Ah, mais encore une fois ce n'est pas moi qui en ai parlé!

Ah, mais encore une fois ce n'est pas moi qui en ai parlé!
Va falloir oublier le fax, c'est pourtant pas le pognon qui vous manque.papibilou a écrit : ↑24 novembre 2022 20:48Pas avec ma tablette pour les textes PDF.Hdelapampa a écrit : ↑24 novembre 2022 19:36 Hé bien citez au moins le doc pdf dont vous parlez.
Copier coller, vous savez faire?
http://infoterre.brgm.fr/rapports/RC-71650-FR.pdfHdelapampa a écrit : ↑24 novembre 2022 21:09Ah, mais encore une fois ce n'est pas moi qui en ai parlé!![]()
Merci.da capo a écrit : ↑25 novembre 2022 09:24http://infoterre.brgm.fr/rapports/RC-71650-FR.pdfHdelapampa a écrit : ↑24 novembre 2022 21:09
Ah, mais encore une fois ce n'est pas moi qui en ai parlé!![]()
Quel intérêt, alors? Ca ne correspond plus à la réalité.Simulation du projet 2021 de réserves de substitution de la Coopérative de l’eau des Deux-Sèvres
BRGM/RC-71650-FR – Rapport final V2 – 17 juin 2022 17
Dans la suite du rapport, le terme « simulation 2019 » correspond à la simulation 2019 « schéma
coopérative », celle qui aurait été mise en place sans les modifications demandées par le Tribunal
administratif.
Simulation 2021 :
Cette simulation a été effectuée avec les volumes de remplissage et les volumes restants dans le milieu en été recalculés par la Coopérative après la décision du Tribunal administratif. Les calculs de volumes prélevés pour le remplissage des retenues ont dû être revus à la baisse pour
9 réserves, à savoir 8 sur le bassin Mignon-Courance et 1 sur le bassin de la Sèvre amont.
Page 17Simulation « projets cumulés » :
Les études de projets de substitutions demandent une simulation de l’impact du projet cumulé à celui des autres projets en cours sur le bassin. Des projets de réserves sont également en cours sur le bassin du Clain, portés par Rés’eau Clain. Le BRGM a donc réalisé à chaque étape du projet (2016, 2019 et 2021) une simulation intégrant les pompages pour les retenues de substitution du bassin du Clain prévus en bordure de bassin de la Sèvre Niortaise.
Ecrivez au BRGM. Vous leur expliquez que vous êtes l'expert que tout le monde attendait. Je ne doute pas un instant que vous allez convaincre tout le monde.Hdelapampa a écrit : ↑25 novembre 2022 19:44 Déjà une critique.
Cette simulation est basée sur des données anciennes (2000-2011) (page 16) et donc sur des prévisions de précipitations qui sont périmées dans le sens défavorable.Quel intérêt, alors? Ca ne correspond plus à la réalité.Simulation du projet 2021 de réserves de substitution de la Coopérative de l’eau des Deux-Sèvres
BRGM/RC-71650-FR – Rapport final V2 – 17 juin 2022 17
Dans la suite du rapport, le terme « simulation 2019 » correspond à la simulation 2019 « schéma
coopérative », celle qui aurait été mise en place sans les modifications demandées par le Tribunal
administratif.Simulation 2021 :
Cette simulation a été effectuée avec les volumes de remplissage et les volumes restants dans le milieu en été recalculés par la Coopérative après la décision du Tribunal administratif. Les calculs de volumes prélevés pour le remplissage des retenues ont dû être revus à la baisse pour
9 réserves, à savoir 8 sur le bassin Mignon-Courance et 1 sur le bassin de la Sèvre amont.
Page 17Simulation « projets cumulés » :
Les études de projets de substitutions demandent une simulation de l’impact du projet cumulé à celui des autres projets en cours sur le bassin. Des projets de réserves sont également en cours sur le bassin du Clain, portés par Rés’eau Clain. Le BRGM a donc réalisé à chaque étape du projet (2016, 2019 et 2021) une simulation intégrant les pompages pour les retenues de substitution du bassin du Clain prévus en bordure de bassin de la Sèvre Niortaise.
Quel est l'intérêt d'une simulation en volumes cumulés pour un impact réel, annuel (et non MOYEN), sur le niveau de la nappe et les cours d'eau?
Vous pouvez trouver des cas douteux mais ce n'est pas parce qu'il y en a eu qu'ils le sont tous. Le complotisme laissez le , il y a des spécialistes sur ce forum.Hdelapampa a écrit : ↑25 novembre 2022 22:36 Ce ne sont pas eux, ni vous qui m'intéressez.
Ce n'est pas la première fois que l'on tente de faire passer un projet destructeur privé pour un projet protecteur d'intérêt général.
A La Clusaz, la retenue était quasiment une "réserve ornithologique" et un abreuvoir à chauves-souris.
Il faudrait savoir.papibilou a écrit : ↑26 novembre 2022 09:31
Vous pouvez trouver des cas douteux mais ce n'est pas parce qu'il y en a eu qu'ils le sont tous. Le complotisme laissez le , il y a des spécialistes sur ce forum.
D'ailleurs vous n'avez pas répondu à la question dont la réponse me semble évidente:
- vaut il mieux continuer à pomper l'été ou plutôt pomper l'hiver quand les nappes sont remplies et moins en été ?
Mais je me passerai de votre réponse d'expert.
Quelle est la contradiction de dire que vous n'avez pas répondu et que je me passerai de votre réponse ? Vous pensez que les 2 simultanés sont impossibles ? Amusant. Je vous le prouve en permanence.Hdelapampa a écrit : ↑26 novembre 2022 14:50Il faudrait savoir.papibilou a écrit : ↑26 novembre 2022 09:31
Vous pouvez trouver des cas douteux mais ce n'est pas parce qu'il y en a eu qu'ils le sont tous. Le complotisme laissez le , il y a des spécialistes sur ce forum.
D'ailleurs vous n'avez pas répondu à la question dont la réponse me semble évidente:
- vaut il mieux continuer à pomper l'été ou plutôt pomper l'hiver quand les nappes sont remplies et moins en été ?
Mais je me passerai de votre réponse d'expert.
Vous dites que je n'ai pas répondu à votre question et en même temps que vous vous passerez de ma réponse.
Y a-t-il besoin d'être un expert agréé par la FNSEA ou la CR pour répondre que les exploitants agricoles concernés pompent tout le temps, hiver comme été?
Source:La Dépêche.
De premiers affrontements ont éclaté samedi 25 mars entre manifestants et forces de l'ordre autour d'une réserve d'eau contestée en construction à Sainte-Soline (Deux-Sèvres), où des milliers de personnes se sont mobilisées malgré l'interdiction du rassemblement.
Un long cortège avait commencé à défiler en fin de matinée, composé d'au moins 6 000 personnes selon la préfecture, "probablement un peu plus", et d'environ 25 000 selon les organisateurs - le collectif d'associations "Bassines non merci", le mouvement écologiste des Soulèvements de la Terre et la Confédération paysanne.
Plus de 3 000 gendarmes et policiers ont été mobilisés par les autorités, alors qu'"au moins un millier" d'activistes violents, "prêts à en découdre avec les forces de l'ordre", participent au rassemblement.
Jets de projectiles et tirs de mortier:
La manifestation, interdite comme la dernière qui avait donné lieu à des affrontements à l'automne, a convergé vers la "bassine" de Sainte-Soline, surnom donné par leurs adversaires à des réserves d'eau en construction dans la région pour l'irrigation agricole.
"Le but, c'est d'approcher et d'encercler la bassine pour faire stopper le chantier", a affirmé un membre des Soulèvements de la Terre au départ du cortège qui s'est ensuite scindé en plusieurs groupes à cette fin.
À l'approche du chantier, les affrontements ont éclaté rapidement entre forces de l'ordre et militants radicaux, avec des jets de projectiles et des tirs de mortier auxquels policiers et gendarmes ont riposté avec des gaz lacrymogènes et le canon à eau, selon des journalistes de l'AFP.