Brexit : le dossier, les débats, l'après Brexit

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vivarais
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Re: Brexit : le dossier, les débats, l'après Brexit

Message par vivarais » 17 février 2024 07:38

Dernier message de la page précédente :

Fonck1 a écrit :
17 février 2024 04:27
Le Royaume-Uni entre en récession
Le PIB s’est contracté de 0,3 % au quatrième trimestre 2023, après un recul de 0,1 % les trois mois précédents. En plus du choc de l’inflation s’ajoutent les effets du Brexit.

Le Royaume-Uni est officiellement entré en récession au second semestre 2023. Selon les données publiées par le Bureau national des statistiques britannique, jeudi 15 février, le produit intérieur brut (PIB) a reculé de 0,3 % au quatrième trimestre 2023, après une chute de 0,1 % lors des trois mois précédents. Deux trimestres de contraction d’affilée sont la définition de la récession.
Et en comparatif avec les PIB des pays de l'UE
Même l'Allemagne régresse "il parait que c'est ce qui fait progresser l'AfD selon certains
Pour info à cause de la COVID en UE a connu une récession de 6 % que nous n'avons pas encore rattrapé
Il semble que vous guettez tout mauvais signe de l'UK pour vous conforter contre leur bréxit par peur que cela se produisent ailleurs en UE
Et à terme en france
Que faites vous du droit des peuples a décidé de leur sort ???
Tant que l'on n'aura pas des migrants anglo-saxons qui viendraient demander l'asile économique en France , il ne faut pas s'inquiéter pour eux

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Re: Brexit : le dossier, les débats, l'après Brexit

Message par Fonck1 » 17 février 2024 08:17

l’Allemagne est à 0,4% sans doute du au gaz, mais la France tient, dites merci à Macron...
la démonstrations des populistes, vous pouvez la voir au royaume uni....
« Ainsi s'éteint la liberté, sous une pluie d'applaudissements. » Star Wars, épisode III
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Re: Brexit : le dossier, les débats, l'après Brexit

Message par vivarais » 17 février 2024 08:55

Fonck1 a écrit :
17 février 2024 08:17
l’Allemagne est à 0,4% sans doute du au gaz, mais la France tient, dites merci à Macron...
la démonstrations des populistes, vous pouvez la voir au royaume uni....
La régression quelle que soient les raisons ne sont pas nationales mais mondiale
Même la chine est en récession
Aujourd'hui tout ce qui arrive est mondialisé
il ne s'agit pas de démonstration populiste
La crise des années 1930 n'a pas touché que les USA pas plus que celle 2010 où l'on ne s'en remet pas encore
Ce n'est pas avec des mots stéréotypés "racisme " ; "populisme " etc que l'on inhibe les réalités
Les réalités se rappelleront toujours à vous

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Re: Brexit : le dossier, les débats, l'après Brexit

Message par Fonck1 » 17 février 2024 09:17

vivarais a écrit :
17 février 2024 08:55
Fonck1 a écrit :
17 février 2024 08:17
l’Allemagne est à 0,4% sans doute du au gaz, mais la France tient, dites merci à Macron...
la démonstrations des populistes, vous pouvez la voir au royaume uni....
La régression quelle que soient les raisons ne sont pas nationales mais mondiale
Même la chine est en récession
Aujourd'hui tout ce qui arrive est mondialisé
il ne s'agit pas de démonstration populiste
La crise des années 1930 n'a pas touché que les USA pas plus que celle 2010 où l'on ne s'en remet pas encore
Ce n'est pas avec des mots stéréotypés "racisme " ; "populisme " etc que l'on inhibe les réalités
Les réalités se rappelleront toujours à vous
le royaume uni avait il y a 10 ans une économie florissante, et du ++
aujourd'hui c'est du - -
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Re: Brexit : le dossier, les débats, l'après Brexit

Message par vivarais » 17 février 2024 17:41

Fonck1 a écrit :
17 février 2024 09:17
vivarais a écrit :
17 février 2024 08:55


La régression quelle que soient les raisons ne sont pas nationales mais mondiale
Même la chine est en récession
Aujourd'hui tout ce qui arrive est mondialisé
il ne s'agit pas de démonstration populiste
La crise des années 1930 n'a pas touché que les USA pas plus que celle 2010 où l'on ne s'en remet pas encore
Ce n'est pas avec des mots stéréotypés "racisme " ; "populisme " etc que l'on inhibe les réalités
Les réalités se rappelleront toujours à vous
le royaume uni avait il y a 10 ans une économie florissante, et du ++
aujourd'hui c'est du - -
L'allemagne et la chine aussi avaient une croissance à 2 chiffres
C'est le monde entier qui est entré en récession
La guerre en UKRAINE qui perturbe le commerce des céréales même russes
L'agression des navires marchands en mer rouge (le canAl de suez est le chemin le plus court même entre la chine et la cote EST des USA°
etc ETC etc

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Re: Brexit : le dossier, les débats, l'après Brexit

Message par Fonck1 » 26 février 2024 09:02

Brexit : ça commence à se voir
Le 25 janvier 2024 à 16:07

Zonebourse.com Par Roxane Nojac
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Manque à gagner en termes de croissance, faillites d'entreprises et d'universités, emploi en berne… 3 ans après le départ effectif du Royaume-Uni de l'UE (4 avec la période de transition), faisons le point sur les conséquences économiques du Brexit.

Commençons par le PIB. Dans une récente déclaration, le maire de Londres, Sadiq Khan, avance que le manque à gagner pour l'économie britannique depuis son départ de l'Union Européenne se chiffre à 140 milliards de livres sterling (au moins 170 milliards de dollars), c'est-à-dire en absence de croissance par rapport aux pays du G7. Une évaluation corroborée par Cambridge Econometrics, qui estime que la taille de l'économie du pays est réduite de 6% à ce qu'elle aurait été en maintenant sa position dans l'union, et qui ajoute que 3 millions d'emplois seraient encore à risque d'ici 2035, alors que 1.8 millions aurait déjà été supprimés. Les investissements privés, selon Cambridge Econometrics, afficheraient également un repli de plus de 30% depuis le Leave (le départ).

L'autre chiffre qui fait froid dans le dos, c'est celui qui émane du cabinet Begbies Traynor, qui avance que plus de 47 000 entreprises britanniques sont au bord de la faillite en ce début d'année 2024. Le nombre de sociétés en situation critique aurait ainsi augmenté de 25% au cours du dernier trimestre de 2023, et ce, indépendamment de la morosité économique mondiale. Il enfonce le clou, en faisant état de près de 540 000 entreprises en état de détresse financière. Les secteurs immobiliers, de la construction, de la santé et de l'éducation seraient les plus touchés, selon ce spécialiste de la restructuration d'entreprise.

Dans le monde académique, la situation est tout aussi préoccupante. Avec le Brexit, un tiers des universités du territoire a enregistré une baisse des demandes d'inscription des étudiants non ressortissants de l'UE, qui représentent 20% de leurs revenus. La contribution de l'enseignement supérieur à l'économie est estimée à 130 milliards de livres par an. La perte par étudiant national devrait donc atteindre 5000 livres d'ici 2030, lit-on dans le Financial Times. Les autres sources de financement - fonds publics, investissements privés et collaborations de recherche avec l'industrie - sont tout aussi fragilisées, et les flux de l'Union Européenne quasiment taris.

Toutes les études, y compris celle moins alarmiste de l'Institut national de recherche économique et sociale (NIESR), mettent en avant la sortie du marché unique pour justifier ce déclin. Le rapport de Begbies Traynor souligne aussi qu'en dehors de l'inflation, de la faiblesse de confiance des consommateurs et des coûts de production croissants et imprévisibles, le risque le plus important auquel les entreprises font face est l'endettement. Dans un contexte de taux élevés, 2024 devrait donc être une année encore plus meurtrière que les précédentes pour l'économie britannique.
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Re: Brexit : le dossier, les débats, l'après Brexit

Message par Once » 26 février 2024 09:22

En fait, une des raisons principales de ce Brexit était d'en finir avec la question de l'immigration. On peut établir un bilan désormais : beaucoup de travailleurs utiles et légaux sont partis (des Polonais par exemple) tandis que l'immigration illégale continue d' affluer de plus belle en Grande-Bretagne.

Donc, sur ce plan-là = fiasco total.

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Re: Brexit : le dossier, les débats, l'après Brexit

Message par Fonck1 » 26 février 2024 09:24

et ils ont cassé toutes les lignes de leur économie.
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Re: Brexit : le dossier, les débats, l'après Brexit

Message par Once » 26 février 2024 09:27

C'est bizarre parce que j'ai toujours trouvé les britanniques bien plus pragmatiques et réalistes que les français. Et là, pour une fois, c'est comme s'ils avaient accordé la priorité à un fantasme et à une idéologie par rapport à la réalité des choses.

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Re: Brexit : le dossier, les débats, l'après Brexit

Message par Fonck1 » 26 février 2024 09:33

ils ont cédés au populisme.
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Re: Brexit : le dossier, les débats, l'après Brexit

Message par vivarais » 26 février 2024 09:39

Fonck1 a écrit :
26 février 2024 09:02
Brexit : ça commence à se voir
Le 25 janvier 2024 à 16:07

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Manque à gagner en termes de croissance, faillites d'entreprises et d'universités, emploi en berne… 3 ans après le départ effectif du Royaume-Uni de l'UE (4 avec la période de transition), faisons le point sur les conséquences économiques du Brexit.

Commençons par le PIB. Dans une récente déclaration, le maire de Londres, Sadiq Khan, avance que le manque à gagner pour l'économie britannique depuis son départ de l'Union Européenne se chiffre à 140 milliards de livres sterling (au moins 170 milliards de dollars), c'est-à-dire en absence de croissance par rapport aux pays du G7. Une évaluation corroborée par Cambridge Econometrics, qui estime que la taille de l'économie du pays est réduite de 6% à ce qu'elle aurait été en maintenant sa position dans l'union, et qui ajoute que 3 millions d'emplois seraient encore à risque d'ici 2035, alors que 1.8 millions aurait déjà été supprimés. Les investissements privés, selon Cambridge Econometrics, afficheraient également un repli de plus de 30% depuis le Leave (le départ).

L'autre chiffre qui fait froid dans le dos, c'est celui qui émane du cabinet Begbies Traynor, qui avance que plus de 47 000 entreprises britanniques sont au bord de la faillite en ce début d'année 2024. Le nombre de sociétés en situation critique aurait ainsi augmenté de 25% au cours du dernier trimestre de 2023, et ce, indépendamment de la morosité économique mondiale. Il enfonce le clou, en faisant état de près de 540 000 entreprises en état de détresse financière. Les secteurs immobiliers, de la construction, de la santé et de l'éducation seraient les plus touchés, selon ce spécialiste de la restructuration d'entreprise.

Dans le monde académique, la situation est tout aussi préoccupante. Avec le Brexit, un tiers des universités du territoire a enregistré une baisse des demandes d'inscription des étudiants non ressortissants de l'UE, qui représentent 20% de leurs revenus. La contribution de l'enseignement supérieur à l'économie est estimée à 130 milliards de livres par an. La perte par étudiant national devrait donc atteindre 5000 livres d'ici 2030, lit-on dans le Financial Times. Les autres sources de financement - fonds publics, investissements privés et collaborations de recherche avec l'industrie - sont tout aussi fragilisées, et les flux de l'Union Européenne quasiment taris.

Toutes les études, y compris celle moins alarmiste de l'Institut national de recherche économique et sociale (NIESR), mettent en avant la sortie du marché unique pour justifier ce déclin. Le rapport de Begbies Traynor souligne aussi qu'en dehors de l'inflation, de la faiblesse de confiance des consommateurs et des coûts de production croissants et imprévisibles, le risque le plus important auquel les entreprises font face est l'endettement. Dans un contexte de taux élevés, 2024 devrait donc être une année encore plus meurtrière que les précédentes pour l'économie britannique.
c'est partout que c'est en berne
Les transactions immobilières en France d'après le secteur sont en recul de 40 %
La cause "l'inflation " "la hausse des taux d'intérêts " " "la difficulté d'avoir un taux d'endettement à 33 %" " le montant de l'apport personnel exigé pour avoir un prêt et les emplois en CDI comme condition
Avez vous vérifié combien de faillite en France pour 2022 et si c'est possible en 2023 en France
ce qui se passe en grande bretagne n'est pas différent que ce qui se passe en France
Si un britannique voudrait justifier le brexit il prendrait par exemple cet article
https://www.lefigaro.fr/conjoncture/les ... s-20240118
Avec 57.729 procédures ouvertes en 2023, le nombre de défaillances d'entreprises en France est en augmentation de 35,8% par rapport à 2022 - après la hausse historique de 49 % en 2022, indique une étude du groupe Altares publiée jeudi. Pour le seul quatrième trimestre, elles sont en hausse de 37,2%, à 16.820, par rapport au même de 2022. « 
Et il dirait : vous voyez grâce au bréxit il yen a 14 milles de moins de chez nous
çà sert a quoi de vouloir prouver que le bréxit ou négatif c'est acté point barre et çà ne reviendra pas en arrière
La seule chose dont i faut être conscient c'est que contrairement à nous les britanniques ont un marché parallèle à l'UE ( le Commonwealth de 54 pays membres )
Voila pourquoi les pays de l'UE ne parlent pas de sortie de l'UE (quels que soit les partis) mais d'une Europe différente de coopération des nations
Une fédération sera impossible car il est impossible de faire l'uniformité sociale , fiscale etc
Alors la solution passe par la coopération et non plus par la concurrence
Alors inutile de prendre le bréxit en le disant négatif pour empêcher un fréxit dont plus personne ne parle
Et qui n'est plus dans aucun programme sauf peut être LFI ( ce sera à vérifier dans leur programme )

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Re: Brexit : le dossier, les débats, l'après Brexit

Message par papibilou » 26 février 2024 10:50

Le PIB par habitant reste néanmoins supérieur au notre au RU:
https://fr.statista.com/statistiques/66 ... monde-pib/

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Re: Brexit : le dossier, les débats, l'après Brexit

Message par gare au gorille » 26 février 2024 11:39

Once a écrit :
26 février 2024 09:27
C'est bizarre parce que j'ai toujours trouvé les britanniques bien plus pragmatiques et réalistes que les français. Et là, pour une fois, c'est comme s'ils avaient accordé la priorité à un fantasme et à une idéologie par rapport à la réalité des choses.

Le fantasme et l'idéologie sont plutôt du coté des européistes beats. On voit bien que cette forme d'U.E. ne fonctionne pas elle qu'elle apporte davantage de problèmes qu'elle n'est censée en résoudre. C'est justement parce que les britanniques sont bien plus pragmatiques et réalistes que les Français qu'ils ont pris la sage décision de retrouver leur pleine et entière souveraineté.
Et je pense que si on compare nos deux économies, le retour des britanniques au souverainisme n'est en rien la catastrophe annoncée.
Personne n'est vraiment contre l'Europe mais celle que l'on nous a imposée n'est pas forcément la meilleure, une Europe des Nations est encore possible et j' espère que les peuples par leurs votes pousseront dans ce sens. En tout cas c'est mon positionnement politique.
* il pleut doucement sur la ville *
* Et le poète soul engueulait l' Univers *
(Rimbaud)

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Message par Patchouli38 » 26 février 2024 11:44

gare au gorille a écrit :
26 février 2024 11:39
Once a écrit :
26 février 2024 09:27
C'est bizarre parce que j'ai toujours trouvé les britanniques bien plus pragmatiques et réalistes que les français. Et là, pour une fois, c'est comme s'ils avaient accordé la priorité à un fantasme et à une idéologie par rapport à la réalité des choses.

Le fantasme et l'idéologie sont plutôt du coté des européistes beats. On voit bien que cette forme d'U.E. ne fonctionne pas elle qu'elle apporte davantage de problèmes qu'elle n'est censée en résoudre. C'est justement parce que les britanniques sont bien plus pragmatiques et réalistes que les Français qu'ils ont pris la sage décision de retrouver leur pleine et entière souveraineté.
Et je pense que si on compare nos deux économies, le retour des britanniques au souverainisme n'est en rien la catastrophe annoncée.
Personne n'est vraiment contre l'Europe mais celle que l'on nous a imposée n'est pas forcément la meilleure, une Europe des Nations est encore possible et j' espère que les peuples par leurs votes pousseront dans ce sens. En tout cas c'est mon positionnement politique.
On attend les détails de votre "Europe des Nations" parce que, en attendant, on nous fait miroiter le contenant sans nous informer du contenu.
"La valeur ne dépend pas de la religion, mais de l'amour qui nous fait considérer l'autre comme un frère ou une sœur"
Sœur Emmanuelle
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Message par Fonck1 » 26 février 2024 11:53

Patchouli38 a écrit :
26 février 2024 11:44
gare au gorille a écrit :
26 février 2024 11:39



Le fantasme et l'idéologie sont plutôt du coté des européistes beats. On voit bien que cette forme d'U.E. ne fonctionne pas elle qu'elle apporte davantage de problèmes qu'elle n'est censée en résoudre. C'est justement parce que les britanniques sont bien plus pragmatiques et réalistes que les Français qu'ils ont pris la sage décision de retrouver leur pleine et entière souveraineté.
Et je pense que si on compare nos deux économies, le retour des britanniques au souverainisme n'est en rien la catastrophe annoncée.
Personne n'est vraiment contre l'Europe mais celle que l'on nous a imposée n'est pas forcément la meilleure, une Europe des Nations est encore possible et j' espère que les peuples par leurs votes pousseront dans ce sens. En tout cas c'est mon positionnement politique.
On attend les détails de votre "Europe des Nations" parce que, en attendant, on nous fait miroiter le contenant sans nous informer du contenu.
inexistant.
en fait, ils veulent nous faire passer une pilule placébo.


nous voulons une europe des nations, un rétablissement des frontières, et de nouvelles conditions d'échanges.
ce que tout cette bande de buses, comme au royaume uni du reste n'a toujours pas compris, c'est que nous n'avons aucune ressources naturelles.

nous ne sommes que des pays de transformation.

en cela nous sommes obligés d'échanger, hors, c'est en opposition totale avec le commerce leur fonctionnement, le commerce, pour qu'il fonctionne, doit être fluide et sans entraves.
eux, ils veulent en créer.

ils disent : nous choisiront uniquement ce qui nous intéresse.
mais les autres, ils vont faire pareils, les nationalistes croient dur comme fer que nous sommes les seuls à avoir quelque chose à exporter.

mais les autres aussi ont des truc à vendre, et c'est là où tout le problème se pose, c'est que nous n'avons pas de matières premières nous sommes donc obligés de céder sur certains points.
plus de matières premières mais plus de main d'oeuvre non plus.

puis vous allez dire quoi à l'ouvrier, qui bosse dans une usine en France, qui vends des moteurs à l'étranger, demain, vous allez lui dire : vous allez perdre votre marché du fait de notre sacro saint nationalisme donc votre emploi?

Stellantis par exemple, exporte 78% de sa production.

vous allez dire quoi aux ouvriers qui demain vont perdre leur emploi, parce qu'on exportera plus parce qu'on a interdit aux pays en face qui vendaient d'autres denrées en échange de nos productions, d'importer en france?

DES BUSES.

ces nationalistes sont des buses en économie.

il y a beaucoup d’autres pistes pour rendre l"économie française plus compétitive.
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Re: Brexit : le dossier, les débats, l'après Brexit

Message par gare au gorille » 26 février 2024 12:08

Oui et alors, une Europe des Nations n'a pas pour objet de refermer les pays sur eux mêmes et n'empêche en rien les exportations. La balance commerciale de la France fonctionnait très bien même avant la création de l'U.E. La Suisse n'est pas dans l'U.E. et exporte ses machines outils dans toute l' Europe sans aucun problème. L'Europe des Nations a simplement pour but le respect des Etats Nations alors que le projet de l'Europe fédéraliste est justement de déposséder les Nations de leur souverainisme. Il faut juste faire un choix, perso je pense que la France est une grande nation et qu'elle doit le rester.
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