tu devrais être tranquille pour ta retraite, dont on ne sait pas si elle sera mérité.
quand à tes élucubrations sur la CAF ma foi....consulte.
ces élucubrations sont elles fausse pour celle qui reviennent de l'EI avec des mioches de x pères différent
50 chiards de 200 pères différents c'est exagéré simplement par le fait que l'EI n'a pas pu durer plus longtemps
Mais possible lorsque l'on voit le nombre qu'elles ont eu dans le court espace qu'à durer l'EI
Et aujourd'hui avec leur retour à leur sortie de prison c'est la société qui les a à charge avec leurs enfants
Mais faire les vaches à lait en sus d'être de veaux encore trop de français acceptent cela mais le nombre s'amoindrit avec le temps
en fait,fustiger les musulmans, c'est une grosse frustration journalière, quel que soit le sujet, les musulmans sont responsables de tout.
vous devriez aller vous faire soigner.
ça se soigne vous savez.
même sur un sujet sur le genre des adolescents, vous ne pouvez vous et quelques sbires aussi infectés que vous, finir sur les musulmans.
c'est une frustration, un peu comme un trouble compulsif dont vous n'avez aucune volonté de vous défaire, comme si ça nourrissait votre haine sectaire.
Victor a écrit : ↑22 mai 2024 15:23
Mais ce n'est pas forcément une bonne chose et de nombreux évènements ou phénomènes sociaux nous le montrent tous les jours.
Prenons par exemple, le nombre de suicides ou bien le nombre de foyers monoparentaux.
Sont-ils en baisse ?
Je pense que les individus étaient bien plus heureux avant que la société n'évolue vers le progressisme. Auparavant les individus avaient des repères, aujourd'hui ils sont perdus, la preuve ils ne savent même plus s'ils sont un homme ou une femme.
Ces "déviances" en reprenant votre terme ont toujours existé depuis l'an pèbre. Seulement, l'Eglise considérait ces hommes et ces femmes comme étant des hérétiques et n'hésitaient pas à les brûler sur le bucher. Ensuite, quelques siècles après, on se contentait de les enfermer dans des asiles psychiatriques. Les nazis les envoyaient aussi direct dans les camps de concentration.
Ces "déviances" ne sont pas une nouveauté, elles ont toujours été présentes à travers les siècles. La seule différence est qu'aujourd'hui on ne les considère plus comme étant le diable en personne ou des malades mentaux mais comme des personnes biens portantes avec un choix de vie différent de la nôtre.
Parlons des foyers monoparentaux. Dans les temps anciens la femme était obligé de rester avec son mari, même si ce dernier la maltraitait. Cela ne la rendait pas plus heureuse, bien au contraire. Je pense qu'il faut arrêter d'idéaliser les temps anciens qui avaient aussi leur lot de malheureux.
D'un point de vue sociologique, quand est un individu sort de trop de la norme sociale, on dit qu'il est déviant.
C'est un terme scientifique, ce n'est pas péjoratif.
En politique, ce qu'il y a de plus difficile à apprécier et à comprendre c'est ce qui se passe sous nos yeux.
Alexis de Tocqueville
Ces "déviances" en reprenant votre terme ont toujours existé depuis l'an pèbre. Seulement, l'Eglise considérait ces hommes et ces femmes comme étant des hérétiques et n'hésitaient pas à les brûler sur le bucher. Ensuite, quelques siècles après, on se contentait de les enfermer dans des asiles psychiatriques. Les nazis les envoyaient aussi direct dans les camps de concentration.
Ces "déviances" ne sont pas une nouveauté, elles ont toujours été présentes à travers les siècles. La seule différence est qu'aujourd'hui on ne les considère plus comme étant le diable en personne ou des malades mentaux mais comme des personnes biens portantes avec un choix de vie différent de la nôtre.
Parlons des foyers monoparentaux. Dans les temps anciens la femme était obligé de rester avec son mari, même si ce dernier la maltraitait. Cela ne la rendait pas plus heureuse, bien au contraire. Je pense qu'il faut arrêter d'idéaliser les temps anciens qui avaient aussi leur lot de malheureux.
D'un point de vue sociologique, quand est un individu sort de trop de la norme sociale, on dit qu'il est déviant.
C'est un terme scientifique, ce n'est pas péjoratif.
pour eux, c'est vous qui êtes déviant, donc ça dépends juste de quel côté on se place.
Victor a écrit : ↑22 mai 2024 18:22
D'un point de vue sociologique, quand est un individu sort de trop de la norme sociale, on dit qu'il est déviant.
C'est un terme scientifique, ce n'est pas péjoratif.
pour eux, c'est vous qui êtes déviant, donc ça dépends juste de quel côté on se place.
Fonck, essayerez-vous de nous expliquer que la nouvelle normalité sociale, c'est devenu la drag queen ou le trans ?
Je sais que les gaucho-écolo-wokes les adorent mais bon de là à l'imposer à l'ensemble des français .. Je pense qu'il y aura de la résistance !
En politique, ce qu'il y a de plus difficile à apprécier et à comprendre c'est ce qui se passe sous nos yeux.
Alexis de Tocqueville
Revenons au sujet de la dysphorie de genre chez les adolescents ... Le problème de adultes est bien différent.
Les mineurs sont fragiles et doivent être protégés.
La transition de genre chez les mineurs est d'ailleurs actuellement discutée au sénat:
Victor a écrit : ↑22 mai 2024 18:22
D'un point de vue sociologique, quand est un individu sort de trop de la norme sociale, on dit qu'il est déviant.
C'est un terme scientifique, ce n'est pas péjoratif.
pour eux, c'est vous qui êtes déviant, donc ça dépends juste de quel côté on se place.
Si moins de 1% des gens qui manifestement ont de gros problèmes avec leur cerveau et leur corps disent que nous (hétéros, gays, lesbiennes et bi) sommes déviants, c'est bien rassurant ! Car les quatre catégories de sexualités que je viens de citer ne sont pas dysphoriques et elles représentent l'immense, l'immense majorité des gens ...
Le seul moyen de se délivrer d'une tentation, c'est d'y céder.
Je peux résister à tout, sauf à la tentation. Oscar Wilde
Fonck1 a écrit : ↑22 mai 2024 18:23
pour eux, c'est vous qui êtes déviant, donc ça dépends juste de quel côté on se place.
Fonck, essayerez-vous de nous expliquer que la nouvelle normalité sociale, c'est devenu la drag queen ou le trans ?
Je sais que les gaucho-écolo-wokes les adorent mais bon de là à l'imposer à l'ensemble des français .. Je pense qu'il y aura de la résistance !
Surtout vers une certaine partie de la population.
Fonck1 a écrit : ↑22 mai 2024 18:23
pour eux, c'est vous qui êtes déviant, donc ça dépends juste de quel côté on se place.
Fonck, essayerez-vous de nous expliquer que la nouvelle normalité sociale, c'est devenu la drag queen ou le trans ?
Je sais que les gaucho-écolo-wokes les adorent mais bon de là à l'imposer à l'ensemble des français .. Je pense qu'il y aura de la résistance !
Mais en fait, on en a rien à foutre des problèmes de cul de la majorité des français.
Chacun fait ce qu’il veut avec le sien.
Et personne n’a rien à redire la dessus, vous compris.
Victor a écrit : ↑22 mai 2024 18:30
Fonck, essayerez-vous de nous expliquer que la nouvelle normalité sociale, c'est devenu la drag queen ou le trans ?
Je sais que les gaucho-écolo-wokes les adorent mais bon de là à l'imposer à l'ensemble des français .. Je pense qu'il y aura de la résistance !
Surtout vers une certaine partie de la population.
Tu veux sûrement parler de tes potes skinheads :
A quoi pensent les «casseurs de pédés»?
Le profil homophobe demeure assez obscur, entre refoulement tu et crapulerie affichée.
par Didier Arnaud
publié le 30 novembre 2004 à 3h14
D'abord une photo. Insoutenable. Celle d'un visage tuméfié, difficile à regarder de face. David, 26 ans, a été agressé à Marseille en août, par sept adolescents dont six mineurs qui lui ont dit : «On va te casser la gueule, sale pédé.» Ils ont frappé sans retenue. Pourquoi ? Devant les policiers, les mots sont rares. «On voulait leur faire peur», a dit l'un. Un autre : «J'ai déjà vu des homos faire l'amour devant chez moi. On a décidé d'en attraper un.» Celui-ci en a assez d'en voir «en bas» de l'immeuble où il habite. Alors, «on a décidé d'y aller pour plus qu'ils reviennent». La version «Barrez-vous !» est déclinée sur tous les tons. Celui-ci : «C'était pour leur dire de partir car il y a des capotes qui traînent partout.» Celui-là : «J'avais déjà jeté des pierres sur les voitures des homos qui passent.» P., 20 ans, le seul majeur du groupe, explique : «Je ne sais pas lequel a décidé de faire la chasse aux pédés. Ça se pratique dans le quartier mais jamais de façon aussi grave.» Un seul a exprimé des regrets : «Je suis désolé d'avoir fait cela à un mec et de lui avoir fait aussi mal.» Ils n'ont pas encore été jugés. En 2004, plusieurs agressions violentes ont remis l'homophobie sur le devant de la scène. En janvier, Sébastien Nouchet, brûlé vif, est devenu un symbole, en particulier après le courrier adressé par Jacques Chirac au compagnon de la victime dans lequel le chef de l'Etat exprimait son «indignation». On a beaucoup dit et écrit sur les victimes. En revanche le profil des auteurs est mal connu.
Lieu de drague. François a été battu à mort par des skinheads à Reims en 2002, puis jeté à l'eau. En octobre, le procès à huis clos (un des agresseurs était mineur au moment des faits), n'a pas permis de les entendre. Ils ont été condamnés à des peines de quinze à vingt ans de réclusion criminelle. Les avocats expliquent aujourd'hui : «Ils n'avaient pas plus de haine contre des homosexuels que contre des personnes différentes d'eux.» Pas plus ? Un des skinheads explique quand même que «l'homosexualité [est] contre nature, dégoûtant, [et qu'en faisant cela] ils voulaient [lui] apprendre ce que c'était que la vie.»
Fonck1 a écrit : ↑22 mai 2024 18:23
pour eux, c'est vous qui êtes déviant, donc ça dépends juste de quel côté on se place.
Si moins de 1% des gens qui manifestement ont de gros problèmes avec leur cerveau et leur corps disent que nous (hétéros, gays, lesbiennes et bi) sommes déviants, c'est bien rassurant ! Car les quatre catégories de sexualités que je viens de citer ne sont pas dysphoriques et elles représentent l'immense, l'immense majorité des gens ...
Mon point de vue n'est pas biologique mais sociologique.
Prenons l'exemple de la pédophilie.
A notre époque elle est hyper majoritairement rejetée par la société (cela a été différent dans les années 70).
Mon propos n'est pas une analyse biologique des pulsions sexuelles des individus mais de leur acceptation ou leur rejet par la société.
Par ailleurs, sachant que les adolescents sont très sensibles aux modes et aux tendances nouvelles de la société, il est tout à fait envisageable que de nombreux ados se croient trans alors qu'ils ne font qu'inconsciemment suivre une tendance de la société actuelle.
En politique, ce qu'il y a de plus difficile à apprécier et à comprendre c'est ce qui se passe sous nos yeux.
Alexis de Tocqueville
Si moins de 1% des gens qui manifestement ont de gros problèmes avec leur cerveau et leur corps disent que nous (hétéros, gays, lesbiennes et bi) sommes déviants, c'est bien rassurant ! Car les quatre catégories de sexualités que je viens de citer ne sont pas dysphoriques et elles représentent l'immense, l'immense majorité des gens ...
Mon point de vue n'est pas biologique mais sociologique.
Prenons l'exemple de la pédophilie.
A notre époque elle est hyper majoritairement rejetée par la société (cela a été différent dans les années 70).
Mon propos n'est pas une analyse biologique des pulsions sexuelles des individus mais de leur acceptation ou leur rejet par la société.
Par ailleurs, sachant que les adolescents sont très sensibles aux modes et aux tendances nouvelles de la société, il est tout à fait envisageable que de nombreux ados se croient trans alors qu'ils ne font qu'inconsciemment suivre une tendance de la société actuelle.
Exact, il y a très certainement un effet de mode et c'est bien cela qui est inquiétant quand on sait que les adolescents sont des gens fragiles et très influençables par les réseaux sociaux.
Le seul moyen de se délivrer d'une tentation, c'est d'y céder.
Je peux résister à tout, sauf à la tentation. Oscar Wilde
Non, on ne devient ni trans ni homosexuel par effet de mode. C'est un câblage différent du cerveau. Par contre la médiatisation de l'acceptation de ces différences permet aux jeunes de les vivre au grand jour au lieu de se planquer honteusement.
Mesoke a écrit : ↑24 mai 2024 19:53
Non, on ne devient ni trans ni homosexuel par effet de mode. C'est un câblage différent du cerveau. Par contre la médiatisation de l'acceptation de ces différences permet aux jeunes de les vivre au grand jour au lieu de se planquer honteusement.
Attention, cela risque de bientôt changer.
En politique, ce qu'il y a de plus difficile à apprécier et à comprendre c'est ce qui se passe sous nos yeux.
Alexis de Tocqueville
Fonck1 a écrit : ↑22 mai 2024 18:23
pour eux, c'est vous qui êtes déviant, donc ça dépends juste de quel côté on se place.
Fonck, essayerez-vous de nous expliquer que la nouvelle normalité sociale, c'est devenu la drag queen ou le trans ?
Je sais que les gaucho-écolo-wokes les adorent mais bon de là à l'imposer à l'ensemble des français .. Je pense qu'il y aura de la résistance !
Mesoke a écrit : ↑24 mai 2024 19:53
Non, on ne devient ni trans ni homosexuel par effet de mode. C'est un câblage différent du cerveau. Par contre la médiatisation de l'acceptation de ces différences permet aux jeunes de les vivre au grand jour au lieu de se planquer honteusement.
Attention, cela risque de bientôt changer.
Vous allez faire quoi la chasse aux trans? Les enfermer? Les torturer?