lotus95 a écrit : ↑10 novembre 2022 12:33
Ecoutes , ce n'est pas de ma faute si tu persistes à jouer les nourrissons qui découvrent la vie , et ce n'est pas faute d'avoir déjà largement répondu sur cette question ; tu n'as aucun sens des proportions quand tu compares des traitements peu couteux administrés à quelques millions de malades à des mixtures injectées à des milliards de gens sains
et surtout , tu fais semblant de ne pas capter le sens de la cabale qui a été menée par un petit groupe organisé en réseau pour démolir tous ceux qui préconisaient des traitements précoces , des institutions qui se livrent à des chasses aux sorcières des médecins qui ont soigné ...
Même ceux qui ne croient pas à l'efficacité de ces traitements devraient être choqués de ces méthodes , pas toi , tu te contentes de verser dans la fausse naiveté et fermer les yeux devant ces actes abjects
Ta vision du monde scientifique est du même ordre , une grande fable ... qui fait abstraction de tous les scandales sanitaires et des escroqueries mises en oeuvre par des labos pour mettre sur le marché leurs médocs , dans des objectifs qui privilégient la rentabilité avant tout
Les études s'inscrivent dans ce schéma , désolée mais on ne peut pas exonérer les chercheurs de l'étude Lancet de leur grave négligence (a minima), la cohérence d'une base de données se contrôle avant toute analyse , c'est le BA BA quel que soit le domaine , et c'est d'autant plus crucial que la taille de l'étude est significative et les enjeux énormes
L'excuse qui se retranche derrière une société obscure ne tient pas , parce qu'il s'agit de dossiers médicaux et que le minimum est de s'assurer que les personnes concernées ont bien donné leur consentement à la divulgation de leurs données personnelles.
Et au final , on ne comprend pas comment des chercheurs et une revue scientifique renommés ont pu ne pas voir ce qui a été visible au premier coup d'oeil par d'autres chercheurs.
Et si, Recovery a bien confondu 2 molécules pour décider de la posologie , les preuves sont formelles (voir entretien FS avec l'un des auteurs)
Tu devrais arrêter de jouer les avocats du diable sans avoir de billes
Les liens , tu les as déjà dans le post d'origine , au final ça ne m'étonne pas qu'on soit dans un dialogue de sourds puisque tu ne lis rien de ce que je poste ; je parle d'un réseau , pas d"individus nominativement ; les arguments sur la méta-analyse et sur le harcèlement sont distincts, c'est toi qui fais un lien là où il n'y en a pas
Non, je pense que c'est toi qui te fous de la gueule du monde , merci de mettre des liens sur les dizaines de demandes de débat
Quoi qu'il en soit, vu l'hostilité et la malveillance généralisée contre le Pr Raoult dès le début , ça ne m'étonne pas qu'il n'ait pas voulu se livrer à un combat de coqs télévisé , cela n'aurait certainement pas été un débat constructif ; il n'en reste pas moins qu'il a souvent dit que les portes de l'IHU étaient grandes ouvertes à tout scientifique intéressé par ses travaux.
Ce sont les baltringues de plateaux TV et les excités des réseaux qui ont été mis minables au fil du temps , leurs mensonges et erreurs ont été mis à jour, et le temps continuera de faire le tri ...
Je parle de remèdes pas chers mais inefficaces contre le covid, tandis que les vaccins, eux, sont efficaces. Donc toi tu es obligée d'ajouter un complot de puissants inconnus qui cherchent à étouffer l'HCQ, là où moi je me rends compte qu'il n'y a pas besoin de complot, l'HCQ est juste inutile contre le covid.
Il n'y a pas eu de cabale pour détruire ceux qui préconisent un traitement précoce. Il y a eu des scientifiques dépités par l'indigence scientifique des VRP de ces traitements précoces, et qui ont juste demandé des preuves scientifiques. C'est juste des scientifiques qui ont fait leur travail de scientifique en demandant à des soi-disant confrères de faire leur boulot.
Et non, ceux qui ne "croient" pas dans l'efficacité de ces traitements (en vrai ça n'est pas une question de croyance, mais de preuve scientifique) sont surtout choqués que des soi-disant scientifiques refusent de produire de la science pour valider leurs hypothèses, mais les diffusent quand même comme si elles étaient validées. Et ils sont choqués que des médecins suivent ces hypothèses non validées juste parce que pourquoi pas, alors qu'un médecin est censé proposer des traitements valides à ses patients.
Ta vision du monde scientifique est du même ordre , une grande fable ... Les scandales sanitaires et autres escroqueries des labos pharmaceutiques ça n'est toujours pas de la science. La science c'est des scientifiques qui utilisent une méthode rigoureuse pour valider ou invalider des hypothèses. La science ne vend pas de médicament, n'en fabrique pas, n'en conçoit pas. Au mieux elle teste juste leur efficacité de manière indépendante des labos, comme ça s'est fait partout dans le monde pendant la crise du covid, le gros des chercheurs étant des universitaires.
Les chercheurs de l'étude du Lancet ont juste oeuvré comme tout chercheur le faisait jusqu'à 2020. Leur boulot c'est de réaliser des études de biostatistique, ils ont réalisé une étude de biostatistique. Ils n'avaient pas à se soucier de la base de données, puisqu'ils ont payé une entreprise spécialisée pour l'obtenir. Mais depuis ce scandale il y a eu un changement de pratiques, et aujourd'hui les revues scientifiques demandent aussi des garanties sur les bases de données. Et cette étude n'a absolument été démontée du premier coup par d'autres chercheurs. Tu confonds encore avec la première étude de l'IHU ... A la base c'est surtout des gens qui ont vérifié les données de leur hôpital australien ou néo-zélandais qui se sont rendus compte d'une erreur. Et après ça des chercheurs du monde entier ont vérifié les données auxquelles ils avaient accès, et se sont posé des questions, qui sont restées sans réponse, Surgisphère ayant invoqué le secret des affaires pour ne pas divulguer leur base de données (histoire qu'on ne voie pas qu'ils ont fraudé). Mais non, du premier coup d'oeil rien ne clochait.
L'auteur de l'étude Recovery s'est planté de nom entre dysenterie amibienne et abcès hépatique amibien
lors de l'interview à france soir. Les histoires d'erreur de molécules ça vient du grand spécialiste que le "journal" a interviewé sur cette affaire, à savoir .... Perronne. Mais l'auteur de l'étude ne s'est planté que
lors de l'interview à france soir, pas dans l'étude. Dans l'étude même pas ils parlent d'amibes. Par contre ils expliquent comment ils ont déterminé la dose de chloroquine ([url=file:///C:/Users/Laure/Downloads/nejmoa2022926_appendix-1.pdf]Ici, page 22-23[/url]) à mettre en oeuvre dans l'essai clinique, et pourquoi ils ont choisi de mettre une forte dose. En gros ils ont surtout testé des doses sur des patients sains, pour voir combien de temps la chloroquine restait efficace dans le corps humain.
Tu parles de réseau organisés par "ces abrutis". Vu qu'on parlait des auteurs de la méta-analyse, tu sous-entends bien que ce sont eux les organisateurs du harcèlement.