Oui le furher en son temps disait pareil, c’est le nombre qui gêne .
Ton admiration pour Hitler on s'en tape un peu. Pour le reste oui, dans une invasion ce n'est pas l'individu qui pose un problème par sa différence mais c'est le nombre qui transforme la différence qui est pourtant une richesse en problèmes insolubles. Mais ça a l'air beaucoup trop compliqué pour toi.
La démocratie et nos campagnes électorales ouvertes nous ont permis de contenir le flot des votes populistes d'extrême droite. Ca nous permettra en 2027 d'éviter un Saïed
Oui le furher en son temps disait pareil, c’est le nombre qui gêne .
Ton admiration pour Hitler on s'en tape un peu. Pour le reste oui, dans une invasion ce n'est pas l'individu qui pose un problème par sa différence mais c'est le nombre qui transforme la différence qui est pourtant une richesse en problèmes insolubles. Mais ça a l'air beaucoup trop compliqué pour toi.
pour l'instant, et jusque dans l'hémicycle, la seule invasion qu'on subit, c'est celle du FN.
ou ils servent à rien ou ils disent de la merde, ou ils sont malhonnête, et en plus ils nous coutent une blinde.
Tunisie: l'ambassade de Côte d’Ivoire vient en aide à ses ressortissants
En Tunisie, le départ forcé des Ivoiriens est difficile après les propos de Kaïs Saïed, le 21 février, sur la lutte contre la vague migratoire dans son pays. Ceux qui se sont réunis lundi 27 février devant l’ambassade de Côte d’Ivoire, pour un éventuel rapatriement, évoquent avec tristesse leurs années en Tunisie. Malgré des années passées ici, la majorité se retrouve aujourd’hui sans travail, ni logement, et contrainte de partir.
Devant l’ambassade de Côte d’Ivoire à Tunis, Hervé, Ivoirien de 33 ans, raconte qu’il a fait tous les métiers depuis son arrivée en Tunisie il y a cinq ans. Pâtissier, maçon... Malgré ses années de travail et plusieurs demandes de carte de séjour, il n’a jamais eu les papiers. Et durant le week-end du 25-26 février, il a été expulsé de son logement dans le quartier de Bhar Lazreg. Une situation qu’il ne comprend pas :
« Moi, j’ai travaillé avec des Tunisiens, il n’y a jamais eu ce problème-là. On n’a jamais eu un Tunisien, un Marocain ou un Maghrébin qui a été inquiété en Côte d’Ivoire. Jamais. Donc, je pensais que ça devait être le cas ici. »
C’est avec un goût amer qu’il va quitter le pays. « J’ai fait des papiers pour rentrer, parce qu’aujourd’hui, je ne sais pas. Aujourd’hui, on m’a mis dehors. Tu vas chez un frère, le frère il te dit ''je ne peux, parce que moi-même, on m’a donné deux jours''. Bon, au final, on va où ? », déplore-t-il.
Adeline, 35 ans, porte son bébé de deux mois dans une couverture. Un enfant à qui elle n’a pas pu donner de statut légal en Tunisie, faute de moyens :
« Je réclame les papiers pour faire l’extrait du bébé, on me dit de payer 700 dinars [environ 209 euros, Ndlr]. J’ai dit ouvertement que je n’ai pas les 700 dinars. Pour cela, ils ont bloqué les papiers de mon bébé. Jusqu’à présent, mon enfant n’a pas d’extrait. Qu’est-ce que je vais faire, maintenant ? Je préfère rentrer chez moi pour pouvoir faire l’extrait de l’enfant, pour pouvoir le mettre à l’école. »
Les ambassades du Mali, du Cameroun et du Burkina Faso ont également invité leurs ressortissants, via des communiqués, à se rapprocher de leur chancellerie s’ils souhaitent un retour volontaire.
En Tunisie, la chasse aux migrants sub-sahariens d’un Président dans l’impasse
Le Président tunisien Kaïs Saïed a dénoncé un complot visant à remplacer la population tunisienne par des migrants sub-sahariens, déclenchant des événements à caractère raciste. Un signe de l’autoritarisme croissant de ce président populaire mais impuissant.
Lorsqu’il a suspendu les institutions et s’est arrogé les pleins pouvoirs, le 25 juillet 2021, le Président tunisien Kaïs Saïed a cité une répartie du général de Gaulle pour répondre à ses détracteurs : « ce n’est pas à mon âge que je vais commencer une carrière de dictateur ». Après les événements des derniers jours en Tunisie, on en est un peu moins sûr.
Le chef de l’État tunisien a renoué avec une tradition autoritaire, mais surtout, il a plongé le pays dans un cauchemar raciste, en désignant à la vindicte populaire les immigrés sub-sahariens. Des scènes de chasse à l’homme ont été décrites dans la grande ville de Sfax, d’autres migrants se cachent de peur.
L’Union africaine a dénoncé les « déclarations choquantes » de Kaïs Saïed, ce sont les termes sans détours employés par l’organisation panafricaine.
Le Président tunisien a affirmé la semaine dernière que « l’immigration clandestine relève d’un complot pour modifier la démographie de la Tunisie, afin qu’elle soit considérée comme un pays africain uniquement et non un pays arabe et musulman ». Une version tunisienne du « grand remplacement » de l’extrême droite française, et d’ailleurs, il a reçu le soutien sur Twitter d’Eric Zemmour.
A en croire les réseaux sociaux tunisiens, il y aurait jusqu’à deux millions de migrants sub-sahariens clandestins, pour 13 millions de Tunisiens, c’est invraisemblable. Les chiffres des organisations spécialisées sont au contraire de 25 000 ou un peu plus, soit un pourcentage très faible de la population.
Mais l’important n’est pas là : il est dans la transformation de ces migrants noirs en boucs émissaires d’une crise économique et sociale massive en Tunisie. Depuis des mois, les réseaux sociaux résonnent d’attaques contre les migrants, montant en épingle chaque fait divers. La nouveauté, c’est que ces échos marginaux du web sont désormais cautionnés au plus haut niveau de l’État.
Le contexte est évidemment porteur : Kaïs Saïed est dans l’impasse politique : la participation aux dernières législatives a été de moins de 10%. L’étranger est, partout dans le monde, une cible facile pour détourner l’attention.
Élu avec une large majorité en 2019, le Président bénéficie toujours d’une solide popularité, pour avoir mis fin en 2021 au chaos politique qui paralysait le pays ; il a donné un coup d’arrêt à l’influence du parti islamiste Ennahdha. Malgré la faible participation aux scrutins, la population n’a pas retiré sa confiance à celui qui se présente comme l’homme providentiel qui va sauver la Tunisie.
Mais la dérive des derniers jours inquiète. Il a procédé à des arrestations d’opposants pacifiques, de journalistes, et même de syndicalistes, au risque de se mettre à dos la puissante centrale syndicale UGTT jusqu’ici restée très modérée.
La société civile tunisienne, qui a montré sa vivacité au cours des douze années depuis la révolution, est aujourd’hui face à un nouveau défi, incarné par la chasse aux migrants et le tour de vis contre les opposants.
Cet automne, l’auteur franco-tunisien Hatem Nafti publiait un essai intitulé : « Tunisie, vers un populisme autoritaire » suivi d’un point d’interrogation (édition Riveneuve, 2022 – j’en ai écrit la préface). Sans doute est-il temps d’enlever le point d’interrogation… Kaïs Saïed, l’ancien professeur de droit constitutionnel, a renoué avec des méthodes que la Tunisie espérait avoir vaincues à tout jamais.
Once a écrit : ↑01 mars 2023 09:22Tunisie: l'ambassade de Côte d’Ivoire vient en aide à ses ressortissants
En Tunisie, le départ forcé des Ivoiriens est difficile après les propos de Kaïs Saïed, le 21 février, sur la lutte contre la vague migratoire dans son pays. Ceux qui se sont réunis lundi 27 février devant l’ambassade de Côte d’Ivoire, pour un éventuel rapatriement, évoquent avec tristesse leurs années en Tunisie. Malgré des années passées ici, la majorité se retrouve aujourd’hui sans travail, ni logement, et contrainte de partir.
Devant l’ambassade de Côte d’Ivoire à Tunis, Hervé, Ivoirien de 33 ans, raconte qu’il a fait tous les métiers depuis son arrivée en Tunisie il y a cinq ans. Pâtissier, maçon... Malgré ses années de travail et plusieurs demandes de carte de séjour, il n’a jamais eu les papiers. Et durant le week-end du 25-26 février, il a été expulsé de son logement dans le quartier de Bhar Lazreg. Une situation qu’il ne comprend pas :
« Moi, j’ai travaillé avec des Tunisiens, il n’y a jamais eu ce problème-là. On n’a jamais eu un Tunisien, un Marocain ou un Maghrébin qui a été inquiété en Côte d’Ivoire. Jamais. Donc, je pensais que ça devait être le cas ici. »
C’est avec un goût amer qu’il va quitter le pays. « J’ai fait des papiers pour rentrer, parce qu’aujourd’hui, je ne sais pas. Aujourd’hui, on m’a mis dehors. Tu vas chez un frère, le frère il te dit ''je ne peux, parce que moi-même, on m’a donné deux jours''. Bon, au final, on va où ? », déplore-t-il.
Adeline, 35 ans, porte son bébé de deux mois dans une couverture. Un enfant à qui elle n’a pas pu donner de statut légal en Tunisie, faute de moyens :
« Je réclame les papiers pour faire l’extrait du bébé, on me dit de payer 700 dinars [environ 209 euros, Ndlr]. J’ai dit ouvertement que je n’ai pas les 700 dinars. Pour cela, ils ont bloqué les papiers de mon bébé. Jusqu’à présent, mon enfant n’a pas d’extrait. Qu’est-ce que je vais faire, maintenant ? Je préfère rentrer chez moi pour pouvoir faire l’extrait de l’enfant, pour pouvoir le mettre à l’école. »
Les ambassades du Mali, du Cameroun et du Burkina Faso ont également invité leurs ressortissants, via des communiqués, à se rapprocher de leur chancellerie s’ils souhaitent un retour volontaire.
Cet homme a cherché à s'intégrer en travaillant et en s'insérant à la société et malgré cela, et pour tout remerciement, il est jeté dehors comme un malpropre. Et il y a des gens ici qui applaudissent. Si on faisait de même avec eux, ils seraient les premiers à se plaindre.
"La valeur ne dépend pas de la religion, mais de l'amour qui nous fait considérer l'autre comme un frère ou une sœur"
Sœur Emmanuelle
"Notre vraie nationalité est l'Humanité" Herbert Georges Wells
Cet homme a cherché à s'intégrer en travaillant et en s'insérant à la société et malgré cela, et pour tout remerciement, il est jeté dehors comme un malpropre. Et il y a des gens ici qui applaudissent. Si on faisait de même avec eux, ils seraient les premiers à se plaindre.
C'est un clando, il n'a pas le droit d'être sur le territoire tunisien.
Je ne comprends pas comment tu peux soutenir ceux qui ne respectent pas les lois, ici comme en Tunisie.
Il faut que tu comprennes une chose simple : un clando doit soit bosser au black, soit vivre de rapines, les locaux ont légitimement peur pour leurs filles et leurs épouses.
Mais on a les mêmes chez nous. Il suffit de lire tous les vieux croutons xénophobes, racistes qui pullulent par exemple sur ce forum pour comprendre que ce genre de discours trouvera toujours un écho chez la basse populace toujours prête à accuser les étrangers de tous maux pour ne pas regarder en face sa propre bassesse et sa propre médiocrité.
Je peux te poser une question simple?.....As-t'on le droit de donner son avis sur les populations migrantes qui rentrent en France?...Est-il possible de dire ce que l'on pense de l'intégration?
.....Tout cela sans être affublé de tous les maux?
Aux mains de l'Etat,la force s'appelle Droit....Aux mains de l'individu,elle se nomme le crime....
Si tu m'as pris pour un clown tu t'es trompé de Carnaval...
...La mort avant le déshonneur!
Mais on a les mêmes chez nous. Il suffit de lire tous les vieux croutons xénophobes, racistes qui pullulent par exemple sur ce forum pour comprendre que ce genre de discours trouvera toujours un écho chez la basse populace toujours prête à accuser les étrangers de tous maux pour ne pas regarder en face sa propre bassesse et sa propre médiocrité.
Je peux te poser une question simple?.....As-t'on le droit de donner son avis sur les populations migrantes qui rentrent en France?...Est-il possible de dire ce que l'on pense de l'intégration?
.....Tout cela sans être affublé de tous les maux?
Evidemment Crapulax. Nous disposons encore d'une certaine liberté d'expression.
Et si vous n'êtes pas d'accord avec mes propos (un tantinet provocateurs, je l'avoue), vous pouvez le faire sans aucun problème !
En politique, ce qu'il y a de plus difficile à apprécier et à comprendre c'est ce qui se passe sous nos yeux.
Alexis de Tocqueville
Evidemment Crapulax. Nous disposons encore d'une certaine liberté d'expression.
Et si vous n'êtes pas d'accord avec mes propos (un tantinet provocateurs, je l'avoue), vous pouvez le faire sans aucun problème !
...Tu dis toi-même que nous disposons d'une certaine liberté d'expression,ce qui est vrai...Les débats le prouvent parfois....Et honnêtement je ne pense pas et je ne conçois pas que l'on puisse parler avec un nazi ou un fasciste...Les mots ont un sens....Les gens défendant leur identité ou le "sentiment" nationaliste ne sont en rien comparables et identifiables au "pire".
Tu vois le truc du genre "RN= Racistes primitifs et Reconquête=nazis"....Genre de globalité qui permet à certains de ne justement pas prendre part à certaines discussions en diabolisant d'entrée leurs interlocuteurs pour ainsi classer leurs thématiques comme "dangereuses" voir "nuisibles"....C'est aussi comme cela que l'on tourne en rond.
Aux mains de l'Etat,la force s'appelle Droit....Aux mains de l'individu,elle se nomme le crime....
Si tu m'as pris pour un clown tu t'es trompé de Carnaval...
...La mort avant le déshonneur!
Evidemment Crapulax. Nous disposons encore d'une certaine liberté d'expression.
Et si vous n'êtes pas d'accord avec mes propos (un tantinet provocateurs, je l'avoue), vous pouvez le faire sans aucun problème !
...Tu dis toi-même que nous disposons d'une certaine liberté d'expression,ce qui est vrai...Les débats le prouvent parfois....Et honnêtement je ne pense pas et je ne conçois pas que l'on puisse parler avec un nazi ou un fasciste...Les mots ont un sens....Les gens défendant leur identité ou le "sentiment" nationaliste ne sont en rien comparables et identifiables au "pire".
Tu vois le truc du genre "RN= Racistes primitifs et Reconquête=nazis"....Genre de globalité qui permet à certains de ne justement pas prendre part à certaines discussions en diabolisant d'entrée leurs interlocuteurs pour ainsi classer leurs thématiques comme "dangereuses" voir "nuisibles"....C'est aussi comme cela que l'on tourne en rond.
Sur ce forum il pleut des mots doux ...Par exemple tous les gens du FN sont des Nazis ..
Si tu es d'accord sur une déclaration de droite tu es zemmouriste ...etc ...
Pourtant je ne vois aucune croix gammée ....zemmour a le droit de dire ce qu'il veut... s'il se fait remonter les bretelles ça ne touche que lui ..
Inutile de classer tout le mondes dans la même catégorie ..
Et sur des pages et des pages on joue au ping pong avec les invectives ...
moi ça ne m'amuse plus .....
La tolérance c'est quand on connait des cons- et qu'on ne dit pas les noms
Pour ce qui concerne le sujet , la Tunisie est un pays souverain , qui essaie de contenir ses barbus extrémistes et c'est déjà pas si mal ..
Peut être devrions nous en inspirer tout du moins sur le plan explosion du radicalisme islamiste,, salafisme , dans notre pays ..
Du assez souvent provoqué par l'entrée ... comme dans un moulin et des lois qui leur permettent de s'y implanter .. d'extrémistes sur notre territoire !
Je ne pense pas qu'on ait les billes pour donner des leçons au gouvernement tunisien , c'est déplacé !!!
France 24 ...chaine du service public ..
...C'est curieux chez les marins , le besoin de faire des phrases ...
Evidemment Crapulax. Nous disposons encore d'une certaine liberté d'expression.
Et si vous n'êtes pas d'accord avec mes propos (un tantinet provocateurs, je l'avoue), vous pouvez le faire sans aucun problème !
...Tu dis toi-même que nous disposons d'une certaine liberté d'expression,ce qui est vrai...Les débats le prouvent parfois....Et honnêtement je ne pense pas et je ne conçois pas que l'on puisse parler avec un nazi ou un fasciste...Les mots ont un sens....Les gens défendant leur identité ou le "sentiment" nationaliste ne sont en rien comparables et identifiables au "pire".
Tu vois le truc du genre "RN= Racistes primitifs et Reconquête=nazis"....Genre de globalité qui permet à certains de ne justement pas prendre part à certaines discussions en diabolisant d'entrée leurs interlocuteurs pour ainsi classer leurs thématiques comme "dangereuses" voir "nuisibles"....C'est aussi comme cela que l'on tourne en rond.
Mais le problème de tous ces rances qui d'entrée taxent de tous les noms d'oiseaux les opposants politiques que sont le RN et Reconquête, c'est qu'ils n'ont aucune argumentation qui tienne la route pour contrer Reconquête ou du RN. Tout le monde sait bien que cette invasion migratoire que plus personne ne contrôle nous mène droit dans le mur. Même Darmanin est en train de revenir sur certaines modalités débiles du regroupement familial, sauf qu'ils sont assez embêtés de devoir nous donner raison.
Mais comme m'expliquait ma prof de Français, quand les gens recourent à l'insulte c'est tout simplement qu'ils n'ont pas l' argumentation nécessaire pour te contredire. C'est plus facile de traiter quelqu'un de xénophobe et de raciste que de démontrer que les flux de migrants qui viennent s'entasser dans nos villes ne pose pas de gros problèmes à tous, y compris aux migrants eux même.
* il pleut doucement sur la ville *
* Et le poète soul engueulait l' Univers *
(Rimbaud)
...Tu dis toi-même que nous disposons d'une certaine liberté d'expression,ce qui est vrai...Les débats le prouvent parfois....Et honnêtement je ne pense pas et je ne conçois pas que l'on puisse parler avec un nazi ou un fasciste...Les mots ont un sens....Les gens défendant leur identité ou le "sentiment" nationaliste ne sont en rien comparables et identifiables au "pire".
Tu vois le truc du genre "RN= Racistes primitifs et Reconquête=nazis"....Genre de globalité qui permet à certains de ne justement pas prendre part à certaines discussions en diabolisant d'entrée leurs interlocuteurs pour ainsi classer leurs thématiques comme "dangereuses" voir "nuisibles"....C'est aussi comme cela que l'on tourne en rond.
Mais le problème de tous ces rances qui d'entrée taxent de tous les noms d'oiseaux les opposants politiques que sont le RN et Reconquête, c'est qu'ils n'ont aucune argumentation qui tienne la route pour contrer Reconquête ou du RN. Tout le monde sait bien que cette invasion migratoire que plus personne ne contrôle nous mène droit dans le mur. Même Darmanin est en train de revenir sur certaines modalités débiles du regroupement familial, sauf qu'ils sont assez embêtés de devoir nous donner raison.
Mais comme m'expliquait ma prof de Français, quand les gens recourent à l'insulte c'est tout simplement qu'ils n'ont pas l' argumentation nécessaire pour te contredire. C'est plus facile de traiter quelqu'un de xénophobe et de raciste que de démontrer que les flux de migrants qui viennent s'entasser dans nos villes ne pose pas de gros problèmes à tous, y compris aux migrants eux même.
tout le monde a compris depuis longtemps que le président tunisien était en campagne pour 2024.
les migrants, ils s'en balance ils ne font que passer chez eux.
