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faut un peu trier l'info :le chimple a écrit : ↑27 mars 2024 13:36Les islamistes ont gagné !
""Après une altercation avec une élève pour qu’elle enlève son voile, le proviseur du lycée Maurice-Ravel avait reçu des menaces de mort. Ce mardi, il a indiqué avoir quitté ses fonctions pour partir en retraite anticipée""
Retraite anticipée pour le rectorat .. pas de vagues ..
Démission pour le proviseur ..
https://www.sudouest.fr/politique/educa ... 110429.php
Ce proviseur sera reçu par Attal , j'aurais aimé qu'il ait été soutenu par sa ministre ..
Encore faut il qu'elle en ait le souhait , j'en doute !!!
On est bien parti en France , se déculotter une fois de plus devant les islamistes !!!!
non, les islamistes n'ont rien gagnés.
Selon un message adressé mardi aux parents, élèves, enseignants et membres du conseil d’administration, le proviseur « a quitté ses fonctions pour des raisons de sécurité », ce que le rectorat n’a pas confirmé, invoquant lui « des convenances personnelles » et un « départ anticipé » à la retraite.
déjà, faudrait vérifier, nous n'avons pas le corps du message.
ensuite, les règles n'ont pas changées.
ce n'est pas une démission, c'est un départ à la retraite anticipé.
et oui, il a été soutenu par sa ministre.
La ministre de l'Education nationale, Nicole Belloubet, s'était rendue début mars au lycée Ravel pour soutenir le proviseur, et avait déploré des «attaques inacceptables». Un jeune homme de 26 ans, originaire des Hauts-de-Seine, a été interpellé dans cette affaire.
par ailleurs :
Le président de SOS Racisme Dominique Sopo y voit « une honte », parce que ce proviseur a simplement « rappelé ce qu’était la loi ». Il dénonce le cyberharcèlement dont a été victime le chef d’établissement.
Le parquet national de lutte contre la haine en ligne a dès lors ouvert une enquête du chef de menaces de mort. Un jeune homme de 26 ans, originaire des Hauts-de-Seine, a été arrêté et doit être jugé le 23 avril à Paris pour avoir menacé de mort le proviseur sur internet. Un autre homme, interpellé mi-mars à Trouville (Calvados) et placé en garde à vue, a été remis en liberté.
et pour finir :
Depuis l’assassinat de Samuel Paty en 2020, les chefs d’établissement semblent unanimes : les choses évoluent. «L’Etat a pris conscience d’un certain nombre de risques, il n’y a pas d’immobilisme», se réjouit Didier Georges, proviseur et responsable de l’observatoire de la laïcité du syndicat majoritaire SNPDEN-Unsa. Ces dernières années, l’accent a été mis sur la formation du personnel avec le déploiement, dans chaque académie, d’équipes de formateurs dédiés et de référents laïcité. Dans un récent article de Libération, Didier Georges indiquait que la présence de signes religieux dans l’enceinte scolaire était plus souvent due à «des oublis plus qu’à une démarche de provocation ou de contestation».
En vingt ans, il est pourtant clair que «la compréhension de la loi a changé», ajoutait Agnès Andersen, proviseure et secrétaire générale du syndicat ID-FO. Une question de génération, selon elle : depuis le 15 mars 2004, date de promulgation de la loi sur l’interdiction du port de signes religieux dans l’école publique, «le modèle anglo-saxon, qui veut que chacun vienne comme il est, a gagné du terrain en France. Aujourd’hui, beaucoup d’élèves ne comprennent pas en quoi le port d’un signe peut poser problème».