La dette publique s'élève à 113,7% du PIB.

[Crapulax]

...........................................La dette publique remonte à 113,7% du PIB au troisième trimestre,selon l’Insee.

En hausse de 40 milliards d'euros sur trois mois, elle s'est ainsi rapprochée des 3000 milliards d'euros.Dans le détail, l'augmentation est due à la hausse de la dette de l'État, de l'ordre de 36 milliards d'euros, précisent les statisticiens nationaux.

L'envolée de la dette publique tricolore se poursuit...

Au troisième trimestre 2022, celle-ci a de nouveau progressé de 40 milliards d'euros, atteignant 2956,8 milliards d'euros, selon une publication de l'Insee dévoilée ce vendredi. Peu à peu, elle se rapproche donc des 3000 milliards d'euros, jusqu'à frôler ce palier hautement symbolique.

Le creusement des comptes publics se constate également en pourcentage: La dette a atteint 113,7% du PIB, en hausse, là encore, par rapport aux 113,3% du PIB constatés au second trimestre.

Dans le détail, cette augmentation est due à la hausse de la dette de l'État, de l'ordre de 36 milliards d'euros, précisent les statisticiens nationaux.

À l’inverse, la «contribution des administrations publiques locales à la dette publique» a diminué, de l'ordre de 6,2 milliards d'euros, les collectivités locales s'étant légèrement désendettées. De même, «la contribution des organismes divers d'administration centrale (Odac) à la dette publique» a progressé d'un milliard d'euros.

La dette publique française a explosé depuis quelques années, et plus particulièrement depuis le début de la pandémie de Covid-19. Elle a successivement passé des paliers symboliques, dont 1000 milliards d'euros en 2003, 1500 milliards d'euros en 2009, 2000 milliards d'euros en 2014 et 2500 milliards d'euros en 2020. Elle a par ailleurs franchi les 100% du PIB pour la première fois durant la pandémie. Elle se rapproche depuis inexorablement du nouveau cap des 3000 milliards d'euros, atteignant, au second trimestre 2022, 2916,8 milliards, selon l'Insee, soit 113,3% du PIB.

Si l'exécutif assure vouloir garder la situation sous contrôle, notamment en accroissant les recettes grâce à des réformes comme celle sur les retraites, certains sont plus prudents.

La Banque de France a notamment récemment estimé, dans une évaluation sous la forme d'une fourchette, que l'endettement pourrait varier sensiblement dans les années à venir, selon l'évolution de la conjoncture et le maintien ou non des dispositifs protégeant le pouvoir d'achat, comme le bouclier tarifaire.

«On nous a répété pendant des années: ne vous inquiétez pas, nous pourrons toujours supporter la dette! Mais nous commençons à devoir compter les sous», s'est aussi alarmé dans nos colonnes l'économiste Jean Tirole, cette semaine.

Source:Le Figaro.
https://www.lefigaro.fr/conjoncture/la- ... e-20221216

[danielle49]

La dette, les déficits, les crevards qui ne payent pas l'IR ou très peu s'en foutent royalement, là est le problème !

[Hdelapampa]

Mais les dividendes vont bien, merci.
Les pauvres doivent payer pour les riches.

[Victor]

Dans un premier temps, si l'on souhaite réduire l'endettement, il faut réduire le déficit des comptes publics !

[Hdelapampa]

Et dans un deuxième temps?
Pareil.
Les pauvres doivent payer.
Ou manquer de.
Les deux, mon capitaine: payer et manquer de.

[vivarais]

...........................................La dette publique remonte à 113,7% du PIB au troisième trimestre,selon l’Insee.

En hausse de 40 milliards d'euros sur trois mois, elle s'est ainsi rapprochée des 3000 milliards d'euros.Dans le détail, l'augmentation est due à la hausse de la dette de l'État, de l'ordre de 36 milliards d'euros, précisent les statisticiens nationaux.

L'envolée de la dette publique tricolore se poursuit...

Au troisième trimestre 2022, celle-ci a de nouveau progressé de 40 milliards d'euros, atteignant 2956,8 milliards d'euros, selon une publication de l'Insee dévoilée ce vendredi. Peu à peu, elle se rapproche donc des 3000 milliards d'euros, jusqu'à frôler ce palier hautement symbolique.

Le creusement des comptes publics se constate également en pourcentage: La dette a atteint 113,7% du PIB, en hausse, là encore, par rapport aux 113,3% du PIB constatés au second trimestre.

Dans le détail, cette augmentation est due à la hausse de la dette de l'État, de l'ordre de 36 milliards d'euros, précisent les statisticiens nationaux.

À l’inverse, la «contribution des administrations publiques locales à la dette publique» a diminué, de l'ordre de 6,2 milliards d'euros, les collectivités locales s'étant légèrement désendettées. De même, «la contribution des organismes divers d'administration centrale (Odac) à la dette publique» a progressé d'un milliard d'euros.

La dette publique française a explosé depuis quelques années, et plus particulièrement depuis le début de la pandémie de Covid-19. Elle a successivement passé des paliers symboliques, dont 1000 milliards d'euros en 2003, 1500 milliards d'euros en 2009, 2000 milliards d'euros en 2014 et 2500 milliards d'euros en 2020. Elle a par ailleurs franchi les 100% du PIB pour la première fois durant la pandémie. Elle se rapproche depuis inexorablement du nouveau cap des 3000 milliards d'euros, atteignant, au second trimestre 2022, 2916,8 milliards, selon l'Insee, soit 113,3% du PIB.

Si l'exécutif assure vouloir garder la situation sous contrôle, notamment en accroissant les recettes grâce à des réformes comme celle sur les retraites, certains sont plus prudents.

La Banque de France a notamment récemment estimé, dans une évaluation sous la forme d'une fourchette, que l'endettement pourrait varier sensiblement dans les années à venir, selon l'évolution de la conjoncture et le maintien ou non des dispositifs protégeant le pouvoir d'achat, comme le bouclier tarifaire.

«On nous a répété pendant des années: ne vous inquiétez pas, nous pourrons toujours supporter la dette! Mais nous commençons à devoir compter les sous», s'est aussi alarmé dans nos colonnes l'économiste Jean Tirole, cette semaine.

Source:Le Figaro.
https://www.lefigaro.fr/conjoncture/la- ... e-20221216

[vivarais]

...........................................La dette publique remonte à 113,7% du PIB au troisième trimestre,selon l’Insee.

En hausse de 40 milliards d'euros sur trois mois, elle s'est ainsi rapprochée des 3000 milliards d'euros.Dans le détail, l'augmentation est due à la hausse de la dette de l'État, de l'ordre de 36 milliards d'euros, précisent les statisticiens nationaux.

L'envolée de la dette publique tricolore se poursuit...

Au troisième trimestre 2022, celle-ci a de nouveau progressé de 40 milliards d'euros, atteignant 2956,8 milliards d'euros, selon une publication de l'Insee dévoilée ce vendredi. Peu à peu, elle se rapproche donc des 3000 milliards d'euros, jusqu'à frôler ce palier hautement symbolique.

Le creusement des comptes publics se constate également en pourcentage: La dette a atteint 113,7% du PIB, en hausse, là encore, par rapport aux 113,3% du PIB constatés au second trimestre.

Dans le détail, cette augmentation est due à la hausse de la dette de l'État, de l'ordre de 36 milliards d'euros, précisent les statisticiens nationaux.

À l’inverse, la «contribution des administrations publiques locales à la dette publique» a diminué, de l'ordre de 6,2 milliards d'euros, les collectivités locales s'étant légèrement désendettées. De même, «la contribution des organismes divers d'administration centrale (Odac) à la dette publique» a progressé d'un milliard d'euros."

La dette publique française a explosé depuis quelques années, et plus particulièrement depuis le début de la pandémie de Covid-19. Elle a successivement passé des paliers symboliques, dont 1000 milliards d'euros en 2003, 1500 milliards d'euros en 2009, 2000 milliards d'euros en 2014 et 2500 milliards d'euros en 2020. Elle a par ailleurs franchi les 100% du PIB pour la première fois durant la pandémie. Elle se rapproche depuis inexorablement du nouveau cap des 3000 milliards d'euros, atteignant, au second trimestre 2022, 2916,8 milliards, selon l'Insee, soit 113,3% du PIB.

Si l'exécutif assure vouloir garder la situation sous contrôle, notamment en accroissant les recettes grâce à des réformes comme celle sur les retraites, certains sont plus prudents.

La Banque de France a notamment récemment estimé, dans une évaluation sous la forme d'une fourchette, que l'endettement pourrait varier sensiblement dans les années à venir, selon l'évolution de la conjoncture et le maintien ou non des dispositifs protégeant le pouvoir d'achat, comme le bouclier tarifaire.

«On nous a répété pendant des années: ne vous inquiétez pas, nous pourrons toujours supporter la dette! Mais nous commençons à devoir compter les sous», s'est aussi alarmé dans nos colonnes l'économiste Jean Tirole, cette semaine.

Source:Le Figaro.
https://www.lefigaro.fr/conjoncture/la- ... e-20221216

en 2017 elle etait de 85 %
pas mal pour un président "beau parleur" qui se faisait fort de la réduire lors de son excellent débat avec MLP et de l'éponger "+28 %"

[Victor]

Et dans un deuxième temps?
Pareil.
Les pauvres doivent payer.
Ou manquer de.
Les deux, mon capitaine: payer et manquer de.

Mais tout le monde doit payer. Les pauvres comme les riches.
Les riches doivent simplement payer plus que les pauvres mais ne pas faire payer les pauvres est une très mauvaise idée, parce que les pauvres sont aussi des citoyens comme les autres et doivent comme les autres citoyens participer au financement des biens communs.

[Georges61]

La dette de la Suisse doit être entre 38 et 40%, elle se rembourse tranquillement grâce à sa balance commerciale largement bénéficière.

[Victor]

La dette de la Suisse doit être entre 38 et 40%, elle se rembourse tranquillement grâce à sa balance commerciale largement bénéficière.

On comprend pourquoi la Suisse accueille des gens tels que vous.
La Suisse n'a pas fait la difficile sur l'argent des nazis. Cela prouve que les suisses doivent adorer les types dans votre genre.

[Georges61]

La dette de la Suisse doit être entre 38 et 40%, elle se rembourse tranquillement grâce à sa balance commerciale largement bénéficière.

On comprend pourquoi la Suisse accueille des gens tels que vous.
La Suisse n'a pas fait la difficile sur l'argent des nazis. Cela prouve que les suisses doivent adorer les types dans votre genre.

Si la Suisse m'accueille c'est que c'était le pays de mes parents et également le mien.
Le nazisme c'est votre idéologie, vous qui êtes pour l'extermination d'une partie des Français. De nombreux Suisses ont combattus le nazisme en France au sein de la résistance, mon père et deux de ses frères furent de ceux-là, et ont été dénoncé à la Gestapo par des bons Français de souche qui furent fusillés pour collaboration active en 1945.

[Victor]

On comprend pourquoi la Suisse accueille des gens tels que vous.
La Suisse n'a pas fait la difficile sur l'argent des nazis. Cela prouve que les suisses doivent adorer les types dans votre genre.

Si la Suisse m'accueille c'est que c'était le pays de mes parents et également le mien.
Le nazisme c'est votre idéologie, vous qui êtes pour l'extermination d'une partie des Français. De nombreux Suisses ont combattus le nazisme en France au sein de la résistance, mon père et deux de ses frères furent de ceux-là, et ont été dénoncé à la Gestapo par des bons Français de souche qui furent fusillés pour collaboration active en 1945.

Mais oui mais oui. Et quoi encore ?
La vérité c'est que la Suisse est un paradis fiscal au cœur même de l'Europe et qui blanchit à tout va.
L'argent n'a pas d'odeur dit-on. Et quand on voit la Suisse et l'ammoralité légendaires des suisses, on est bien obligé d'être d'accord.

https://www.historia.fr/%C3%A0-l%C3%A9c ... 0%99hitler
La Suisse, pays neutre ? Cette fable a-t-elle jamais été crédible ? Le film écrit par Xavier Harel - co-écrit et réalisé par Olivier Lamour, nous plonge dans les tréfonds d’une histoire pourtant largement occultée. Pourquoi la Suisse n’a-t-elle jamais été envahie ? Ses habitants ont longtemps entretenu la légende d’une vaillante armée suisse, semblable au hérisson, capable de tenir à distance grâce à ses piquants, le monstre nazi. Lorsque Hitler lance sa Blitzkrieg, sa guerre éclair, les réserves d’or de la Reichsbank sont déjà presque vides. L’annexion de l’Autriche en 1938 et la main mise sur le milliard de marks du pays ont permis au IIIe Reich de tenir jusque là mais cette manne, engloutie dans le financement de l’énorme machine de guerre allemande, est épuisée. Dans tous les pays conquis et occupés, les Nazis pillent, volent, font main basse sur les lingots des banques centrales. Mais ils doivent absolument échanger cet or contre des devises pour pouvoir continuer à importer massivement tout ce dont ils ont besoin pour poursuivre la guerre, en particulier le tungstène portugais, le seul métal capable de supporter des températures de milliers de degrés utilisés notamment dans le moteur des Stukas, les bombardiers allemands. Un seul pays est à même de le faire. Leur voisine, la Suisse, partenaire financière d’avant-guerre, qui ne va pas se montrer très regardante – c’est le moins que l’on puisse dire ! – sur l’origine des tonnes d’or qui arrivent par camions entiers dans ses coffres et de manière exponentielle.

[Georges61]

Si la Suisse m'accueille c'est que c'était le pays de mes parents et également le mien.
Le nazisme c'est votre idéologie, vous qui êtes pour l'extermination d'une partie des Français. De nombreux Suisses ont combattus le nazisme en France au sein de la résistance, mon père et deux de ses frères furent de ceux-là, et ont été dénoncé à la Gestapo par des bons Français de souche qui furent fusillés pour collaboration active en 1945.

Mais oui mais oui. Et quoi encore ?
La vérité c'est que la Suisse est un paradis fiscal au cœur même de l'Europe et qui blanchit à tout va.
L'argent n'a pas d'odeur dit-on. Et quand on voit la Suisse et l'ammoralité légendaires des suisses, on est bien obligé d'être d'accord.

https://www.historia.fr/%C3%A0-l%C3%A9c ... 0%99hitler
La Suisse, pays neutre ? Cette fable a-t-elle jamais été crédible ? Le film écrit par Xavier Harel - co-écrit et réalisé par Olivier Lamour, nous plonge dans les tréfonds d’une histoire pourtant largement occultée. Pourquoi la Suisse n’a-t-elle jamais été envahie ? Ses habitants ont longtemps entretenu la légende d’une vaillante armée suisse, semblable au hérisson, capable de tenir à distance grâce à ses piquants, le monstre nazi. Lorsque Hitler lance sa Blitzkrieg, sa guerre éclair, les réserves d’or de la Reichsbank sont déjà presque vides. L’annexion de l’Autriche en 1938 et la main mise sur le milliard de marks du pays ont permis au IIIe Reich de tenir jusque là mais cette manne, engloutie dans le financement de l’énorme machine de guerre allemande, est épuisée. Dans tous les pays conquis et occupés, les Nazis pillent, volent, font main basse sur les lingots des banques centrales. Mais ils doivent absolument échanger cet or contre des devises pour pouvoir continuer à importer massivement tout ce dont ils ont besoin pour poursuivre la guerre, en particulier le tungstène portugais, le seul métal capable de supporter des températures de milliers de degrés utilisés notamment dans le moteur des Stukas, les bombardiers allemands. Un seul pays est à même de le faire. Leur voisine, la Suisse, partenaire financière d’avant-guerre, qui ne va pas se montrer très regardante – c’est le moins que l’on puisse dire ! – sur l’origine des tonnes d’or qui arrivent par camions entiers dans ses coffres et de manière exponentielle.

Si vous aviez été honnête vous auriez pu apporter cette précision, mais l'honnêteté ne fait pas pati du vocabulaire d'un sale type comme vous.

Ce documentaire, que je connais, amène le spectateur à se poser une question : la Suisse, forte de ses 4 millions d’habitants, avait-elle le choix ? Les Suisses eux-mêmes n’y sont pour rien, mais la BNS a sans aucun doute saisi l’occasion d’en tirer un profit substantiel, en somme, comme en temps de paix.

Seule la BNS a été en cause, pas le peuple suisse. C'est comme si vous rendiez responsable tous les Français, de la collaboration de nombreux industriels et de gros agriculteurs français qui ce sont enrichis et devenus multimillionnaires grâce à leur collaboration volontaire avec l'Allemagne.

[Victor]

Mais oui mais oui. Et quoi encore ?
La vérité c'est que la Suisse est un paradis fiscal au cœur même de l'Europe et qui blanchit à tout va.
L'argent n'a pas d'odeur dit-on. Et quand on voit la Suisse et l'ammoralité légendaires des suisses, on est bien obligé d'être d'accord.

Si vous aviez été honnête vous auriez pu apporter cette précision, mais l'honnêteté ne fait pas pati du vocabulaire d'un sale type comme vous.

Ce documentaire, que je connais, amène le spectateur à se poser une question : la Suisse, forte de ses 4 millions d’habitants, avait-elle le choix ? Les Suisses eux-mêmes n’y sont pour rien, mais la BNS a sans aucun doute saisi l’occasion d’en tirer un profit substantiel, en somme, comme en temps de paix.

Seule la BNS a été en cause, pas le peuple suisse. C'est comme si vous rendiez responsable tous les Français, de la collaboration de nombreux industriels et de gros agriculteurs français qui ce sont enrichis et devenus multimillionnaires grâce à leur collaboration volontaire avec l'Allemagne.

Si un sale type c'est un type qui rappelle ce qu'est la Suisse - petit pays connu pour ses banques peu regardantes sur l'origine des fonds qui y sont déposés - ainsi que de son passé et des ses accointances avec les nazis.
Alors que vous n'arrêtez pas prendre ce pays, la Suisse, comme un exemple .. que devrait suivre les autres pays.

On ne doit pas avoir la même définition du sale type. Je dirais même qu'elle est opposée.

[grishka]

La Suisse n'a pas fait la difficile sur l'argent des nazis.

La Suisse accueillait l'argent des nazis pendant que la France les accueillait tout court.