Le journal des bonnes nouvelles

[Allora]

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PARIS vote contre les spectacles d'animaux sauvages
dans les cirques dès 2020

La délibération a été votée vendredi soir par le Conseil de Paris. La mairie s'engage à accompagner les cirques pour qu'ils se convertissent.
Dans la capitale, les cirques n'auront bientôt plus le droit d'exploiter des animaux sauvages. La Ville de Paris a voté, vendredi 15 novembre, la fin dès 2020 de la délivrance d'"autorisations d'occupation de terrain" pour les cirques qui présenteront ce type de spectacles.
"Nous pouvons collectivement nous féliciter de cette décision qui correspond à une avancée sociétale souhaitée par tous les Français", se réjouit auprès de l'AFP Pénélope Komitès, l'adjointe en charge de la nature en ville.

A Paris, la mesure qui était en discussion depuis deux ans, ne s'appliquera toutefois pas aux cirques Bouglione ou Gruss. Le premier, étant propriétaire de son domaine (le Cirque d'Hiver), ne peut se voir imposer en l'état cette interdiction. Quant au second, il devra signer la convention d'interdiction d'animaux sauvages lorsque son contrat d'occupation de terrain arrivera à terme en 2020, s'il veut poursuivre dans le domaine public son activité.
Une aide à la reconversion pour les cirques

Fin 2018, une quarantaine de pays dans le monde, dont une grande majorité en Europe, avaient proscrit partiellement ou totalement les cirques avec ménagerie.


https://www.parismatch.com/Actu/Societe ... es-1659243

[zylto]

c'est déjà une belle avancée contre la maltraitance animale mais il faudrait que l"on légifère et que cela soit interdit partout au moins en France

[Fonck1]

tiens pour ceux qui ont le positivisme en berne, ça doit grosso modo représenter 99% des français, trop misérables pour voir le confort dan lequels ils

vivent....je fais remonter ce dossier...

Cette hydrolienne made in France a battu des records de production

Sabella peut remercier les grandes marées ! Grâce à des coefficients compris entre 100 et 111, du 28 septembre au 2 octobre, son prototype d’hydrolienne baptisé D10 a battu des records de production. Destinée à alimenter en électricité l’île d’Ouessant (835 habitants), elle a participé, sur cette période, à 25 % du mix électrique local avec même un pic de puissance instantanée correspondant à 50% du mix de l’île. Soulignons toutefois que les données de production n’ont pas été davantage détaillées.

Il s’agit là d’une nouvelle encourageante pour cette hydrolienne de 1 MW qui avait été installée pour la première fois en 2015 dans le passage de Fromveur, à 55 mètres de profondeur. Elle était alors devenue la première hydrolienne à injecter du courant sur le réseau français. Après deux campagnes d’essais d’un an chacune, le prototype avait été sorti de l’eau en 2020 pour deux ans de travaux visant à améliorer ses performances. Finalement, elle a été replacée sur son site en juin 2022 et fournit à nouveau de l’électricité à l’île d’Ouessant.

L’hydrolien enfin sur la bonne voie ?

Si la production d’énergie hydrolienne a longtemps été anecdotique en comparaison au solaire ou à l’éolien, plusieurs signaux laissent à penser que la filière pourrait enfin se développer pour de bon. D’abord, les prototypes d’hydroliennes se multiplient à travers le monde. On peut citer le projet TIGER de Sabella, le projet de la baie de Fundy par Sustainable Marine ou encore le prototype 02 de Orbital Marine Power.

Mais ce n’est pas tout. Au large du Cotentin, le projet de ferme commericale Flowatt se concrétise de plus en plus. Une aide du ministère de la Transition énergétique vient notamment de lui être attribuée à hauteur de 65 millions d’euros. Cette ferme hydrolienne devrait compter 7 machines de 2,5 MW pour une production annuelle estimée à 41 GWh. À terme, elle pourrait compter près de 200 unités de production.

mais sinon, on ne produit plus rien en France, reste à espérer que l'on garde notre génie plutôt qu'il parte à l'étranger....surement plombé par les milliards que l'on file aux entreprises....

[Fonck1]

Classement du Financial Times 2023 : un cru exceptionnel pour les business schools françaises

Les business schools françaises enregistrent une nouvelle percée dans le très réputé classement des meilleurs masters en management du Financial Times, publié ce lundi 11 septembre. Après 10 ans de poursuite, HEC retrouve même sa place de numéro un mondial. En cause: une filière d'excellence et de nouveaux critères sur lesquels les écoles françaises font la différence.



Cinq écoles dans le Top-12, 21 dans le Top-100, soit deux fois plus que les Anglais. Cette année encore, les business schools françaises brillent dans le classement du Financial Times des meilleurs masters en management, révélé ce lundi 11 septembre. Symbole de ce cru exceptionnel, HEC retrouve sa place de numéro un mondial, après dix ans de poursuite, et plus des deux tiers des établissements français classés progressent, comme le Nantais Audencia, qui passe du 47e au 27e rang.



Cinq écoles dans le Top-12, 21 dans le Top-100, soit deux fois plus que les Anglais. Cette année encore, les business schools françaises brillent dans le classement du Financial Times des meilleurs masters en management, révélé ce lundi 11 septembre. Symbole de ce cru exceptionnel, HEC retrouve sa place de numéro un mondial, après dix ans de poursuite, et plus des deux tiers des établissements français classés progressent, comme le Nantais Audencia, qui passe du 47e au 27e rang.

"Cette position de leader mondial consacre l’excellence de nos étudiants, de notre corps professoral et de la formation prodiguée à la croisée des sciences du management, des sciences des données et des sciences sociales", se félicite Yann Algan, en charge de ce programme à HEC.

L’école francilienne profite aussi de l’effondrement du salaire moyen des diplômés de l’université suisse de St.Gallen, après trois ans de vie professionnelle, un critère classant pour le quotidien anglais. "C’est le revers de la médaille de leur petite promotion de 52 étudiants, contre plus d’un millier à l’Essec, l’emlyon, et l’Edhec, analyse un expert des classements. Quand des diplômés ne font pas le choix d’intégrer des grands groupes, les conséquences sont brutales."

[mic43121]

Ce qui est con c'est qu'on a des cerveaux... et tout vient de chine