gare au gorille a écrit : ↑13 décembre 2023 18:39
Fonck1 a écrit : ↑13 décembre 2023 15:36
oui sauf qu'a priori, la "racaille" qui a tué le petit Thomas, est française avec un nom et prénom bien français, et serait possiblement en fuite.
donc ton hors sujet sur l’immigration, faudra repasser.
ça va mal finir avec tes posts à la con sans aucun rapport avec le sujet.
quand à ta fête traditionnelle, si pour toi la tradition c'est "JUL", la musique qu'ils passaient quand ça a pété, faudrait retourner à tes classiques et arrêter de nous bassiner.
Non, le problème est bel et bien liée à l'immigration, ces jeunes sont pratiquement tous issis de l'immigration et Berger ne fait que pointer du doigt le vrai problème. Dans tous la plupart des quartiers ou règnent cette grande violence on retrouve en masse des jeunes gens de nationalité française issus de l'immigration. La plupart des problèmes qu'on retrouve dans l'enseignement ou les profs ont le plus grand mal à se faire respecter sont des problèmes liés à des jeunes issus de l'immigration. Il y a un choc des cultures boosté par une religion différente et vous avez beau vous vautrer dans des dénis de plus en plus lunaires, les faits sont chaque jour devant nous pour rappeler une réalité.
tu mens une fois de plus.
allez, on recommence pour les neuneus qui ne savent pas s'informer ou lire, en date du Par SudOuest.fr
Publié le 05/12/2023 à 10h38.:
https://www.sudouest.fr/faits-divers/me ... 708665.php
Meurtre de Thomas à Crépol : deux principaux suspects, coupe de cheveux… Les dernières révélations de l’enquête
L’enquête concernant la mort de Thomas, 16 ans, lors d’un bal à Crépol il y a deux semaines se poursuit.
Une altercation au sujet d’une coupe de cheveux pourrait être à l’origine de la rixe mortelle. Deux jeunes, dont un mineur, sont suspectés d’avoir porté le coup mortel
Plus de deux semaines après la mort de Thomas, 16 ans, poignardé lors d’une fête de village à Crépol, dans la Drôme, l’enquête se poursuit. Alors que la question d’un crime raciste a vite été soulevée, notamment par l’extrême droite, l’engrenage mortel s’avère en réalité beaucoup plus complexe qu’il n’y paraît, selon « Le Parisien », qui a pris connaissance de l’enquête des gendarmes de recherches de Grenoble.
À ce jour, neuf suspects ont été mis en examen. Parmi eux, deux sont soupçonnés d’avoir porté le coup mortel au jeune Thomas : l’un d’eux a 22 ans, s’appelle Ilyès Z. L’autre est un adolescent de 17 ans et porte un prénom français, que nos confrères ne peuvent révéler puisqu’il s’agit d’un mineur. Le petit frère de ce dernier est actuellement considéré en fuite par la justice, ce qui intéresse d’autant plus les enquêteurs.
Il y a tout juste deux semaines, le jeune Thomas perdait la vie d’un coup de couteau à la sortie d’une fête organisée à Crépol, dans la Drôme. Voici ce que l’on sait à ce jour
Selon l’enquête, ces neuf suspects étaient présents à Crépol le soir du drame. Ils sont tous arrivés par petits groupes entre 23 heures et 1 heure du matin. Quatre d’entre eux auraient même participé au bal à l’intérieur de la salle des fêtes où 450 personnes étaient présentes. Ils y seraient restés au moins deux heures avant que la bagarre mortelle n’éclate.
« Des cheveux longs comme Nikita »
Celle-ci pourrait avoir été déclenchée suite à une histoire de coupe de cheveux. En effet, selon le témoignage d’Ilyès, un rugbyman appelé Thomas L. aurait tiré sur sa chevelure brune et bouclée et l’aurait comparée « aux cheveux longs de Nikita », alors que le DJ de la soirée passait le célèbre morceau de Jul « Tchikita », qui parle d’une petite fille. Une provocation qui fait monter le ton entre les deux protagonistes qui finissent par aller « s’expliquer dehors ». Thomas L. aurait notamment dit à une amie qu’il avait envie de taper « des bougnoules », selon le rapport des enquêteurs.
Selon le récit d’Ilyès Z, les premiers coups seraient partis dans le sas d’entrée de la salle des fêtes. La bagarre entraîne finalement une trentaine de personnes, selon les gendarmes, dont le jeune rugbyman Thomas Perotto, amis de Thomas L. Certains sont armés de couteaux. Thomas Perotto succombe à un coup de couteau, unique. Les jeunes Romanais s’enfuient alors de Crépol.
Dans leur rapport, les gendarmes décrivent « une scène de crime particulièrement dégradée du fait du nombre important de personnes ayant piétiné le sol ». L’enquête ouverte pour « meurtre en bande organisée » se révèle pour l’heure particulièrement complexe et le meurtrier du jeune Thomas reste inconnu.
En tous les cas, si « les mobiles et les motivations des agresseurs ne sont pas clairement établis », l’enquête ne permet pas d’affirmer que les victimes aient pu être visées en raison de leur appartenance à une « prétendue race, une ethnie, une nation ou une religion déterminée », selon le procureur.
La mairesse après le drame de Crépol a essayé de dire des choses, elle s'est retrouvée menacée d'égorgement. En grouppe avec des lames de plus de 20 cm dans les poches, l'égorgement, la décapitation au couteau, tout ça fait partie d'une culture importée qui n'appartient pas à la France.
ils auraient du peut être appeler à l'empalement, c'est plus conforme à la culture française?
et la guillotine, ça ne fait pas partie de la culture française?
franchement qu'est ce que tu peux raconter comme conneries.
la maire a reçu des appels anonymes :
Elle affirme ainsi qu'elle a porté plainte après avoir reçu des menaces de mort et de « décapitation » mercredi 29 novembre. Dans la matinée, la mairie de Romans-sur-Isère a d’abord reçu au standard « deux appels anonymes » qui « relevaient de l'intimidation », en demandant si Marie-Hélène Thoraval possédait « une kalachnikov chez (elle) et si (elle avait) des gardes du corps ».
« J'imagine d'où ça vient »
Puis le niveau de menaces s’est intensifié dans l’après-midi. « J'ai reçu un message privé sur Instagram précisant qu'on me prévoyait une décapitation, qu'on jonglerait avec mon crâne et que tout cela serait fait d'ici un mois. C'est une véritable menace de mort », a-t-elle dénoncé. La maire a également précisé qu’elle était « qualifiée de facho » dans ces messages. « J'imagine d'où ça vient », laisse entendre Marie-Hélène Thoraval auprès de la chaîne d’informations.
instagram et téléphone, il ne sera pas trop difficile de remonter aux auteurs.
ça peut être n'importe qui.
même l'extrème droite qui veut enfoncer le clou.