Propos anti-migrants : "Un discours identitaire nouveau au sommet de l'État tunisien"

[Patchouli38]

"Le président Kaïs Saïed a suscité la polémique, mardi, en reprenant à son compte une rhétorique complotiste et xénophobe à l'encontre des migrants subsahariens présents en Tunisie. "Un discours haineux" au plus haut sommet de l'État, dénoncent les ONG, qui fait craindre une banalisation de la parole raciste.

""Des hordes de migrants clandestins" à l'origine de "violences et d'actes inacceptables", une menace pour l'identité "arabe et islamique" du pays, "un plan criminel pour changer la composition du paysage démographique en Tunisie". Le président Kaïs Saïed a suscité l'indignation d'une partie de l'opinion publique et des associations de défense des migrants, mardi 21 février, en propageant un discours xénophobe que n'aurait pas renié l'extrême droite européenne.

Les propos du président Saïed, tenus lors d'une réunion du Conseil de sécurité nationale, ont d'ailleurs été rapidement salués en France par Éric Zemmour, ancien candidat à l'élection présidentielle et ardent défenseur de la théorie complotiste du "grand remplacement", selon laquelle l'immigration constituerait une menace à l'existence d'une "population de souche".

Ces propos virulents s'inscrivent dans une campagne générale de racisme décomplexé et de xénophobie sur les réseaux sociaux et dans les médias tunisiens. Début janvier par exemple, l'ancien porte-parole du ministère de l’intérieur, Khalifa Chibani, déplorait, sur une radio privée, ces "Africains qui commencent à devenir trop nombreux" dans la ville de Sfax, dans l'est de la Tunisie.

Quelques jours avant la virulente charge du président Saïed, plusieurs ONG ont dénoncé "la montée du discours haineux et raciste" ainsi que l'interpellation de 300 personnes en seulement une semaine.

"Il a toujours existé en Tunisie des discours racistes tenus par une minorité de responsables politiques à l'égard des migrants mais aussi des Noirs de nationalité tunisienne", analyse le sociologue Vincent Geisser, spécialiste du Maghreb. "Ce qui est nouveau ici, c'est que le président se réapproprie ce discours pour en faire un discours d'État sur un registre à la fois sécuritaire et identitaire".

"Il y avait déjà des propos insultants et racistes au sein de la classe politique mais ce type de discours officiel et l'ampleur de leur violence sont nouveaux", confirme la chercheuse Kenza Ben Azouz, spécialiste des discriminations sexistes et racistes en Tunisie.

"Climat délétère"
Selon les estimations des ONG, les migrants subsahariens seraient entre 30 000 et 50 000 sur le territoire, "soit un tiers de l'ensemble des migrants présents en Tunisie qui eux-mêmes ne représentent que 0,5 % de la population", rappelle l'ingénieur et activiste camerounais Franck Yotedje du groupe de réflexion Afrique intelligence, qui milite pour l'intégration des migrants à Sfax.

Si les migrants sont loin d'être en mesure de "remplacer" la population tunisienne, ils sont de plus en plus visibles depuis une dizaine d'années en Tunisie. "Jusqu'aux années 2000, la Tunisie a connu une immigration de transit. Aujourd'hui, il s'agit de gens qui s'installent notamment parce que l'accès au territoire européen est de plus en plus compliqué", explique Vincent Geisser".

https://www.france24.com/fr/afrique/202 ... t-tunisien

Eric Zemmour, sort de ce corps !!!!

[oups]

"Le président Kaïs Saïed a suscité la polémique, mardi, en reprenant à son compte une rhétorique complotiste et xénophobe à l'encontre des migrants subsahariens présents en Tunisie. "Un discours haineux" au plus haut sommet de l'État, dénoncent les ONG, qui fait craindre une banalisation de la parole raciste.

""Des hordes de migrants clandestins" à l'origine de "violences et d'actes inacceptables", une menace pour l'identité "arabe et islamique" du pays, "un plan criminel pour changer la composition du paysage démographique en Tunisie". Le président Kaïs Saïed a suscité l'indignation d'une partie de l'opinion publique et des associations de défense des migrants, mardi 21 février, en propageant un discours xénophobe que n'aurait pas renié l'extrême droite européenne.

Les propos du président Saïed, tenus lors d'une réunion du Conseil de sécurité nationale, ont d'ailleurs été rapidement salués en France par Éric Zemmour, ancien candidat à l'élection présidentielle et ardent défenseur de la théorie complotiste du "grand remplacement", selon laquelle l'immigration constituerait une menace à l'existence d'une "population de souche".

Ces propos virulents s'inscrivent dans une campagne générale de racisme décomplexé et de xénophobie sur les réseaux sociaux et dans les médias tunisiens. Début janvier par exemple, l'ancien porte-parole du ministère de l’intérieur, Khalifa Chibani, déplorait, sur une radio privée, ces "Africains qui commencent à devenir trop nombreux" dans la ville de Sfax, dans l'est de la Tunisie.

Quelques jours avant la virulente charge du président Saïed, plusieurs ONG ont dénoncé "la montée du discours haineux et raciste" ainsi que l'interpellation de 300 personnes en seulement une semaine.

"Il a toujours existé en Tunisie des discours racistes tenus par une minorité de responsables politiques à l'égard des migrants mais aussi des Noirs de nationalité tunisienne", analyse le sociologue Vincent Geisser, spécialiste du Maghreb. "Ce qui est nouveau ici, c'est que le président se réapproprie ce discours pour en faire un discours d'État sur un registre à la fois sécuritaire et identitaire".

"Il y avait déjà des propos insultants et racistes au sein de la classe politique mais ce type de discours officiel et l'ampleur de leur violence sont nouveaux", confirme la chercheuse Kenza Ben Azouz, spécialiste des discriminations sexistes et racistes en Tunisie.

"Climat délétère"
Selon les estimations des ONG, les migrants subsahariens seraient entre 30 000 et 50 000 sur le territoire, "soit un tiers de l'ensemble des migrants présents en Tunisie qui eux-mêmes ne représentent que 0,5 % de la population", rappelle l'ingénieur et activiste camerounais Franck Yotedje du groupe de réflexion Afrique intelligence, qui milite pour l'intégration des migrants à Sfax.

Si les migrants sont loin d'être en mesure de "remplacer" la population tunisienne, ils sont de plus en plus visibles depuis une dizaine d'années en Tunisie. "Jusqu'aux années 2000, la Tunisie a connu une immigration de transit. Aujourd'hui, il s'agit de gens qui s'installent notamment parce que l'accès au territoire européen est de plus en plus compliqué", explique Vincent Geisser".

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Eric Zemmour, sort de ce corps !!!!

Encore un illuminé qui trouve que de s’occuper des pov’ des autres quand on deja tant de peine à s’occuper des siens n’est pas des plus raisonnable En plus dans les migrants ,ya plein de Chrétiens , et en plus d’en plus sont souvent noirs les gars

[gare au gorille]

"Le président Kaïs Saïed a suscité la polémique, mardi, en reprenant à son compte une rhétorique complotiste et xénophobe à l'encontre des migrants subsahariens présents en Tunisie. "Un discours haineux" au plus haut sommet de l'État, dénoncent les ONG, qui fait craindre une banalisation de la parole raciste.

""Des hordes de migrants clandestins" à l'origine de "violences et d'actes inacceptables", une menace pour l'identité "arabe et islamique" du pays, "un plan criminel pour changer la composition du paysage démographique en Tunisie". Le président Kaïs Saïed a suscité l'indignation d'une partie de l'opinion publique et des associations de défense des migrants, mardi 21 février, en propageant un discours xénophobe que n'aurait pas renié l'extrême droite européenne.

Les propos du président Saïed, tenus lors d'une réunion du Conseil de sécurité nationale, ont d'ailleurs été rapidement salués en France par Éric Zemmour, ancien candidat à l'élection présidentielle et ardent défenseur de la théorie complotiste du "grand remplacement", selon laquelle l'immigration constituerait une menace à l'existence d'une "population de souche".

Ces propos virulents s'inscrivent dans une campagne générale de racisme décomplexé et de xénophobie sur les réseaux sociaux et dans les médias tunisiens. Début janvier par exemple, l'ancien porte-parole du ministère de l’intérieur, Khalifa Chibani, déplorait, sur une radio privée, ces "Africains qui commencent à devenir trop nombreux" dans la ville de Sfax, dans l'est de la Tunisie.

Quelques jours avant la virulente charge du président Saïed, plusieurs ONG ont dénoncé "la montée du discours haineux et raciste" ainsi que l'interpellation de 300 personnes en seulement une semaine.

"Il a toujours existé en Tunisie des discours racistes tenus par une minorité de responsables politiques à l'égard des migrants mais aussi des Noirs de nationalité tunisienne", analyse le sociologue Vincent Geisser, spécialiste du Maghreb. "Ce qui est nouveau ici, c'est que le président se réapproprie ce discours pour en faire un discours d'État sur un registre à la fois sécuritaire et identitaire".

"Il y avait déjà des propos insultants et racistes au sein de la classe politique mais ce type de discours officiel et l'ampleur de leur violence sont nouveaux", confirme la chercheuse Kenza Ben Azouz, spécialiste des discriminations sexistes et racistes en Tunisie.

"Climat délétère"
Selon les estimations des ONG, les migrants subsahariens seraient entre 30 000 et 50 000 sur le territoire, "soit un tiers de l'ensemble des migrants présents en Tunisie qui eux-mêmes ne représentent que 0,5 % de la population", rappelle l'ingénieur et activiste camerounais Franck Yotedje du groupe de réflexion Afrique intelligence, qui milite pour l'intégration des migrants à Sfax.

Si les migrants sont loin d'être en mesure de "remplacer" la population tunisienne, ils sont de plus en plus visibles depuis une dizaine d'années en Tunisie. "Jusqu'aux années 2000, la Tunisie a connu une immigration de transit. Aujourd'hui, il s'agit de gens qui s'installent notamment parce que l'accès au territoire européen est de plus en plus compliqué", explique Vincent Geisser".

https://www.france24.com/fr/afrique/202 ... t-tunisien

Eric Zemmour, sort de ce corps !!!!

Ben oui, ce que vous essayez de nous faire passer pour du racisme est tout simplement du bon sens. Ce président est tout simplement en train de défendre son pays, on aimerait bien qu'enfin quelqu'un au plus haut sommet de notre état défende le notre. Pour le moment on se demande s'il y a encore un pilote dans l'avion.

[vivarais]

"Le président Kaïs Saïed a suscité la polémique, mardi, en reprenant à son compte une rhétorique complotiste et xénophobe à l'encontre des migrants subsahariens présents en Tunisie. "Un discours haineux" au plus haut sommet de l'État, dénoncent les ONG, qui fait craindre une banalisation de la parole raciste.

""Des hordes de migrants clandestins" à l'origine de "violences et d'actes inacceptables", une menace pour l'identité "arabe et islamique" du pays, "un plan criminel pour changer la composition du paysage démographique en Tunisie". Le président Kaïs Saïed a suscité l'indignation d'une partie de l'opinion publique et des associations de défense des migrants, mardi 21 février, en propageant un discours xénophobe que n'aurait pas renié l'extrême droite européenne.

Les propos du président Saïed, tenus lors d'une réunion du Conseil de sécurité nationale, ont d'ailleurs été rapidement salués en France par Éric Zemmour, ancien candidat à l'élection présidentielle et ardent défenseur de la théorie complotiste du "grand remplacement", selon laquelle l'immigration constituerait une menace à l'existence d'une "population de souche".

Ces propos virulents s'inscrivent dans une campagne générale de racisme décomplexé et de xénophobie sur les réseaux sociaux et dans les médias tunisiens. Début janvier par exemple, l'ancien porte-parole du ministère de l’intérieur, Khalifa Chibani, déplorait, sur une radio privée, ces "Africains qui commencent à devenir trop nombreux" dans la ville de Sfax, dans l'est de la Tunisie.

Quelques jours avant la virulente charge du président Saïed, plusieurs ONG ont dénoncé "la montée du discours haineux et raciste" ainsi que l'interpellation de 300 personnes en seulement une semaine.

"Il a toujours existé en Tunisie des discours racistes tenus par une minorité de responsables politiques à l'égard des migrants mais aussi des Noirs de nationalité tunisienne", analyse le sociologue Vincent Geisser, spécialiste du Maghreb. "Ce qui est nouveau ici, c'est que le président se réapproprie ce discours pour en faire un discours d'État sur un registre à la fois sécuritaire et identitaire".

"Il y avait déjà des propos insultants et racistes au sein de la classe politique mais ce type de discours officiel et l'ampleur de leur violence sont nouveaux", confirme la chercheuse Kenza Ben Azouz, spécialiste des discriminations sexistes et racistes en Tunisie.

"Climat délétère"
Selon les estimations des ONG, les migrants subsahariens seraient entre 30 000 et 50 000 sur le territoire, "soit un tiers de l'ensemble des migrants présents en Tunisie qui eux-mêmes ne représentent que 0,5 % de la population", rappelle l'ingénieur et activiste camerounais Franck Yotedje du groupe de réflexion Afrique intelligence, qui milite pour l'intégration des migrants à Sfax.

Si les migrants sont loin d'être en mesure de "remplacer" la population tunisienne, ils sont de plus en plus visibles depuis une dizaine d'années en Tunisie. "Jusqu'aux années 2000, la Tunisie a connu une immigration de transit. Aujourd'hui, il s'agit de gens qui s'installent notamment parce que l'accès au territoire européen est de plus en plus compliqué", explique Vincent Geisser".

https://www.france24.com/fr/afrique/202 ... t-tunisien

Eric Zemmour, sort de ce corps !!!!

serait il d'extreme droite
le gouvernement algérien c'est pas mieux quand il les emmene et les abandonne aux confins du sahara
ce n'est pas mieux au maroc où il y a périodiquent de pogrom anti migrants
je passe sur la libye qui les réduit à l'esclavage
mais c'est nous les extremistes immondes de droite racistes

[Mickey]

En voilà un qui voit clair.

[Relax]

C'est normal que les tunisiens veulent rester chez eux et refusent l'overdose migratoire de clandos !
Je ne pense pas que les tunisiens soient islamophobes, mais les clandos sont bien obligés de bosser au noir ou de vivre de rapines, le lien entre l'immigration et l'insécurité est évident et universel.

Pas qu'en France !

Au Maroc aussi, ils en ont ras le bol des étrangers qui viennent manger le pain des français !



Au Maroc, ils ne sont pas islamophobes c'est juste que l'immigration clandestine pose énormément de problèmes aux couches populaires.

Les bobos immigrationnistes vivent dans des quartiers préservés, ils s'en foutent !

[Mickey]

Les pays du Maghreb sont en première ligne de l'invasion migratoire avant que Macron n'accueille à bras ouverts tous les migrants.
Il est normal que ces pays n'en peuvent plus et demandent un peu de répit à la France.

[berger141]

On constate une nouvelle fois que les mêmes causes produisent les mêmes effets et les mêmes réactions.
Le trop d'immigration génère partout les mêmes réactions , qui ne sont pas celles de la seule très vilaine "extreme droite"

[oups]

On constate une nouvelle fois que les mêmes causes produisent les mêmes effets et les mêmes réactions.
Le trop d'immigration génère partout les mêmes réactions , qui ne sont pas celles de la seule très vilaine "extreme droite"

Même les voisins des congolais se plaignent du trop de congolais chez eux .
Sont racistes ces voisins

[Crapulax]

...Le président Tunisien est atteint de complotisme..Mais aussi de la maladie du "lèche-électeur" puisque celui-ci est en lisse pour la prochaine présidentielle..Il n'empêche que la Tunisie connait un "sentiment" anti-migratoire de plus en plus palpable dans la société.

....Et je suis allé me renseigner sur le Maroc...Puisque Relax relayait certaines unes de journaux...Effectivement le gouvernement Marocain ne souhaite pas vraiment recevoir les migrants provenant d'Afrique....Ces derniers ont fait des manifs qui furent de suite réprimées par les forces de l'ordre....Ils demandaient des droits...Mais ont encore reçu des coups.

Et en Algérie?.....Arfff....Cela fait quelques années que ces derniers procèdent à des vagues d'expulsions et ont l'année dernière "reconduit" quelques 14 000 Africains à leurs frontières.

............Que drait-on si la France en faisait autant,avec les mêmes méthodes?....Cette France décriée comme "raciste","anti-migrants" et tout le toutim par une partie de l'immigration qui elle-même ne veut pas et réprime par la force les "mêmes migrants" sur leur sol....Alors?...Racistes les Maghrébins?...Plus de notion de "frères"?

[vivarais]

quand çà se passe dans leurs pays d'origine , certains sont moins loquaces sur ce forum
tout comme les pourfendeurs de reconquete et du RN
force est donc de constater que lorsque cela dépasse le seuil d'assimilation ce n'est pas une question d'extrémisme que l'on prétend de droite
une fois la terre est gorgée 'eau ,elle n'en absorbe plus et c'est l'inondation
cela est de meme pour l'immigration quel que soit le pays ou la couleur de peau des gens

[Relax]

Les pays du Maghreb sont en première ligne de l'invasion migratoire avant que Macron n'accueille à bras ouverts tous les migrants.
Il est normal que ces pays n'en peuvent plus et demandent un peu de répit à la France.

Comment dit-on " qu'ils retournent en Afrique !" en tunisien ?

[Kelenner]

Les mêmes politicards merdiques que chez nous, qui mettent sur le dos de 30000 pauvres types (moins de 0,5% de la population tunisienne, pour rappel) leur incurie, généralement doublée de corruption.

[Peracetic]

Bonjour
On conclura en disant que malgré leurs problèmes, les Tunisiens ont au moins cette chance consistant à avoir un président se préoccupant avant tout des intérêts vitaux de son peuple.
Dommage qu’on ne puisse en dire autant en France.

[Relax]

Les mêmes politicards merdiques que chez nous, qui mettent sur le dos de 30000 pauvres types (moins de 0,5% de la population tunisienne, pour rappel) leur incurie, généralement doublée de corruption.

Tu n'as pas la fibre populaire, il faut te mettre à la place des gens qui sont déjà dans la merde et qui voient arriver des migrants qui vont soit bosser au noir soit vivre de rapines !

Les agressions se multiplient, les femmes ont peur, y'a de nombreux articles dans les journaux marocains et tunisiens qui expliquent le quotidien des braves gens.

Tu n'écoutes pas assez les peuples arabes.