Par "gel" j'entends bien sûr, perte du pouvoir d'achat du salaire même après augmentation.Victor a écrit : ↑08 août 2023 11:26Mais les salaire ne sont pas gelés. Où avait vu ou lu cela ?Hdelapampa a écrit : ↑08 août 2023 00:06 Victor récite ses sourates en boucle.
Il radote.
Voilà qu'il prétend que ceux qui veulent augmenter les salaires sur...l'inflation ne parlent jamais d'inflation.
C'est bien sûr le contraire.
Si le but du gel des salaires est de faire cesser l'inflation, alors une conclusion s'impose: ça ne marche pas.
Ce qui est important, c'est que la hausse des salaires ne crée pas une spirale inflationniste, c'est à dire qu'elle ne vienne pas alimenter l'inflation dans un cercle vicieux.
C'est pour cette raison que la pire des idées, en période de forte inflation, c'est l'indexation des salaires (et même des pensions de retraite) sur l'inflation.
Négociations collectives salariales : des hausses de salaires assez marquées en 2022
La Banque de France a publié un bilan des hausses de salaires négociés en France en 2022. Il en ressort que les négociations salariales de branche se sont conclues par une augmentation des salaires de 5% en moyenne (contre 1% ces dernières années) en lien direct avec l'inflation et les hausses du SMIC.
Depuis 2006, jamais les évolutions de salaires négociés dans le cadre des accords de branche n’avaient été aussi importantes.
Les syndicats et les représentants des chefs d’entreprise négocient chaque année, au niveau des branches, des grilles de salaires minima (généralement en début d’année). En 2022, le niveau élevé de l'inflation (les prix à la consommation ont augmenté de 5,9% sur un an) a conduit de nombreuses branches à revoir leur calendrier habituel. Près de la moitié des branches ont révisé en cours d’année les accords signés pour l’année 2022, ce qui a contribué à accroitre les hausses négociées. La plupart des branches ayant renégocié en cours d’année ont signé des accords qui contiennent des hausses supérieures à 5% en cumulé sur 2022 (avec généralement un accord en début d’année autour de 3% et un accord en cours d’année prévoyant une nouvelle hausse entre 2 et 3%). C'est par exemple le cas pour la grande distribution, les services de propreté et la chimie.
En fin d’année 2022, certaines révisions ont été plus importantes comme dans les branches :
de la sécurité (+7,5% en septembre 2022) ;
de la coiffure (+5% en octobre 2022 après 7% en moyenne en début d’année) ;
du commerce de gros (+4,5% fin 2022 après +3,2% en janvier 2022).
https://www.vie-publique.fr/en-bref/285 ... yenne-de-5
Je n'ai pas emploté le "bon" mot.
Je corrige et j'observe à nouveau que ces "augmentations" inférieures aux taux d'inflation et à celles demandées par les syndicats n'ont toujours pas fait disparaître l'inflation qui demeure.
Les importations ne baissent pas globalement)et les exportations n'augmentent pas non plus.
La consommation DES PAUVRES n'augmente pas non plus.
Les pauvres sont riches et les riches pas tant que ça.
C'est le fond de votre "pensée" rudimentaire inspirée, n'en doutons pas, par votre foi religieuse.

De sorte que RIEN n'est réglé et vous continuez pourtant à vous pavaner comme un charlatan de l'économie.