gare au gorille a écrit : ↑14 novembre 2022 23:06
Fonck1 a écrit : ↑14 novembre 2022 19:10
Il y a un fait, c’est que bordella vient du GUD, et qu’au gud, toujours actif, on y croise pas mal de neo nazis
Qui se ressemble s’assemble….
Il y a aussi un fait c'est que madame Loiseau vient du GUD et elle a été la tête de liste aux européennes de la macronie, il faut donc en conclure tout aussi stupidement que toi que Macron s'assemblerait avec des néo nazis . Je me disais aussi que ce Micron il est pas net du tout !!
Du GUD ? non de l'UED
Étudiante, Nathalie Loiseau a figuré sur une liste d’un syndicat d’extrême droite
Selon Mediapart, la candidate LREM aux européennes a rejoint en 1984, à Sciences Po, la liste d’un syndicat «né sur les cendres» du GUD, une organisation d’extrême droite. Nathalie Loiseau dit y avoir figuré pour «faire plaisir à un copain», «sans faire campagne et sans connaître les autres colistiers». Elle le «regrette».
En politique, certaines archives sont parfois douloureuses. La tête de liste de La République en marche (LREM) aux européennes, Nathalie Loiseau, en a fait les frais. Selon un article de Mediapart publié lundi, reprenant des informations présentées avec ironie par l’hebdomadaire d’extrême droite Minute, l’ancienne ministre des Affaires européennes a figuré sur une liste d’extrême droite lors d’élections étudiantes à Sciences Po Paris. L’image fait tache pour celle qui répète un peu partout vouloir faire barrage au Rassemblement national à l’approche des européennes.
L’épisode remonte à 1984. Nathalie Loiseau a 20 ans. L’école organise les traditionnelles élections des délégués des étudiants au conseil de direction à la commission paritaire de Sciences Po. En lice, une liste d’Union des étudiants de droite (UED). Un syndicat «né sur les cendres du GUD» (le Groupe union défense, une organisation étudiante d’extrême droite) et «prônant l’union des droites et de tous ses courants de pensée, “maurassiens, indépendants, gaullistes...”», détaille le site d’investigation. En sixième position apparaît le nom de Nathalie Ducoulombier, le nom de jeune fille de Nathalie Loiseau. Figurait sur cette même liste, en deuxième position, Christophe Bay, l’un des proches de... Marine Le Pen.
«Faire plaisir à un copain»
Trente-cinq ans plus tard, la tête de liste de LREM, ancienne directrice de l’ENA, a dû se justifier. À Mediapart, elle explique avoir «complètement oublié cet épisode» et avoir été «approchée pour participer à une liste qui voulait accentuer le pluralisme à Sciences Po, alors quasi inexistant, et qui cherchait des femmes». Et d’admettre: «J’aurais sans doute dû regarder de plus près de quoi il s’agissait». Dans une publication privée sur Facebook, relayée par la députée LREM Aurore Bergé, elle précise avoir accepté de s’associer à la démarche pour «faire plaisir à un copain sans aucune chance d’être élue, sans faire campagne et sans connaître les autres colistiers», ni la proximité de certains d’entre eux avec l’extrême droite. «Je combats l’extrême droite depuis des années, c’est même pour cela que je suis entrée en politique», avance-t-elle. Sur France info, Nathalie Loiseau a reconnu une «vraie connerie», une «erreur de jeunesse». Elle «regrette» d’avoir figuré sur la liste.
https://www.lefigaro.fr/politique/le-sc ... e-20190423