Les vaccins à ARN sont des vaccins, pas des mixtures, et n'ont rien d'expérimental. Ils n'ont pas été développé à la va vite, ils ont été développé rapidement sur la base de vaccins prévus contre le SARS et le MERS, et à l'aide de l'immense quantité de pognon qui a été injecté dans la recherche pour trouver une solution au covid. Avec des thunes, la recherche et la R&D avancent vachement plus vite.Jiimmy a écrit : ↑07 décembre 2022 07:49 La balance bénéfices/risques n'est pas mal considérée mais est considérée différemment de vous. Alors je sais bien que vous avez vos certitudes à partir des croyances qui sont les vôtres dans la fiabilité des chiffres avancés et des études auxquelles aucun d'entre-vous n'a participé, tandis que d'autres sont dans le doute et préfèrent avancer prudemment, notamment en considérant, à raison, qu'étant quasiment épargnés de la mort par ce virus du fait de leur âge et de leur état de santé, les risques sont + conséquents de se faire injecter des mixtures expérimentales développées à la va-vite et sans le moindre recul sur le long terme.
Cela dit, j'espère que mon exemple suffira à vous faire prendre conscience de l'absurdité d'une telle généralisation (induire des conséquences sur le + grand nombre des actions d'une seule personne) qui ne plaide pas en faveur d'une intellectualité très prononcée.
Mais, en effet, il est tout à fait logique de se poser des questions sur les effets secondaires de ces vaccins, et d'être méfiant. Mais dans ce cas on assume. On assume notamment le décès de proches qu'on n'a pas voulu vacciner.
Et, dans le cas néo-zélandais, c'est idiot. Déjà que les vaccins, après deux ans et demi de recul, ne provoquent toujours pas de crise sanitaire majeure, mais alors que les effets néfastes hypothétiques puissent se transmettre via transfusion sanguine des mois après une vaccination, sachant que l'ARN a une durée de vie de 2-3 jours dans l'organisme ... Mais ça n'est qu'un fait divers concernant des extrémistes, c'est très loin de la réalité antivaccin.