Décidément comme vos amis vous avez du mal à répondre à une question pourtant extrêmement simple. La redevance audiovisuelle existe t'elle encore oui ou non ?... Ben non...Victor a écrit : ↑08 septembre 2025 18:45Via nos impôts ..
Tout bon français ne souhaite pas que ses impôts servent à financer des journalistes véreux et vendus comme ces deux là pris en flag !
Il faut une sanction exemplaire.
On ne doit plus les revoir dans un média radio ou télé public.
Ils doivent être blacklistés à vie.
Et on y imagine bien que ce genre de collusions existent aussi entre nos magistrats et les partis politiques de gauche.
Avec des juges qui ont fait "ce qu'il faut" pour MLP .. !
"On fait ce qu’il faut pour Dati"
- Corvo
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Re: "On fait ce qu’il faut pour Dati"
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Re: "On fait ce qu’il faut pour Dati"
En fait c’est assez simple, nous ne payons plus la redevance audiovisuelle et depuis les salariés de l’audiovisuelle publique sont bénévoles 

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Re: "On fait ce qu’il faut pour Dati"
Un ptit lien ptete ? Perso j’découvre cette explication qui serait au demeurant bien ennuyeuse pour les protagonistes de ce déjeuner de travail si elle était avérée. Ce faire choper aussi grossièrement, quelle tristesse

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Re: "On fait ce qu’il faut pour Dati"
EXCLU BLAST / Les factures qui prouvent que Rachida Dati dissimule plus de 600 000 euros de bijoux
Selon des documents exclusifs obtenus par Blast, la ministre de la Culture a omis de déclarer à la Haute autorité pour la transparence de la vie publique (HATVP) une trentaine de bijoux d’une valeur totale de plus de 600 000 euros.
En avril dernier, Libération révélait déjà que Rachida Dati n’avait pas déclaré pour 420 000 euros de bijoux. La ministre de la Culture avait aussitôt réagi, au micro de France Inter, le 7 mai dernier : « Je n’ai rien à régulariser ».
Depuis, l’affaire semblait être tombée dans l’oubli. Mais Blast a obtenu de nouveaux documents exclusifs : les factures d’achats de bijoux de Rachida Dati. Des preuves qui démontrent non seulement que la ministre a menti, mais aussi que l’ampleur de l’omission excède largement le montant révélé par Libération.
Une fortune en bijoux
Montres serties de diamants, colliers de perles, bagues en platine, bracelets : au total, ce sont plus d’une trentaine de pièces dont la valeur unitaire dépasse 10 000 euros qui n’ont jamais été signalées à la Haute autorité pour la transparence de la vie publique (HATVP). Ce manquement est illégal : tout élu est tenu de déclarer ses biens d’un montant supérieur à ce seuil.
Les factures consultées par Blast sont éloquentes : plus d’une quarantaine de documents, pour une valeur totale supérieure à un million d’euros.
Parmi ces bijoux : un collier Boucheron pavé de diamants à 17 775 euros, une montre Chopard achetée 32 000 euros, ou encore une bague en platine et diamants de 68 500 euros.
Plus de 40 factures exclusives ont été analysées par Blast.
Documents Blast
Toutes ces factures sont au nom d’Henri Proglio, ancien patron d’EDF, qui fut le compagnon de Rachida Dati entre 2007 et 2024. Contacté, il a confirmé que ces achats avaient bien été réalisés pour la ministre, qui en détient toujours la totalité.
En mars 2024, lors d’un déplacement aux côtés de Bruno Le Maire, Rachida Dati porte par exemple un collier de perles akoya signé Gerard B, acheté 12 750 euros.
Un collier qu’elle a ensuite transformé en ras-du-cou, estimé à plus de 11 000 euros. Le même bijou réapparaît en juin 2025, lors d’une rencontre officielle avec son homologue ukrainien.
On retrouve également le collier Pomellato, acheté plus de 16 000 euros, déjà mentionné par Libération, ainsi qu’une montre Cartier, modèle Ballon Bleu, achetée 18 300 euros, portée aussi bien au Festival de Cannes qu’à l’Assemblée nationale en mai 2024.
Une montre Cartier, achetée 18 300 euros.
Ce ne sont donc pas 420 000 euros de bijoux qui ont été dissimulés par Rachida Dati… mais plus de 600 000 euros !
Des risques politiques et judiciaires
La ministre a donc menti en déclarant au mois de mai 2025 qu’elle n’avait « rien à régulariser ». Mais surtout, en omettant de déclarer ces biens, elle a gravement manqué à ses obligations légales. La HATVP pourrait saisir le Premier ministre, la pousser à démissionner et alerter le Parquet National Financier afin qu’il ouvre une enquête.
Rachida Dati risque également jusqu’à trois ans d’emprisonnement, 45 000 euros d’amende et dix ans d’inéligibilité. Une sanction qui compromettrait sa candidature à la mairie de Paris, tout juste validée par son parti, Les Républicains.
Une perspective d’autant plus gênante que cette affaire s’ajoute à un autre dossier : la ministre, soupçonnée d’avoir touché 900 000 euros entre 2010 et 2012 sans contrepartie réelle de la part de Renault-Nissan, alors dirigé par Carlos Ghosn, a été renvoyée en procès pour corruption et trafic d’influence le 22 juillet dernier
https://www.blast-info.fr/articles/2025 ... 9KuwBzVqiA
Selon des documents exclusifs obtenus par Blast, la ministre de la Culture a omis de déclarer à la Haute autorité pour la transparence de la vie publique (HATVP) une trentaine de bijoux d’une valeur totale de plus de 600 000 euros.
En avril dernier, Libération révélait déjà que Rachida Dati n’avait pas déclaré pour 420 000 euros de bijoux. La ministre de la Culture avait aussitôt réagi, au micro de France Inter, le 7 mai dernier : « Je n’ai rien à régulariser ».
Depuis, l’affaire semblait être tombée dans l’oubli. Mais Blast a obtenu de nouveaux documents exclusifs : les factures d’achats de bijoux de Rachida Dati. Des preuves qui démontrent non seulement que la ministre a menti, mais aussi que l’ampleur de l’omission excède largement le montant révélé par Libération.
Une fortune en bijoux
Montres serties de diamants, colliers de perles, bagues en platine, bracelets : au total, ce sont plus d’une trentaine de pièces dont la valeur unitaire dépasse 10 000 euros qui n’ont jamais été signalées à la Haute autorité pour la transparence de la vie publique (HATVP). Ce manquement est illégal : tout élu est tenu de déclarer ses biens d’un montant supérieur à ce seuil.
Les factures consultées par Blast sont éloquentes : plus d’une quarantaine de documents, pour une valeur totale supérieure à un million d’euros.
Parmi ces bijoux : un collier Boucheron pavé de diamants à 17 775 euros, une montre Chopard achetée 32 000 euros, ou encore une bague en platine et diamants de 68 500 euros.
Plus de 40 factures exclusives ont été analysées par Blast.
Documents Blast
Toutes ces factures sont au nom d’Henri Proglio, ancien patron d’EDF, qui fut le compagnon de Rachida Dati entre 2007 et 2024. Contacté, il a confirmé que ces achats avaient bien été réalisés pour la ministre, qui en détient toujours la totalité.
En mars 2024, lors d’un déplacement aux côtés de Bruno Le Maire, Rachida Dati porte par exemple un collier de perles akoya signé Gerard B, acheté 12 750 euros.
Un collier qu’elle a ensuite transformé en ras-du-cou, estimé à plus de 11 000 euros. Le même bijou réapparaît en juin 2025, lors d’une rencontre officielle avec son homologue ukrainien.
On retrouve également le collier Pomellato, acheté plus de 16 000 euros, déjà mentionné par Libération, ainsi qu’une montre Cartier, modèle Ballon Bleu, achetée 18 300 euros, portée aussi bien au Festival de Cannes qu’à l’Assemblée nationale en mai 2024.
Une montre Cartier, achetée 18 300 euros.
Ce ne sont donc pas 420 000 euros de bijoux qui ont été dissimulés par Rachida Dati… mais plus de 600 000 euros !
Des risques politiques et judiciaires
La ministre a donc menti en déclarant au mois de mai 2025 qu’elle n’avait « rien à régulariser ». Mais surtout, en omettant de déclarer ces biens, elle a gravement manqué à ses obligations légales. La HATVP pourrait saisir le Premier ministre, la pousser à démissionner et alerter le Parquet National Financier afin qu’il ouvre une enquête.
Rachida Dati risque également jusqu’à trois ans d’emprisonnement, 45 000 euros d’amende et dix ans d’inéligibilité. Une sanction qui compromettrait sa candidature à la mairie de Paris, tout juste validée par son parti, Les Républicains.
Une perspective d’autant plus gênante que cette affaire s’ajoute à un autre dossier : la ministre, soupçonnée d’avoir touché 900 000 euros entre 2010 et 2012 sans contrepartie réelle de la part de Renault-Nissan, alors dirigé par Carlos Ghosn, a été renvoyée en procès pour corruption et trafic d’influence le 22 juillet dernier
https://www.blast-info.fr/articles/2025 ... 9KuwBzVqiA
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Re: "On fait ce qu’il faut pour Dati"
La question porte-t-elle sur Dati ou la déontologie des journalistes des médias d'état ?
Car s'il n'est pas interdit de dénoncer certains abus des élus ( c'est même recommandé), l'objectivité doit sans doute être une exigence de ce service public.
Car s'il n'est pas interdit de dénoncer certains abus des élus ( c'est même recommandé), l'objectivité doit sans doute être une exigence de ce service public.
- Victor
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Re: "On fait ce qu’il faut pour Dati"
Le service public est tellement orienté politiquement à gauche que si demain il devenait vraiment pluraliste, ce serait un tel choc pour les journalistes du service public qu'ils appelleraient à lutter contre le "fascisme" ou autres délires du même genre.
En politique, ce qu'il y a de plus difficile à apprécier et à comprendre c'est ce qui se passe sous nos yeux.
Alexis de Tocqueville
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Re: "On fait ce qu’il faut pour Dati"
Savez vous la différence entre l'information réelle et la manipulation de l'information par la rumeur suggérer au subjonctif
https://desourcesure.info/darmanin-se-d ... -vaccines/
https://levraidufaux.info/#:~:text=Le%2 ... 20mensonge.
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Re: "On fait ce qu’il faut pour Dati"
Bon, c'est du blast alors prudence.Corvo a écrit : ↑08 septembre 2025 19:49 EXCLU BLAST / Les factures qui prouvent que Rachida Dati dissimule plus de 600 000 euros de bijoux
https://www.blast-info.fr/articles/2025 ... 9KuwBzVqiA
C'est un peu la version actualisée du collier de la Reine qui vient titiller l'inconscient collectif.

Là où croît le péril croît aussi ce qui sauve.
Hölderlin
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Re: "On fait ce qu’il faut pour Dati"
Pour information, et connaître un peu mieux à quoi des journalistes sont tenus, voici quelques extraits de la Charte d'étique professionnelle des journalistes du SNJ :
Le mot "neutralité" n'est pas mentionné dans cette charte...
Le journalisme consiste à rechercher, vérifier, situer dans son contexte, hiérarchiser, mettre en forme, commenter et publier une information de qualité ; il ne peut se confondre avec la communication. Son exercice demande du temps et des moyens, quel que soit le support. Il ne peut y avoir de respect des règles déontologiques sans mise en œuvre des conditions d’exercice qu’elles nécessitent.
(...)
Le journaliste ne peut être contraint à accomplir un acte ou exprimer une opinion contraire à sa conviction ou sa conscience professionnelle, ni aux principes et règles de cette charte.
(...)
C’est dans ces conditions qu’un journaliste digne de ce nom :
• Prend la responsabilité de toutes ses productions professionnelles, même anonymes ;
• Respecte la dignité des personnes et la présomption d’innocence ;
• Tient l’esprit critique, la véracité, l’exactitude, l’intégrité, l’équité, l’impartialité, pour les piliers de l’action journalistique ; tient l’accusation sans preuve, l’intention de nuire, l’altération des documents, la déformation des faits, le détournement d’images, le mensonge, la manipulation, la censure et l’autocensure, la non vérification des faits, pour les plus graves dérives professionnelles ;
...
Le mot "neutralité" n'est pas mentionné dans cette charte...
- Mesoke
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Re: "On fait ce qu’il faut pour Dati"
Justement, c'est Blast, un journal qui fait un peu dans l'investigation plutôt que dans le commentaire "d'expert" creux. Visiblement dans leur article ils montrent les factures des bijoux, la confirmation du principal intéressé que Proglio les a acheté et que Dati les possède encore, des photos de Dati avec les-dits bijoux, du travail de journaliste, donc.
Ca ne valide pas la conclusion à en tirer, on ne sait pas à quel point ils ont de bonnes infos, mais on peut au moins constater qu'a priori ils ont fait du boulot de journaliste.
Ca ne valide pas la conclusion à en tirer, on ne sait pas à quel point ils ont de bonnes infos, mais on peut au moins constater qu'a priori ils ont fait du boulot de journaliste.
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- Dieu D'Interaldys
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Re: "On fait ce qu’il faut pour Dati"
Pas anormal qu’il n’y figure pas , équité et impartialité ( qui eux y figurent bien) en sont des synonymes, j’vousnlaisse le verifier .Kabé a écrit : ↑08 septembre 2025 23:23 Pour information, et connaître un peu mieux à quoi des journalistes sont tenus, voici quelques extraits de la Charte d'étique professionnelle des journalistes du SNJ :
Le journalisme consiste à rechercher, vérifier, situer dans son contexte, hiérarchiser, mettre en forme, commenter et publier une information de qualité ; il ne peut se confondre avec la communication. Son exercice demande du temps et des moyens, quel que soit le support. Il ne peut y avoir de respect des règles déontologiques sans mise en œuvre des conditions d’exercice qu’elles nécessitent.
(...)
Le journaliste ne peut être contraint à accomplir un acte ou exprimer une opinion contraire à sa conviction ou sa conscience professionnelle, ni aux principes et règles de cette charte.
(...)
C’est dans ces conditions qu’un journaliste digne de ce nom :
• Prend la responsabilité de toutes ses productions professionnelles, même anonymes ;
• Respecte la dignité des personnes et la présomption d’innocence ;
• Tient l’esprit critique, la véracité, l’exactitude, l’intégrité, l’équité, l’impartialité, pour les piliers de l’action journalistique ; tient l’accusation sans preuve, l’intention de nuire, l’altération des documents, la déformation des faits, le détournement d’images, le mensonge, la manipulation, la censure et l’autocensure, la non vérification des faits, pour les plus graves dérives professionnelles ;
...
Le mot "neutralité" n'est pas mentionné dans cette charte...
Cela dit j’répète, me concernant, non évènement que ce déjeuner de travail ainsi que la garde robe de Mde Dati qui elle n’est pas le sujet re ....passons

Ah oui , le SNJ , le groupe des dix ,SUD ,le Syndicat de la magistrature.... effectivement ne pas employer le mot " neutralité" , on peut comprendre

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Re: "On fait ce qu’il faut pour Dati"
jeandu53 a écrit : ↑07 septembre 2025 23:51La gauche a aussi ses milliardaires : jadis Pierre Bergé, aujourd'hui Xavier Niel, Mathieu Pigasse, Daniel Kretinski...Kelenner a écrit : ↑07 septembre 2025 20:42 Il est normal de s'interroger sur les liens entre les journalistes et les politiques, car le conflit d'intérêt est un risque toujours présent. En l'occurrence, le dialogue est ambigu, et mérite des éclaircissements, même si je pense que ce type d'échange est monnaie courante.
On pourrait effectivement se dire que la privatisation complète de l'ensemble des médias réglerait la question, et dans l'absolu j'y suis philosophiquement favorable, parce que la prétendue neutralité qu'on exige des journalistes du service public est une chimère. Mais il faut quand même prendre en compte que 95% des médias privés, au bas mot, sont aux mains de richissimes milliardaires, tous de droite et d'extrême droite, et qu'ils peuvent très facilement distiller la propagande qui favorise leurs intérêts. Si on leur laisse encore plus les mains libres, ce sera alors le cas de 100% des médias et il y aura une censure intégrale et absolue des idées de gauche, même très modérées. Ca mérite quand même d'être pris en considération.
Sans oublier le"milliardaire rouge" Doumeng,membre du PCF .
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- Mesoke
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Re: "On fait ce qu’il faut pour Dati"
Bah non, je ne suis pas spécialement de médias, à part des médias qui font des enquêtes. Mais le commentaire politique c'est de la flemmasserie intellectuelle alors que je suis tout autant capable d'obtenir des sources et de réfléchir par moi-même sur une situation.