Moi je pense qu’ils ont intégrés l’arbre qui cache la forêt.
C’est une technique arabe .
Moi je pense qu’ils ont intégrés l’arbre qui cache la forêt.
Cet article le confirme :
Je pense au contraire qu'ils cherchent à tirer un trait définitif sur les anciennes "liaisons" afin de ne pas risquer "brouiller leur image" et surtout celle de leur électorat.Moi je pense qu’ils ont intégrés l’arbre qui cache la forêt.
C’est une technique arabe .
L'extrême-droite serait plutôt Européenne.....Si l'on se réfère au Vieux Continent si cher à cette dernière.C'est l'idéologie de l'extrême droite nationaliste.
Ben non, le RN n'a pas un pouvoir de sanction sur des gens qui n'appartiennent pas au parti. Par contre il sait mettre de la distance et il le fait très bien.
Bien sûr, bien sûr, en rêve oui !gare au gorille a écrit : ↑16 mai 2023 13:47Ben non, le RN n'a pas un pouvoir de sanction sur des gens qui n'appartiennent pas au parti. Par contre il sait mettre de la distance et il le fait très bien.
Patchouli38 a écrit : ↑16 mai 2023 08:06 Par ailleurs, il suffit de voir comment sont gérées les villes RN pour vous ce qui nous attendra si le RN prend le pouvoir :
"Que s’est-il passé pendant six ans au sein des quatorze villes gérées par le RN/FN ? Le collectif Vigilance et initiatives syndicales antifascistes livre, avec les éditions Syllepse, son bilan de la gestion communale par l’extrême droite. En voici quelques illustrations.
"Quatorze villes françaises sont aujourd’hui gérées par des maires d’extrême droite, ainsi que deux arrondissements de Marseille. Qu’y font-ils ? Quelle y est leur politique ? À l’approche des municipales, le collectif Vigilance et initiatives syndicales antifascistes (Visa) [1] et les éditions Syllepse publient un nouveau bilan de la gestion municipales des villes gérées par des maires venus du Front national/Rassemblement national, le livre Lumière sur villes brunes. En voici des extraits au sujet de six villes : Mantes-la-Ville (Yvelines), Hayange (Moselle), Hénin-Beaumont (Pas-de-Calais), Orange (Vaucluse), Cogolin et Luc (Var).
À Mantes-la-Ville, le maire RN s’augmente mais coupe drastiquement les budgets sociaux
C’est la seule ville d’Île-de-France administrée par le RN, mais les élections de 2017 y ont été très décevantes et montrent que son implantation n’est pas vraiment assurée [2]. Ces déboires n’empêchent pas le maire de veiller à la défense de ses intérêts propres. En juin 2017, il a augmenté son indemnité de maire de 7 %. Ce qui, ajouté à ses indemnités de conseiller régional et d’élu à la communauté urbaine, lui permet d’atteindre un confortable total mensuel brut de 7350 euros. L’opposition dénonce cette opération et rappelle que « le maire, en trois ans, a divisé les subventions aux associations par deux, baissé le nombre d’agents municipaux de près de 20 % [...], supprimé au maximum tout ce qui a trait au social, en expliquant que les finances municipales vont mal et qu’il faut faire des économies... » !
Cyril Nauth, le maire Front/Rassemblement national de Mantes-la-Ville, continue discrètement de mettre en œuvre sa politique inégalitaire et discriminatoire. Comme dans toutes les municipalités d’extrême droite, c’est l’argument de la « bonne gestion » et de la diminution des impôts locaux qui sert à justifier la politique menée. Nauth affirme qu’il gère la ville en « bon père de famille » et dans ses vœux 2018 il s’est engagé « à continuer dans la voie du sérieux et de l’exemplarité en matière budgétaire ». Qu’en est-il réellement ?
Lorsqu’on regarde plus précisément les décisions prises, ces économies servent surtout à justifier la diminution, voire la suppression, des structures d’aides sociales (CVS, missions locales pour l’emploi...) et des subventions aux associations (FC-Mantois, LDH, le Comité des fêtes, l’école d’arts plastiques...) dont il aimerait réduire les activités. Elles servent aussi de prétexte pour réduire le nombre d’agents publics, donc des services à la population.
Mais ne sont pas citées les dépenses liées à son acharnement contre les demandes de permis de construire d’une mosquée et d’un centre culturel musulman (plus de 100 000 euros de frais de justice). Ni les frais d’un audit financier pour un bilan d’autosatisfaction à mi-mandat largement diffusé dans la ville. Ni encore le budget renforcé de la police municipale et de la vidéosurveillance...
https://basta.media/RN-FN-Marine-Le-Pen ... entitaires
Le RN fait surtout le ménage afin d'éviter que ces profils nuisent à la dédiabolisation du parti, mais on se rend compte, sur les villes gérées par le RN,
que les maires augmentent leur salaire au détriment du social.
Cela démontre toute l'hypocrisie de ce parti.
Jusqu'à quand ?...gare au gorille a écrit : ↑16 mai 2023 13:47Ben non, le RN n'a pas un pouvoir de sanction sur des gens qui n'appartiennent pas au parti. Par contre il sait mettre de la distance et il le fait très bien.
C'est un maire DVD et non RN, c'est p'têt pour cela, le candidat RN s'étant pris une baffe juste derrière...mic43121 a écrit : ↑16 mai 2023 14:10Patchouli38 a écrit : ↑16 mai 2023 08:06 Par ailleurs, il suffit de voir comment sont gérées les villes RN pour vous ce qui nous attendra si le RN prend le pouvoir :
"Que s’est-il passé pendant six ans au sein des quatorze villes gérées par le RN/FN ? Le collectif Vigilance et initiatives syndicales antifascistes livre, avec les éditions Syllepse, son bilan de la gestion communale par l’extrême droite. En voici quelques illustrations.
"Quatorze villes françaises sont aujourd’hui gérées par des maires d’extrême droite, ainsi que deux arrondissements de Marseille. Qu’y font-ils ? Quelle y est leur politique ? À l’approche des municipales, le collectif Vigilance et initiatives syndicales antifascistes (Visa) [1] et les éditions Syllepse publient un nouveau bilan de la gestion municipales des villes gérées par des maires venus du Front national/Rassemblement national, le livre Lumière sur villes brunes. En voici des extraits au sujet de six villes : Mantes-la-Ville (Yvelines), Hayange (Moselle), Hénin-Beaumont (Pas-de-Calais), Orange (Vaucluse), Cogolin et Luc (Var).
À Mantes-la-Ville, le maire RN s’augmente mais coupe drastiquement les budgets sociaux
C’est la seule ville d’Île-de-France administrée par le RN, mais les élections de 2017 y ont été très décevantes et montrent que son implantation n’est pas vraiment assurée [2]. Ces déboires n’empêchent pas le maire de veiller à la défense de ses intérêts propres. En juin 2017, il a augmenté son indemnité de maire de 7 %. Ce qui, ajouté à ses indemnités de conseiller régional et d’élu à la communauté urbaine, lui permet d’atteindre un confortable total mensuel brut de 7350 euros. L’opposition dénonce cette opération et rappelle que « le maire, en trois ans, a divisé les subventions aux associations par deux, baissé le nombre d’agents municipaux de près de 20 % [...], supprimé au maximum tout ce qui a trait au social, en expliquant que les finances municipales vont mal et qu’il faut faire des économies... » !
Cyril Nauth, le maire Front/Rassemblement national de Mantes-la-Ville, continue discrètement de mettre en œuvre sa politique inégalitaire et discriminatoire. Comme dans toutes les municipalités d’extrême droite, c’est l’argument de la « bonne gestion » et de la diminution des impôts locaux qui sert à justifier la politique menée. Nauth affirme qu’il gère la ville en « bon père de famille » et dans ses vœux 2018 il s’est engagé « à continuer dans la voie du sérieux et de l’exemplarité en matière budgétaire ». Qu’en est-il réellement ?
Lorsqu’on regarde plus précisément les décisions prises, ces économies servent surtout à justifier la diminution, voire la suppression, des structures d’aides sociales (CVS, missions locales pour l’emploi...) et des subventions aux associations (FC-Mantois, LDH, le Comité des fêtes, l’école d’arts plastiques...) dont il aimerait réduire les activités. Elles servent aussi de prétexte pour réduire le nombre d’agents publics, donc des services à la population.
Mais ne sont pas citées les dépenses liées à son acharnement contre les demandes de permis de construire d’une mosquée et d’un centre culturel musulman (plus de 100 000 euros de frais de justice). Ni les frais d’un audit financier pour un bilan d’autosatisfaction à mi-mandat largement diffusé dans la ville. Ni encore le budget renforcé de la police municipale et de la vidéosurveillance...
https://basta.media/RN-FN-Marine-Le-Pen ... entitaires
Le RN fait surtout le ménage afin d'éviter que ces profils nuisent à la dédiabolisation du parti, mais on se rend compte, sur les villes gérées par le RN,
que les maires augmentent leur salaire au détriment du social.
Cela démontre toute l'hypocrisie de ce parti.
Tu as oublié ST Raphel ...J'y ai de la famille et ils sont enchantés ...![]()
continuez vous à fréquenter des gens qui vous font des entourloupes même si ce sont des amis d'antanCorvo a écrit : ↑14 mai 2023 18:23 La fille le Pen répudie ses amis.
Dans «Le Monde», la cheffe du Rassemblement national menace pour la première fois de rompre avec Axel Loustau et Frédéric Chatillon, compagnons de jeunesse et actionnaires du principal prestataire du parti, après la polémique liée à la présence du premier à une manifestation néofasciste.
Avec Marine Le Pen, les ruptures politico-affectives ne se font qu’au pied du mur. Ce n’est qu’après de longues années de provocations racistes, antisémites ou homophobes que la patronne du Front national s’est décidée, en 2015, à rompre avec son diable de père, après une énième saillie antijuive qui aurait risqué de l’emporter avec elle. Cette fois-ci, il aura fallu patienter de longues années, puis une semaine entière de polémique, pour que la leader d’extrême droite finisse par prendre ses distances, dans les colonnes du Monde, vendredi, avec ses amis de jeunesse, prestataires de services et rouages essentiels de ses campagnes présidentielles et législatives de 2012 et 2017.
En cause : la présence ostensible d’Axel Loustau, ancien du Groupe union défense (GUD), ex-trésorier de Jeanne, le micro parti de Marine Le Pen et conseiller régional d’Ile-de-France entre 2015 et 2021, à la manifestation néofasciste du 6 mai, que la patronne du RN a été obligée de dénoncer trois jours plus tard. Et l’annonce, il y a trois jours, sur le site d’extrême droite Breizh-info, par Frédéric Chatillon – ex-patron du GUD et de Riwal, le principal prestataire du FN dans les années 2010 –, de sa venue lors du défilé de l’année prochaine. «Avoir été vu à la manifestation est peut-être volontaire, et peut-être la conséquence du fait que l’on a rompu toute relation politique ou professionnelle», s’agace Le Pen auprès du Monde, en direction du premier. A l’attention du second, elle se fait menaçante : «Si Frédéric Chatillon souhaite participer à une manifestation de cette nature, j’en tirerai, moi, les conséquences à titre personnel. A un moment donné, stop.»
https://www.liberation.fr/politique/ele ... L4IFIGMYU/
à gauche combien de fois des partis ont changé de nom