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sanka a écrit :
et le beau cul des meufs, ca rend fou aussi !!!
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Le fondateur de WikiLeaks s'est présenté ce matin à la police britannique. L'homme était sous le coup d'un mandat d'arrêt international dans une affaire de viol et d'agression sexuelle.
Le fondateur de WikiLeaks Julian Assange s'est présenté mardi 7 décembre dans la matinée à la police britannique, qui l'a arrêté, a annoncé Scotland Yard. Julian Assange, 39 ans, "a été arrêté en vertu d'un mandat européen à 9h30 GMT", alors qu'il se présentait devant la police, a précisé Scotland Yard. "Il doit comparaître aujourd'hui devant la cour de justice de Westminster", a ajouté le communiqué de la police britannique. Julian Assange devra répondre de plusieurs chefs d'inculpation dont agression sexuelle et viol, pour des faits qui auraient été commis en août en Suède, selon le communiqué. L'étau se resserrait depuis plusieurs jours sur Julian Assange.
Un compte en banque fermé
L'un de ses comptes en banque a été fermé par la Suisse lundi. Par ailleurs, les Etats-Unis menacent Julian Assange de poursuites en représailles à la diffusion progressive depuis plusieurs jours par WikiLeaks de 250.000 télégrammes diplomatiques américains embarrassants, sans pour autant avoir trouvé à ce jour un chef d'inculpation recevable. Dans le même temps la société française hébergeant une partie de WikiLeaks, OVH, a annoncé lundi que la justice ne lui avait pas imposé de fermer le site controversé, en rejetant plusieurs requêtes demandant aux juges de statuer sur la légalité du site.
"l'affaire du préservatif"
Selon le scénario établi par la police suédoise, il ne peut pas être accusé de viol, affirme son avocat.
Sous le coup d’un mandat d’arrêt international délivré par la Suède, Julian Assange a été arrêté mardi par la police britannique, et a passé sa première nuit en prison. Le fondateur de WikiLeaks est accusé de viol et d’agression sexuelle par deux femmes. Mais pour son avocat Mark Stephens, qui s’appuie sur les documents de procédure, son client devrait être accusé de "sexe par surprise", un délit reconnu par la justice suédoise, et non de viol. Retour sur les faits.
La femme "A", la femme "B"
Nicolas Sarkozy s'emmèlerait-il les pinceaux entre les différents Wiki-truc ?
Lors du conseil des ministres du 30 novembre, le Président aurait commis un lapsus assez croustillant, à en croire Le Canard Enchaîné.
"Au lieu de condamner Wikileaks, le chef de l'Etat a parlé de 'l'irresponsabilité' de Wikipédia", raconte l'hebdo satirique.
Rappelons que Wikileaks est une organisation qui révèle depuis quelques jours des notes diplomatiques confidentielles, mettant certains Etats dans l'embarras. De son côté, Wikipédia est une encyclopédie participative en ligne.
La nouvelle, publiée mardi sur Twitter par un journaliste du Nouvel Obs, François Fusionneau, a largement été relayée, pour le plus grand plaisir des internautes qui ne se sont pas gênés pour se moquer de notre Président.
tisiphoné a écrit : en marge de cette affaire, une petite note humoristique qui nous vient de l'Élysée
Ce qui est hilarant et grave c'est que des hommes pour lesquels tu votes se transforment en voyous et je suis gentil, dès qu'ils sont au pouvoir. Çà c'est très grave, c'est de l'abus de confiance.Jarod1 a écrit :
C'est vrai que c'est à la fois hilarant et très grave.... :roll:
Je ne vois pas le rapport avec l'erreur de Sarkozy entre Wikimachin et Wikitruc...GEORGES a écrit : Ce qui est hilarant et grave c'est que des hommes pour lesquels tu votes se transforment en voyous et je suis gentil, dès qu'ils sont au pouvoir. Çà c'est très grave, c'est de l'abus de confiance.
Le fait que sa langue est fourché je m'en fous, c'est l'idée qu'il y a derrière.Jarod1 a écrit : Je ne vois pas le rapport avec l'erreur de Sarkozy entre Wikimachin et Wikitruc...
Ceci étant dit, la meilleure façon de ne pas se transformer en voyou quand on arrive au pouvoir (étant précisé que je ne vois pas à quoi tu fais allusion) c'est de ne jamais arriver au pouvoir.
Les "allégations critiques" sur les activités du groupe Bouygues au Turkménistan publiées sur Wikileaks, sont "diffamatoires", selon un communiqué publié lundi par le géant de la construction. "Comme de nombreuses entreprises internationales, Bouygues travaille au Turkménistan dans des conditions normales, sans pratiques illicites", ajoute le communiqué.
D'après des télégrammes américains divulgués par Wikileaks et rendus publics par le site le Monde, l'ambassade américaine à Achgabat observe d'un oeil critique le statut privilégié du groupe français de BTP Bouygues au Turkménistan. Un cadre de Bouygues, cité dans un câble du 4 janvier 2010, évoque pour sa part la " demande insatiable" de chantiers dans ce pays qui réclamerait un million de m2 de marbre par an.
Les Etats-Unis se seraient donc toujours méfiés de l'attitude des autorités françaises au Turkménistan. Dans un câble du 17 avril 2006, publié par Le Monde, un diplomate français confie que le comportement de Bouygues à Achgabat illustre bien "la façon dont l'ambassade française se distancie de Bouygues, quand ça lui convient. D'un autre côté, l'ambassade de France ne s'engage pas sur les questions de liberté religieuse ou des droits de l'homme, pour ne pas compromettre [les contrats de] Bouygues".
Selon le chercheur Jean-Baptiste Jeangène Vilmer, qui a été en poste à l'ambassade de France à Achkhabad, "entre 1994 et 2010, Bouygues a réalisé une cinquantaine d'ouvrages pour un montant de plus de 2 milliards d'euros". Tous les grands chantiers au Turkménistan seraient partagés entre Bouygues et son concurrent turc Polimeks, sans appels d'offres.
Dans cette dictature hermétique, où le président Saparmourat Niazov avait développé un culte de la personnalité, l'architecture grandiose est un outil de propagande. Après la mort de Niazov en 2006, l'arrivée au pouvoir de Gourbanguly Berdymoukhamedov n'a guère changé la donne. D'après un diplomate étranger cité par l'ambassade américaine, les entrepreneurs étrangers sont souvent prêts à payer pour rencontrer le président du pays. Un prix qui n'aurait cessé d'augmenter depuis le décès de Niazov, affirme la source de l'ambassade. des Etats-Unis
si tu pouvais faire un effort de temps en temps pour faire des posts qui ont quelque chose a dire,ce serait bien,ton populisme,il sert pas a grand chose en matières politiques.GEORGES a écrit : Le fait que sa langue est fourché je m'en fous, c'est l'idée qu'il y a derrière.
T'as vraiment la vue qui baisse alors si tu vois pas à quoi je fais allusion.
Gouverner c'est prévoir et ce pour le bien d'un maximun de citoyens, depuis ces 40 dernières années la dérive du gouverner pour soi a pris le pas sur gouverner pour la communauté.
Miss A et Miss W n’ont pas apprécié les manières d’Assange Mardi, devant la cour anglaise, la représentante des autorités suédoises a détaillé les quatre chefs d’accusation qui ont semblé assez sérieux outre-Manche pour refuser la libération sous caution de Julian Assange :
- la contrainte sexuelle (« tvang » en suédois) : Assange est accusé par une première femme, « Miss A », d’avoir usé du poids de son corps pour la maintenir couchée d’une certaine manière sexuelle, le 14 août ;
- l’agression sexuelle : Assange aurait fait l’amour avec Miss A sans préservatif alors qu’elle avait exprimé le souhait d’en utiliser un. Selon Me Pernilla Dahlrot, avocate suédoise du barreau de Paris, cet acte peut être qualifié de viol en Suède ;
- l’agression, encore, pour le « viol de son intégrité sexuelle » le 18 août, soit quatre jours plus tard ;
- relations sexuelles avec Miss W, le 17 août dans sa maison de Stockholm, sans préservatif alors qu’elle était endormie. D’après l’acte d’accusation, la qualification retenue serait le viol.
Bref rappel des faits : en août, Julian Assange est à Stockholm pour participer à un séminaire organisé par le Parti social-démocrate suédois (gauche). En quatre jours, il couche avec au moins deux femmes qui vont faire connaissance par la suite et décider de porter plainte ensemble quand, disent-elles, elles s’aperçoivent qu’il n’a utilisé de capote ni avec l’une, ni avec l’autre.
Le Daily Mail a publié les procès-verbaux d’audition des deux femmes, qui ne contestent pas qu’elles étaient désireuses de coucher avec le cofondateur de WikiLeaks. Seulement, elles n’ont pas apprécié la façon dont ça s’est passé.