apolitique a écrit :
Tu bâtis tes théories en comparant des choses non comparables. Dans les années 1950 il n'y avait pas de dettes, pas de chômage (donc peu d'assistance) et nous étions encore dans les pays phares avec des taux de croissance importants. Ce n'est plus le cas actuellement. Donc dire qu'en 50 ans le PIB va doubler me semble totalement irréaliste. Et donc tout l'édifice exposé ne tient pas debout.
C'est mathématique et totalement vérifiable.
Les dettes n'ont pratiquement aucun impacte sur la richesse produite (PIB) puisque tu peux la rembourser dur 7 ans, soit 260 milliards par an par rapport au PIB cela représente 12% maximum en 2013.
C'est encore une fois mathématique et tiré des chiffres connus de tous ceux qui sont censés nous diriger.
C'est la plus grosse escroquerie pour réduire à néant les retraites par répartition et en faire un pactole pour les assurances privées que peu pourront s'offrir.
La productivité du travail s’est considérablement accrue.
Dans la même heure de travail, un ouvrier d’aujourd’hui produit beaucoup plus que le même ouvrier, travaillant la même heure après guerre.
Par exemple, il y avait après-guerre environ 10 millions d’agriculteurs en France. Cela représentait la moitié de la population active. Aujourd’hui, il n’y en a plus qu’un million (c’est-à-dire 3 % des actifs), et pourtant la production agricole a beaucoup augmenté avec beaucoup moins d’heures de travail.
C’est-à-dire que chaque heure de travail est beaucoup plus productive : ici, presque 20 fois plus.
Mais je te donne un autre exemple : actuellement, selon les chiffres de Peugeot,
il est fabriqué 13.000 voitures par jour. La première Peugeot, la 201,
c’étaient 13.000 voitures par an !
Et avec plus d’ouvriers que maintenant !
"Les batailles de la vie ne sont jamais gagnées par les plus forts, ni par les plus rapides, mais par ceux qui n'abandonnent jamais."