La police pète (encore) un câble

[vivarais]

pour l'instant c'est une accusation qui n'est etayé par aucun élément tangible

Contrairement à vos affirmations gratuites (du style "il n'y a aucun élément tangible", lors même que vous n'en savez strictement rien), il semblerait que la scène ait été filmée par des caméras de vidéosurveillance (car bien entendu, qui pourrait croire que ces policiers auraient été identifiés et provisoirement sanctionnés uniquement sur la parole de la jeune victime).

si les faits étaient avérés il serait jugé en comparution immediate

[Jiimmy]

si les faits étaient avérés il serait jugé en comparution immediate

Vous avez déjà vu des policiers jugés en comparution immédiate ? Chez vous en Allemagne peut-être

[vivarais]

si les faits étaient avérés il serait jugé en comparution immediate

Vous avez déjà vu des policiers jugés en comparution immédiate ? Chez vous en Allemagne peut-être

oui pour des cas avérés de proxénétisme et autres activités ripoux
là dans le cas présent il y a quoi
les supputations d'une racaille y a t il en support des images de vidéos surveillance
une mise ne détention provisoire à ce stade de l'enquête est elle justifiée
représente il une menace pour autrui ou un risque de se soustraire à la justice par un départ à l'étranger
il sert simplement de fusible pour apaiser la tension émeutière
comme le cas précédent de justement 4 policiers de la BAC à Marseille une fois l'affaire oubliée il aura une mutation administrative avec avancement à la clé

[Fonck1]

Bonjour les hypothèses de bristrot….

[coincetabulle]

depuis quand les policiers passent en comparution immédiate les mecs sont jugés 3 ou 4 ans après les faits dans le meilleurs des cas.

[Jiimmy]

« De façon générale, je considère qu’avant un éventuel procès, un policier n’a pas sa place en prison, même s’il a pu commettre des fautes ou des erreurs graves dans le cadre de son travail. J’exclus de mon propos les affaires qui concernent la probité ou l’honnêteté. Mais lorsqu’un policier est dans l’exercice de sa mission, on doit admettre qu’il peut commettre des erreurs d’appréciation. Le policier doit rendre compte de son action, y compris devant la justice, mais on doit aussi tenir compte des garanties dont il bénéficie et qui le distinguent des malfaiteurs ou des voyous ».

Laurent Nunez, actuel préfet de Police de Paris a dit, dimanche soir, partager les propos controversés de Frédéric Veaux


https://www.letelegramme.fr/france/avan ... 399262.php

C'est extrêmement grave ce à quoi l'on assiste. C'est une rébellion, une tentative d'intimidation à l'égard de la justice. Un coup d'état symbolique comme le dit l'avocat Arié Halimi. Encore une nouvelle dérive autoritaire de la part du pouvoir exécutif puisque le préfet (la voix de Darmanin en somme) approuve les propos de ce directeur national et transgresse, une nouvelle fois, la séparation des pouvoirs.
Un directeur de la police n'a pas de parole politique à tenir publiquement. De + il possède un devoir de réserve qu'il vient de transgresser. Il est nécessaire que le président intervienne afin de mettre fin à ces pressions factieuses et séditieuses auxquelles on assiste depuis plusieurs semaines (on se souvient du communiqué de ces policiers parlant de poursuivre les nuisibles notamment).
C'est un jeu très dangereux auquel joue ce gouvernement qui laisse faire ceux qui sont les seuls remparts pour lui face à la colère du peuple qu'il a reveillée durant ces 6 années de mandatures.

[Jiimmy]

De son côté, le député et Premier secrétaire du PS Olivier Faure a jugé la déclaration du DGPN « gravissime », fustigeant « la hiérarchie policière » qui se « place au-dessus de la justice et des règles de la détention provisoire ». « Ce qui se joue là, c’est la démocratie et le respect de l’État de droit. Le parlement doit être réuni en urgence », a tonné l’élu, toujours sur Twitter

Si cette prise de parole du DGPN critiquant la justice fait autant réagir, c’est parce qu’il s’agit d’un « évènement majeur », analyse le chercheur Sebastian Roché, spécialiste des questions de délinquance et de la police, sur le même réseau social. « En s’en prenant – en tant que fonctionnaire – au fonctionnement des institutions, il introduit un coin dans l’autorité de l’État. Et pas un petit », commente-t-il. « Un haut fonctionnaire en activité pourrait ainsi défier la séparation des pouvoirs, et conseiller à l’autorité judiciaire son comportement. Quelle justification à cette tactique ? On va entendre les plus hautes juridictions judiciaires et administratives s’exprimer très vite. »



https://www.msn.com/fr-fr/actualite/fra ... eae0&ei=16

C'est là que l'on voit la médiocrité du peuple à l'oeuvre. Au lieu de s'intéresser à des évènements qui apparaissent, eux, réellement graves et qui peuvent avoir un fort impact sur leur avenir, ceux-ci s'en contrefoutent totalement et préfèrent se concentrer sur des polémiques relatives à des bouts de tissu sur la tête ou aux pratiques des habitants des pays étrangers.

[Fonck1]

qu'il y ait enquête et qu'il soit jugé, je trouve ça normal, mais il n'a rien à faire en prison.
quand on voit le nombre de racailles multi-récidivistes, dehors qui attendent leur comparutions alors qu'il ont fait des trucs bien pires, il y a de quoi se poser des questions.

[Jiimmy]

qu'il y ait enquête et qu'il soit jugé, je trouve ça normal, mais il n'a rien à faire en prison.
quand on voit le nombre de racailles multi-récidivistes, dehors qui attendent leur comparutions alors qu'il ont fait des trucs bien pires, il y a de quoi se poser des questions.

Pour un mec qui souhaite que l'on tue les gens qui manifestent ou fuient en voiture, il est vrai que vous êtes cohérent avec vous-même.

[Fonck1]

qu'il y ait enquête et qu'il soit jugé, je trouve ça normal, mais il n'a rien à faire en prison.
quand on voit le nombre de racailles multi-récidivistes, dehors qui attendent leur comparutions alors qu'il ont fait des trucs bien pires, il y a de quoi se poser des questions.

Pour un mec qui souhaite que l'on tue les gens qui manifestent ou fuient en voiture, il est vrai que vous êtes cohérent avec vous-même.

pas des gens, des racailles.
vous lisez mal mais ça on le savait, vu votre niveau de lecture du coran.

[papibilou]

Il faut comprendre papibilou, quand il dit condamner toutes formes de violence.
Pas toutes, non.
Pas celle des flics qui protègent l'ordre dont il tire avantage.

Vous vous montrez parfois d'une bêtise redoutable. J'ai dit exactement l'inverse. Et je ne vois pas quel avantage je retirerais de l'impunité de policiers qui auraient dérapé. Ma mémoire me joue parfois des tours mais je croyais me souvenir que vous aviez été enseignant. De mon passage dans l'enseignement je n'avais pas retiré cette impression de ceux que j'y ai rencontré.

[papibilou]

Ennuyeux un type qui condamne toute forme violence, n'est-ce pas? Je sais que ce n'est pas votre cas, et je peux comprendre qu'accepter la violence au nom de n'importe quelle idéologie ou religion vous met mal à l'aise face à ce type d'attitude.
Moi, je ne peux pratiquer la non violence ? Erreur, et vous vous en doutez bien. Je suis non violent. Ce qui ne veut pas dire que je tends la joue gauche ( ou droite comme il vous plaira) à celui qui m'a frappé l'autre.

Lorsque l'on légitime la violence d'un gouvernement qui impose à des dizaines de millions de gens des contraintes dont ils ne veulent pas et qui réprime physiquement les contestations face à cet autoritarisme (comme le dénoncent de nombreuses organisations internationales ou gouvernements étrangers), on évite de donner des leçons aux gens sur la non-violence et l'on fait sa propre introspection.

Quand on accepte la violence comme institutionnelle et que l'on refuse de condamner des assassins on ne vient pas essayer de donner des leçons et surtout pas d'introspection, un terme dont visiblement vous ne comprenez pas la signification. Ne serait-ce que parce su'il faut un maximum d'honnêteté envers soi même.

[LOFOTEN]

Des dizaines de policiers marseillais se sont fait porter pâle pour protester contre l'incarcération de l'un des leurs, mis en cause dans des violences sur Hedi, un homme de 22 ans, début juillet.
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Ils se sont tous vus à sa place, dans un fourgon cellulaire, le soir du jeudi 20 juillet, quand l'un de leurs collègues a quitté le tribunal judiciaire pour la prison de Luynes. Des dizaines de policiers des brigades anticriminalité (Bac) s'étaient alors réunis pour soutenir leurs quatre collègues mis en examen pour violences volontaires en réunion lors des émeutes.

Mais la nouvelle du placement en détention provisoire de l'un des quatre agents mis en cause a soulevé un vent de colère inédit dans les rangs de la police marseillaise. Bac, BST, SISTC, police-secours... tour à tour, du sud au nord de la ville, des dizaines de fonctionnaires affectés à la voie publique se sont fait porter pâle.

Des arrêts maladie en cascade, quand d'autres se mettaient en "position d'attente au service", pour ne répondre qu'aux urgences. Une grève qui ne dit pas son nom pour demander la remise en liberté de leur collègue incarcéré.

Il est reproché aux quatre policiers d'avoir grièvement blessé Hedi, un homme de 22 ans, dans la nuit du 1er au 2 juillet dernier. "Laissé pour mort" dans le secteur de la rue d'Italie après un tir de flashball et des coups. Après quelques heures de coma, la victime a attribué ces violences à un groupe de policiers en civil, finalement identifiés sur des vidéos comme étant des fonctionnaires des Bac Centre et Sud (notre édition d'hier).
"On aurait tous pu y être"

Mais l'annonce de leur mise en examen et de l'incarcération de l'un d'eux a entraîné un "tsunami" à la sécurité publique. Au fil des heures, dès jeudi, les équipages disponibles sur le terrain se sont réduits à peau de chagrin.

"On est en croix là", frémissait hier encore un policier de l'Évêché en faisant le décompte des effectifs en présence. En près de 40 ans de carrière, un autre, proche des mis en cause, assure n'avoir jamais vu un tel mouvement. "On est attaché au service public, mais ce n'est plus possible. Ce soir-là, on aurait tous pu y être, dans cette rue d'Italie à 2 h du matin. Et l'un de nous, un gars qui risque sa vie toutes les nuits pour défendre la population, se retrouve en prison", s'étrangle-t-il.

"Il y a une victime, et c'est malheureux, concède l'un de ses collègues à la division Nord. Ce soir-là, la mission était de rétablir l'ordre sans interpeller, car les geôles étaient pleines, mais on a dû faire face à un niveau de violence exceptionnel."

"Nous arrêterons le mouvement quand notre collègue sera libéré, insiste un ancien de la Bac. On nous dit tous les jours qu'il n'y a pas de place en prison pour des délinquants, et là, pour un père de famille, on la trouve. On a peur de quoi ? Qu'il parte en Colombie ?"
Une centaine de policiers réunis

Hier midi, plus d'une centaine de policiers de l'Évêché se sont réunis devant leur commissariat en soutien à leurs collègues, tandis que d'autres unités débrayaient. "Les collègues sont déterminés, et ça commence à faire tache d'huile, au-delà de Marseille", prévenait un policier. La nouvelle a aussi largement dépassé les rangs des forces de l'ordre. "À part les CRS, aucun policier sur Marseille ce soir (...) Si y'a des trucs à faire, c'est ce soir", pouvait-on déjà lire, jeudi soir, sur les réseaux sociaux.

Du côté des autorités, si on ne niait pas une situation "compliquée", on rappelait que la zone comptait des effectifs "importants". Surtout, on se voulait rassurant en martelant, à l'adresse de la population, que "la continuité de la sécurité publique sera assurée".

https://www.laprovence.com/article/fait ... otestation

Je n'attends qu'une chose que le mouvement s'amplifie au maximum .
Un sérieux problème existe avec la justice ....d'un coté les délinquants ,ou plus, sont libérés avec ou sans bracelet...de l'autre les policiers sont incarcérés et ne peuvent pas recevoir la visite de l'épouse ou des enfants.
Quand je parle de justice je ne mets pas en cause la totalité des juges mais aujourd'hui beaucoup veulent rétablir la "république des juges" comme hier en Italie.

[LOFOTEN]

«Ça fait 20 ans que tous les gouvernements nous prennent pour des serpillières»: après l’incarcération d’un policier de la BAC, vent de fronde à Marseille

https://www.lefigaro.fr/actualite-franc ... our-des-se

[oups]

Compliqué toussa, déjà qu’avec une police qui est ce qu’elle est c’est le bordel, j’ose pas trop imaginer sans .Mais bon on a le droit de penser qu’en l’absence d’un truc qui des fois marche pas trop bien, pas de truc du tout ou un truc qui marche toujours mal .....c’est mieux