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c 'est quoi la culture bourgeoise ?CrazyMan a écrit :
Et puis ne fais pas celui qui ne comprends pas. Dans une hiérarchie sociale on sait bien que l'endroit où il y a le plus de monde, c'est en bas de cette dite hiérarchie.
Par exemple, lorsque l'on parle de culture populaire on ne parle de la culture bourgeoise.
Cher Victor je n'ai pas mis le peuple à toutes les sauces. Il y a les "élites" et le peuple. J'ai pris le soin d'écrire que les gilets jaunes ne sont pas tout le peuple, mais ils sont le peuple (par comparaison aux élites).Donc donner plus de pouvoir au peuple, c'est simplement en retirer un peu aux "élites" pour en donner un peu plus à la base. La démocratie participative. Refuser que ce soit toujours d'en haut que partent les décisions. Pourquoi appelles tu ça "mettre le peuple à toutes les sauces"?? Quel autre mot faut il employer pour désigner les gens qui ne sont rien ??Victor a écrit :Enfin je trouve cela très dangereux que certains français s'auto-déterminent "le peuple".gare au gorille a écrit :
En gros t'es pour que le peuple s'écrase, car les G.J. même si ce n'est pas tout le peuple c'est surtout le peuple.
Qui peut dire que le peuple, ce sont ceux-ci et pas ceux-là ?
Cette notion de "peuple" à toutes les sauces s'est toujours retrouvée dans tous les discours de tous les fascistes d'hier et d'aujourd'hui. C'est à cause de cette référence permanente au "peuple" que je suis persuadé d'une probable récupération fasciste de ce mouvement GJ.
Il serait mieux, à mon avis, d'expliquer que les GJ regroupent une majorité de français avec un faible pouvoir d'achat et des difficultés à boucler les fins de mois. On peut aussi parler des classes sociales dites "populaires".
bonsoirvincent a écrit :c 'est quoi la culture bourgeoise ?
On peut inclure dans la culture bourgeoise toute les pratiques propres à leur microcosme social.vincent a écrit :c 'est quoi la culture bourgeoise ?
Imagines que sans les révolutionnaires de 1789, nous serions encore sous la royauté obligé de subir un Macron affublé d'une moumoute poudrée.Victor a écrit :
Non, dans la république française , cela ne fonctionne pas comme cela.
Il n'y a pas des français du "peuple" et des français exclus du peuple.
Relis la constitution, il n'y a qu'un seul et unique peuple français constitués de tous les citoyens de la république française.
C'est pour cela que le mouvement GJ en s'auto-déclarant le peuple s'exclut de la république et peut facilement être repris par n'importe quel mouvement fasciste.
Le peuple français, c'est l'ensemble des français, les GJ et les autres. Si tu fais une différence, tu n'es plus un républicain.
......Victor a écrit :Non, dans la république française , cela ne fonctionne pas comme cela.vivarais a écrit :
lorsque 2 français sur 3 approuvent l'action des gilets jaunes on peut dire "le peuple"
le 14 juillet 1789 le peuple a pris la bastille meme si le clregé et la noblesse n'en faisait pas parti
aujourd'hui meme si les macronistes (20% ) n'approuve pas le mouvement ,il s'agit du peuple
inutile de philosopher sur le mot "peuple"
le peuple c'est aussi les oubliés de la république dont il y a un reportage ce soir
je vous invite à le regarder et que peut etre vous aurez à l'avenir un peu d'empathie pour eux
Il n'y a pas des français du "peuple" et des français exclus du peuple.
Relis la constitution, il n'y a qu'un seul et unique peuple français constitués de tous les citoyens de la république française.
C'est pour cela que le mouvement GJ en s'auto-déclarant le peuple s'exclut de la république et peut facilement être repris par n'importe quel mouvement fasciste.
Le peuple français, c'est l'ensemble des français, les GJ et les autres. Si tu fais une différence, tu n'es plus un républicain.
Ce n'est pas ma définition du "peuple". Pour moi il y a d'un coté "les élites" qui sont disons le haut du panier, ceux qui ont le pouvoir de décision ou assez de moyens financiers pour former une classe à part, et de l'autre "le peuple" qui rassemble l'ensemble de la population ou les gens qui ne sont rien et qui forment le "peuple" (toujours par opposition aux élites).AAAgora a écrit :......Victor a écrit :
Non, dans la république française , cela ne fonctionne pas comme cela.
Il n'y a pas des français du "peuple" et des français exclus du peuple.
Relis la constitution, il n'y a qu'un seul et unique peuple français constitués de tous les citoyens de la république française.
C'est pour cela que le mouvement GJ en s'auto-déclarant le peuple s'exclut de la république et peut facilement être repris par n'importe quel mouvement fasciste.
Le peuple français, c'est l'ensemble des français, les GJ et les autres. Si tu fais une différence, tu n'es plus un républicain.
Même Carlos Ghosn et Bernard Arnault font partie du peuple ?
La je crois que je vais allez bruler un cierge . Cet homme semble subitement toucher par la grace .Cela cache quoi au juste .JE n ose dire bravo , car j attend la suite .Mais vous voyez c est bien pour cela qque je vote BLANC et ceci jusqu a l extinctions des feux . 
vivarais a écrit :lorsque 2 français sur 3 approuvent l'action des gilets jaunes on peut dire "le peuple"Victor a écrit :
Enfin je trouve cela très dangereux que certains français s'auto-déterminent "le peuple".
Qui peut dire que le peuple, ce sont ceux-ci et pas ceux-là ?
Cette notion de "peuple" à toutes les sauces s'est toujours retrouvée dans tous les discours de tous les fascistes d'hier et d'aujourd'hui. C'est à cause de cette référence permanente au "peuple" que je suis persuadé d'une probable récupération fasciste de ce mouvement GJ.
Il serait mieux, à mon avis, d'expliquer que les GJ regroupent une majorité de français avec un faible pouvoir d'achat et des difficultés à boucler les fins de mois. On peut aussi parler des classes sociales dites "populaires".
le 14 juillet 1789 le peuple a pris la bastille meme si le clregé et la noblesse n'en faisait pas parti
aujourd'hui meme si les macronistes (20% ) n'approuve pas le mouvement ,il s'agit du peuple
inutile de philosopher sur le mot "peuple"
le peuple c'est aussi les oubliés de la république dont il y a un reportage ce soir
je vous invite à le regarder et que peut etre vous aurez à l'avenir un peu d'empathie pour eux
"Gilets jaunes" : Castaner dénonce le "délire" de Chalençon, qui assure que des "paramilitaires sont prêts à faire tomber le pouvoir"
Ce leader des "gilets jaunes" basé dans le Vauclus avait rencontré Luigi di Maio, vice-président du Conseil des ministres et leader du Mouvement 5 étoiles, début février.
franceinfo
"Je sais que je risque beaucoup. Je peux me prendre une balle dans la tête à n'importe quel moment. Mais j'en n'ai rien à foutre." Filmé en caméra cachée lors d'une émission politique diffusée sur la chaîne italienne La 7, la figure médiatique des "gilets jaunes" Christophe Chalençon a assuré que "des paramilitaires" sympathisants du mouvement se tenaient prêts à "faire tomber le pouvoir". Des propos dénoncés jeudi 14 février par le ministre de l'Intérieur Christophe Castaner comme oscillants entre "comédie à l'italienne" et "nouveau délire personnel".
Basé dans le Vaucluse, Christophe Chalençon était interrogé par la télévision sur sa rencontre avec Luigi di Maio, vice-président du Conseil des ministres et leader du Mouvement 5 étoiles, début février. A l'issue de l'entretien, et alors que la caméra tourne toujours, il affirme sans doute sans savoir qu'il est filmé que la France est "à la limite de la guerre civile" et que des "paramilitaires" étaient prêts à renverser "le pouvoir". Et d'insister : "Macron il a peur, très très peur."
Vidéo intégrée
PiazzapulitaLA7
✔
@PiazzapulitaLA7
+++Christophe Chalençon a #Piazzapulita: “Abbiamo dei paramilitari pronti a intervenire perché anche loro vogliono far cadere il governo”+++
Così Christophe Chalençon, uno dei leader dei #giletgialli incontrato da Di Maio e Di Battista in un fuorionda raccolto da @alebucc
22:12 - 14 févr. 2019
"Ainsi donc un des leaders des 'gilets jaunes' nous annonce un coup d'Etat militaire..." a réagi Christophe Castaner dans la soirée sur Twitter. "C'est une comedie à l'italienne ou juste un nouveau délire personnel ?"
Alors que les relations entre la France et l'Italie étaient déjà orageuses, la rencontre de Luigi Di Maio le 5 février en France avec des "gilets jaunes" avait fait déborder le vase. Le Quai d'Orsay avait qualifié cette réunion de "provocation" qui n'était "pas acceptable". Paris avait par la suite rappelé son ambassadeur pour "consultations".
vivarais a écrit : chacun entend ce qu'il veut bien entendre
il y a simplement que la situation actuelle est une poudrière et qu'une étincelle peut tout faire sauter
les proches de macron dont Gerard Colomb l'ont mis en garde mais il n'en a pas tenu compte
et à tout moment cela risque de se produire
Chalençon met en garde simplement à ce qui se passerait s'il y avait un mort
comme je l'ai déjà dit on sait pourquoi un mouvement démarre mais on ne sait jamais comment il va se terminer
n'oubliez pas que les dictateurs pensaient être tout puissant et vous avez vu ce qui s'est produit avec le printemps arabe qui a eu pour départ la mort d'un vendeur ambulant tunisien
Bachar n'est pas été destitué que grâce à son allié russe
et tout le monde n'a pas pour allié les russes ou les américains (surtout si on ne cesse de les dénigrer et de leur faire des entourloupes)
le mouvement va se poursuivre et espérez qu'il n'y ait pas de mort
les blessés eux appelleront toujours au calme comme ils l'ont fait jusqu'à présent
On vous savait bord-cadre, gros beauf' réac'(j'avais, dans un premier temps, écrit "gros con réac'", mais je me suis dit que ça ne passerait pas la modo), mais là, révisionniste, falsificateur, affabulateur, c'est très honnête de nous le dire... Donc, soit vous nous affichez des liens fiables à l'appui de vos dires, et je vous présenterai mes excuses, soit vous en êtes incapable, et vous vous disqualifiez pour émettre le moindre propos sur le sujet et confirmez une fois pour toute votre statut de baltringue... A vous de voir...!UBUROI a écrit : Les gilets jaunes sont encore défendus par une bonne partie de la population, après des violences inouïes, des insultes, des intimidations graves avec arme à feu, tags contre des élus, destructions de biens privés et publics!
Qu'en sera t il après cette sortie fracassante de ce Chalençon du 84?
Risible pantalonnade ou bien délire de psychopathe qu'il faudrait interner illico presto?
Franchement, je tombe sur le derrière de voir qu'une partie de la France est infectée par le virus de l'insurrection librement véhiculé sur les réseaux sociaux! La France est malade.
The Rat Pack a écrit : [quote="UBUROI"
Les gilets jaunes sont encore défendus par une bonne partie de la population, après des violences inouïes, des insultes, des intimidations graves avec arme à feu, tags contre des élus, destructions de biens privés et publics!
Qu'en sera t il après cette sortie fracassante de ce Chalençon du 84?
Risible pantalonnade ou bien délire de psychopathe qu'il faudrait interner illico presto?
Franchement, je tombe sur le derrière de voir qu'une partie de la France est infectée par le virus de l'insurrection librement véhiculé sur les réseaux sociaux! La France est malade.
On vous savait bord-cadre, gros beauf' réac'(j'avais, dans un premier temps, écrit "gros con réac'", mais je me suis dit que ça ne passerait pas la modo), mais là, révisionniste, falsificateur, affabulateur, c'est très honnête de nous le dire... Donc, soit vous nous affichez des liens fiables à l'appui de vos dires, et je vous présenterai mes excuses, soit vous en êtes incapable, et vous vous disqualifiez pour émettre le moindre propos sur le sujet et confirmez une fois pour toute votre statut de baltringue... A vous de voir...!
bien placés.
Un député LREM menacé par des tirs de fusils de chasse devant chez lui
Par Challenges.fr le 15.12.2018 à 17h31
Le député LREM de l'Eure Bruno Questel a fait état samedi de coups de feu tirés avec des fusils de chasse devant son domicile vendredi soir et d'une "tentative d'intimidation de 40 gilets jaunes".
Bruno Questel
Bruno Questel dans l'hémicycle.
JACQUES DEMARTHON / AFP
Le procédé est pour le moins baroque. Le député LREM de l'Eure Bruno Questel a fait état samedi de coups de feu tirés avec des fusils de chasse devant son domicile vendredi soir et d'une "tentative d'intimidation de 40 gilets jaunes", faisant part à l'AFP de sa "détermination" à ne pas "baisser les bras". "Je n'ai jamais refusé dialogue, concertation et échange. Six coups de feu devant chez (moi) hier et une tentative d'intimidation de 40 GJ ne me feront jamais faillir; la République au coeur", a tweeté le député.
Sébastien Lecornu
✔
@SebLecornu
· 15 déc. 2018
La tentative d’intimidation à son domicile du député de l’#Eure @BQuestel est inacceptable.
Solidarité totale avec tous les élus de la République qui font vivre le débat démocratique dans le calme et dans le respect des lois.
Bruno Questel
✔
@BQuestel
Je n’ai jamais refusé dialogue, concertation et échange. Six coups de feu devant chez hier et une tentative d’intimidation de 40 GJ ne me feront jamais faillir ; la République au cœur.
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15:29 - 15 déc. 2018
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301 personnes parlent à ce sujet
Il a expliqué à l'AFP que des "gilets jaunes" avaient "organisé une opération à 1 km" de chez lui au rond-point menant à son domicile à Bourgtheroulde, installant "20 panneaux" sur la route pour "guider" vers son habitation. Rentré chez lui vers 21H30, cet avocat de profession a fait état de "beaucoup de plaintes du voisinage", les gendarmes étant appelés, y compris par lui-même.
Six coups de feu
Entendant ensuite du bruit, l'élu a ouvert sa porte et entendu six coups de feu, sans distinguer les auteurs partis rapidement en voiture. Il a expliqué que "3 minutes après, 20 voitures en cortège" avaient défilé devant son domicile en klaxonnant, avec des fumigènes et des pétards. Il a ensuite ramassé des cartouches de fusil de chasse. "Si les gendarmes n'avaient pas été là, les choses auraient été plus compliquées", "il y avait des mauvaises intentions", a déclaré M. Questel, assurant toutefois ne s'être pas senti en danger.
"On passe un cran (...) vous vous demandez jusqu'où ça va aller", a poursuivi l'élu, se disant néanmoins "terriblement combatif parce qu'on ne peut pas baisser les bras". Le député comptait porter plainte samedi. Le ministre des Finances Bruno Le Maire et le ministre chargé des Collectivités territoriales Sébastien Lecornu ont apporté leur soutien à M. Questel en dénonçant une tentative d'intimidation "inacceptable". "Le débat, oui. La violence, jamais", a tweeté M. Le Maire.
Depuis le début du mouvement des "gilets jaunes", des permanences de députés de la majorité ont été vandalisées et quelques domiciles approchés par des manifestants, une élue affirmant ne pouvoir sortir sans un gendarme à ses côtés. La voiture de l'élue LREM de Dordogne Jacqueline Dubois a aussi été incendiée, tandis que son collègue Benoît Potterie (Pas-de-Calais) a reçu une balle dans une enveloppe, avec ce message: "La prochaine fois, tu la prends entre les deux yeux".
(Avec AFP)