www.lefigaro.fr/actualite-franc ... s-20191209
Aux mains de l'Etat,la force s'appelle Droit....Aux mains de l'individu,elle se nomme le crime....
Si tu m'as pris pour un clown tu t'es trompé de Carnaval...
..J'apprécie tellement les Chips que parfois je leurs fais des bisous...

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Re: affaire Clément Méric

Message par tisiphoné » 09 décembre 2019 15:37

Crapulax a écrit :
09 décembre 2019 12:55
..........................................Mort de Clément Méric: Procès en appel pour deux anciens skinheads.........................................


En 2013, une rixe entre deux bandes rivales avait provoqué la mort du jeune militant antifasciste. Des peines sévères avaient été prononcées en première instance.

Que s’est-il passé pendant sept petites secondes? Sept petites secondes d’une bagarre entre skinheads et «antifas», qui ont conduit à la mort d’un jeune homme de 18 ans, Clément Méric. C’est à cette question que vont devoir répondre les jurés de la cour d’assises d’appel d’Évry, devant laquelle s’ouvre ce lundi 9 décembre le procès de deux hommes, accusés d’avoir provoqué le décès du militant antifasciste.

Le drame s’est déroulé en fin d’après-midi le 5 juin 2013. Deux groupes de jeunes d’extrême gauche et d’extrême droite se croisent lors d’une vente privée de la marque Fred Perry, dans un quartier commerçant de Paris. Après avoir lancé quelques invectives aux skinheads (deux hommes et une femme), les antifas descendent dans la rue et attendent le long d’une église, à une trentaine de mètres de l’entrée de l’immeuble. Clément Méric les rejoint. Les skins les voient depuis la fenêtre de la salle des ventes.

La présence de ce groupe antagoniste les inquiète: Is appellent du renfort. C’est Esteban Morillo, qui arrive pour prêter main-forte aux nationalistes. La bande finit par descendre. La bagarre éclate, dure sept secondes. Clément Méric ne s’en relèvera pas.

Voici pour la trame de l’histoire, admise par les différentes parties. Pour le reste, le premier procès en 2018, tenu devant la cour d’assises de Paris, n’avait pas permis de lever les zones d’ombre du dossier, les experts se divisant et les témoins se contredisant. Qui a pris l’initiative de l’affrontement? Des poings américains ont-ils été utilisés? Deux versions s’opposent.

La première présentée par les ex-skinheads, qui affirment avoir voulu fuir par le métro le plus proche. Sauf qu’en sortant de l’immeuble, ils se trompent de côté, et se retrouvent face aux antifas, qui les agressent. Ils expliquent avoir répondu aux coups qui leur étaient portés pour se défendre, sans arme, avant de prendre la fuite.

A contrario, les antifas assurent que les skinheads se sont dirigés délibérément vers eux et les ont frappés avec des poings américains. Thèse que soutient le conseil de la famille Méric, Me Christian Saint-Palais: «Les skinheads ont appelé des renforts. Ils auraient pu partir dans l’autre sens, mais se sont au contraire dirigés directement vers l’autre groupe. Il est très clair qu’il s’agit d’une agression.»

Des peines lourdes en première instance:

En premier instance, cette thèse avait convaincu le jury, qui avait estimé que les deux principaux accusés, les anciens skins Esteban Morillo et Samuel Dufour, avaient bien fait usage de poings américains, circonstance aggravante. Les jurés leur avaient en conséquence infligé de lourdes peines. Le premier, 20 ans au moment des faits, qui a reconnu avoir frappé à deux reprises la victime, avait écopé de onze années de réclusion criminelle. Samuel Dufour, 19 ans à l’époque, avait été condamné à sept ans de prison. Tous les deux ont fait appel. Remis en liberté, ils comparaissent libres.

Les zones d’ombre n’auront pas bénéficié aux mis en cause, comme le réclamait dans sa plaidoirie le conseil d’Esteban Morillo, Me Patrick Maisonneuve. «On n’envoie pas quelqu’un en prison parce qu’un témoin est sûr à 60, 70, 80%», avait tonné l’avocat, fustigeant notamment le «champion des témoins» des parties civiles, sûr que l’accusé avait un poing américain, mais capable de «dire tout et son contraire».

Pour ce procès en appel, l’autre avocat d’Esteban Morillo, Me Antoine Maisonneuve, assure que les déclarations de son client «ont été constantes: il a tout de suite reconnu avoir frappé Clément Méric mais a toujours affirmé n’avoir jamais frappé avec un poing américain.» La défense de Samuel Dufour se refusait à tout commentaire avant le début du procès.

Dissolution de Troisième voie:

Un troisième accusé, Alexandre Eyraud, avait été acquitté faute de charges suffisantes à son encontre. Le parquet n’ayant pas fait appel le concernant, il n’est plus mis en cause et ne sera pas présent à Évry sur le banc des accusés.

Enfin, Serge Ayoub, figure de l’extrême droite radicale parisienne, devrait une nouvelle fois être cité comme témoin. Esteban Morillo était sympathisant de son mouvement politique, Troisième voie. Le groupuscule avait été dissous par le gouvernement Ayrault, un mois après le décès de Clément Méric, mesure censée montrer l’action de l’exécutif socialiste face à l’extrême droite radicale.

Après la bagarre, les skinheads s’étaient rendus dans son bar, Le Local, situé dans le XVe arrondissement de Paris. Dans la nuit, ils avaient demandé conseil à cette référence du milieu nationaliste parisien. L’enquête a montré que des dizaines d’échanges avaient eu lieu. Lui affirme avoir essayé de trouver un avocat et avoir conseillé aux jeunes de se rendre à la police.

Les audiences, présidées par Thierry Fusian, doivent se tenir jusqu’au 20 décembre. Philippe Courroye représentera le ministère public.
Source:Le Figaro.
https://www.lefigaro.fr/actualite-franc ... s-20191209
Qui a pris l’initiative de l’affrontement?
bien évidemment que je suis du coté de la victime, mais force est de constater, que ce sont les antifas qui ont attendu les autres :confus25

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Re: affaire Clément Méric

Message par Crapulax » 10 décembre 2019 05:24

bien évidemment que je suis du coté de la victime, mais force est de constater, que ce sont les antifas qui ont attendu les autres
C'est surtout que les "autres" n'attendaient que ça...C'était "cadeau"..Parce que la grande différence entre les deux restera dans le fait que les uns ont tendance à parler tandis que les autres ne discutent pas..La réponse est brutale..

Je me souviens des paroles d'un titre "faf"....

"Je n'en peux plus de voir tous ces gauchos,
Tous ces cons d'étudiants qui se prennent pour des prolos,
Vous parlez tout le temps de nous massacrer,
Montrez vos couilles, venez nous brancher!

Refrain

Notre violence est légitime,
Dans la rue, elle sera notre hymne!
Face à cons, rien ne sert de parler,
Tape, tape toujours le premier!"

...De la musique douce...Pour des gens doux... :XD:
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Re: affaire Clément Méric

Message par tisiphoné » 10 décembre 2019 07:11

Crapulax a écrit :
10 décembre 2019 05:24
bien évidemment que je suis du coté de la victime, mais force est de constater, que ce sont les antifas qui ont attendu les autres
C'est surtout que les "autres" n'attendaient que ça...C'était "cadeau"..Parce que la grande différence entre les deux restera dans le fait que les uns ont tendance à parler tandis que les autres ne discutent pas..La réponse est brutale..

Je me souviens des paroles d'un titre "faf"....

"Je n'en peux plus de voir tous ces gauchos,
Tous ces cons d'étudiants qui se prennent pour des prolos,
Vous parlez tout le temps de nous massacrer,
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tout est dit effectivement :confus25

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Re: affaire Clément Méric

Message par sofasurfer » 10 décembre 2019 09:31

Crapulax a écrit :
09 décembre 2019 12:55
..........................................Mort de Clément Méric: Procès en appel pour deux anciens skinheads.........................................


En 2013, une rixe entre deux bandes rivales avait provoqué la mort du jeune militant antifasciste. Des peines sévères avaient été prononcées en première instance.

Que s’est-il passé pendant sept petites secondes? Sept petites secondes d’une bagarre entre skinheads et «antifas», qui ont conduit à la mort d’un jeune homme de 18 ans, Clément Méric. C’est à cette question que vont devoir répondre les jurés de la cour d’assises d’appel d’Évry, devant laquelle s’ouvre ce lundi 9 décembre le procès de deux hommes, accusés d’avoir provoqué le décès du militant antifasciste.

Le drame s’est déroulé en fin d’après-midi le 5 juin 2013. Deux groupes de jeunes d’extrême gauche et d’extrême droite se croisent lors d’une vente privée de la marque Fred Perry, dans un quartier commerçant de Paris. Après avoir lancé quelques invectives aux skinheads (deux hommes et une femme), les antifas descendent dans la rue et attendent le long d’une église, à une trentaine de mètres de l’entrée de l’immeuble. Clément Méric les rejoint. Les skins les voient depuis la fenêtre de la salle des ventes.

La présence de ce groupe antagoniste les inquiète: Is appellent du renfort. C’est Esteban Morillo, qui arrive pour prêter main-forte aux nationalistes. La bande finit par descendre. La bagarre éclate, dure sept secondes. Clément Méric ne s’en relèvera pas.

Voici pour la trame de l’histoire, admise par les différentes parties. Pour le reste, le premier procès en 2018, tenu devant la cour d’assises de Paris, n’avait pas permis de lever les zones d’ombre du dossier, les experts se divisant et les témoins se contredisant. Qui a pris l’initiative de l’affrontement? Des poings américains ont-ils été utilisés? Deux versions s’opposent.

La première présentée par les ex-skinheads, qui affirment avoir voulu fuir par le métro le plus proche. Sauf qu’en sortant de l’immeuble, ils se trompent de côté, et se retrouvent face aux antifas, qui les agressent. Ils expliquent avoir répondu aux coups qui leur étaient portés pour se défendre, sans arme, avant de prendre la fuite.

A contrario, les antifas assurent que les skinheads se sont dirigés délibérément vers eux et les ont frappés avec des poings américains. Thèse que soutient le conseil de la famille Méric, Me Christian Saint-Palais: «Les skinheads ont appelé des renforts. Ils auraient pu partir dans l’autre sens, mais se sont au contraire dirigés directement vers l’autre groupe. Il est très clair qu’il s’agit d’une agression.»

Des peines lourdes en première instance:

En premier instance, cette thèse avait convaincu le jury, qui avait estimé que les deux principaux accusés, les anciens skins Esteban Morillo et Samuel Dufour, avaient bien fait usage de poings américains, circonstance aggravante. Les jurés leur avaient en conséquence infligé de lourdes peines. Le premier, 20 ans au moment des faits, qui a reconnu avoir frappé à deux reprises la victime, avait écopé de onze années de réclusion criminelle. Samuel Dufour, 19 ans à l’époque, avait été condamné à sept ans de prison. Tous les deux ont fait appel. Remis en liberté, ils comparaissent libres.

Les zones d’ombre n’auront pas bénéficié aux mis en cause, comme le réclamait dans sa plaidoirie le conseil d’Esteban Morillo, Me Patrick Maisonneuve. «On n’envoie pas quelqu’un en prison parce qu’un témoin est sûr à 60, 70, 80%», avait tonné l’avocat, fustigeant notamment le «champion des témoins» des parties civiles, sûr que l’accusé avait un poing américain, mais capable de «dire tout et son contraire».

Pour ce procès en appel, l’autre avocat d’Esteban Morillo, Me Antoine Maisonneuve, assure que les déclarations de son client «ont été constantes: il a tout de suite reconnu avoir frappé Clément Méric mais a toujours affirmé n’avoir jamais frappé avec un poing américain.» La défense de Samuel Dufour se refusait à tout commentaire avant le début du procès.

Dissolution de Troisième voie:

Un troisième accusé, Alexandre Eyraud, avait été acquitté faute de charges suffisantes à son encontre. Le parquet n’ayant pas fait appel le concernant, il n’est plus mis en cause et ne sera pas présent à Évry sur le banc des accusés.

Enfin, Serge Ayoub, figure de l’extrême droite radicale parisienne, devrait une nouvelle fois être cité comme témoin. Esteban Morillo était sympathisant de son mouvement politique, Troisième voie. Le groupuscule avait été dissous par le gouvernement Ayrault, un mois après le décès de Clément Méric, mesure censée montrer l’action de l’exécutif socialiste face à l’extrême droite radicale.

Après la bagarre, les skinheads s’étaient rendus dans son bar, Le Local, situé dans le XVe arrondissement de Paris. Dans la nuit, ils avaient demandé conseil à cette référence du milieu nationaliste parisien. L’enquête a montré que des dizaines d’échanges avaient eu lieu. Lui affirme avoir essayé de trouver un avocat et avoir conseillé aux jeunes de se rendre à la police.

Les audiences, présidées par Thierry Fusian, doivent se tenir jusqu’au 20 décembre. Philippe Courroye représentera le ministère public.
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Morillo ne s'est jamais désigné comme "skinhead" et rien ne le lie formellement a un mouvement neonazi. Il doit assumer ses actes mais il faut remettre l'église au centre du village, et surtout arrèter d'écouter les imbécilité des "antifas"...
L’ouverture d'esprit n'est pas une fracture du crâne

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Re: affaire Clément Méric

Message par Yann Begervil » 10 décembre 2019 09:35

Crapulax a écrit :
10 décembre 2019 05:24
bien évidemment que je suis du coté de la victime, mais force est de constater, que ce sont les antifas qui ont attendu les autres
C'est surtout que les "autres" n'attendaient que ça...C'était "cadeau"..Parce que la grande différence entre les deux restera dans le fait que les uns ont tendance à parler tandis que les autres ne discutent pas..La réponse est brutale..

Je me souviens des paroles d'un titre "faf"....

"Je n'en peux plus de voir tous ces gauchos,
Tous ces cons d'étudiants qui se prennent pour des prolos,
Vous parlez tout le temps de nous massacrer,
Montrez vos couilles, venez nous brancher!

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Notre violence est légitime,
Dans la rue, elle sera notre hymne!
Face à cons, rien ne sert de parler,
Tape, tape toujours le premier!"

...De la musique douce...Pour des gens doux... :XD:
Oui mais justement, les antifas connaissent ces chants, ils savent a qui ils ont affaire, alors envoyer un jeune, malade et plutôt fluet, en première ligne, c'est pas bien malin.

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Re: affaire Clément Méric

Message par Crapulax » 10 décembre 2019 13:11

Oui mais justement, les antifas connaissent ces chants, ils savent a qui ils ont affaire, alors envoyer un jeune, malade et plutôt fluet, en première ligne, c'est pas bien malin.
C'est ce que j'avais dit d'entrée de jeu..Chez les "fafs" ça part au quart de tour,ça fait parti "de la panoplie".
.....Morillo avait l'air d'être en contact avec Batskin... :XD:
Aux mains de l'Etat,la force s'appelle Droit....Aux mains de l'individu,elle se nomme le crime....
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Re: affaire Clément Méric

Message par Yann Begervil » 10 décembre 2019 13:16

Crapulax a écrit :
10 décembre 2019 13:11
Oui mais justement, les antifas connaissent ces chants, ils savent a qui ils ont affaire, alors envoyer un jeune, malade et plutôt fluet, en première ligne, c'est pas bien malin.
C'est ce que j'avais dit d'entrée de jeu..Chez les "fafs" ça part au quart de tour,ça fait parti "de la panoplie".
.....Morillo avait l'air d'être en contact avec Batskin... :XD:
Bien sur, c’était un skin et il s'est vanté au téléphone d'avoir frappé avec un poing américain, il mérite largement la prison.

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Re: affaire Clément Méric

Message par UBUROI » 05 juin 2021 09:23

Yann Begervil a écrit :
10 décembre 2019 13:16
Crapulax a écrit :
10 décembre 2019 13:11


C'est ce que j'avais dit d'entrée de jeu..Chez les "fafs" ça part au quart de tour,ça fait parti "de la panoplie".
.....Morillo avait l'air d'être en contact avec Batskin... :XD:
Bien sur, c’était un skin et il s'est vanté au téléphone d'avoir frappé avec un poing américain, il mérite largement la prison.
Mort de Clément Méric : deux ex-skinheads condamnés à 8 et 5 ans de prison en appel

Les peines prononcées sont moins lourdes qu'en première instance.

Article rédigé par

franceinfo avec AFP
France Télévisions
Publié le 05/06/2021 00:15
Mis à jour le 05/06/2021 07:37
Temps de lecture : 1 min.
Une manifestation en homme à Clément Méric à Paris, le 8 juin 2013. (LIONEL BONAVENTURE / AFP)
Une manifestation en homme à Clément Méric à Paris, le 8 juin 2013. (LIONEL BONAVENTURE / AFP)
La cour d'assises de l'Essonne a condamné vendredi 4 juin en appel deux anciens skinheads à huit et cinq ans d'emprisonnement pour la mort du militant antifasciste Clément Méric. Ce dernier avait été tué lors d'une rixe à Paris en 2013. Les peines prononcées sont moins lourdes qu'en première instance.

Esteban Morillo, 28 ans, qui a reconnu être l'auteur des coups mortels mais a plaidé la légitime défense, a écopé de huit ans de prison, contre 11 en première instance. Samuel Dufour, 27 ans, a lui été condamné à cinq ans. Reconnus coupables de violences volontaires ayant entraîné la mort sans intention de la donner, les deux hommes ont accueilli le verdict dans le calme.

"La vérité a été redite ce soir, a réagi l'avocate de la famille Méric, Cosima Ouhioun. Clément Méric a été victime d'une agression par des bras armés par des poings américains, mais aussi par une idéologie violente qui a été un poison tant pour les accusés que pour les victimes."

La défense évoque "une décision très amère"
L'avocat d'Esteban Morillo a reconnu "une peine moins lourde" mais déploré "une décision très amère (...) difficile à comprendre sur le plan de la vérité". Pour lui, "les passions politiques d'en face, la pression médiatique et surtout la pression idéologique de ceux qui s'étaient déjà attaqués à eux, ont été trop fortes".

Pour l'avocat de Samuel Dufour, Grégoire Etrillard, "c'est une affaire dans laquelle nos clients se sont défendus d'une agression extérieure, mais il était sans doute trop difficile pour la cour et les jurés de dire la vérité dans ce procès tellement symbolique".

Le 5 juin 2013, Clément Méric, étudiant de 18 ans et militant antifasciste, s'était écroulé sur le bitume en plein Paris, lors d'une rixe violente et brève entre militants d'extrême gauche et skinheads d'extrême droite, en marge d'une vente privée de vêtements.

vivarais
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Re: affaire Clément Méric

Message par vivarais » 05 juin 2021 18:51

UBUROI a écrit :
05 juin 2021 09:23
Yann Begervil a écrit :
10 décembre 2019 13:16


Bien sur, c’était un skin et il s'est vanté au téléphone d'avoir frappé avec un poing américain, il mérite largement la prison.
Mort de Clément Méric : deux ex-skinheads condamnés à 8 et 5 ans de prison en appel

Les peines prononcées sont moins lourdes qu'en première instance.

Article rédigé par

franceinfo avec AFP
France Télévisions
Publié le 05/06/2021 00:15
Mis à jour le 05/06/2021 07:37
Temps de lecture : 1 min.
Une manifestation en homme à Clément Méric à Paris, le 8 juin 2013. (LIONEL BONAVENTURE / AFP)
Une manifestation en homme à Clément Méric à Paris, le 8 juin 2013. (LIONEL BONAVENTURE / AFP)
La cour d'assises de l'Essonne a condamné vendredi 4 juin en appel deux anciens skinheads à huit et cinq ans d'emprisonnement pour la mort du militant antifasciste Clément Méric. Ce dernier avait été tué lors d'une rixe à Paris en 2013. Les peines prononcées sont moins lourdes qu'en première instance.

Esteban Morillo, 28 ans, qui a reconnu être l'auteur des coups mortels mais a plaidé la légitime défense, a écopé de huit ans de prison, contre 11 en première instance. Samuel Dufour, 27 ans, a lui été condamné à cinq ans. Reconnus coupables de violences volontaires ayant entraîné la mort sans intention de la donner, les deux hommes ont accueilli le verdict dans le calme.

"La vérité a été redite ce soir, a réagi l'avocate de la famille Méric, Cosima Ouhioun. Clément Méric a été victime d'une agression par des bras armés par des poings américains, mais aussi par une idéologie violente qui a été un poison tant pour les accusés que pour les victimes."

La défense évoque "une décision très amère"
L'avocat d'Esteban Morillo a reconnu "une peine moins lourde" mais déploré "une décision très amère (...) difficile à comprendre sur le plan de la vérité". Pour lui, "les passions politiques d'en face, la pression médiatique et surtout la pression idéologique de ceux qui s'étaient déjà attaqués à eux, ont été trop fortes".

Pour l'avocat de Samuel Dufour, Grégoire Etrillard, "c'est une affaire dans laquelle nos clients se sont défendus d'une agression extérieure, mais il était sans doute trop difficile pour la cour et les jurés de dire la vérité dans ce procès tellement symbolique".

Le 5 juin 2013, Clément Méric, étudiant de 18 ans et militant antifasciste, s'était écroulé sur le bitume en plein Paris, lors d'une rixe violente et brève entre militants d'extrême gauche et skinheads d'extrême droite, en marge d'une vente privée de vêtements.
comme quoi il est dangereux judiciairement de s'en prendre à des policiers et de les bruler que de se défendre contre des facho de gauche qui vous agresse nt
une chance qu'il n'y ait pas eu de morts parmi les fachos de gauche qui s'en sont pris à la procession catholique

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Re: affaire Clément Méric

Message par UBUROI » 05 juin 2021 19:13

vivarais a écrit :
05 juin 2021 18:51
UBUROI a écrit :
05 juin 2021 09:23


comme quoi il est dangereux judiciairement de s'en prendre à des policiers et de les bruler que de se défendre contre des facho de gauche qui vous agresse nt

Là, moi, y en a pas compris le teuton!

une chance qu'il n'y ait pas eu de morts parmi les fachos de gauche qui s'en sont pris à la procession catholique
Un borborygme issu des intestins après ein Bier + schnaps...incompréhensible pour un gaulois adepte de l'hydromel.
Et en prime une sortie HS
:icon_clap:

Y a un mort, tu sais ce que ça veut dire?

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Re: affaire Clément Méric

Message par sofasurfer » 05 juin 2021 19:44

CE qui a été retenu c'est les conséquences de la bagarre, il n y' a pas eu de préméditation.

Après il faut se demander a quoi cela sert de venir provoquer des adversaires hors du terrain, sinon de risquer de se prendre une droite dans la tronche...
L’ouverture d'esprit n'est pas une fracture du crâne

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Re: affaire Clément Méric

Message par UBUROI » 05 juin 2021 19:58

sofasurfer a écrit :
05 juin 2021 19:44
CE qui a été retenu c'est les conséquences de la bagarre, il n y' a pas eu de préméditation.

Après il faut se demander a quoi cela sert de venir provoquer des adversaires hors du terrain, sinon de risquer de se prendre une droite dans la tronche...
Un mort, tu sais ce que c'est? La différence avec une droite et une droite armée d'un poing américain.
« Clément Méric a été victime d’une agression par des bras armés par des poings américains, mais aussi par une idéologie violente qui a été un poison tant pour les accusés que pour les victimes »
https://www.lemonde.fr/societe/article/ ... _3224.html

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Re: affaire Clément Méric

Message par bister » 05 juin 2021 22:35

si ma mémoire est encore bonne sur cette histoire

il me semble que le ga qui a donné le coup de poing, au départ était sorti faire du shopping avec sa copine dans un magasin spécialisé skinead et aussi anti Fa, vu qu’ils s’habillent pareil

ce ga là avait été repéré déjà par une cellule antifa sur internet, son appartenance etc…

bon, je ne sais pas si c’était prémédité ou non mais dans le magasin de fringue, le ga et sa copine ont été interpelées par des antifa, s’en suit une altercation, le service de sécurité du magasin intervient et fait sortir les antifa (tous.. ça on ne sait pas) ils ont gardé le couple dans le magasin et les ont fait sortir mais plus tard, par une porte dérobée du magasin

sauf.. que les autres les attendaient par là, dans la rue, encore et toujours comme par hasard

donc le ga s’est retrouvé seul avec sa copine face à trois (voir quatre antifa je ne m’en rappel plus)
donc les reflex ne sont pas les mêmes , idéologie ou pas , il était avec sa copine et en face de plusieurs types

je crois qu’il avait téléphoné pour demander du renfort, avant de sortir du magasin mais ils ne sont pas arrivés tout de suite

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