
Bref un coup on s’incline devant l’ours ,un coup devant l’aigle .La prochaine bebête qui verra notre calvitie c’est quoi , un blaireau , une fouine , un bigorneau .....un fennec ?

Effectivement , Sarko n'a pas bon sur ce coup !berger141 a écrit : ↑31 janvier 2023 23:15 La situation au Burkina est désastreuse. ce pays n'arrive pas à contenir les islamistes qui gagnent du terrain et occupent tout le Nord Est du pays.
L'armée française est virée, les islamistes vont pouvoir attendre leur action. La situation du pays ne peut que s'aggraver rapidement.
Ne pas oublier que le responsable c'est Sarko avec son initiative qui a fait la guerre en Libye et déstabiliser toute la région
Vous réussissez tout de même à rendre responsable la gauche les actions négatives de Sarkole chimple a écrit : ↑02 février 2023 19:12Effectivement , Sarko n'a pas bon sur ce coup !berger141 a écrit : ↑31 janvier 2023 23:15 La situation au Burkina est désastreuse. ce pays n'arrive pas à contenir les islamistes qui gagnent du terrain et occupent tout le Nord Est du pays.
L'armée française est virée, les islamistes vont pouvoir attendre leur action. La situation du pays ne peut que s'aggraver rapidement.
Ne pas oublier que le responsable c'est Sarko avec son initiative qui a fait la guerre en Libye et déstabiliser toute la région
A décharge , c'est sur la pression internationale et ...celle de politicards et d'intellos de gauche comme le grand BHL , mère Thérésa devant l'éternel ....![]()
Avouez que le célèbre BHL y était , non ??Georges61 a écrit : ↑02 février 2023 19:24Vous réussissez tout de même à rendre responsable la gauche les actions négatives de Sarkole chimple a écrit : ↑02 février 2023 19:12
Effectivement , Sarko n'a pas bon sur ce coup !
A décharge , c'est sur la pression internationale et ...celle de politicards et d'intellos de gauche comme le grand BHL , mère Thérésa devant l'éternel ....![]()
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si demain, il pleut partout en France, vous allez nous dire que c'est de la faute de la gauche. Vous ne vous rendez même plus compte que pour toutes les difficultés que peut avoir la France cela viendrait obligatoirement de la gauche. Vous avez un manque d'objectivité qui est assez incroyable.
Face à l'intervention des USA aux conséquences désastreuses en Irak,le chimple a écrit : ↑02 février 2023 20:25Avouez que le célèbre BHL y était , non ??Georges61 a écrit : ↑02 février 2023 19:24
Vous réussissez tout de même à rendre responsable la gauche les actions négatives de Sarko![]()
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si demain, il pleut partout en France, vous allez nous dire que c'est de la faute de la gauche. Vous ne vous rendez même plus compte que pour toutes les difficultés que peut avoir la France cela viendrait obligatoirement de la gauche. Vous avez un manque d'objectivité qui est assez incroyable.
Et la classe politique de gauche aussi , mais je reconnais que Sarko a décidé seul , et ça , c'est une énorme erreur !!
Ce genre de conneries devrait etre discuté dans les deux assemblées , comme aux USA !
On aurait pu s'en passer .. ainsi que le Mali et toutes interventions militaires hasardeuses , couteuses et lourdes de conséquences !
Heureusement que les américains ont calmé les ardeurs guerrières de Hollande ?
Il aurait engagé notre armée contre Bachar !!
Vous vous rappelez ?
Source:Le Figaro.
Le président du Burkina Faso issu d'un coup d'État, le capitaine Ibrahim Traoré, a affirmé vendredi qu'il n'y avait «pas de rupture des relations diplomatiques» avec la France et a démenti la présence de mercenaires russes de Wagner dans son pays.
Alors que des manifestations contre la France ont régulièrement lieu au Burkina depuis qu'il a pris le pouvoir en septembre, le capitaine Traoré a affirmé que son souhait de voir partir les forces spéciales françaises de Ouagadougou n'avait pas d'incidence sur les relations diplomatiques avec Paris.
«La fin des accords diplomatiques, non !», a-t-il déclaré dans un entretien télévisé accordé à des journalistes burkinabè. «Il n'y a pas de rupture des relations diplomatiques ou de haine contre un État particulier», a-t-il ajouté. Selon lui, il y a simplement eu rupture à la demande du Burkina d'un accord militaire sur la présence des forces spéciales françaises à Ouagadougou. «C'est juste un processus qui a été enclenché et ça n'a rien à voir avec la diplomatie».
«L'ambassade de France est là (à Ouagadougou) les ressortissants sont là, on a notre ambassade là-bas (à Paris) donc, diplomatiquement, rien n'a été touché», a-t-il remarqué, sans évoquer les relations tendues avec l'ambassadeur de France rappelé à Paris «pour consultations». Il a par ailleurs démenti la présence de mercenaires russes de la société Wagner au Burkina, en proie à la violence djihadiste depuis 2015 et où les violences se sont multipliées ces derniers mois.
«On a entendu partout que Wagner est à Ouagadougou, j'ai même demandé à certains +ah bon, ils sont où?+», a-t-il dit.«Nous avons nos Wagner, ce sont les VDP (Volontaires pour la défense de la patrie, supplétifs civils de l'armée) que nous recrutons. Ce sont eux nos Wagner», a-t-il souligné.
Selon lui, le rapprochement du Burkina avec la Russie est vu «forcément de façon politique, mais nous, nous sommes là pour une mission, c'est la sécurité, c'est la mission première». «Nous voulons vraiment scruter d'autres horizons, parce que nous voulons des partenariats gagnant-gagnant», a-t-il dit, ajoutant: «Nous ne voulons pas de partenariats pas clairs, un peu flous ou déséquilibrés».
«Souveraineté et dignité»:
Il a affirmé que «tout ce que le peuple veut, c'est sa souveraineté, vivre dignement». «Ça ne veut pas dire quitter un pays, pour un autre». Les partenariats recherchés par le capitaine Traoré sont en particulier d'ordre militaire et «si on ne peut pas nous permettre d'acquérir des équipements militaires dans tel pays, on va aller dans d'autres pays pour l'acquérir». Il faut qu'on «nous permette de pouvoir nous équiper et faire la guerre, parce qu'on ne va pas s'asseoir et regarder notre peuple mourir, ça jamais !».
Mais si un pays vient «pour nous coloniser, nous dominer, nous ne serons pas d'accord». Le Burkina Faso, théâtre de deux coups d'État militaires en 2022, est pris depuis 2015 dans la spirale de la violence djihadiste apparue au Mali quelques années auparavant et qui s'est étendue au-delà de ses frontières.
Les attaques des groupes liés à al-Qaida et à l'État islamique y ont fait des milliers de morts et quelque deux millions de déplacés. Ces groupes occupent environ 40% du territoire burkinabè.
Le capitaine Ibrahim Traoré, président de transition issu d'un coup d'État militaire le 30 septembre 2022 - le deuxième en huit mois - s'est donné pour objectif «la reconquête du territoire occupé par ces hordes de terroristes». Il a écarté vendredi toute négociation avec les djihadistes.
«On attaque des civils désarmés, qui sont assis tranquillement chez eux, ou qui voyagent on les arrête et on les assassine. Comment peut-on négocier avec des gens qui font ça ?» Selon lui, «le Burkina est un pays souverain, un pays laïc et ces valeurs ne se négocient pas».
c'est pour cela qu'il ne faut pas les cotoyer et qu'une cohabitation des cultures est impossibledanielle49 a écrit : ↑05 février 2023 11:28 Les Occidentaux en général, les Français en particulier, n'ont absolument rien compris à la civilisation arabo-musulmane. Leur foi, leur croyance, leur fanatisme religieux nourrissent un déterminisme aveugle. Leur rapport à la vie et à la mort sont différents des nôtres. Leur fatalisme pratiquement inscrit dans leur ADN leur fait accepter la mort comme l'un des bienfaits de leur dieu. Ils ne respectent que le rapport de force et la démocratie, qui n'existe dans aucun pays arabe, est considérée comme une faiblesse, une hérésie créée par l'homme et non par Dieu.
Leur Dieu est celui de la conquête de la mise à mort, pas du tout celui de la paix et du pardon. On est croyant aveuglément sinon on ne peut en aucun cas être respecté.
Source:Le Figaro.
Cinq personnes, dont deux soldats, ont été tuées jeudi 16 février lors d'une attaque perpétrée par des djihadistes présumés dans l'est du Burkina Faso, a appris ce vendredi l'AFP de sources sécuritaire et locales.
Jeudi, «plus d'une centaine d'hommes armés ont attaqué la localité de Partiaga, dans la province de la Tapoa (Est). Malheureusement, cinq personnes, trois civils et deux soldats, sont tombées», a indiqué une source sécuritaire. Selon cette même source, «plus d'une quinzaine de terroristes ont été neutralisés» par des soldats et des Volontaires pour la défense de la patrie (VDP, supplétifs civils de l'armée).
Multiplication de raids meurtriers:
Un habitant de Partiaga a également évoqué un bilan de «cinq morts au cours de l'attaque». «Dans leur fuite après la riposte de l'armée, les terroristes ont incendié des greniers (à denrées) et des maisons», a indiqué cet habitant s'exprimant sous le couvert de l'anonymat.
Jeudi matin, des membres de la société civile et d'autres organisations socio-professionnelles et religieuses de la province de la Tapoa, réunies à Diapaga (son chef-lieu) ont dans une déclaration lue devant la presse locale, appelé les autorités à «agir pour desserrer l'étau des groupes armés terroristes» sur les communes de la province pour «éviter le pire».
«Les dernières semaines n'ont pas été du tout faciles pour nous. Plus d'une cinquantaine de personnes ont été tuées par des personnes que nous n'avons pas encore identifiées et qui continuent de nous faire craindre le pire», a déploré leur porte-parole, Kondjoa Pierre Yonli.
Selon lui, l'administration n'opère plus que dans deux villes de la province, Diapaga et Kantchari. «Toutes les autres communes sont sous influence de terroristes qui dictent leurs lois aux pauvres populations contraintes de se soumettre à la volonté des nouveaux hommes forts du moment», a-t-il indiqué.
Les raids meurtriers attribués à des djihadistes se multiplient ces dernières semaines au Burkina. Une soixantaine de personnes sont mortes la semaine dernière et une cinquantaine la semaine précédente, selon un décompte de l'AFP.
Le Burkina Faso, théâtre de deux coups d'État militaires en 2022, est pris depuis 2015 dans une spirale de violences djihadistes apparues au Mali et au Niger quelques années auparavant et qui s'est étendue au-delà de leurs frontières. Les violences ont fait plus de 10.000 morts (civils et militaires) selon des ONG, et quelque deux millions de déplacés.
Eh bien, si la France reste loin de l'Afrique, alors ils n'auront pas besoin de lui demander de l'aider contre les maux qu'elle aura créés (comme avec l'histoire du Mali et de la Libye par-exemple).