
Dassault visé par une plainte pour association de malfaiteur
Re: Dassault visé par une plainte pour association de malfaiteur
Ah ouaaai
!?.. ceux qui font dans le sortilège et les cérémonies occultes… z'ont tous un chemin de vie sulfureux.. sont proche du diable.. faut pas l'oublier


Re: Dassault visé par une plainte pour association de malfaiteur
les français n'ont qu'à pas les élire.véra a écrit : bof! Dassault 89 ans, c'est du sursis qu'il aura et encore!....Et Tibéri le tricheur est toujours là? Ah! les politiques en France sont intouchables!! Les chiens aboient, la caravane passe !!!![]()
Re: Dassault visé par une plainte pour association de malfaiteur
Fonck1 a écrit : les français n'ont qu'à pas les élire.
ah! ça tu as raison !! Mais s'il y a du clientélisme, s'il y a de la corruption.....Balkany en connaît un rayon là-dessus !!!
Re: Dassault visé par une plainte pour association de malfaiteur
http://www.huffingtonpost.fr/2014/04/10 ... 25566.htmlDassault mis en examen dans l'affaire de possibles achats de voix à Corbeil-Essonnes
Il y avait déjà échappé à plusieurs reprises. Mais cette fois, Serge Dassault a été rattrapé par la justice. Le sénateur UMP a été mis en examen, jeudi 10 avril, dans le cadre de l'enquête sur l'achat de voix à Corbeil-Essonnes, a-t-on appris de source judiciaire.
L'ancien maire, âgé aujourd'hui de 89 ans, a notamment été mis en examen pour achat de vote, complicité de financement illicite de campagne électorale et financement de campagne électorale en dépassement du plafond autorisé. Aucun contrôle judiciaire ne lui a été imposé, a ajouté la source.
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L'industriel avait été placé en garde à vue les 19 et 20 février dans le cadre de l'enquête ouverte à Paris sur un système présumé d'achats de votes à Corbeil-Essonnes.
Dassault a reconnu des dons mais réfute les accusations de corruption
Dassault était ressorti libre des locaux de l'Office central contre la corruption et les infractions financières et fiscales, à la direction centrale de la police judiciaire à Nanterre (Hauts-de-Seine), mais en sachant qu'il serait ultérieurement convoqué chez les juges d'instruction du pôle financier de Paris, Guillaume Daïeff et Serge Tournaire, pour un interrogatoire en vue d'une éventuelle mise en examen.
Jusqu'à présent, s'il a reconnu des dons, il a toujours réfuté un quelconque lien avec de la corruption électorale lors des municipales de 2008, 2009 et 2010, les trois scrutins qui intéressent les magistrats instructeurs.
Le propriétaire du groupe d'aéronautique de défense a été maire de la ville de 1995 à 2009, année où un scrutin avait été annulé par le Conseil d'Etat pour des achats de votes. Dans la foulée, son bras droit Jean-Pierre Bechter avait été élu à la mairie.
Enquête sur 7 millions d'euros
Bechter, qui a largement été réélu fin mars, a pour sa part été mis en examen par les juges, comme quatre autres protagonistes: l'une de ses adjointes, Cristela de Oliveira, un cadre local de l'UMP, Jacques Lebigre, et deux intermédiaires présumés du système, Younès Bounouara et Mamadou Kébé.
Les juges soupçonnent Bechter, élu à la mairie en 2010 après deux scrutins invalidés, d'avoir bénéficié d'un présumé système d'achats de votes qui aurait été mis en place par l'équipe Dassault, ce qu'il "réfute totalement". Ils ont par ailleurs réuni plusieurs éléments depuis l'ouverture de l'information judiciaire il y a un an et enquêtent sur sept millions d'euros qui auraient pu atterrir entre les mains d'intermédiaires, notamment via des fonds venant du Liban.
"Je n'ai jamais acheté une voix de ma vie. Je n'ai jamais sorti un euro pour acheter des voix", avait-il martelé. "On n'a rien trouvé contre moi, je ne suis coupable de rien. J'ai répondu à plus de 400 questions, on ne m'a fait aucun reproche à titre personnel".


