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Mais, mon brave mossieur , s' apitoyer ne sert a rien ! c'est juste un truc de bigots pour se trouver une utiliteAider par des actes , oui .Construire par des actions , aussi .....mais s' apitoyer .......
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Mais, mon brave mossieur , s' apitoyer ne sert a rien ! c'est juste un truc de bigots pour se trouver une utiliteJe ne vois pas le rapport avec le sujet.oups a écrit : Mais, mon brave mossieur , s' apitoyer ne sert a rien ! c'est juste un truc de bigots pour se trouver une utilite
Aider par des actes , oui .Construire par des actions , aussi .....mais s' apitoyer .......
Vous avez sans doute raison pas assez de répression dans les actions des FDO.Selon le dernier bilan de la Direction générale police nationale (DGPN) portée à la connaissance du Figaro, 3267 fonctionnaires ont été blessés en action de police lors du premier semestre 2016. Soit 544 policiers atteints en moyenne par mois depuis janvier dernier. Cela constitue bond d'environ 14% par rapport à l'année précédente, que l'on impute Place Beauvau aux manifestations violentes contre la Loi travail et aux heurts liés à la forte pression migratoire du Calaisie. La DGPN recense en outre 3486 policiers qui se sont blessés de manière fortuite lors de leur service - accidents, entorses, foulures à l'entrainement etc.
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Molestés et caillassés dans les secteurs sensibles, insultés et frappés en patrouille, pris dans des embuscades et renversés lors de contrôles routiers, essuyant des coups de feu, policiers et gendarmes sont devenus la cible d'un véritable défouloir. Les criminologues relèvent aussi une augmentation de la part des policières victimes. En effet, les femmes représentaient 1 553 personnels blessés en 2014 (12 %) contre 1889 l'année dernière (15 %).
Au total, les forces de l'ordre ont déploré près de 1000 blessés par mois dans leurs rangs si l'on considère que 6854 gendarmes ont par ailleurs été victimes d'agressions physiques et verbales l'année dernière. À elles seules, les agressions physiques visant les militaires ont bondi de 27% en un an pour atteindre 3019.
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Les juges d'instruction de Toulouse ont rendu, lundi 8 janvier, une ordonnance de non-lieu en faveur du gendarme impliqué dans la mort de Rémi Fraisse à Sivens (Tarn), selon une information de Mediapart confirmée par franceinfo. L'avocat de la famille, Arié Alimi, a annoncé à franceinfo qu'il allait faire appel de cette décision devant la chambre de l'instruction.
"C'était attendu, il va y avoir enfin un vrai débat sur la réalité de l'infraction pénale devant la chambre de l'instruction, a estimé l'avocat. Les juges ont toujours refusé tous les actes d'enquête que la famille demandait, même la reconstitution." "La justice est aux ordres", a réagi de son côté le père du militant écologiste, Jean-Pierre Fraisse.
La raison d'Etat de deux gouvernements successifs a prévalu alors qu'il n'y avait aucune raison puisqu'il y a mort d'homme.Jean-Pierre Fraisse
"Ni crime ni délit"
La décision des juges d'instruction est conforme aux réquisitions du parquet dans ce dossier. En juin dernier, le parquet de Toulouse avait estimé qu'il n'y avait "ni crime ni délit" et qu'il avait été fait "un usage proportionné de la force" sur le chantier du barrage.
Un rapport de l'Inspection générale de la gendarmerie avait déjà blanchi le gendarme, en décembre 2014, estimant que les avertissements nécessaires avaient été effectués avant le tir de la grenade qui avait tué le militant écologiste de 21 ans en octobre 2014.
Le soir du drame, les forces de l'ordre s'étaient retrouvées face à "cinq opposants agressifs qui [jetaient] constamment toutes sortes de projectiles", selon le compte-rendu de la gendarmerie.
LOFOTEN a écrit : Les conclusions de la commission d’enquête sur le maintion de l’ordre réfutées par son président Noël Mamére !!
Tu n'as pas tort , Mamere n'est pas crédible , mais au moins nettement plus que ceux qui réfutent la responsabilité des flics et de cette pseudo commission, qui a du faire n'en doutons pas un séminaire puis une cirque conférence...Un bien beau ramassis de pourris , mais tous payés....Suite aux manifestations contre la construction du barrage de Sivens, au cours desquelles un militant « zadiste » fut accidentellement tué par une grenade OF/F1 dite à effet de souffle lancée par les gendarmes mobiles, une commission d’enquête sur le « maintien de l’ordre » et les « libertés publiques » avait été mise en place, avec le député écologiste Noël Mamère pour président.
En tout, une soixantaine de personnes (ministre de l’Intérieur, responsables de la gendarmerie et de la police, représentants de collectifs et d’association) ont été entendues par les membres de cette commission au cours de ces six derniers mois. De quoi alimenter un rapport de 140 pages et présenter 23 propositions visant à « développer des réponses plus graduelles pour mieux conjuguer ordre et liberté ».
Que fallait il attendre de Mamére ?? Qu'il donne un accord ? C'est mal connaitre ce bonhomme qui aujourd'hui est en recherche de popularité.