Emploi : Les maraîchers nantais font de plus en plus appel aux réfugiés
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Emploi : Les maraîchers nantais font de plus en plus appel aux réfugiés
"MAIN D’OEUVRE En manque de bras, la fédération a signé, jeudi, une convention avec l’association Job4mi Ouest qui accompagne l’accès à l’emploi de personnes migrantes
« Avant, les jeunes venaient directement déposer leur CV pour faire une saison. Aujourd’hui, il n’y a plus personne… » Depuis quelques années, cette exploitation agricole de la région nantaise a décidé de faire appel à un autre public pour ramasser, à la main, ses radis et ses salades. Cet été par exemple, quelque 25 saisonniers de différentes nationalités sont venus pour mener à bien la récolte. « Il y a des Afghans, des Soudanais, des Erythréens…, détaille-t-on à l’EARL Maura, située à Carquefou. En plus des Roumains avec qui on avait déjà l’habitude de travailler. »
Confrontés à un véritable manque de main-d’œuvre, avec une moyenne d’âge qui augmente et un taux de chômage qui baisse sur le territoire, les Maraîchers nantais ont fait de l’emploi un « axe stratégique majeur ». « La première entreprise de Loire-Atlantique » qui ne produit pas que de la mâche et du muguet (et qui représente 5.000 emplois dont 1.000 ETP saisonniers) a décidé de s’ouvrir à « tous les profils », et notamment les migrants, en multipliant les partenariats.
Ce jeudi par exemple, elle a signé une convention avec l’association Job4mi Ouest, qui a déjà conclu une quarantaine de contrats entre des entreprises de maraîchage et ses bénéficiaires, pour la plupart des réfugiés, ces derniers ayant le droit de travailler. « Pour les demandeurs d’asile, l’accès au travail est plus compliqué, explique Amandine Dampierre-Pecnik, coordinatrice chez Job4mi Ouest. Il faut attendre six mois après le dépôt de leur dossier pour pouvoir y prétendre, et la démarche est très compliquée pour les employeurs qui voudraient les embaucher. »
Mobilité, maîtrise de la langue…
Malgré cela, 65 % des recrutements en 2023 concernaient des personnes d’origine étrangère (40 % hors Union européenne), contre 40 % en 2020, calcule la fédération des maraîchers. Plus de la moitié s’effectue par l’intermédiaire d’une association. « Ce qui facilite beaucoup les choses, explique-t-on à l’exploitation agricole de Carquefou, accompagnée par Job4Mi. Les candidats sont présélectionnés, ils viennent ensuite nous voir pour qu’on leur présente concrètement les tâches sur l’exploitation. Ça nous fait évoluer ! On est aussi aidés pour tout ce qui est papiers, donc au final, ça ne nous demande pas plus de travail en tant que chef d’entreprise. »
Il n’empêche qu’embaucher un salarié étranger comporte tout de même des difficultés. « Le principal problème, c’est la mobilité, avec beaucoup de migrants qui habitent près de Nantes et dont le permis du pays n’est pas reconnu en France », observe la coordinatrice de Job4mi, qui organise des groupes de covoiturage afin que les ouvriers rejoignent ensemble l’exploitation, tôt le matin. L’hébergement et la maîtrise de la langue peuvent aussi compliquer les choses, alors que la fédération essaye, sur ce dernier point, de développer les formations.
« 80 % des employeurs jugent l’intégration de leurs employés très bonne ou satisfaisante, se félicite Eric Tesch, responsable du secteur « compétences et métiers » à la fédération des maraîchers. Lorsque ce n’est pas le cas, il s’agit surtout de soucis d’absentéisme liés aux rendez-vous administratifs qu’ils honorent plutôt que de se rendre au travail. » Depuis ces dernières années, plusieurs ouvriers arrivés pour la saison reviennent chaque année, voire ont obtenu un CDI. Alors que le débat est vif sur le projet de loi immigration et la possible régularisation des sans-papiers exerçant dans les métiers en tension, certains autres se sont vu notifier une obligation de quitter le territoire (OQTF), alors « qu’ils commençaient à s’insérer par le travail ».
https://www.20minutes.fr/economie/emplo ... l-refugies
« Avant, les jeunes venaient directement déposer leur CV pour faire une saison. Aujourd’hui, il n’y a plus personne… » Depuis quelques années, cette exploitation agricole de la région nantaise a décidé de faire appel à un autre public pour ramasser, à la main, ses radis et ses salades. Cet été par exemple, quelque 25 saisonniers de différentes nationalités sont venus pour mener à bien la récolte. « Il y a des Afghans, des Soudanais, des Erythréens…, détaille-t-on à l’EARL Maura, située à Carquefou. En plus des Roumains avec qui on avait déjà l’habitude de travailler. »
Confrontés à un véritable manque de main-d’œuvre, avec une moyenne d’âge qui augmente et un taux de chômage qui baisse sur le territoire, les Maraîchers nantais ont fait de l’emploi un « axe stratégique majeur ». « La première entreprise de Loire-Atlantique » qui ne produit pas que de la mâche et du muguet (et qui représente 5.000 emplois dont 1.000 ETP saisonniers) a décidé de s’ouvrir à « tous les profils », et notamment les migrants, en multipliant les partenariats.
Ce jeudi par exemple, elle a signé une convention avec l’association Job4mi Ouest, qui a déjà conclu une quarantaine de contrats entre des entreprises de maraîchage et ses bénéficiaires, pour la plupart des réfugiés, ces derniers ayant le droit de travailler. « Pour les demandeurs d’asile, l’accès au travail est plus compliqué, explique Amandine Dampierre-Pecnik, coordinatrice chez Job4mi Ouest. Il faut attendre six mois après le dépôt de leur dossier pour pouvoir y prétendre, et la démarche est très compliquée pour les employeurs qui voudraient les embaucher. »
Mobilité, maîtrise de la langue…
Malgré cela, 65 % des recrutements en 2023 concernaient des personnes d’origine étrangère (40 % hors Union européenne), contre 40 % en 2020, calcule la fédération des maraîchers. Plus de la moitié s’effectue par l’intermédiaire d’une association. « Ce qui facilite beaucoup les choses, explique-t-on à l’exploitation agricole de Carquefou, accompagnée par Job4Mi. Les candidats sont présélectionnés, ils viennent ensuite nous voir pour qu’on leur présente concrètement les tâches sur l’exploitation. Ça nous fait évoluer ! On est aussi aidés pour tout ce qui est papiers, donc au final, ça ne nous demande pas plus de travail en tant que chef d’entreprise. »
Il n’empêche qu’embaucher un salarié étranger comporte tout de même des difficultés. « Le principal problème, c’est la mobilité, avec beaucoup de migrants qui habitent près de Nantes et dont le permis du pays n’est pas reconnu en France », observe la coordinatrice de Job4mi, qui organise des groupes de covoiturage afin que les ouvriers rejoignent ensemble l’exploitation, tôt le matin. L’hébergement et la maîtrise de la langue peuvent aussi compliquer les choses, alors que la fédération essaye, sur ce dernier point, de développer les formations.
« 80 % des employeurs jugent l’intégration de leurs employés très bonne ou satisfaisante, se félicite Eric Tesch, responsable du secteur « compétences et métiers » à la fédération des maraîchers. Lorsque ce n’est pas le cas, il s’agit surtout de soucis d’absentéisme liés aux rendez-vous administratifs qu’ils honorent plutôt que de se rendre au travail. » Depuis ces dernières années, plusieurs ouvriers arrivés pour la saison reviennent chaque année, voire ont obtenu un CDI. Alors que le débat est vif sur le projet de loi immigration et la possible régularisation des sans-papiers exerçant dans les métiers en tension, certains autres se sont vu notifier une obligation de quitter le territoire (OQTF), alors « qu’ils commençaient à s’insérer par le travail ».
https://www.20minutes.fr/economie/emplo ... l-refugies
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Re: Emploi : Les maraîchers nantais font de plus en plus appel aux réfugiés
S'il s'agit de migrants réfugiés légalement, quoi de plus normal ? En revanche, j'ai le souhait que ceux qui veulent employer des migrants se doivent de leur libérer quelques heures pour les aider à améliorer la maîtrise de la langue française. Il y a des associations qui savent plutôt bien faire ça et qui le feront bénévolement ( mon épouse l'a eu fait).
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Re: Emploi : Les maraîchers nantais font de plus en plus appel aux réfugiés
On a critiqué Macron pour son propos sur l'emploi de l'autre côté de la rue, mais il n'avait pas tout à fait tort.
- mic43121
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Re: Emploi : Les maraîchers nantais font de plus en plus appel aux réfugiés
je suis content pour les Nantais..qui n"arracheront plus de radis ..Le dos en prend une coup



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Re: Emploi : Les maraîchers nantais font de plus en plus appel aux réfugiés
Les maraichers Nantais ont bien raison, pourquoi payer au juste prix des saisonniers nationaux quand on dispose à profusion d'une main d'oeuvre étrangère trop heureuse de gagner en quelques jours ce qu'ils ne pourraient jamais gagner dans une année de travail dans les pays d'origines.
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Re: Emploi : Les maraîchers nantais font de plus en plus appel aux réfugiés
Je sais que cela s'est fait dans d'autres domaines pour les récoltes..Et ces derniers ont une rémunération identique aux Français...Voir même parfois plus élevée lorsqu'il y a une prime au rendement..Le seul pays ou j'ai vu de gros abus de ce genre c'est l'Espagne..Ou les Marocains par exemple ne veulent plus travailler parce que payés au lance-pierre....Désormais ils recrutent du côté de l'Amérique du Sud..Ces derniers parlent en plus la langue "locale".gare au gorille a écrit : ↑07 octobre 2023 10:54 Les maraichers Nantais ont bien raison, pourquoi payer au juste prix des saisonniers nationaux quand on dispose à profusion d'une main d'oeuvre étrangère trop heureuse de gagner en quelques jours ce qu'ils ne pourraient jamais gagner dans une année de travail dans les pays d'origines.

Aux mains de l'Etat,la force s'appelle Droit....Aux mains de l'individu,elle se nomme le crime....
Si tu m'as pris pour un clown tu t'es trompé de Carnaval...
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Re: Emploi : Les maraîchers nantais font de plus en plus appel aux réfugiés
Ce que tu appelles une rémunération identique au Français c'est le minimum salarial pour un travail pénibles, c'est à dire un salaire non adapté à la pénibilité du boulot, salaires qui restent bloqués vers le bas, les travailleurs français étant soumis à la concurrence des travailleurs venus en masse des pays pauvres et pour qui le même salaire devient un salaire mirifique comparé à ce qu'ils gagneraient en restant chez eux.Crapulax a écrit : ↑07 octobre 2023 15:38Je sais que cela s'est fait dans d'autres domaines pour les récoltes..Et ces derniers ont une rémunération identique aux Français...Voir même parfois plus élevée lorsqu'il y a une prime au rendement..Le seul pays ou j'ai vu de gros abus de ce genre c'est l'Espagne..Ou les Marocains par exemple ne veulent plus travailler parce que payés au lance-pierre....Désormais ils recrutent du côté de l'Amérique du Sud..Ces derniers parlent en plus la langue "locale".gare au gorille a écrit : ↑07 octobre 2023 10:54 Les maraichers Nantais ont bien raison, pourquoi payer au juste prix des saisonniers nationaux quand on dispose à profusion d'une main d'oeuvre étrangère trop heureuse de gagner en quelques jours ce qu'ils ne pourraient jamais gagner dans une année de travail dans les pays d'origines.![]()
En fait c'est une sorte de délocalisation, les terres ne pouvant être délocaliser on délocalise les travailleurs. C'est un peu comme ça que nous avons bousillé notre économie et démotivé une partie des travailleurs Français.
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Re: Emploi : Les maraîchers nantais font de plus en plus appel aux réfugiés
Patchouli met avec cet exemple en exergue la participation utile à l'économie agricole en pays nantais de certains immigrés.
Elle montre que l'immigration peut aussi être utile.
Mais la question qui se pose c'est de savoir si les aspects positifs de l'immigration compensent le désastre qui résulte des émeutes , des attentats, des centaines de zones de non droit, du trafic de drogues , l'insécurité ....?
Elle montre que l'immigration peut aussi être utile.
Mais la question qui se pose c'est de savoir si les aspects positifs de l'immigration compensent le désastre qui résulte des émeutes , des attentats, des centaines de zones de non droit, du trafic de drogues , l'insécurité ....?
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Re: Emploi : Les maraîchers nantais font de plus en plus appel aux réfugiés
Et oui, cela vous défrise que l'immigration apporte aussi du positif ! Mais je suppose que vous serez prêt à apporter votre contribution au ramassage de la mâche nantaise à la place de ces méchants immigrés, bien plus courageux que les gentils français.berger141 a écrit : ↑07 octobre 2023 22:03 Patchouli met avec cet exemple en exergue la participation utile à l'économie agricole en pays nantais de certains immigrés.
Elle montre que l'immigration peut aussi être utile.
Mais la question qui se pose c'est de savoir si les aspects positifs de l'immigration compensent le désastre qui résulte des émeutes , des attentats, des centaines de zones de non droit, du trafic de drogues , l'insécurité ....?
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Re: Emploi : Les maraîchers nantais font de plus en plus appel aux réfugiés
gare au gorille a écrit : ↑07 octobre 2023 19:50Ce que tu appelles une rémunération identique au Français c'est le minimum salarial pour un travail pénibles, c'est à dire un salaire non adapté à la pénibilité du boulot, salaires qui restent bloqués vers le bas, les travailleurs français étant soumis à la concurrence des travailleurs venus en masse des pays pauvres et pour qui le même salaire devient un salaire mirifique comparé à ce qu'ils gagneraient en restant chez eux.Crapulax a écrit : ↑07 octobre 2023 15:38
Je sais que cela s'est fait dans d'autres domaines pour les récoltes..Et ces derniers ont une rémunération identique aux Français...Voir même parfois plus élevée lorsqu'il y a une prime au rendement..Le seul pays ou j'ai vu de gros abus de ce genre c'est l'Espagne..Ou les Marocains par exemple ne veulent plus travailler parce que payés au lance-pierre....Désormais ils recrutent du côté de l'Amérique du Sud..Ces derniers parlent en plus la langue "locale".![]()
En fait c'est une sorte de délocalisation, les terres ne pouvant être délocaliser on délocalise les travailleurs. C'est un peu comme ça que nous avons bousillé notre économie et démotivé une partie des travailleurs Français.
Le signale a GaG que le boulot de paysan n'a rien d'une partie de plaisir ...les fraises Par exemple ..
Je ne parles pas des céréaliers et des éleveurs qui eux sont équipés pour ne plus rien faire manuellement ..
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Re: Emploi : Les maraîchers nantais font de plus en plus appel aux réfugiés
Heureusement qu'il y a un peu de positif a coté du désastre généré par l'immigration.Patchouli38 a écrit : ↑08 octobre 2023 12:03Et oui, cela vous défrise que l'immigration apporte aussi du positif ! Mais je suppose que vous serez prêt à apporter votre contribution au ramassage de la mâche nantaise à la place de ces méchants immigrés, bien plus courageux que les gentils français.berger141 a écrit : ↑07 octobre 2023 22:03 Patchouli met avec cet exemple en exergue la participation utile à l'économie agricole en pays nantais de certains immigrés.
Elle montre que l'immigration peut aussi être utile.
Mais la question qui se pose c'est de savoir si les aspects positifs de l'immigration compensent le désastre qui résulte des émeutes , des attentats, des centaines de zones de non droit, du trafic de drogues , l'insécurité ....?
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Re: Emploi : Les maraîchers nantais font de plus en plus appel aux réfugiés
À votre avis berger à moins que ne vous possédiez vignes vergers et champs vous buvez et mangez combien de fruits et légumes ramassés ou/et cueillis par des "Français" ?...berger141 a écrit : ↑08 octobre 2023 13:36Heureusement qu'il y a un peu de positif a coté du désastre généré par l'immigration.Patchouli38 a écrit : ↑08 octobre 2023 12:03
Et oui, cela vous défrise que l'immigration apporte aussi du positif ! Mais je suppose que vous serez prêt à apporter votre contribution au ramassage de la mâche nantaise à la place de ces méchants immigrés, bien plus courageux que les gentils français.
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Re: Emploi : Les maraîchers nantais font de plus en plus appel aux réfugiés
chez nous ,c'est la pleine saison des pomme de terre ,,, on les trie sur des chaînes de triage (cailloux ;mottes ,fanes ; abimées )Patchouli38 a écrit : ↑08 octobre 2023 12:03Et oui, cela vous défrise que l'immigration apporte aussi du positif ! Mais je suppose que vous serez prêt à apporter votre contribution au ramassage de la mâche nantaise à la place de ces méchants immigrés, bien plus courageux que les gentils français.berger141 a écrit : ↑07 octobre 2023 22:03 Patchouli met avec cet exemple en exergue la participation utile à l'économie agricole en pays nantais de certains immigrés.
Elle montre que l'immigration peut aussi être utile.
Mais la question qui se pose c'est de savoir si les aspects positifs de l'immigration compensent le désastre qui résulte des émeutes , des attentats, des centaines de zones de non droit, du trafic de drogues , l'insécurité ....?
sur notre chaîne ; moyenne d'age 65 ans ,,, que des retraîtés (pas des cadres) qui viennent arrondir leur pension entre 9 et 10 heures par jour
y''avait bien un jeune ,,, il a tenu 4 jours ( bobo dans le dos)
cette année j'ai pris la relève de ma femme (72 ans)
nota ) dans mon bourg , il y a un petit immeuble plein de cassoce ........ et même dUkrainiennes ...... mais bon
des immigrés dans les champs , il y en a toujours eu , quand j'étais gosse on faisait venir des espagnols pour placer et biner des betteraves
les immigrés dans les champs , ne sont pas du tout les mêmes que ceux des cités