Dernier message de la page précédente :
Sur ce forum, + d'un an déjà, j'ai compris bien vite que les arguments ne portaient pas: des préjugés, des opinions, des dégagismes, des bachismes, des soumissions aux chants des sirènes qui jurent des lendemains qui chanteraient; absence de goût à l'effort au moins intellectuel (historique, économique) pas de convictions ni d'idéaux collectifs.Lion blanc a écrit :Que des types comme toi tremble de peur, ça m'encourage à mieux m'abstenir..UBUROI a écrit :
Populiste dans l'âme, Ou bien plutôt irréfléchi, incapable de relier l'Histoire sombre de l'Europe à la vague nationaliste qui gonfle, ou bien petit vieux égoïste, aîgri, sans descendance à protéger?
Moi, j'irai bien évidemment voter, non pas pour donner un blanc seing aux politiques de la Droite à la Gauche en passant par Macron, mais pour faire barrage aux populistes, suppôts des Orban et autres Haider dont je rappelais ce matin dans un autre post ses mentors, les SS. Aujourd'hui en Autriche le FPÖ de Strache (extrême droite), haider étant DCD, gouverne avec l'ÖVP de Kurz
Je ne suis psychotique ni visionnaire apocalyptique! Non, un cerveau sain alimenté par des références historiques, une capacité à me projeter dans le temps en tirant du passé récent les enseignements pour le présent et le futur.
Les rois et reines du "potin" de caniveaux qui permet de croire qu'on dit des choses fondamentales, intelligentes, fondées!
Vous me faites pleurer, car si je vous dis que Salvini qui veut recenser les roms, c'est gravissime et nous replonge en 1928, en Allemagne et en Autriche (tiens tiens Vienne la belle!!!), vous allez me dire: Tu fantasmes ducon!
Et bien méditez si vous savez!
1/ ITALIE
https://www.lemonde.fr/europe/article/2 ... _3214.htmlItalie : les propos de Salvini sur le recensement des Roms provoquent des remous, y compris dans la coalition
« Cela me fait plaisir que Salvini ait démenti toute hypothèse de fichage et de recensement parce que si une chose est inconstitutionnelle, elle ne peut se faire », a déclaré Luigi Di Maio, chef de file du Mouvement Cinq Etoiles.
Le Monde | 18.06.2018 à 23h41 • Mis à jour le 19.06.2018 à 11h40
Abonnez vous à partir de 1 €
Réagir
Ajouter
Partager (1 780) Tweeter
Le ministre de l’intérieur italien Matteo Salvini, lors d’un meeting électoral, près de Milan, le 17 juin.
Les propos tenus, lundi 18 juin, par le ministre de l’intérieur italien, et vice-président du Conseil, Matteo Salvini (la Ligue, extrême droite), sur le recensement des Roms provoquent de vives réactions. Si l’opposition de gauche a dénoncé cette proposition, qui, a-t-elle expliqué, lui rappelle les « nettoyages ethniques » et les lois raciales votées pendant la période fasciste dans les années 1930, des voix discordantes s’expriment aussi du côté de la coalition gouvernementale au pouvoir.
La presse italienne rapporte mardi l’irritation du président du Conseil, Giuseppe Conte, qui aurait téléphoné à M. Salvini pour le lui faire savoir. Le nouveau chef du gouvernement italien, qui était lundi à Berlin, ne s’est toutefois pas publiquement exprimé sur cette affaire.
Ce qui n’est pas le cas de l’autre vice-premier ministre, Luigi Di Maio, chef de file du Mouvement Cinq Etoiles (M5S, antisystème) qui a rappelé que le recensement d’une partie de la population sur une base ethnique était contraire à la loi italienne.
« Cela me fait plaisir que Salvini ait démenti toute hypothèse de fichage et de recensement des immigrés parce que si une chose est inconstitutionnelle, elle ne peut se faire », a déclaré M. Di Maio, lundi soir lors d’une conférence de presse.
Se focalisant sur la communauté des gens du voyage, qui a souvent été la cible du courroux de sa formation politique, M. Salvini a fait savoir que son ministère se penchait « sur la question » du recensement de la communauté rom en vue d’expulser toute personne séjournant illégalement dans le pays. Il a dit vouloir savoir « combien » d’entre eux étaient présents en Italie.
Des dizaines de milliers de Roms vivent dans la péninsule, principalement dans des bidonvilles à la périphérie des grandes villes. « Malheureusement nous allons devoir garder les Roms italiens parce que nous ne pouvons pas les expulser », a-t-il ajouté à la chaîne de télévision Telelombardia.
Le gouvernement n’a pas l’intention de mettre en place des archives séparées pour les Roms ni de collecter leurs empreintes digitales, mais veut protéger les enfants de la communauté que les parents empêchent d’aller à l’école, a tenté de justifier le ministre de l’intérieur dans un communiqué publié ultérieurement.
Il a ajouté vouloir vérifier comment les fonds de l’Union européenne visant à aider les communautés marginalisées étaient utilisés.
M. Salvini a déclenché une tempête en Europe pour avoir refusé l’entrée dans les ports de la péninsule à des bateaux affrétés par plusieurs ONG étrangères, dont le navire Aquarius, qui transportait plus de 600 migrants.
2/ HONGRIE
Que cela ne vous empêche de cauchemarder ce soir