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Barbapoutre a écrit : Oui?
Oui nous souhaiterions un joli conte
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Barbapoutre a écrit : Oui?
ça sera ma berceuseBarbapoutre a écrit : Il faut que je cherche ... et parait il ... qui cherche trouve!
Barbapoutre a écrit : Alors commençons par le commencement ... voici comment ça a commencé!
l'Eternel Dieu dit: "il n'est pas bon que l'homme soit seul, je lui ferai une aide qui soit son vis-à-vis" L'Eternel Dieu façonna à partir de la terre ... , mais pour lui même il ne trouva pas d'aide qui fut son vis-à vis.
Alors l'Eternel Dieu fit tomber un profond sommeil sur l'homme, qui s'endormit. Il prit une de ses côtes et referma la chair à sa place. L'Eternel Dieu forma une femme à partir de la côte qu'il avait prise à l'homme. et il l'emmena vers l'homme.
L'homme dit:" voici cette fois celle qui est faite des mêmes os et de la même chair que moi. On l'appellera femme parce qu'elle a été tirée de l'homme. ... L'homme et la femme étaient tous les deux nus, et ils n'en avaient pas honte.
Barbapoutre a écrit : C'est sûr, mais ça s'est aggravé bien entendu ... la suite au prochain numéro.
Repu, heureux, Jean s'étendit contre moi sur le divan, tandis que j'écrasais ma bouche contre la sienne où nos langues jouèrent longtemps à se chercher et à se reprendre.
Sans interrompre notre baiser, Jean remontait lentement ma robe jusqu'au-dessus de mes seins. Je me serrai farouchement contre son corps, les mains crispées sur son dos... Au contact de ma peau brûlante, sa force renaquit très vite de ses cendres pour se frotter bientôt à mon ventre nu comme si elle avait voulu s'y incruster...
La bouche de mon amant quitta alors la mienne pour parcourir mon cou et ma gorge, puis s'attarder quelques instants aux pointes durcies de mes seins...
Quand il en fut à mon ventre, j'écrasai sa tête de mes deux mains pour la diriger vers mon sexe brûlant d'impatience...
À mon grand étonnement, il se dégagea de ma pression insistante pour remonter à ma hauteur et s'allonger sur moi de tout son long...
Je le laissai faire, dans une attente pleine d'inquiétude et d'espoir... Serait-ce aujourd'hui ? J'étais tellement tendue et affolée que j'en étais presque sûre...
D'une poussé lente et inexorable, savante, tel un délicieux poignard, son membre durci s'inséra en moi pour rester un instant immobile, comme pour mieux apprécier cette pénétration...
Mais qu'attend-il ? Voilà la maladresse. Non, je ne serai jamais la femelle qui attend le bon plaisir du mâle...
Ma croupe remua la première pour amorcer un lent balancement qui s'accentua rapidement, mais c'était déjà trop tard... Mon excitation tombait de seconde en seconde... Et lorsque la bête rendit son venin, j'étais aussi déçue et inapaisée qu'avec Alain ou Philippe...
....
Quatre-vingt-quinze fois sur cent
La femme s'emmerde en baisant
Qu'elle le taise ou qu'elle le confesse
C'est pas tous les jours qu'on lui déride les fesses
Les pauvres bougres convaincus
Du contraire sont des cocus
A l'heure de l'oeuvre de chair
Elle est souvent triste, peuchère
S'il n'entend le coeur qui bat
Le corps non plus ne bronche pas
...