Le pouvoir d'achat reste de loin la priorité n°1 des français

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vivarais
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Re: Le pouvoir d'achat reste de loin la priorité n°1 des français

Message par vivarais »

mic43121 a écrit : 11 septembre 2023 21:09
jeandu53 a écrit : 11 septembre 2023 20:42 Le pouvoir d'achat constitue une préoccupation bien compréhensible. Mais c'est une préoccupation de court terme, et c'est un peu dommage pour notre débat démocratique.

En effet, les gens voient leur intérêt individuel immédiat (donc le pouvoir d'achat), l'avenir du pays à plus long terme (plus abstrait) leur importe assez peu.

Donc toute mesure imposant à chacun des efforts pour mieux préserver l'intérêt général à long terme du pays sera impopulaire. Cela vaut pour les sujets économiques, sociaux, environnementaux. Travailler plus pour assurer le financement des retraites, c'est non. Asseoir le financement de la protection sociale sur la consommation, c'est non. Se chauffer un peu moins pour mieux économiser les énergies, c'est non. Ne pas laver sa voiture, moins irriguer, pour économiser la ressources en eau, c'est non. Interdire aux véhicules les plus polluants d'accéder aux grandes villes, c'est non. Augmenter le prix de l'essence, selon le principe pollueur-payeur, pour limiter les déplacements et donc la pollution, c'est non. Taxer les camions, c'est non. Imposer des contraintes aux agriculteurs pollueurs, c'est non.

Cette difficulté existe dans toutes les démocraties, mais elle revêt une acuité particulière dans un pays comme la France où, plus qu'ailleurs, on est toujours prêt à manifester, protester, contester, revendiquer...

Que peut faire un gouvernement dans ces conditions ?

Pas du tout ...moi je n'arrose pratiquement plus ma pelouse ..Je ne travaille plus mais je n'ai pas une seconde a moi .. 8|
Financer ma retraite :( :rouge: si je te dis tu vas pleurer :snif:
Par contre si je te suis SEULS les RUPINS pourraient venir en ville ..Faire les boutiques de luxes ...Pas de manants qui polluent ..
OK on ferait des dérogations aux possesseurs de Cayennes Range Merco et...on ne va pas s'emmerder entre riches.. :XD:
Les pauvres cons qui bossent pour pas grand chose et qui roulent avec des épaves ne seront plus admis ..ZONT qu'a êtres riches ..
valoranim01
arroser sa pelouse avec ce qu'il pleut
encore aujourd'hui je n'ai pas pu mettre le pied dans mon potager
d'où mon temps de presence sur ce forum non stop sur le forum :hehe:
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jeandu53
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Re: Le pouvoir d'achat reste de loin la priorité n°1 des français

Message par jeandu53 »

Hdelapampa a écrit : 12 septembre 2023 16:46
jeandu53 a écrit : 11 septembre 2023 20:42 Le pouvoir d'achat constitue une préoccupation bien compréhensible. Mais c'est une préoccupation de court terme, et c'est un peu dommage pour notre débat démocratique.

En effet, les gens voient leur intérêt individuel immédiat (donc le pouvoir d'achat), l'avenir du pays à plus long terme (plus abstrait) leur importe assez peu.

Donc toute mesure imposant à chacun des efforts pour mieux préserver l'intérêt général à long terme du pays sera impopulaire. Cela vaut pour les sujets économiques, sociaux, environnementaux. Travailler plus pour assurer le financement des retraites, c'est non. Asseoir le financement de la protection sociale sur la consommation, c'est non. Se chauffer un peu moins pour mieux économiser les énergies, c'est non. Ne pas laver sa voiture, moins irriguer, pour économiser la ressources en eau, c'est non. Interdire aux véhicules les plus polluants d'accéder aux grandes villes, c'est non. Augmenter le prix de l'essence, selon le principe pollueur-payeur, pour limiter les déplacements et donc la pollution, c'est non. Taxer les camions, c'est non. Imposer des contraintes aux agriculteurs pollueurs, c'est non.

Cette difficulté existe dans toutes les démocraties, mais elle revêt une acuité particulière dans un pays comme la France où, plus qu'ailleurs, on est toujours prêt à manifester, protester, contester, revendiquer...

Que peut faire un gouvernement dans ces conditions ?
Hé oui...
Quelle mesquinerie et quel aveuglement de se demander comment on va finir le mois.
Ah, je n'ai pas dit ça... Je ne juge pas. Je constate juste que c'est compliqué de réfléchir au long terme avec des électeurs qui, en majorité, regardent le court terme.
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Re: Le pouvoir d'achat reste de loin la priorité n°1 des français

Message par danielle49 »

Pour l'alimentaire, une baisse de dépenses de 4,6% en 2022 et déjà de 11,4% en 2023?. Les Français auraient-ils trop mangé les années précédentes ? ;)
Souvent les emballages occupent un grand volume, ça donne l'impression d'acheter plus.

https://www.bfmtv.com/economie/consomma ... 20597.html
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Re: Le pouvoir d'achat reste de loin la priorité n°1 des français

Message par berger141 »

Que les français se réjouissent de leur pouvoir d'achat actuel, dans quelques années il sera moins favorable, la France plonge.
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Re: Le pouvoir d'achat reste de loin la priorité n°1 des français

Message par danielle49 »

Pour faire la vaisselle ?
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Re: Le pouvoir d'achat reste de loin la priorité n°1 des français

Message par lotus95 »

jeandu53 a écrit : 11 septembre 2023 20:42 Le pouvoir d'achat constitue une préoccupation bien compréhensible. Mais c'est une préoccupation de court terme, et c'est un peu dommage pour notre débat démocratique.

En effet, les gens voient leur intérêt individuel immédiat (donc le pouvoir d'achat), l'avenir du pays à plus long terme (plus abstrait) leur importe assez peu.

Donc toute mesure imposant à chacun des efforts pour mieux préserver l'intérêt général à long terme du pays sera impopulaire. Cela vaut pour les sujets économiques, sociaux, environnementaux. Travailler plus pour assurer le financement des retraites, c'est non. Asseoir le financement de la protection sociale sur la consommation, c'est non. Se chauffer un peu moins pour mieux économiser les énergies, c'est non. Ne pas laver sa voiture, moins irriguer, pour économiser la ressources en eau, c'est non. Interdire aux véhicules les plus polluants d'accéder aux grandes villes, c'est non. Augmenter le prix de l'essence, selon le principe pollueur-payeur, pour limiter les déplacements et donc la pollution, c'est non. Taxer les camions, c'est non. Imposer des contraintes aux agriculteurs pollueurs, c'est non.

Cette difficulté existe dans toutes les démocraties, mais elle revêt une acuité particulière dans un pays comme la France où, plus qu'ailleurs, on est toujours prêt à manifester, protester, contester, revendiquer...

Que peut faire un gouvernement dans ces conditions ?
D'accord avec vous en partie, le pouvoir d'achat ne devrait pas être le seul sujet d'importance , l'état de notre démocratie et de notre souveraineté devrait aussi faire partie des préoccupations principales

Mais le fait de détenir un "record de prélèvements obligatoires" avec des services publics de plus en plus dépouillés , c'est cohérent ??
où va l'argent ? il me semble que c'est la question primordiale que tout le monde devrait se poser avant d'envisager de nouvelles dépenses , pas forcément prioritaires au regard de l'état de dépouillement du pays

Vous parlez de TVA sociale ... à quel titre ?
un actif verse aujourd'hui environ 50% de sa rémunération pour couvrir ses risques maladie, invalidité , chômage ... et contribue à financer la retraite des pensionnés actuels en étant quasiment sûr d'avoir des clopinettes lorsque ce sera son tour .... en plus de cela , il repaie ces cotisations répercutées par les entreprises dans les prix .... ça ne suffit pas ?
il faudrait encore le ponctionner pour ne pas remettre en cause l'hémorragie d'argent public vers les plus riches de ce pays ?

Ce que je trouve vraiment regrettable , c'est qu'il n'y ait pas un enseignement minimal au fonctionnement de l'Etat et à la gestion des finances publiques comme ça existe dans certains pays , on a beau jeu de profiter de l'ignorance de la population pour l'enfumer en racontant n'importe quoi ...

Quant aux autres points , il suffit de prendre connaissance des profits records d'un Total Energies (par exemple) pour comprendre que la misère des uns fait la richesse des autres , que la sécheresse est telle que le gouvernement a envisagé il y a moins d'un an d'échanger l'équivalent de la consommation annuelle des français contre du pétrole , que le système des retraites ne peut pas bien se porter si on diminue sciemment ses ressources , que EDF était il n'y a pas si longtemps 1er exportateur d'électricité en Europe ....
en bref, il n'y a pas de fatalité , les solutions préconisées ne peuvent pas être audibles lorsque les problèmes qu'elles sont censées solutionner résultent en grande partie de politiques hors-sol qu'on imagine mal ne pas perdurer
À la télé ils disent tous les jours : 'Y a trois millions de personnes qui veulent du travail.' C'est pas vrai : de l'argent leur suffirait." Coluche
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Re: Le pouvoir d'achat reste de loin la priorité n°1 des français

Message par Patchouli38 »

"Pourquoi la baisse de la TVA sur l’essence proposée par Marine Le Pen n’est pas réalisable

La présidente du groupe RN à l’Assemblée nationale a proposé de baisser la TVA de 20 % à 5,5 % sur les carburants pour faire baisser leur prix, alors que l’essence et le gazole flirte avec la barre des 2 euros le litre. Une mesure anti-écologique qui enfreindrait le droit européen.

« C’est une très mauvaise idée ». Marine Le Pen a fustigé lundi soir la décision du gouvernement d’autoriser les distributeurs à vendre l’essence « à perte » pour faire baisser les prix. « Seules les grandes surfaces vont pouvoir vendre à perte, et des milliers de petites stations indépendantes vont mettre la clé sous la porte », a-t-elle critiqué sur le plateau du JT de TF1.

A la place, la présidente du groupe Rassemblement national (RN) à l’Assemblée nationale a proposé SA « solution pour faire baisser de manière immédiate le prix du carburant » : abaisser la taxe sur la valeur ajoutée (TVA) de 20 % à 5,5 %.

Puisque les carburants sont des « biens de première nécessité », l’élue d’extrême droite estime qu’il faut baisser la TVA « pour tout le monde ». Et pour compenser les pertes de l’Etat, évaluées à 10 milliards d’euros (sur 14,5 milliards) par l’Institut Montaigne, Marine Le Pen remet sur la table la « taxe sur les surprofits ».

Une idée que Marine Le Pen dit proposer « depuis longtemps » : elle figurait déjà dans son programme lors de la présidentielle de 2022, et la candidate d’extrême droite l’avait même proposée lors du débat d’entre-deux-tours : « [Il faut] baisser de manière pérenne la TVA sur l’énergie, l’ensemble de l’énergie, de 20 % à 5,5 %. Pourquoi ? Parce que je considère que c’est un bien de première nécessité. Je veux la baisser sur le carburant, sur le gaz, l’électricité et le fioul, c’est 12 milliards que je vais ainsi rendre aux Français ».

Une baisse interdite par l’UE

Mais une proposition répétée n’en fait pas une réalité, ni même une vérité. Comme de nombreux articles de l’époque le précisaient, une baisse de la TVA ne peut être ni immédiate, ni aussi importante.

Pas immédiate car une baisse de la TVA nécessite de voter une loi. Le RN étant dans l’opposition, il devrait attendre sa niche parlementaire pour faire sa proposition de texte. Et si cette opportunité se présente rapidement – le 12 octobre prochain, le groupe d’extrême droite ne propose aucun texte sur le sujet, préférant une « opération grossière » sur l’endométriose. Marine Le Pen communique, mais ses mots ne sont pas suivis de faits.

Quoi qu’il en soit, une telle baisse de la TVA n’est pas autorisée par l’Union européenne (UE). Plus précisément par une directive « relative au système commun de taxe sur la valeur ajoutée », datant de 2006. Son but : « aboutir à une neutralité concurrentielle » de tous les Etats membres de l’UE. Pour cela, l’article 97 du texte prévoit que le taux normal de la TVA ne peut être inférieur à 15 %.



« C’est une très mauvaise idée ». Marine Le Pen a fustigé lundi soir la décision du gouvernement d’autoriser les distributeurs à vendre l’essence « à perte » pour faire baisser les prix. « Seules les grandes surfaces vont pouvoir vendre à perte, et des milliers de petites stations indépendantes vont mettre la clé sous la porte », a-t-elle critiqué sur le plateau du JT de TF1.

A la place, la présidente du groupe Rassemblement national (RN) à l’Assemblée nationale a proposé SA « solution pour faire baisser de manière immédiate le prix du carburant » : abaisser la taxe sur la valeur ajoutée (TVA) de 20 % à 5,5 %.
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Puisque les carburants sont des « biens de première nécessité », l’élue d’extrême droite estime qu’il faut baisser la TVA « pour tout le monde ». Et pour compenser les pertes de l’Etat, évaluées à 10 milliards d’euros (sur 14,5 milliards) par l’Institut Montaigne, Marine Le Pen remet sur la table la « taxe sur les surprofits ».
Twitter - Marine Le Pen on Twitter

Une idée que Marine Le Pen dit proposer « depuis longtemps » : elle figurait déjà dans son programme lors de la présidentielle de 2022, et la candidate d’extrême droite l’avait même proposée lors du débat d’entre-deux-tours : « [Il faut] baisser de manière pérenne la TVA sur l’énergie, l’ensemble de l’énergie, de 20 % à 5,5 %. Pourquoi ? Parce que je considère que c’est un bien de première nécessité. Je veux la baisser sur le carburant, sur le gaz, l’électricité et le fioul, c’est 12 milliards que je vais ainsi rendre aux Français ».
Une baisse interdite par l’UE

Mais une proposition répétée n’en fait pas une réalité, ni même une vérité. Comme de nombreux articles de l’époque le précisaient, une baisse de la TVA ne peut être ni immédiate, ni aussi importante.

La suite après la publicité

Pas immédiate car une baisse de la TVA nécessite de voter une loi. Le RN étant dans l’opposition, il devrait attendre sa niche parlementaire pour faire sa proposition de texte. Et si cette opportunité se présente rapidement – le 12 octobre prochain, le groupe d’extrême droite ne propose aucun texte sur le sujet, préférant une « opération grossière » sur l’endométriose. Marine Le Pen communique, mais ses mots ne sont pas suivis de faits.

Quoi qu’il en soit, une telle baisse de la TVA n’est pas autorisée par l’Union européenne (UE). Plus précisément par une directive « relative au système commun de taxe sur la valeur ajoutée », datant de 2006. Son but : « aboutir à une neutralité concurrentielle » de tous les Etats membres de l’UE. Pour cela, l’article 97 du texte prévoit que le taux normal de la TVA ne peut être inférieur à 15 %.
« Déclaration des droits des Nations » : ce qui se niche derrière la dernière trouvaille de Marine Le Pen

Et si la directive autorise un taux réduit d’un minimum de 5 % à certains produits énergétiques (fioul, gaz, électricité) après avoir consulté un comité rattaché à l’exécutif européen, ce n’est pas le cas pour les carburants. « Sur les carburants, la TVA doit être au minimum de 15 % et un Etat ne peut pas aller en dessous de son taux standard : la France ayant choisi son taux standard à 20 %, elle ne peut pas aller plus bas pour les carburants », a précisé à l’AFP une fonctionnaire européenne, assurant qu’il n’y a aucune dérogation possible.

Un impact écologique négatif

Pour rester dans les clous européens, la France ne peut baisser la TVA que de 20 à 15 %, le minimum autorisé. Une baisse qui correspondrait à environ huit centimes d’euros de réductions par litre. Une baisse de la TVA à 5,5 % représenterait quant à elle une baisse d’environ 25 centimes d’euros par litre.

Cependant, rappelle l’Intitut Montaigne, l’impact précis de la baisse du taux de TVA sur la consommation d’énergie est incertain. Une baisse de la TVA se traduirait notamment par une hausse de la consommation des ménages, en raison de leurs déplacements individuels ou de leur chauffage.

De plus, un rapport ministériel précisait au moment de la ristourne gouvernementale que les conducteurs aisés sont ceux qui utilisent le plus leur voiture, et donc qui profitent le plus des remises, au détriment des ménages précaires.

Enfin, cette baisse de la TVA priverait l’Etat d’un budget qui vise à financer la transition écologique. « Cette mesure ferait porter un fort risque sur le respect des engagements climat de la France dès le 3e budget carbone (2024-2028) et à horizon 2030 », confirmait l’Institut Montaigne."

https://www.nouvelobs.com/economie/2023 ... sable.html
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Re: Le pouvoir d'achat reste de loin la priorité n°1 des français

Message par Hdelapampa »

jeandu53 a écrit : 13 septembre 2023 13:43

Ah, je n'ai pas dit ça... Je ne juge pas. Je constate juste que c'est compliqué de réfléchir au long terme avec des électeurs qui, en majorité, regardent le court terme.
Chacun a ses petits problèmes.
Les rentiers se préoccupent de l'avenir de leurs rentes, de leurs loyers.
Les pauvres de leur avenir tour court. :D
Colonisation: tête de pont de la barbarie dans une civilisation d'où, à n'importe quel moment, peut déboucher la négation pure et simple de la civilisation. Aimé Césaire "Discours sur le colonialisme"
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Re: Le pouvoir d'achat reste de loin la priorité n°1 des français

Message par Victor »

Et puis si l'essence est trop chère, il reste la possibilité de passer à l'E85. Moins d'un euro le litre.
En politique, ce qu'il y a de plus difficile à apprécier et à comprendre c'est ce qui se passe sous nos yeux.
Alexis de Tocqueville
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