Pourquoi les entreprises ont de plus en plus de mal à recruter

[Patchouli38]

"Dans son dernier bulletin, la Banque de France analyse les principales causes de la forte augmentation des difficultés de recrutement des entreprises malgré un taux de chômage qui reste élevé.
Plus de 2 millions de chômeurs d'un côté, 350.000 emplois non pourvus de l'autre. Malgré un taux de chômage supérieur à la moyenne européenne, à 7,2%, plus de la moitié des entreprises tricolores (52%) déclaraient rencontrer des difficultés de recrutement en mars 2023, selon l'enquête mensuelle de conjoncture de la Banque de France. Une proportion en hausse de 16 points par rapport à mai 2021.

Comment expliquer cette situation paradoxale? Dans un bulletin publié ce vendredi, Stéphanie Himpens et Thomas Zuber, membres de la direction des Enquêtes de conjoncture et des Analyses microéconomiques et structurelles à la Banque de France, tentent d'identifier les causes des fortes difficultés de recrutement rencontrées par les entreprises depuis la sortie de la crise sanitaire."

https://www.bfmtv.com/economie/emploi/p ... 40412.html

[papibilou]

Les causes de ces difficultés sont multiples.
La gauche pointera des salaires insuffisants. Mais la restauration et l'hôtellerie ont encore du mal après une augmentation de 16% des salaires. Sans doute que travailler le samedi et le dimanche et le soir tard devra, à l'avenir se payer encore plus cher.
Les industries de pointe évoqueront le manque de formation (par exemple le fait qu'il a fallu faire venir des soudeurs pour réparer des centrales nucléaires.
Nous verrons avec l'arrivée de l'été le cas des saisonniers qui ne viennent pas bosser parce que se loger sur place est trop cher.
Certains parleront aussi de l'épisode covid ou des salariés ne travaillant pas ont été maintenus sans avoir besoin d'aller bosser. Ca n'incite pas à reprendre. Ils évoqueront un poil dans la main de certains et des aides trop élevées pour inciter à aller bosser pour peu d'écart.

[lepicard]

Les causes de ces difficultés sont multiples.
La gauche pointera des salaires insuffisants. Mais la restauration et l'hôtellerie ont encore du mal après une augmentation de 16% des salaires. Sans doute que travailler le samedi et le dimanche et le soir tard devra, à l'avenir se payer encore plus cher.
Les industries de pointe évoqueront le manque de formation (par exemple le fait qu'il a fallu faire venir des soudeurs pour réparer des centrales nucléaires.
Nous verrons avec l'arrivée de l'été le cas des saisonniers qui ne viennent pas bosser parce que se loger sur place est trop cher.
Certains parleront aussi de l'épisode covid ou des salariés ne travaillant pas ont été maintenus sans avoir besoin d'aller bosser. Ca n'incite pas à reprendre. Ils évoqueront un poil dans la main de certains et des aides trop élevées pour inciter à aller bosser pour peu d'écart.

https://www.youtube.com/watch?v=84vhdgqdubA

[Georges61]

"Dans son dernier bulletin, la Banque de France analyse les principales causes de la forte augmentation des difficultés de recrutement des entreprises malgré un taux de chômage qui reste élevé.
Plus de 2 millions de chômeurs d'un côté, 350.000 emplois non pourvus de l'autre. Malgré un taux de chômage supérieur à la moyenne européenne, à 7,2%, plus de la moitié des entreprises tricolores (52%) déclaraient rencontrer des difficultés de recrutement en mars 2023, selon l'enquête mensuelle de conjoncture de la Banque de France. Une proportion en hausse de 16 points par rapport à mai 2021.

Comment expliquer cette situation paradoxale? Dans un bulletin publié ce vendredi, Stéphanie Himpens et Thomas Zuber, membres de la direction des Enquêtes de conjoncture et des Analyses microéconomiques et structurelles à la Banque de France, tentent d'identifier les causes des fortes difficultés de recrutement rencontrées par les entreprises depuis la sortie de la crise sanitaire."

https://www.bfmtv.com/economie/emploi/p ... 40412.html

Ce qui est paradoxale, c'est que la Banque de France parle de 2 millions de chômeurs, alors qu'il y en a 5 millions. Il ne compte que les chômeurs de la catégorie A. Pour eux ceux qui ont travaillé 1 journée dans le mois ne sont pas chômeurs. Dans ces conditions et ce manque de sérieux, il est difficile de tenir compte de leur "étude" sur la difficulté des entreprises de recruter.

[danielle49]

Réponse simple : salaires insuffisants, travail dévalorisé, et des milliers de migrants qui ne veulent rien foutre qui viennent uniquement pour la gamelle.
Supprimons toutes les allocs, toutes les aides sociales, valorisons le travail, il y aura moins de migrants et plus de Français au boulot !

[Mickey]

La réponse est simple, 80% des entreprises qui n'arrivent pas à trouver de larbins sont des boîtes pourries...salaire trop bas et conditions de travail épouvantables, le foutage de gueule à ses limites.
Pour le reste, il s'agit de jobs qui demandent des formations spécifiques dont ne disposent pas les demandeurs d'emploi.
Pour la première catégorie, un bon coup pied au cul des employeurs s'impose .
En ce qui concerne la deuxième, un effort sur la formation est nécessaire, ainsi que développer une attractivité sur des métiers considéré comme ingrats.
Tout ceci n'est pas trop difficile à résoudre, pour autant qu'on accepte l'évidence.

[Jiimmy]

D'après l'étude, les difficultés à recruter sont souvent liées aux candidatures « soit parce qu'elles sont insuffisantes, soit parce que les candidats ne leur conviennent pas ».

En 2021, la part des offres non pourvues faute de candidat représente 6% des offres d'emploi,

Le nombre d'offres non pourvues est extrêmement modeste et a un impact marginal sur l'économie », résume Stéphane Ducatez, « Monsieur statistiques » de Pôle emploi.

Jeudi, Pôle emploi a publié une étude sur les « offres pourvues et les abandons de recrutement en 2021 ». Et selon ses résultats, le phénomène des offres non pourvues est « marginal ».





https://www.leprogres.fr/economie/2022/ ... s%20%C2%BB.

[Jiimmy]

Donc non seulement les offres non pourvues sont marginales et ne semblent pas peser sur l'économie, mais en + la responsabilité des employeurs est invoquée quant à ce phénomène. Sachant que le chiffre de 300 000 parait grand mais il ne veut pas dire grand chose car les offres sont tournantes. Une est comblée, une autre se crée. Ainsi, il n'est pas possible d'avoir 0 offre non-pourvu à l'instant T puisque de nouvelles offres apparaissent quotidiennement.


Quant aux difficultés de recrutement dans certains domaines, je pense que le salaire est à l'origine de bien des choses. Si les tâches étaient financièrement valorisées à hauteur de leur difficulté, alors il n'y aurait pas de difficultés particulières à recruter (lorsque ce ne sont pas les recruteurs qui sont trop exigeants). Peu importe que la restauration ait revalorisé de 16 pour cent, cela reste néanmoins bien trop insuffisant par rapport aux contraintes organisationnelles (les horaires) et physiques (et donc en conséquence mentales également).

Surtout lorsque l'on constate les différences de salaire qui peuvent exister entre ceux qui dirigent et ceux qui sont dirigés, le peu de motivation restant s'en va en courant (cela fait écho à l'affaire Tavares, les concessions sont en recherche constante de main d'oeuvre, mais difficile de trouver pour 1500 euros par mois, surtout lorsque les candidats savent ce qu'empochent les dirigeants de ces boites). Un meilleur partage de la richesse créée et les candidats seront + nombreux.

[Mickey]

Donc non seulement les offres non pourvues sont marginales et ne semblent pas peser sur l'économie, mais en + la responsabilité des employeurs est invoquée quant à ce phénomène. Sachant que le chiffre de 300 000 parait grand mais il ne veut pas dire grand chose car les offres sont tournantes. Une est comblée, une autre se crée. Ainsi, il n'est pas possible d'avoir 0 offre non-pourvu à l'instant T puisque de nouvelles offres apparaissent quotidiennement.


Quant aux difficultés de recrutement dans certains domaines, je pense que le salaire est à l'origine de bien des choses. Si les tâches étaient financièrement valorisées à hauteur de leur difficulté, alors il n'y aurait pas de difficultés particulières à recruter (lorsque ce ne sont pas les recruteurs qui sont trop exigeants). Peu importe que la restauration ait revalorisé de 16 pour cent, cela reste néanmoins bien trop insuffisant par rapport aux contraintes organisationnelles (les horaires) et physiques (et donc en conséquence mentales également).

Surtout lorsque l'on constate les différences de salaire qui peuvent exister entre ceux qui dirigent et ceux qui sont dirigés, le peu de motivation restant s'en va en courant (cela fait écho à l'affaire Tavares, les concessions sont en recherche constante de main d'oeuvre, mais difficile de trouver pour 1500 euros par mois, surtout lorsque les candidats savent ce qu'empochent les dirigeants de ces boites). Un meilleur partage de la richesse créée et les candidats seront + nombreux.

Pas forcément, je connais des boîtes qui proposent un salaire de 3000€ net à l'embauche pour un poste de soudeur et qui ne trouvent preneur.
Ces entreprises croulent sous les CV, mais aucun des candidats ne dispose de la formation initiale.
C'est cela qu'il faut résoudre en priorité.
Pour la restauration qu'ils crèvent, quand on facture le steak-frites à 50 balles, on a largement les moyens de payer des salaires corrects.

[vivarais]

"Dans son dernier bulletin, la Banque de France analyse les principales causes de la forte augmentation des difficultés de recrutement des entreprises malgré un taux de chômage qui reste élevé.
Plus de 2 millions de chômeurs d'un côté, 350.000 emplois non pourvus de l'autre. Malgré un taux de chômage supérieur à la moyenne européenne, à 7,2%, plus de la moitié des entreprises tricolores (52%) déclaraient rencontrer des difficultés de recrutement en mars 2023, selon l'enquête mensuelle de conjoncture de la Banque de France. Une proportion en hausse de 16 points par rapport à mai 2021.

Comment expliquer cette situation paradoxale? Dans un bulletin publié ce vendredi, Stéphanie Himpens et Thomas Zuber, membres de la direction des Enquêtes de conjoncture et des Analyses microéconomiques et structurelles à la Banque de France, tentent d'identifier les causes des fortes difficultés de recrutement rencontrées par les entreprises depuis la sortie de la crise sanitaire."

https://www.bfmtv.com/economie/emploi/p ... 40412.html

qui accepterait d'etre sous payé à sa qualification
les entreprises qui paient à leurs juste valeurs leur salariés n'ont pas de problème de recrutement

[vivarais]

Donc non seulement les offres non pourvues sont marginales et ne semblent pas peser sur l'économie, mais en + la responsabilité des employeurs est invoquée quant à ce phénomène. Sachant que le chiffre de 300 000 parait grand mais il ne veut pas dire grand chose car les offres sont tournantes. Une est comblée, une autre se crée. Ainsi, il n'est pas possible d'avoir 0 offre non-pourvu à l'instant T puisque de nouvelles offres apparaissent quotidiennement.


Quant aux difficultés de recrutement dans certains domaines, je pense que le salaire est à l'origine de bien des choses. Si les tâches étaient financièrement valorisées à hauteur de leur difficulté, alors il n'y aurait pas de difficultés particulières à recruter (lorsque ce ne sont pas les recruteurs qui sont trop exigeants). Peu importe que la restauration ait revalorisé de 16 pour cent, cela reste néanmoins bien trop insuffisant par rapport aux contraintes organisationnelles (les horaires) et physiques (et donc en conséquence mentales également).

Surtout lorsque l'on constate les différences de salaire qui peuvent exister entre ceux qui dirigent et ceux qui sont dirigés, le peu de motivation restant s'en va en courant (cela fait écho à l'affaire Tavares, les concessions sont en recherche constante de main d'oeuvre, mais difficile de trouver pour 1500 euros par mois, surtout lorsque les candidats savent ce qu'empochent les dirigeants de ces boites). Un meilleur partage de la richesse créée et les candidats seront + nombreux.

Pas forcément, je connais des boîtes qui proposent un salaire de 3000€ net à l'embauche pour un poste de soudeur et qui ne trouvent preneur.
Ces entreprises croulent sous les CV, mais aucun des candidats ne dispose de la formation initiale.
C'est cela qu'il faut résoudre en priorité.
Pour la restauration qu'ils crèvent, quand on facture le steak-frites à 50 balles, on a largement les moyens de payer des salaires corrects.

si les entreprises acceptaient de former les salariés à leur besoin comme par le passé , elles n'auraient pas de problèmes de recrutement
les gens qu'ils veulent avec les compétences requises n'ont pas eu de problèmes de recrutement ailleurs avec une proposition de salaire supérieure à la leur
et souvent ceux qu'ils ont déjà ils ne savent pas les garder en les surpayant
certains ne comprendront jamais que ce n'est pas un bon salarié qui coute cher mais un mauvais

[lepicard]

Donc non seulement les offres non pourvues sont marginales et ne semblent pas peser sur l'économie, mais en + la responsabilité des employeurs est invoquée quant à ce phénomène. Sachant que le chiffre de 300 000 parait grand mais il ne veut pas dire grand chose car les offres sont tournantes. Une est comblée, une autre se crée. Ainsi, il n'est pas possible d'avoir 0 offre non-pourvu à l'instant T puisque de nouvelles offres apparaissent quotidiennement.


Quant aux difficultés de recrutement dans certains domaines, je pense que le salaire est à l'origine de bien des choses. Si les tâches étaient financièrement valorisées à hauteur de leur difficulté, alors il n'y aurait pas de difficultés particulières à recruter (lorsque ce ne sont pas les recruteurs qui sont trop exigeants). Peu importe que la restauration ait revalorisé de 16 pour cent, cela reste néanmoins bien trop insuffisant par rapport aux contraintes organisationnelles (les horaires) et physiques (et donc en conséquence mentales également).

Surtout lorsque l'on constate les différences de salaire qui peuvent exister entre ceux qui dirigent et ceux qui sont dirigés, le peu de motivation restant s'en va en courant (cela fait écho à l'affaire Tavares, les concessions sont en recherche constante de main d'oeuvre, mais difficile de trouver pour 1500 euros par mois, surtout lorsque les candidats savent ce qu'empochent les dirigeants de ces boites). Un meilleur partage de la richesse créée et les candidats seront + nombreux.

Pas forcément, je connais des boîtes qui proposent un salaire de 3000€ net à l'embauche pour un poste de soudeur et qui ne trouvent preneur.
Ces entreprises croulent sous les CV, mais aucun des candidats ne dispose de la formation initiale.
C'est cela qu'il faut résoudre en priorité.
Pour la restauration qu'ils crèvent, quand on facture le steak-frites à 50 balles, on a largement les moyens de payer des salaires corrects.

pour les soudeurs ,on a le cas ; ok pour 3000 mais ,on ne pas venir le lundi ,ni certains vendredis ,, surtout pas de déplacements (simplement limitrophes) ni d'heure sup ....... et pas géné de se barrer en pleine journée

[vivarais]

Pas forcément, je connais des boîtes qui proposent un salaire de 3000€ net à l'embauche pour un poste de soudeur et qui ne trouvent preneur.
Ces entreprises croulent sous les CV, mais aucun des candidats ne dispose de la formation initiale.
C'est cela qu'il faut résoudre en priorité.
Pour la restauration qu'ils crèvent, quand on facture le steak-frites à 50 balles, on a largement les moyens de payer des salaires corrects.

pour les soudeurs ,on a le cas ; ok pour 3000 mais ,on ne pas venir le lundi ,ni certains vendredis ,, surtout pas de déplacements (simplement limitrophes) ni d'heure sup ....... et pas géné de se barrer en pleine journée

vous racontez des conneries
quelqu'un qui se comporterait ainsi pas un seul employeur ne le voudrait
et s''il n'accepte pas les déplacements alors il devra se contenter de 2000 euros de salaire
j'ai connu un soudeur qui avait la phobie de la radioactivité et refusait d'aller travailler sur les sites nucléaires
mais comme une entreprise n'a pas toujours des chantiers ailleurs , il a fini par se faire licencier

[oups]

"Dans son dernier bulletin, la Banque de France analyse les principales causes de la forte augmentation des difficultés de recrutement des entreprises malgré un taux de chômage qui reste élevé.
Plus de 2 millions de chômeurs d'un côté, 350.000 emplois non pourvus de l'autre. Malgré un taux de chômage supérieur à la moyenne européenne, à 7,2%, plus de la moitié des entreprises tricolores (52%) déclaraient rencontrer des difficultés de recrutement en mars 2023, selon l'enquête mensuelle de conjoncture de la Banque de France. Une proportion en hausse de 16 points par rapport à mai 2021.

Comment expliquer cette situation paradoxale? Dans un bulletin publié ce vendredi, Stéphanie Himpens et Thomas Zuber, membres de la direction des Enquêtes de conjoncture et des Analyses microéconomiques et structurelles à la Banque de France, tentent d'identifier les causes des fortes difficultés de recrutement rencontrées par les entreprises depuis la sortie de la crise sanitaire."

https://www.bfmtv.com/economie/emploi/p ... 40412.html

qui accepterait d'etre sous payé à sa qualification
les entreprises qui paient à leurs juste valeurs leur salariés n'ont pas de problème de recrutement

Et c’est quoi la juste valeur d’un individu ? Ya un référentiel, des instruments de mesure , des normes ?Dans l’entreprise comme à la maison , le truc dont on ne connaît rien et à l’utilisation compliquée de préférence on laisse à l’autre le soin de l’acquérir puis après on surveille sa satisfaction

[vivarais]

qui accepterait d'etre sous payé à sa qualification
les entreprises qui paient à leurs juste valeurs leur salariés n'ont pas de problème de recrutement

Et c’est quoi la juste valeur d’un individu ? Ya un référentiel, des instruments de mesure , des normes ?Dans l’entreprise comme à la maison , le truc dont on ne connaît rien et à l’utilisation compliquée de préférence on laisse à l’autre le soin de l’acquérir puis après on surveille sa satisfaction

la valeur d'un individu est le rendement et la qualité de son travail
pourquoi allez vous acheter votre pain chez un boulanger plutôt qu'un autre
à la base tous les 2 ont une formation de boulanger
et cela vaut dans toutes les catégories de métiers
pour certaines catégories il y a les chasseurs de têtes et pour le reste c'est le constat des autres chefs d'entreprise des personnes sur les chantiers pour la qualité du travail
généralement les bons salariés ne cherchent pas d'emplois , on vient leur en proposer comme par exemple les intérims à qui l'on propose un CDI et où l'on doit s'aligner pour payer au dessus de leur salaire et des % de précarité d'emploi
est ce que le référentiel pour déterminer la valeur d'un salarié vous convient
discussions-politique-actualite-debats/ ... 54578.html
dans ce lien selon vous pourquoi les actionnaires ont validé un tel salaire alors qu'il y a surement des milliers de personnes qui ont le profil pour etre PDG