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Content de voir qu'on est d'accord sur un point : aucune étude dans le monde n'a testé le protocole de l'IHU de Marseille. Donc on ne sait pas s'il est efficace.
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Mais oui mais oui Lotus encore un complot "financier" derrière tout ça .... que vous le vouliez ou non scientifiquement l'affaire est close.lotus95 a écrit : ↑07 août 2020 11:59Pour quelqu'un qui s'en fout, je trouve que vous avez un sacré sens du dévouement ...souslic a écrit : ↑07 août 2020 10:09Aucune fatigue mais comme je le disait à Agora d'une part ce sont les vacances et d'autre part l'affaire de la chloroquine est close scientifiquement parlant, ça ne fonctionne pas c'est tout.
Après je conçois bien que pour les fanatiques telles que vous qui de plus en comprenez rien à rien en sciences vous êtes allée trop loin dans le délire et vous allez continuer votre fuite en avant complotiste ... ça relève maintenant de la psychiatrie et je ne vais pas me rabaisser sans cesse à argumenter avec des gens comme vous.
Et sinon oui oui la Chine peut être utilisée comme groupe de contrôle ... vous avez vraiment tout compris à ce qu'est un groupe de contrôle, bravo
L'affaire chloroquine n'est close que pour vous et la clique qui a oeuvré pour dégommer un traitement qui leur faisait de l'ombre ; ce sont les milliards qui ont parlé, pas la science. Pour les malades qui y sont restés et leur famille, pour les potentiels futurs malades, le sujet est très loin d'être clos.
La méthode Coué ne marche pas Souslic, mais la bithérapie fonctionne très bien
Tiens au fait, j'ai trouvé un truc marrant ... comme quoi tous les Souslik ne se ressemblent pas ... à moins que vous ayez une double vie
https://siksik.org/covid-19-pris-pour-des-cons/
C'est justement ça le gros problème des idiots utiles et complotistes tels que vous.
Et sinon Lotus vous pouvez creuser ?
En effet, les Etats-Unis, qui ont mis en vente le remdésivir dès le printemps 2020, peuvent en témoigner. De nombreux patients traités avec ce médicament ont montré des signes d’hypotension et d’hypertension artérielle, ainsi que de la tachycardie, de la fièvre, de l’hypersudation et des problèmes respiratoires. Une toxicité hépatique et rénale est également évoquée.
La revue scientifique Prescrire met donc en garde contre un usage non précautionneux de cet antiviral. « En l’état actuel des connaissances, et en dehors du cadre de la recherche clinique, un traitement par remdésivir n’est pas justifié chez les patients dont l’état ne justifie pas un apport en oxygène, ni chez les patients les plus gravement atteints, dont l’état justifie une ventilation invasive ». Les recherches sont en cours et pourraient permettre de valider ou non la décision de l’UE.
en + il fait chaud , buvez de l'eau , ça noie le virus et dilue l'inflammationDe nombreux outsiders
Les antiviraux
Outre les substances antivirales citées précédemment, les essais sont en cours avec :
le darunavir (PREZISTA, une antiprotéase contre le VIH) boosté par le cobicistat (inhibiteur du CYP3A des cytochromes P450, booster de GENVOYA, un médicament contre le VIH/sida),
le danoprévir (GANOVO, une antiprotéase contre le VHC) en association avec la ribavirine (ex COPEGUS) et l'interféron bêta,
le favipiravir (AVIGAN, un antigrippal prescrit au Japon et testé sur le virus Ebola en 2015), seul ou en association avec le tocilizumab (ROACTEMRA, un inhibiteur du récepteur à interleukine-6 prescrit dans la polyarthrite rhumatoïde) ou la chloroquine ;
l'oséltamivir (TAMIFLU) en association avec la chloroquine.
Les immunomodulateurs
Outre le tocilizumab, les essais cliniques contre la COVID-19 évaluent également le sarilumab (KEVZARA, un inhibiteur du récepteur à interleukine-6 utilisé dans la polyarthrite rhumatoïde) et le thalidomide, inhibiteur de la production de TNF alpha (deux études). L'interféron alpha1bêta et CD24Fc, une protéine de fusion recombinante immunomodulatrice, font également l'objet d'études cliniques contre la COVID-19.
Les immunosuppresseurs
La pirfénidone (ESBRIET), un immunosuppresseur prescrit dans la fibrose pulmonaire idiopathique, est évaluée en Chine chez des patients présentant des complications pulmonaires. Les corticostéroïdes font également l'objet de deux études cliniques en Chine, ainsi que le fingolimod (GILENYA, indiqué dans le traitement de la sclérose en plaques).
Les anticorps monoclonaux
Outre le tocilizumab (ROACTEMRA) et le sarilumab (KEVZARA), le bévacizumab (AVASTIN, un inhibiteur de l'angiogenèse largement utilisé en cancérologie) est aussi étudié en Chine chez les patients souffrant de complications pulmonaires. L'effet du méplazumab, un inhibiteur des récepteurs CD147 (une possible voie d'entrée du SARS-CoV-2 dans les cellules) est également examiné.
Les autres substances actives
D'autres molécules sont actuellement à l'étude dans la gestion des complications de la COVID-19 :
le losartan (COZAAR),
l'aviptadil (un analogue du peptide intestinal vasoactif – VIP – prescrit dans le syndrome de détresse respiratoire aiguë, en particulier lié à la sarcoïdose),
la carrimycine, un antibiotique macrolide évalué en comparaison avec KALETRA ou ARBIDOL ou la chloroquine,
la vitamine C en intraveineux.
Une étude chinoise explore les effets de l'administration de plasma issu de personnes en convalescence de la COVID-19 (immunothérapie passive).
Les traitements à base de cellules souches ou de cellules de l'immunité
Plusieurs essais, en particulier en Chine, ont pour objectif d'analyser l'efficacité de l'administration de cellules souches (ou de vésicules issues de cellules souches) chez des patients souffrant de complications de la COVID-19 :
cellules souches mésenchymateuses,
exosomes de cellules souches mésenchymateuses (vésicules extracellulaires sécrétées par les cellules souches) en inhalation,
cellules souches mésenchymateuses issues de la pulpe dentaire,
cellules souches issues du cordon ombilical,
cellules souches issues du cordon ombilical transformées par la présentation à différents antigènes ("Stem Cell Educator Therapy").
D'autres études explorent l'efficacité de l'administration de cellules NK (Natural Killer).
Les essais vaccinaux
Actuellement, trois prototypes de vaccins sont à l'essai : un vaccin ARNm (mRNA-1273), un vaccin recombinant et un vaccin « minigènes » où un vecteur lentiviral modifie les cellules de présentation des antigènes (CPA) et leur fait produire des protéines virales, dans le but d'activer des lymphocytes T spécifiques de l'infection par le SARS-CoV-2.
Enfin, dans les hôpitaux de l'AP-HP, une étude observationnelle est en cours pour recenser les effets indésirables des différents traitements utilisés dans la prise en charge de la COVID-19.
Ce qui est fascinant c'est l'achat par la Commission Européenne pour 66 millions d'euros de doses de remdésivir, alors qu'on sait que cette molécule est inefficace; ce qui met en exergue le pouvoir de persuasion du labo Gilead.bister a écrit : ↑07 août 2020 21:20Et l'action Gilead qui continue à se casser la G
https://www.google.com/search?source=hp ... CAo&uact=5
là le Veklury , Gilead est pratiquement en vente libre aux USA
Beaucoup d’effets secondaires constatés
En effet, les Etats-Unis, qui ont mis en vente le remdésivir dès le printemps 2020, peuvent en témoigner. De nombreux patients traités avec ce médicament ont montré des signes d’hypotension et d’hypertension artérielle, ainsi que de la tachycardie, de la fièvre, de l’hypersudation et des problèmes respiratoires. Une toxicité hépatique et rénale est également évoquée.
La revue scientifique Prescrire met donc en garde contre un usage non précautionneux de cet antiviral. « En l’état actuel des connaissances, et en dehors du cadre de la recherche clinique, un traitement par remdésivir n’est pas justifié chez les patients dont l’état ne justifie pas un apport en oxygène, ni chez les patients les plus gravement atteints, dont l’état justifie une ventilation invasive ». Les recherches sont en cours et pourraient permettre de valider ou non la décision de l’UE.
Si la vérité est un racontar de comptoir, où va-ton, je te le demande !
Tandis que Victor reste sur le forum à prétendre que Raoult a fait des "études bidon" alors qu'il a montré que son protocole permettait de réduire fortement et rapidement la charge virale.Victor a écrit : ↑08 août 2020 12:25Le plus incroyable dans cette sinistre affaire raoult, c'est qu'il soit encore le patron de l'IHU de Marseille !
En 2018, après un audit, l'IHU dirigé par ce raoult perd ses habilitations de centre de recherche délivré par le CNRS et par l'INSERM et que se passe-t-il ?
Rien. Raoult reste en place !
2020, raoult raconte n'importe quoi, fait des études bidons ne respectant aucun protocole scientifique, la recherche française est discréditée par ce sinistre individu et que se passe-t-il ?
Rien, le raoult reste le patron de l'IHU !
C'est un véritable scandale.