Une journaliste de RCI écartée après une interview tendue avec Jordan Bardella

[Kelenner]

Au contraire, c'est une vraie journaliste, c'est à dire qu'elle pose des questions claires, précises, non complaisantes, sur les propos et les prises de position de son invité et du parti qu'il représente. C'est calme, sourcé, de l'excellent boulot, en face le guignol perd son sang-froid parce qu'il s'attend sans doute à se retrouver face à une intervieuse complaisante, comme c'est la norme. C'est un scandale qu'elle ait été écartée pour avoir (très bien) fait son boulot, quand une menteuse professionnelle comme Elkrief se voit encensée pour avoir diffamé son invité.

Je comprends pourquoi elle a été écartée (merci pour la vidéo), parce que c'est tout simplement une charge contre l'invité.
Elle n'est pas dans le rôle de l'interviewer, mais dans celui de l'opposant offensif.
Avec des questions qui contiennent les réponses et puis la claque finale préparée à l'avance qui tombe comme un rat dans un chaudron..
Il faut se trimbaler une sacrée mauvaise foi pour n'y voir qu'une interview au ton ferme, menée sans complaisance.

Une charge ? Les hommes politiques ont l'habitude qu'on leur cire les pompes, certes, mais c'est très gentillet comme "charge". Elle lui demande juste de s'expliquer sur des propos qu'il a tenu, et sur les positions de son parti, rien de plus. C'est la base de son boulot. Si on écarte des gens qui font leur travail correctement parce qu'on a peur de déplaire à un parti en particulier, alors nous ne sommes plus vraiment en démocratie.

[Mesoke]

Elle a sans doute cherché à piéger Bardella, mais juste en lui posant des questions auxquelles elle savait qu'il ne saurait pas répondre, pour montrer son vide idéologique.

'fin comme chaque journaliste qui cherche à informer en montrant le vide idéologique d'un politicien. Elle n'est pas la première et ne sera pas la dernière, quel que soit le bord politique.

[gare au gorille]

Au contraire, c'est une vraie journaliste, c'est à dire qu'elle pose des questions claires, précises, non complaisantes, sur les propos et les prises de position de son invité et du parti qu'il représente. C'est calme, sourcé, de l'excellent boulot, en face le guignol perd son sang-froid parce qu'il s'attend sans doute à se retrouver face à une intervieuse complaisante, comme c'est la norme. C'est un scandale qu'elle ait été écartée pour avoir (très bien) fait son boulot, quand une menteuse professionnelle comme Elkrief se voit encensée pour avoir diffamé son invité.

Je comprends pourquoi elle a été écartée (merci pour la vidéo), parce que c'est tout simplement une charge contre l'invité.
Elle n'est pas dans le rôle de l'interviewer, mais dans celui de l'opposant offensif.
Avec des questions qui contiennent les réponses et puis la claque finale préparée à l'avance qui tombe comme un rat dans un chaudron..
Il faut se trimbaler une sacrée mauvaise foi pour n'y voir qu'une interview menée sans complaisance.

C'est clair qu'elle s'était assignée une mission qui lui semblait essentielle, celle de diaboliser le RN. Elle s'est mis a répéter les propos que Bardella avait tenu en Italie, de les répéter sans cesse sur un ton indigné, sauf que les propos de Bardella n'étaient que du bon sens et n'avaient rien d'indignes.
Elle n'avait pas du tout envie d'interviewer Bardella comme elle l'aurait pour n'importe quel homme politique.
Bon faut croire que même la direction de la chaine s'est aperçu de son agressivité déplacée.

[latresne]

Cette journaliste n'assume pas son manque d'objectivité.Je voudrais l'écouter interviewer Mélenchon ou Panot .

[vivarais]

Au contraire, c'est une vraie journaliste, c'est à dire qu'elle pose des questions claires, précises, non complaisantes, sur les propos et les prises de position de son invité et du parti qu'il représente. C'est calme, sourcé, de l'excellent boulot, en face le guignol perd son sang-froid parce qu'il s'attend sans doute à se retrouver face à une intervieuse complaisante, comme c'est la norme. C'est un scandale qu'elle ait été écartée pour avoir (très bien) fait son boulot, quand une menteuse professionnelle comme Elkrief se voit encensée pour avoir diffamé son invité.

Elle a voulu trop briller , ses employeurs car ils sont 2 issus de gauche l'ont éteinte
Il s'agit d'un média des DM TOM avec une population hostile à l'immigration même si l'o, e parle moins que mayotte
Mais qui ont les mêmes problèmes que la guyanne
RCI ne veut pas déplaire à ses auditeurs
Ils sont confronter au même problème qu' ailleurs
Des iles comme haiti ont voulu l'indépendance et maintenant les habitants cherchent à fuir leurs iles à tout prix et la misère suite à l'indépendance
Le guignol contrairement à ce que vous dites fait toujours preuve d'un sang froid
Si vous voulez voir des guignols , regardez les députés LFI intervenir à l'assemblée et qui nesavent pas garder leur sang froid
https://www.youtube.com/watch?v=08qWB5ApbnQ

[Corvo]

Vous ne savez pas chercher ?..

Je n'ai pas pris la peine de chercher, car ce sujet m'intéresse somme toute assez peu.

Donc, une journaliste qui insulte et ment face à Bompard (qui, lui, a gardé son sang-froid) est une héroïne de la presse adoubée par le sommet de l'Etat; mais une autre qui fait simplement son travail en constatant le vidé intersidéral des "propositions" bardellesques (ce qui ne nécessite pas d'appartenir à un quelconque parti politique, puisque c'est juste factuel, le type n'allant jamais bosser au Parlement) se retrouve écartée de l'antenne, sous les applaudissements des mêmes blaireaux... la cohérence sauce extrême droite, quoi.

Arrêtez de raconter n'importe quoi. Ruth Elkrief n'a pas été "adoubée par le sommet de l'Etat", elle a simplement été défendue après des propos menaçants de la part de Mélenchon.

Contrairement à vous qui devez vous sentir en mal de reconnaissance quand un sujet ne m'intéresse pas je n'y participe pas.

[Corvo]

Au contraire, c'est une vraie journaliste, c'est à dire qu'elle pose des questions claires, précises, non complaisantes, sur les propos et les prises de position de son invité et du parti qu'il représente. C'est calme, sourcé, de l'excellent boulot, en face le guignol perd son sang-froid parce qu'il s'attend sans doute à se retrouver face à une intervieuse complaisante, comme c'est la norme. C'est un scandale qu'elle ait été écartée pour avoir (très bien) fait son boulot, quand une menteuse professionnelle comme Elkrief se voit encensée pour avoir diffamé son invité.

Elle a voulu trop briller , ses employeurs car ils sont 2 issus de gauche l'ont éteinte
Il s'agit d'un média des DM TOM avec une population hostile à l'immigration même si l'o, e parle moins que mayotte
Mais qui ont les mêmes problèmes que la guyanne
RCI ne veut pas déplaire à ses auditeurs
Ils sont confronter au même problème qu' ailleurs
Des iles comme haiti ont voulu l'indépendance et maintenant les habitants cherchent à fuir leurs iles à tout prix et la misère suite à l'indépendance
Le guignol contrairement à ce que vous dites fait toujours preuve d'un sang froid
Si vous voulez voir des guignols , regardez les députés LFI intervenir à l'assemblée et qui nesavent pas garder leur sang froid
https://www.youtube.com/watch?v=08qWB5ApbnQ

Si vous préférez marionnette à guignol...

[Fonck1]

sauf que la déontologie journalistique , impose la neutralité
Ce n'est pas le RN qui a pris la sanction mais son employeur
D'autant plus que les 2 PDG ont exercé des fonctions dans des ministères de gauche sous Mitterrand

Vous avez la neutralité sélective dès qu’on parle de Pascal praud le naze.

[Fonck1]

C'est une bonne chose.
Si cela pouvait faire prendre conscience aux journalistes qu'ils sont d'abord des journalistes avant d'être des encartés dans des partis politiques.

Pareil tu vas sans doute aller dire la même chose à Cnews?

[Fonck1]

Au contraire, c'est une vraie journaliste, c'est à dire qu'elle pose des questions claires, précises, non complaisantes, sur les propos et les prises de position de son invité et du parti qu'il représente. C'est calme, sourcé, de l'excellent boulot, en face le guignol perd son sang-froid parce qu'il s'attend sans doute à se retrouver face à une intervieuse complaisante, comme c'est la norme. C'est un scandale qu'elle ait été écartée pour avoir (très bien) fait son boulot, quand une menteuse professionnelle comme Elkrief se voit encensée pour avoir diffamé son invité.

Ne vous en déplaise, Elkrief n'a pas diffamé son invité. Et elle n'a pas été encensée pour cette interview.

Quant à Barbara Olivier-Zandronis : quand on pose trois fois la même question (sur "l'Hôtel 5 étoiles"), on fait preuve d'un certain militantisme.

Ou que l’on a pas eu la réponse à la question.
Les politique sont coutumier de cette technique éculée .
Vraiment la mauvaise foi ne vous étouffe pas.

[Fonck1]

je ne suis pas la direction de RCI alors je m'en tapes
Sauf qu'en colportant la chose on fait encore un podium au RN
Et corvo en est le metteur en scène et vous l'éclairagiste

Combien de millions d'électeurs fréquentent ce forum déjà ?...

Assez peu et trop d’extrême droite c’est sans doute pour ça qu’il va fermer j’ai pas fait ça pour faire une tribune .

[Corvo]

Si le RN arrivait au pouvoir il musèlerait les médias qui lui sont hostiles.

Après son interview de Jordan Bardella, Barbara Olivier-Zandronis réagit : «Ce n’était pas du militantisme, mais du journalisme»

Après s’être vue retirer la présentation du 13 heures le week-end sur la radio guadeloupéenne RCI, suite à son interview du président du Rassemblement national jugée trop agressive, la journaliste, soutenue par des personnalités politiques et médiatiques, dénonce une décision «disproportionnée».

Barbara Olivier-Zandronis le maintient, elle n’a pas commis «de faute professionnelle» mais «posé des questions factuelles». Trois jours après s’être vue retirer la présentation des journaux de 13 heures du week-end de la radio guadeloupéenne RCI, à la suite d’une interview de Jordan Bardella, vendredi, jugée trop agressive par sa direction, la journaliste reste stupéfaite par le sort qui lui a été réservé, confie-telle à Libé : «Que ma direction ne soit pas d’accord avec mon choix de questions, c’est entendable. Toute interview est critiquable. Mais que je sois écartée de l’antenne pour ça, c’est disproportionné ! J’ai employé le même ton qu’avec toutes les personnes que j’interviewe, qu’il s’agisse du RN, d’hommes politiques indépendantistes ou de militants syndicalistes comme Elie Domota, voire du sénateur socialiste Victorin Lurel que j’ai déjà reçu.»

Barbara Olivier-Zandronis dit surtout avoir abordé l’entretien avec Jordan Bardella comme celui «d’un candidat en campagne électorale, tête de liste du Rassemblement national aux élections européennes, qui arrive aux Antilles en représentant un parti qui a un certain passif et qui dit avoir un nouvel ADN. Le RN venait, pour la première fois ici, de tenir une réunion publique jusqu’au bout. C’est historique ! Jean-Marie ou Marine Le Pen n’y étaient jamais parvenus (1). Il vient parler de ses préoccupations sur l’outre-mer, je le questionne sur ce que son parti fait pour ces régions-là. C’est légitime.»

Tout en rappelant le contexte : son interview arrive au bout d’une visite de trois jours de Jordan Bardella aux Antilles, sa parole a alors déjà été entendue partout. La journaliste estime que le président du RN est d’ailleurs venu «mal préparé» sur les questions ultra-marines : «Jordan Bardella est arrivé en tongs !», s’est-elle même exclamée dans une interview à Arrêts sur images.

«Un mauvais signal»
L’affaire a pris de l’ampleur ce week-end jusqu’à atteindre un retentissement métropolitain, notamment à la suite de messages postés sur X (ex-Twitter) par Olivier Nicolas, secrétaire national aux outre-mer du Parti socialiste. Mardi matin, la pétition de soutien à Barbara Olivier-Zandronis sur la plateforme Change.org atteignait près de 15 000 signatures. La journaliste a reçu le soutien de nombreuses personnalités politiques et médiatiques, ainsi que celui de différents syndicats de journalistes, comme le SNJ qui écrit lundi dans un communiqué : «Nous ne pouvons accepter la décision de la direction de RCI Guadeloupe qui est clairement un désaveu du travail de sa journaliste, et un bien mauvais signal envoyé aux consœurs et confrères amenés à interviewer des dirigeants politiques.»

En Guadeloupe, après un temps de malaise, le sujet est arrivé au centre des conversations lundi. L’affaire a été abordée par le service public, Guadeloupe 1ere, et par la chaîne locale Canal 10, avec les explications du directeur délégué de RCI Hervé de Haro. Celui-ci a répété, après ses propos dans Libération, que «la question n’était pas sur le fond de l’interview, mais sur la forme. La forme était celle d’un débat politique». Il a par ailleurs contesté toute intervention du RN dans cette affaire et réfuté le terme de «sanction», décrivant Barbara Olivier-Zandronis comme une «jeune journaliste» installée à la présentation du journal «pour la tester». «Nous avons décidé de la suspendre momentanément de la présentation pour faire le point avec elle.» Enfin, selon lui, le scandale n’a pas lieu d’être parce qu’«il n’y a pas eu le moindre communiqué des journalistes de RCI. C’est un sujet vraiment interne», a-t-il déclaré à Canal 10. Mais sans syndicats de journalistes sur l’île, et avec un marché de l’emploi limité à quelques médias, difficile pour la corporation locale de prendre la parole sur le sujet.

«Tout cela pour garder de bonnes relations avec le RN»
Au sein de RCI, qui ne compte qu’un délégué syndical dans ses rangs – qui n’a pas souhaité répondre –, une certaine réserve prédomine. «L’ensemble de la rédaction n’a pas voulu prendre de position sur l’affaire», explique un journaliste de la radio guadeloupéenne qui a requis l’anonymat. Lundi matin, l’habituelle conférence de rédaction est revenue sur le tapage médiatique autour de la sanction contre Barbara Olivier-Zandronis, moins contre la sanction elle-même. Le journaliste interrogé se range, lui, du côté de sa direction, pointant un «ton surprenant» adopté par Olivier-Zandronis : «Ce style d’interview en radio, à 13 heures, n’est pas celui que l’on a habituellement avec les élus politiques.» Du côté de ses défenseurs, on estime qu’au-delà de la sanction, la direction de RCI aurait quand même pu avoir un mot de soutien à sa journaliste à propos des attaques de la part Jordan Bardella à son encontre – qui a notamment dit, lors de l’interview : «Les écoles de journalisme ne sont plus ce qu’elles étaient.»

Au sein de la radio, on suspecte surtout que le tapage médiatique ait été orchestré par le beau-père de Barbara Olivier-Zandronis, Danik Zandwonis, journaliste indépendantiste qui se définit comme «militant sur le front de l’information», aussi créateur du média antillais Caraib Creole News. Du côté de la direction de RCI, les mêmes soupçons pèsent sur l’interview initiale de Jordan Bardella par Barbara Olivier-Zandronis. Mais pour les défenseurs de la journaliste, celle-ci «n’est pas obligée d’avoir les idées de son beau-père. Ce ne sont d’ailleurs pas ses idées politiques qui sont en cause !» «Ces accusations sont fausses, je ne suis encartée nulle part, et sympathisante d’aucun parti», répond Olivier-Zandronis. Contacté, Danik Zandwonis défend simplement que «la direction de RCI préfère ne pas entendre, et continue à dire urbi et orbi : “Ce n’est pas une sanction, c’est juste un problème interne.” Affligeant que RCI continue ainsi à se décrédibiliser dans tout le paysage audiovisuel caribéen et franco-français… Tout cela pour garder de bonnes relations avec le RN et son électorat.»

Reste que la journaliste, qui n’est pas encore revenue à la rédaction depuis que l’affaire a pris des proportions nationales – sa semaine de travail commence le mercredi –, se retrouve dans une position délicate vis-à-vis de sa direction. Celle-ci a répété sur les antennes locales que Barbara Olivier-Zandronis continuerait de faire du reportage, et qu’un éventuel retour à l’antenne, en présentation, pourrait avoir lieu d’ici la fin de son CDD en juin. La concernée, elle, déclare ne pas vouloir «rentrer dans une polémique politique, je veux juste faire mon travail de journaliste. Je tiens à remercier tous ceux qui m’ont soutenu dans cette tornade médiatique. J’ai aussi une pensée pour mes confrères et collègues de RCI qui n’ont rien à voir avec toute cette affaire. Ils font leur job au quotidien avec passion et déférence envers seulement et uniquement : l’information !»

https://www.liberation.fr/economie/medi ... S2MRJWTLA/

[NSC]

personellement, cette journaliste ne ma pas choquee. ni meme les questions , par contre j aurai bien voulu avoir l integralite de l interview que je n ai pas trouvee.
le seul reproche que je pourrai lui faire , mais c est le cas de nombreux journaliste, elle ne laiss pas tjrs le temp a bordella de repondre.
Enfin de la a la virer de l antenne , je trouve ca hyper dur

[gare au gorille]

personellement, cette journaliste ne ma pas choquee. ni meme les questions , par contre j aurai bien voulu avoir l integralite de l interview que je n ai pas trouvee.
le seul reproche que je pourrai lui faire , mais c est le cas de nombreux journaliste, elle ne laiss pas tjrs le temp a bordella de repondre.
Enfin de la a la virer de l antenne , je trouve ca hyper dur

Elle devrait faire de la politique plutôt que du journalisme. Bon après c'est la chaine RCI que ça regarde.

[NSC]

personellement, cette journaliste ne ma pas choquee. ni meme les questions , par contre j aurai bien voulu avoir l integralite de l interview que je n ai pas trouvee.
le seul reproche que je pourrai lui faire , mais c est le cas de nombreux journaliste, elle ne laiss pas tjrs le temp a bordella de repondre.
Enfin de la a la virer de l antenne , je trouve ca hyper dur

Elle devrait faire de la politique plutôt que du journalisme. Bon après c'est la chaine RCI que ça regarde.

C est le cas de la quasi totalite des journalistes en France, la plupart milite pour leur cause, qu on m en nomme un qui soit reelement neutre, moi j en connais pas