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jeandu53 a écrit : ↑11 mars 2024 17:22On nous dit que les flics en France sont violents, davantage que dans d'autres pays. Mais les flics étrangers sont-ils confrontés à des émeutiers aussi violents que ceux que nous avons chez nous ? Moi, j'ai plutôt l'impression d'une grande impuissance chez les policiers français.
De façon générale, la question qui se pose est la suivante : que peuvent faire les flics, sur le terrain, face à des délinquants sans foi ni loi, qui refusent d'obtempérer, et qui n'hésitent pas à brûler et piller tout ce qu'ils trouvent sur leur passage, voir à tirer au mortier ou au lance-roquette sur tout ce qui représente, de près ou de loin, l’État, la puissance publique ?
Mon sentiment est que, face à des émeutiers sans aucune limite, nos beaux principes inspirés des droits de l'homme (la proportionnalité de la riposte, la présomption d'innocence, etc.) condamnent les flics à l'impuissance. Si on veut permettre aux flics de mettre ces voyous hors d'état de nuire, il faut donc leur permettre d'utiliser la manière forte (donc tirer pour mettre les émeutiers hors d'état de nuire) et accepter que le sang puisse couler.
Nous devons nous inspirer des méthodes du président salvadorien.
Mais j'admets volontiers que mes propositions puissent choquer quelqu'un comme vous qui considère que la France est un pays paisible où il n'y a pas de problème d'insécurité.
déjà en france, il y a comme partout, des bons flics et des mauvais flics.
ensuite, ils ont tout à fait le droit de tirer sur des gens qui tirent à la kalash.
donc votre coté cowboy n'a pas de raison d'exister.
ensuite, cette rixe a eu lieu à 2 heures du mat', pas à la sortie d'une école un vendredi soir.
les commissariats comme le reste du monde, a moins de personnels à cette heure là, et l'immédiateté du geste ne permet pas une intervention rapide et efficace.
encore une fois, ce ne sont pas des émeutiers, se sont des trafiquants de drogue donc du grand banditisme, probablement qui se disputent un territoire.
tout votre laïus n'est pas recevable.
ça existait avant, ça existera après.
avant, c’était le racket, maintenant c'est la drogue.
et croyez moi, c'est pas mieux pas pire ailleurs.