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La liberté d'expression, oui, mais définie dans les normes des maîtresUn peu comme les définitions de certains dicos définies dans les normes de la doxa.
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La liberté d'expression, oui, mais définie dans les normes des maîtresSource:Le Figaro.
En Iran, les femmes et les défenseurs des libertés ne décolèrent pas depuis la mort, vendredi, de Mahsa Amini, après son arrestation par la police des mœurs, qui lui reprochait une tenue inadaptée.
En solidarité, de nombreuses manifestations ont eu lieu ces derniers jours dans le pays, et sur les réseaux sociaux, des femmes iraniennes ont même brûlé symboliquement leur hijab. Depuis la Révolution islamique de 1979, la loi exige en effet que toutes les femmes, quelle que soit leur nationalité ou leurs croyances religieuses, portent un voile qui recouvre la tête et le cou tout en dissimulant les cheveux.
Cependant, ces deux dernières décennies, de plus en plus de femmes à Téhéran et dans d'autres grandes villes laissent des mèches de cheveux, voire plus, dépasser de leur voile. Pour veiller au grain, la police des mœurs patrouille dans les rues des villes et arrête régulièrement des femmes vêtues d'une manière jugée impudique, pour les rappeler à l'ordre.
Mais les autorités iraniennes réfléchissent, d'après plusieurs médias du pays, à doter la police des mœurs d'un nouvel et puissant outil : le pouvoir étudierait en effet la possibilité d'exploiter les images de vidéosurveillance dans l'espace public, notamment le métro.
Un projet révélé notamment par le journal réformateur Arman Emrouz et repéré par Courrier international envisage d'appliquer à ces images une intelligence artificielle capable d'opérer une reconnaissance faciale, pour identifier les passantes dont la tenue serait jugée inappropriée au regard des codes exigés par la République islamique d'Iran.
Une amende pourrait être envoyée au domicile des contrevenantes:
Selon d'autres journaux, cette technologie, si elle était déployée, pourrait permettre d'adresser directement au domicile des contrevenantes l'amende prévue dans ces cas-là : 300.000 tomans (12 dollars) pour le non-port du hijab, 150.000 tomans pour une veste qui ne recouvre pas chastement les épaules et les jambes, 85.000 tomans pour un maquillage trop prononcé.
Mais ce projet ne serait resté qu'une rumeur s'il n'entrait pas directement en résonance avec des propos récents de Mohammad Saleh Hashemi Golpaygani, le secrétaire de l'organisation de la promotion de la vertu et le rejet du vice - une institution d'État, comparable au «ministère» du même nom dans l'Afghanistan des Talibans, ou le «Comité» identique en Arabie saoudite.
Selon cet officiel chargé de faire appliquer scrupuleusement les préceptes moraux de la théocratie islamique iranienne, la technologie de reconnaissance faciale serait aujourd'hui «tellement avancée qu'elle peut reconnaître les gens à partir de leurs images dans les caméras» : A la suite de ces propos, Golpaygani a clairement indiqué que son organisation étudiait la possibilité de verbaliser directement les personnes à partir de la vidéosurveillance.
Toutefois, ces propos ont fait polémique à l'intérieur même des frontières du pays. Le Club des jeunes journalistes iraniens a d'abord précisé que les caméras actuellement installées dans le métro ne permettent pas d'obtenir des images assez nettes pour reconnaître sans risque de se tromper les visages.
D'autre part, plusieurs hommes politiques du mouvement réformateur ont critiqué le projet de Golpaygani, notamment l'ancien vice-président Mohammad Ali Abtahi.
Source:Ouest-France.
....Déclarée inapte en 2003, son licenciement n'avait jamais été formalisé. Ce n'est que fin 2021 que La Poste a "régularisé" la procédure. L'employée a décidé de porter l'affaire en justice et réclame près de 80 000 €.
Pendant 18 ans, Celine Sies aura été sans le savoir une "employée fantôme" du bureau de poste principal de Laxou. Déclarée inapte en janvier 2003 en raison de problèmes de santé, elle avait, pensait-elle, été sortie des effectifs de La Poste. La guichetière n'avait alors que 20 ans.
Victime d'une "faille bureaucratique" de La Poste:
Depuis, elle vivait avec une rente d'invalidité de 300 euros par mois. Mais en 2020, surprise sur son relevé de compte : des versements de salaires de La Poste (ré)apparaissent, rapportent nos confrères de l'Est Républicain.
Elle contacte alors la société pour lui signaler ce quelle pense être une erreur. La réponse va la surprendre : "Depuis 2002, vous êtes éloignée du service et ne percevez plus de rémunération. Un problème informatique a réenclenché votre salaire", apprend-elle.
La formulation "éloignée du service" l'interpelle. Elle prend conseil auprès d'un avocat. Maître Olivier Bauer découvre alors que la Poste a oublié de la licencier : "Elle est tombée dans une faille bureaucratique, et plus personne ne s’est préoccupé d’elle."
L'ex-employée réclame 79 500 €:
En décembre 2021, afin de régulariser la situation, La Poste lui a signifié son renvoi. Mais l'ancienne employée n'entend pas en rester là. Peut-elle réclamer 18 années de salaires non perçus ? Non, puisque la rétroactivité fixée par la loi est de trois ans maximum.
Pour autant, la plaignante réclame désormais 25 000 € pour les salaires, 46 000 € au titre des compléments de rente d'invalidité que sa mutuelle aurait dû lui verser et enfin une indemnité de licenciement de 8500 €.
Ce sont donc 79 500 € qui sont réclamés par l'ancienne employée qui, à son tour, se rappelle au bon souvenir de son employeur.
L'affaire sera examinée par la Cour d'appel de Nancy début octobre prochain.
Source:Sud-Ouest.
Une « scène de crime hors normes », « extrêmement sanglante »: Jugé pour le meurtre du petit ami de sa fille, en 2014, Muhittin Ulug a affirmé mardi, face à la violence des faits, avoir « perdu l’esprit » à la vue de sa fille avec un homme nu.
La victime, Julien Videlaine, 20 ans, était « vidée de son sang » à l’arrivée des secours ce 24 juillet 2014, en épilogue tragique à un rendez-vous amoureux caché au domicile des Ulug, a détaillé à la barre le docteur Georges Patru. L’agresseur a frappé 19 fois avec un « couteau de cuisine entièrement métallique, épais, très lourd », occasionnant « 30 plaies » notamment au visage et sur le torse, a-t-il relaté au deuxième jour du procès devant les Assises de l’Oise.
« La scène était extrêmement sanglante », a-t-il insisté, relevant comme « hypothèse la plus probable » que le meurtrier se soit acharné sur le jeune homme « déjà au sol ».
L’accusé avait lors de son premier interrogatoire affirmé que la victime l’avait « agressé en premier », mais le légiste a souligné n’avoir pas « constaté de lésions en faveur d’une attaque » de la part de Julien Videlaine. Reconnaissant les faits, ce restaurateur franco kurde de 52 ans avait assuré aux enquêteurs avoir agi pour protéger sa fille, Nuzan, qu’il pensait agressée, et non pas surprise lors d’un rendez-vous amoureux.
« Ça m’a fait perdre l’esprit »:
« Dans notre culture, ça n’existe pas », a-t-il lâché mardi, poussé dans ses retranchements par la présidente du tribunal sur son acceptation de la sexualité de sa fille, alors âgée de 19 ans. « C’était un choc pour moi. Ça m’a fait perdre l’esprit », a-t-il lancé. Pointant un discours « défensif », l’expert-psychiatre a estimé que « rien dans ses propos, ne vient étayer l’hypothèse d’un quelconque danger pour sa fille ».
En matière de relation père-fille, « le poids de la tradition semble extrêmement important pour M. Ulug », a-t-il relevé.
Nuzan, qui avait tenté de s’interposer au prix de deux tendons sectionnés, avait d’abord dit « craindre pour sa vie de la part de sa famille », a rappelé lundi le directeur d’enquête. Elle changeait de version après l’extradition en 2019 de son père de Turquie, où il avait fui. Elle avait assuré aux enquêteurs qu’il ne contrôlait pas ses relations et ignorait l’existence de Julien Videlaine.
...Dit cet homme vivant pourtant en France...Et qui apparemment n'en a que faire de la culture Française...Préférant appliquer sa propre culture dans un autre pays...Arfff...L'intégration.« Dans notre culture, ça n’existe pas »
Crapulax a écrit : ↑20 septembre 2022 12:29..................................En Iran, la reconnaissance faciale pourrait servir à verbaliser les femmes qui n'ont pas de hijab:
Des médias iraniens ont révélé que les autorités envisageaient d'appliquer la reconnaissance faciale aux images de vidéosurveillance, pour sanctionner les femmes dont la tenue est jugée impudique.
Source:Le Figaro.
En Iran, les femmes et les défenseurs des libertés ne décolèrent pas depuis la mort, vendredi, de Mahsa Amini, après son arrestation par la police des mœurs, qui lui reprochait une tenue inadaptée.
En solidarité, de nombreuses manifestations ont eu lieu ces derniers jours dans le pays, et sur les réseaux sociaux, des femmes iraniennes ont même brûlé symboliquement leur hijab. Depuis la Révolution islamique de 1979, la loi exige en effet que toutes les femmes, quelle que soit leur nationalité ou leurs croyances religieuses, portent un voile qui recouvre la tête et le cou tout en dissimulant les cheveux.
Cependant, ces deux dernières décennies, de plus en plus de femmes à Téhéran et dans d'autres grandes villes laissent des mèches de cheveux, voire plus, dépasser de leur voile. Pour veiller au grain, la police des mœurs patrouille dans les rues des villes et arrête régulièrement des femmes vêtues d'une manière jugée impudique, pour les rappeler à l'ordre.
Mais les autorités iraniennes réfléchissent, d'après plusieurs médias du pays, à doter la police des mœurs d'un nouvel et puissant outil : le pouvoir étudierait en effet la possibilité d'exploiter les images de vidéosurveillance dans l'espace public, notamment le métro.
Un projet révélé notamment par le journal réformateur Arman Emrouz et repéré par Courrier international envisage d'appliquer à ces images une intelligence artificielle capable d'opérer une reconnaissance faciale, pour identifier les passantes dont la tenue serait jugée inappropriée au regard des codes exigés par la République islamique d'Iran.
Une amende pourrait être envoyée au domicile des contrevenantes:
Selon d'autres journaux, cette technologie, si elle était déployée, pourrait permettre d'adresser directement au domicile des contrevenantes l'amende prévue dans ces cas-là : 300.000 tomans (12 dollars) pour le non-port du hijab, 150.000 tomans pour une veste qui ne recouvre pas chastement les épaules et les jambes, 85.000 tomans pour un maquillage trop prononcé.
Mais ce projet ne serait resté qu'une rumeur s'il n'entrait pas directement en résonance avec des propos récents de Mohammad Saleh Hashemi Golpaygani, le secrétaire de l'organisation de la promotion de la vertu et le rejet du vice - une institution d'État, comparable au «ministère» du même nom dans l'Afghanistan des Talibans, ou le «Comité» identique en Arabie saoudite.
Selon cet officiel chargé de faire appliquer scrupuleusement les préceptes moraux de la théocratie islamique iranienne, la technologie de reconnaissance faciale serait aujourd'hui «tellement avancée qu'elle peut reconnaître les gens à partir de leurs images dans les caméras» : A la suite de ces propos, Golpaygani a clairement indiqué que son organisation étudiait la possibilité de verbaliser directement les personnes à partir de la vidéosurveillance.
Toutefois, ces propos ont fait polémique à l'intérieur même des frontières du pays. Le Club des jeunes journalistes iraniens a d'abord précisé que les caméras actuellement installées dans le métro ne permettent pas d'obtenir des images assez nettes pour reconnaître sans risque de se tromper les visages.
D'autre part, plusieurs hommes politiques du mouvement réformateur ont critiqué le projet de Golpaygani, notamment l'ancien vice-président Mohammad Ali Abtahi.
https://www.lefigaro.fr/international/e ... b-20220920
Crapulax a écrit : ↑22 septembre 2022 11:38...................................Procès du meurtre de Julien Videlaine: Une scène « extrêmement sanglante ».
L’accusé avait, lors de son premier interrogatoire, affirmé que la victime l’avait « agressé en premier », mais le légiste a souligné n’avoir pas « constaté de lésions en faveur d’une attaque » de la part de Julien Videlaine.
.... Confronté à la violence des faits, l’accusé, père de l’amie de la victime, plaide l’égarement.Source:Sud-Ouest.
Une « scène de crime hors normes », « extrêmement sanglante »: Jugé pour le meurtre du petit ami de sa fille, en 2014, Muhittin Ulug a affirmé mardi, face à la violence des faits, avoir « perdu l’esprit » à la vue de sa fille avec un homme nu.
La victime, Julien Videlaine, 20 ans, était « vidée de son sang » à l’arrivée des secours ce 24 juillet 2014, en épilogue tragique à un rendez-vous amoureux caché au domicile des Ulug, a détaillé à la barre le docteur Georges Patru. L’agresseur a frappé 19 fois avec un « couteau de cuisine entièrement métallique, épais, très lourd », occasionnant « 30 plaies » notamment au visage et sur le torse, a-t-il relaté au deuxième jour du procès devant les Assises de l’Oise.
« La scène était extrêmement sanglante », a-t-il insisté, relevant comme « hypothèse la plus probable » que le meurtrier se soit acharné sur le jeune homme « déjà au sol ».
L’accusé avait lors de son premier interrogatoire affirmé que la victime l’avait « agressé en premier », mais le légiste a souligné n’avoir pas « constaté de lésions en faveur d’une attaque » de la part de Julien Videlaine. Reconnaissant les faits, ce restaurateur franco kurde de 52 ans avait assuré aux enquêteurs avoir agi pour protéger sa fille, Nuzan, qu’il pensait agressée, et non pas surprise lors d’un rendez-vous amoureux.
« Ça m’a fait perdre l’esprit »:
« Dans notre culture, ça n’existe pas », a-t-il lâché mardi, poussé dans ses retranchements par la présidente du tribunal sur son acceptation de la sexualité de sa fille, alors âgée de 19 ans. « C’était un choc pour moi. Ça m’a fait perdre l’esprit », a-t-il lancé. Pointant un discours « défensif », l’expert-psychiatre a estimé que « rien dans ses propos, ne vient étayer l’hypothèse d’un quelconque danger pour sa fille ».
En matière de relation père-fille, « le poids de la tradition semble extrêmement important pour M. Ulug », a-t-il relevé.
Nuzan, qui avait tenté de s’interposer au prix de deux tendons sectionnés, avait d’abord dit « craindre pour sa vie de la part de sa famille », a rappelé lundi le directeur d’enquête. Elle changeait de version après l’extradition en 2019 de son père de Turquie, où il avait fui. Elle avait assuré aux enquêteurs qu’il ne contrôlait pas ses relations et ignorait l’existence de Julien Videlaine.
https://www.sudouest.fr/justice/proces- ... 342657.php
La jeune fille est depuis mise à l'index par sa famille.....Et là?...Pas de question à se poser sur cette attitude?Quelle culture ?
La charria ..
Source:Ouest-France.
Samedi 24 septembre 2022, un suspect, âgé de 59 ans, a été placé en détention provisoire pour meurtre en récidive, après la découverte du corps d’une femme, au domicile de celle-ci, à Rouen, mercredi.
C’est une voisine de la victime qui avait donné l’alerte. Mercredi 21 septembre 2022, le corps d’une femme, âgée de 57 ans, qui « portait des traces de coups et des plaies par arme blanche » avait été découvert à son domicile, rue du Mail, à Rouen (Seine-Maritime).
Jeudi 22 septembre, un suspect, âgé de 59 ans, a été interpellé.
Selon Frédéric Teillet, le procureur de la République de Rouen, interrogé par nos confrères d’ Actu.fr , « à l’issue de sa garde à vue, le parquet de Rouen a décidé de l’ouverture d’une information et de sa présentation ce jour [samedi 24 septembre] à un juge d’instruction ».
Déjà condamné à 16 ans de prison pour meurtre:
Toujours selon le procureur, « le suspect, qui conteste les faits, a été mis en examen pour meurtre en récidive légale, ayant déjà été condamné pour meurtre par la cour d’assises de la Seine-Maritime en 2013, à 16 années de réclusion criminelle. Peine qu’il a intégralement purgée, c’est-à-dire sans aménagement par le juge de l’application des peines, mais avec les réductions de peines prévues par la loi ».
Le suspect a ensuite été placé en détention provisoire par le juge des libertés et de la détention.
Source:Ouest-France.
De nombreux véhicules Citroën, Opel et Peugeot font depuis vendredi 23 septembre 2022 l’objet d’un rappel en France et dans toute l’Europe.
Plusieurs modèles de voitures présentent des risques d’incendie ou d’accident en raison de câbles ou de freins défectueux ou de problèmes au niveau du carburant, indique le site officiel Rappel Conso.
Trois gammes de voitures Peugeot sont concernées. Le premier rappel est dû à un frein arrière défectueux sur les modèles Expert et Traveller, produits entre le 20 et 28 janvier 2022.
Sont également rappelés des Expert, Traveller, 208 et 2008 produits entre le 17 mars et le 30 avril 2022 en raison d’un faisceau de câblage défectueux pouvant causer un incendie. Des Peugeot 208 produites entre août et novembre 2021 sont également rappelées à cause d’un problème de conduite de carburant.
Un rappel à l’échelle européenne:
Du côté de Citroën, les autorités procèdent au rappel de modèles Jumpy et Spacetourer conçus entre le 20 et le 28 janvier 2022 en raison d’un frein arrière potentiellement défectueux augmentant le risque d’accident.
Les propriétaires d’Opel Vivaro C, Zafira Life (KO) sortis au même moment des chaînes de montage sont eux aussi concernés par un frein arrière défectueux, note Actu.fr .
Il est recommandé aux automobilistes concernés de contacter leur concessionnaire. Pour tous ces véhicules, un numéro d’identification ainsi qu’un numéro d’alerte Rapex, le système européen communautaire d’échange rapide d’informations sur les dangers découlant de l’utilisation des produits, est consultable sur le site Rappel Conso.