hé oui, l'état n'a pas le droit de mettre en avant la couleur ou l'origine.Time a écrit : ↑25 juillet 2023 15:20Je lis et participe à peu de fils ici. Je ne vois donc pas ou peu les posts de Fleur2jasmin. Mais ce qui importe c'est le sujet actuel et non ses interventions extérieures et passées.Fonck1 a écrit : ↑25 juillet 2023 14:55
le problème, c'est qu'elle n'a pas commencé son post par ça me révolte, mais "en quoi cela me concerne t-il?"
comme par hasard, quand il faut défendre des petits maghrébins et musulmans, ça la concerne, mais quand il faut défendre des femmes qui cherchent des vestiges, c'est plus pareil.
deux poids, deux mesures.
on ne peut nier que cette mauvaise habitude à la victimisation fatigue tout le monde, dans la vie, on a le résultat de ce que l'on sème, hors chez les musulmans ou les maghrébins, personne ne sème rien, c'est toujours "de la faute des autres".
Perso je vois un problème dans le fait qu'elle est apostrophée deux fois sur un fil où elle ne participe pas.
Et je vois un 2ème problème dans le fait que le sujet du fil c'est des femmes travaillant dans de mauvaises conditions (ce qui est répréhensible par la loi) et de leurs directions qui, conscientes du danger, ne prennent pas de mesures adaptées (ce qui est aussi répréhensible par la loi).
Je l'ai dit précédemment, et Fleur2jasmin le dit aussi, mais ces mauvaises conditions de travail réservées à des femmes archéologues n'ont pas l'air d'être prioritaires chez les intervenants, qui utilisent le sujet pour en faire une récupération pour viser les méchants issus de l'immigration qui les harcèlent (qui sont fort mal éduqués et punissables, je suis d'accord). Mais c'est de l'extrapolation autant que la victimisation que vous citez.
Quant aux harceleurs, on peut ajouter tous ceux et celles bien blancs non issus de l'immigration qui passent devant le chantier. Je ne vois pas pourquoi il n'y en aurait pas aussi (voir les précédents sur les fouilles, dans l'article).
il n'en demeure que dans toute cette feutrine, on peut lire sur divers articles :
Leurs torts : être femme et archéologue et travailler dans une tenue qui ne convient pas aux mœurs des outragés.
"Lorsque vous avez un ou plusieurs individus de sexe masculin qui restent deux heures et qui font des dizaines de photos, c'est extrêmement perturbant. Être tout le temps aux aguets, tout le temps en train de lever la tête et de se demander si chaque personne qui passe n'est pas un potentiel harceleur" fait désormais partie du quotidien des archéologues, regrette-t-il.
les pauvres petits ne supportent pas les débardeurs.
Il n'est pas rare que ces archéologues subissent des remarques ou des insultes "à caractère sexiste et sexuel"
et ce qui m'énerve, c'est que ces mœurs c'est la police populaire.
désolé, nous sommes dans un pays de droits.
personne n'a à imposer ses mœurs encore moins quand ils viennent d'ailleurs !