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si polymorpheEve a écrit : Ambivalente ...
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Autrement dit ? Tu vas allé chez les nonnes ?tisiphoné a écrit : eh ben, moi ça me donne à réfléchir
tu vois ça, genre méditation dans un monastère reculé?doublon a écrit : Autrement dit ? Tu vas allé chez les nonnes ?
je ne suis pas d'accord quand on dit que le net, et ici donc, concernant ce sujet, que c'est du virtueldoublon a écrit : Ben fais-nous part de ta réflexion !
De la bonne marrade ?Sov Strochnis a écrit : Eh bien justement, puisque le virtuel a l'avantage d'être plus malléable c'est une occasion inespérée pour tenter de nouvelles réflexions pour savoir si nous pourrions les appliquer à la vie réelle et en connaitre les conséquences. Certains ne saisissent pas cette chance et s'enferment dans ce qu'ils sont déjà dans la vraie vie, gardant avec eux leur panoplie de la vie de tous les jours, même rire, même pensée, même schéma, même réaction face à autrui.
Et quand j'expose cela, ce n'est pas dans la simple perspective de réaliser un fantasme ou de rentrer dans la peau d'un faux personnage : c'est au de-là. C'est s'ouvrir à des possibilités, en comprendre tous les aspects, connaître des gens sous des angles méconnus.
Comme je l'ai dit, le virtuel est l'occasion inespérée de se connaître et de modifier certains aspects. Si c'est pour retrouver dans le virtuel ce que l'on connait déjà de soi, à savoir les mauvaises réactions face aux cons ou les sentiment de colère face à certaines choses, voire les mêmes réflexions obtuses, être à la botte des mêmes personnes, faire les mêmes choix...alors...à quoi bon un monde virtuel ?
doublon a écrit : Le point sur l'image qu'on donne est tout à fait juste ! On agit toujours pour vouloir donner une image, qui plaît ou non, afin de s'affirmer comme telle ou telle personnalité.
Une constante humaine : ne jamais paraître tel que nous sommes ou presque. On a peur du jugement d'autrui.
Il y a trois grande peur dans la vie d'une personne : la peur du noir, de la mort, et du regard de l'autre.
Passé ces trois et qu'on n'a plus peur de cela, on est soit dans une boîte en sapin, soit mature à donf !