https://fr.yahoo.com/news/%C3%A9tats-un ... 00055.html
J'ai relu plusieurs fois l'article, on est entré dans une nouvelle ère.
Le présumé coupable se dit non binaire, ce qui signifie qu'il ne se reconnait ni comme homme ni comme femme, il est autre ...
Il utilise des pronoms non genrés, pour parler de lui-même.
Il ne plaide ni coupable, ni non coupable.
Il semblerait qu'il ait des "droits spéciaux" vu son genre, non genré.
On prend un luxe de précaution, (dans l'article de presse) pour en parler, il serait "coupable présumé".
La suite est délirante, elle parle de l'enfance du détenu, famille instable, père toxicomane, se déclarant ancien acteur porno devenu républicain conservateur ... mère en hôpital psychiatrique qui aurait mis le feu à son matelas ...
Ensuite on apprend que le massacre a fait cinq morts et 18 blessés au club Q (il s'appelle comme ça) à Colorado Spring.
Bon j'arrête là ... si ça n'était pas plus que dramatique j'aurais envie de croire à un scénario de film comique.
Ca me donne envie de pleurer, et pas de rire.
Fusillade dans un club LGBT, cinq morts.
- Le Merlu
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Re: Fusillade dans un club LGBT, cinq morts.
États-Unis : l'auteur de la tuerie dans un club LGBT s'identifie comme non-binaire
Des détails sur la personnalité de l'auteur de la fusillade qui a fait cinq morts le week-end dernier dans un club LGBTQ du Colorado ont commencé à émerger mercredi, notamment le fait que cette personne s'identifie comme non-binaire, selon ses avocats. Anderson Lee Aldrich a comparu mercredi devant un tribunal. L'accusé est resté assis, vêtu de la combinaison orange des détenus aux États-Unis, durant une brève apparition par vidéo lors de l'audience, au cours de laquelle aucun chef d'accusation n'a été prononcé.
Anderson Lee Aldrich n'est pas entré non plus dans une procédure de plaider coupable ou non-coupable. Ses deux avocats commis d'office ont affirmé dans des documents judiciaires enregistrés mardi que leur client s'identifiait comme non-binaire, c'est-à-dire ne se reconnaissant ni dans le genre masculin ni dans le féminin. Ils ont ajouté qu'Anderson Lee Aldrich utilisait les pronoms non-genrés en anglais « they/them » (« iel » en français).
Une enfance instable
L'accusé n'a parlé que pour confirmer son nom et que ses droits lui avaient bien été notifiés. Iel est maintenu en détention pour suspicion de meurtre. Selon le système judiciaire du Colorado, l'inculpation ne devrait pas être prononcée avant 10 jours. D'autres détails ont émergé, notamment sur son enfance marquée par l'instabilité et des parents toxicomanes. Selon les médias américains, son nom de naissance était Nicholas Brink et iel n'avait que deux ans lorsque ses parents se sont séparés. Lorsqu'iel a pris le nom d'Anderson Lee Aldrich à l'adolescence, son père Aaron Franklin Brink avait déjà été arrêté plusieurs fois en Californie pour détention de drogue et infractions au code de la route. Aaron Brink, qui se décrit comme un ancien acteur porno devenu républicain conservateur, a déclaré à un journal local de San Diego que son ex-femme, Laura Voepel, lui avait assuré il y a plusieurs années que leur enfant était mort. C'est ce qu'il a cru jusqu'à il y a quelques mois, lorsqu'il a reçu un coup de fil d'Anderson Lee Aldrich qui a dégénéré en dispute, ce dernier proférant des menaces à l'encontre de son père.
Aaron Brink a indiqué au New York Times qu'il avait « fait part d'une ferme désapprobation à l'encontre des homosexuels quand son enfant était plus jeune », mais il a exprimé de la compassion pour les victimes de la tuerie de Colorado Springs. Le journal a précisé que la mère, Laura Voepel, avait elle aussi eu des démêlés avec la police de Californie, notamment pour ébriété sur la voie publique et possession de substance illicite. En 2012, elle a été condamnée avec sursis pour avoir mis le feu à un matelas de l'hôpital psychiatrique où elle avait été admise, selon des documents de justice cités par le Times. Anderson Lee Aldrich pourrait être poursuivi notamment pour meurtres et crimes motivés par la haine, et encourt une peine de prison à perpétuité sans possibilité de libération conditionnelle. L'audience est intervenue quatre jours après le massacre qui a fait cinq morts et 18 blessés au Club Q, à Colorado Springs, une ville du massif des Rocheuses d'environ 500 000 habitants. Une date provisoire pour une nouvelle comparution d'Anderson Lee Aldrich a été fixée au 6 décembre.
Des détails sur la personnalité de l'auteur de la fusillade qui a fait cinq morts le week-end dernier dans un club LGBTQ du Colorado ont commencé à émerger mercredi, notamment le fait que cette personne s'identifie comme non-binaire, selon ses avocats. Anderson Lee Aldrich a comparu mercredi devant un tribunal. L'accusé est resté assis, vêtu de la combinaison orange des détenus aux États-Unis, durant une brève apparition par vidéo lors de l'audience, au cours de laquelle aucun chef d'accusation n'a été prononcé.
Anderson Lee Aldrich n'est pas entré non plus dans une procédure de plaider coupable ou non-coupable. Ses deux avocats commis d'office ont affirmé dans des documents judiciaires enregistrés mardi que leur client s'identifiait comme non-binaire, c'est-à-dire ne se reconnaissant ni dans le genre masculin ni dans le féminin. Ils ont ajouté qu'Anderson Lee Aldrich utilisait les pronoms non-genrés en anglais « they/them » (« iel » en français).
Une enfance instable
L'accusé n'a parlé que pour confirmer son nom et que ses droits lui avaient bien été notifiés. Iel est maintenu en détention pour suspicion de meurtre. Selon le système judiciaire du Colorado, l'inculpation ne devrait pas être prononcée avant 10 jours. D'autres détails ont émergé, notamment sur son enfance marquée par l'instabilité et des parents toxicomanes. Selon les médias américains, son nom de naissance était Nicholas Brink et iel n'avait que deux ans lorsque ses parents se sont séparés. Lorsqu'iel a pris le nom d'Anderson Lee Aldrich à l'adolescence, son père Aaron Franklin Brink avait déjà été arrêté plusieurs fois en Californie pour détention de drogue et infractions au code de la route. Aaron Brink, qui se décrit comme un ancien acteur porno devenu républicain conservateur, a déclaré à un journal local de San Diego que son ex-femme, Laura Voepel, lui avait assuré il y a plusieurs années que leur enfant était mort. C'est ce qu'il a cru jusqu'à il y a quelques mois, lorsqu'il a reçu un coup de fil d'Anderson Lee Aldrich qui a dégénéré en dispute, ce dernier proférant des menaces à l'encontre de son père.
Aaron Brink a indiqué au New York Times qu'il avait « fait part d'une ferme désapprobation à l'encontre des homosexuels quand son enfant était plus jeune », mais il a exprimé de la compassion pour les victimes de la tuerie de Colorado Springs. Le journal a précisé que la mère, Laura Voepel, avait elle aussi eu des démêlés avec la police de Californie, notamment pour ébriété sur la voie publique et possession de substance illicite. En 2012, elle a été condamnée avec sursis pour avoir mis le feu à un matelas de l'hôpital psychiatrique où elle avait été admise, selon des documents de justice cités par le Times. Anderson Lee Aldrich pourrait être poursuivi notamment pour meurtres et crimes motivés par la haine, et encourt une peine de prison à perpétuité sans possibilité de libération conditionnelle. L'audience est intervenue quatre jours après le massacre qui a fait cinq morts et 18 blessés au Club Q, à Colorado Springs, une ville du massif des Rocheuses d'environ 500 000 habitants. Une date provisoire pour une nouvelle comparution d'Anderson Lee Aldrich a été fixée au 6 décembre.
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Re: Fusillade dans un club LGBT, cinq morts.
Ouais enfin c'est une affaire très isolée, on n'a pas cela tous les jours.
Quel que soit son genre, il ou elle ou iel sera jugé selon la loi en vigueur, ce sera peut être le premier condamné a mort non genré aux USA...
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Pierre Desproges
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Re: Fusillade dans un club LGBT, cinq morts.
Non, il n'a aucun droit spécial. De son passé, il est homophobe, mysogine et violent élevé dans un milieu conservateur.Le Merlu a écrit : ↑24 novembre 2022 09:38 https://fr.yahoo.com/news/%C3%A9tats-un ... 00055.html
J'ai relu plusieurs fois l'article, on est entré dans une nouvelle ère.
Le présumé coupable se dit non binaire, ce qui signifie qu'il ne se reconnait ni comme homme ni comme femme, il est autre ...
Il utilise des pronoms non genrés, pour parler de lui-même.
Il ne plaide ni coupable, ni non coupable.
Il semblerait qu'il ait des "droits spéciaux" vu son genre, non genré.
On prend un luxe de précaution, (dans l'article de presse) pour en parler, il serait "coupable présumé".
La suite est délirante, elle parle de l'enfance du détenu, famille instable, père toxicomane, se déclarant ancien acteur porno devenu républicain conservateur ... mère en hôpital psychiatrique qui aurait mis le feu à son matelas ...
Ensuite on apprend que le massacre a fait cinq morts et 18 blessés au club Q (il s'appelle comme ça) à Colorado Spring.
Bon j'arrête là ... si ça n'était pas plus que dramatique j'aurais envie de croire à un scénario de film comique.
Ca me donne envie de pleurer, et pas de rire.
Faut savoir qu'actuellement aux US, les républicains, et spécialement des personnes comme Boebert, ont une prose extrêmement violente à l'égard des LGBT en les accusant tous de violer des enfants.
C'est comme cette histoire de pizzagate, beaucoup d'américains ont cru à ces conneries jusqu'à ce qu'un taré passe à l'acte avec les armes.
- mic43121
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Re: Fusillade dans un club LGBT, cinq morts.
On a vu jusqu'ou peuvent aller les Américains
Jusqu'a un coup d'état.....
Ces gens là n'ont rien dans le cigare ....
Ce sont des CONS ....


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La tolérance c'est quand on connait des cons- et qu'on ne dit pas les noms
- sofasurfer
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Re: Fusillade dans un club LGBT, cinq morts.
Oh tu sais els Français ne sont pas bien loin devant, réfractaires a tout, qui veulent tout et sons contraire pour pas un rond et sans effort...
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Pierre Desproges
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