Mesoke a écrit : ↑12 juillet 2023 09:55
lotus95 a écrit : ↑12 juillet 2023 09:10
Ben voyons , la politique du pire ... pour faire accepter l'aberrant ... s'il y a pénurie potentielle en pétrole dans les années qui viennent , elle n'aura rien de naturelle, elle aura été provoquée par le désinvestissement sur les énergies fossiles entre autres dicté par Blackrock ... pour la bonne cause soit disant ...
alors qu'il est tout simplement inconcevable de produire sainement des batteries à hauteur du parc automobile actuel , et totalement hors sol de croire que l'énergie sera suffisante pour alimenter autant de véhicules , et accessible ...
alors on présente le véhicule électrique comme une alternative propre alors que c'est loin d'être le cas pour sa production , illimitée alors que le lithium est en tension , moins couteux alors que les casses sont pleines de véhicules impossibles ou très couteux à réparer , avec parfois des failles potentiellement volontaires des fabricants (obsolescence programmée) .......
https://www.automobile-propre.com/ev-cl ... lontaires/
https://www.01net.com/actualites/pourqu ... iques.html
mais on se dirige droit vers une conception du véhicule comme un produit de luxe réservé à ceux qui peuvent se le permettre
Le pétrole est une ressource non renouvelable. Plus on en pompe du sol, et moins il y en a dans le sol. Les réserves s'épuiseront à plus ou moins long terme.
C'est juste de la logique de base, pas besoin de rajouter une couche de complotisme dessus. Vu que ça va entrainer la fin de notre mode de vie et de notre civilization, et que nombre de gros pays producteurs de pétroles sont des dictatures (Russie, Venezuela) plus ou moins théocratiques (Arabie Saoudite), je ne vois pas qui pourrait tirer bénéfice d'une pénurie de pétrole. A moins de taper du côté des forces du mal qui sont méchantes, mais c'est peu crédible.
Même Blackrock n'a rien à gagner d'une pénurie de pétrole, vu que la crise financière majeure qui l'accompagnera (si on n'y est pas préparés) leur sera fatale, comme à tout autre organisme financier.
Les VE polluent plus à la construction, mais moins sur l'ensemble de leur cycle de vie.
Ce sont les pertes gigantesques des compagnies pétrolières durant le covid , conjuguées au mot d'ordre du plus grands fonds d'investissement qui poussent au désinvestissement dans les énergies fossiles ; la baisse d'investissement et de production est donc organisée , évites de confondre ton ignorance avec de la rationnalité qui voit des théories du complot partout.
En janvier 2020, à la veille des confinements pour cause de COVID [mars 2020], qui dévastateurs sur le plan économique et social, le PDG du plus grand fonds d’investissement au monde, Larry Fink de Blackrock, a adressé une lettre à ses collègues de Wall Street et aux PDG d’entreprises, au sujet de l’avenir des flux d’investissements. Dans ce document, modestement intitulé « Une Refonte Fondamentale de la Finance [A Fundamental Reshaping of Finance] », Fink, qui gère le plus grand fonds d’investissement au monde avec quelque 7000 milliards de dollars alors sous gestion, a annoncé une déviation radicale pour l’investissement des entreprises. L’argent allait « devenir vert ». Dans sa lettre de 2020 qui fut scrutée de près, Fink déclarait en effet : « Dans un avenir proche – et plus tôt que prévu – il y aura une réaffectation importante du capital… Le risque climatique est un risque d’investissement ». En outre, il a déclaré que « chaque gouvernement, entreprise et actionnaire doit faire face au changement climatique »1.
Dans une lettre distincte adressées aux clients investisseurs de Blackrock, Fink a présenté ce nouvel Agenda pour l‘investissement capitalistique. Il a déclaré que Blackrock quitterait certains investissements à forte teneur en carbone tels que le charbon, qui demeure la plus grande source d’électricité pour les États-Unis et de nombreux autres pays. Il a ajouté que Blackrock scruterait dorénavant les nouveaux investissements dans le pétrole, le gaz et le charbon afin de déterminer si ils adhéreraient à la « soutenabilité » de l’Agenda 2030 des Nations unies. Fink a donc clairement indiqué que le plus grand fonds du monde commencerait à désinvestir dans le pétrole, le gaz et le charbon. « Au fil du temps », écrivait alors Fink, « les entreprises et les gouvernements qui ne répondent pas aux parties prenantes et ne traitent pas les risques de soutenabilité, rencontreront un scepticisme croissant de la part des marchés et, par conséquent, un coût du capital plus élevé ». Il ajouta que « le changement climatique est devenu un facteur déterminant dans les perspectives à long terme des entreprises… nous sommes au bord d’une refonte fondamentale de la finance »2.
L'hypocrisie est de faire croire que les dirigeants de ce monde , qui se sont accommodés durant des décennies des régimes autoritaires dont ils étaient dépendants sur les énergies fossiles , font brusquement un mea culpa dicté par leur conscience
je ne vois pas qui pourrait tirer bénéfice d'une pénurie de pétrole. A moins de taper du côté des forces du mal qui sont méchantes, mais c'est peu crédible.
bah c'est simple , les investisseurs dans les énergies renouvelables ... qui sont d'ailleurs souvent les mêmes ; rien de tel que des pénuries pour se gaver en hausses de prix , et de nouveaux secteurs prétendument plus vertueux pour s'engraisser en subventions publiques .. surtout lorsque ces activités sont appuyées à des politiques restrictives et punitives
Les VE polluent plus à la construction, mais moins sur l'ensemble de leur cycle de vie.
Oui il parait ... mais comme leur cycle de vie est beaucoup plus court (voir article sur les casses) , rien n'est moins sur