Marseille:les étrangers sont responsables de 67% de la délinquance

[LOFOTEN]

Marseille : immigration, vente à la sauvette, trafic de drogue... La préfète de police veut serrer la vis dans le centre-ville

Lors d’une conférence de presse, la préfète de police de Marseille, Frédérique Camilleri, a détaillé une série de mesures visant à lutter contre le sentiment d’insécurité dans le centre-ville, à six mois des Jeux olympiques.


La préfète de police de Marseille l’assure : 2024 sera l’année du changement dans le centre-ville de la cité phocéenne. Au cours d’une conférence de presse donnée ce mardi en présence notamment du procureur de la République de Marseille, Frédérique Camilleri a détaillé devant les journalistes les principales mesures de son nouveau plan d’action pour lutter contre l’insécurité dans le centre de la deuxième ville de France. Un plan qui a pour ambition de faire de ce centre-ville «la vitrine d'une ville sûre, agréable et vivante.»

La préfète de police promet tout d’abord une présence policière accrue dans les rues du centre de Marseille. «Les policiers doivent non seulement arrêter les délinquants mais aussi parler aux commerçants», réclame Frédérique Camilleri, qui se réjouit de la création, en novembre dernier, d’une brigade de dix policiers dédiés spécifiquement à l’hypercentre de Marseille. Ces membres des forces de l’ordre patrouillent à pied tous les jours aux heures d’ouverture des commerces. Leur mission ? «Prendre contact systématiquement avec les commerçants, détaille la préfète de police. Il rentre dans chaque commerce pour prendre des nouvelles et essayer d’avoir des informations». Pour renforcer la visibilité des policiers, la préfète de police annonce également la pérennisation d’un système de «commissariat mobile» logé dans un fourgon et testé lors de la Coupe du monde de rugby.

Frédérique Camilleri a également annoncé renforcer la lutte contre l’immigration, notamment irrégulière, dans le centre-ville de Marseille, mère de beaucoup de maux d’après elle. «Désormais nous allons faire des opérations de lutte contre l’immigration irrégulière réorientée en priorité dans l’hypercentre. Il y a un vrai enjeu de délinquance liée aux étrangers dont l’écrasante majorité est en situation irrégulière.» Elle relève ainsi que «les étrangers sont responsables de 67% de la délinquance sur la voie publique à Marseille.»
Des «points noirs»

Pour autant, les propos de la préfète relèvent de l’estimation fondée sur «un rapide sondage». En effet, Frédérique Camilleri reconnaît elle-même que «les statistiques permettent seulement de voir si quelqu'un est français ou pas, et non de savoir si la personne est en situation irrégulière ou régulière». Conformément aux consignes données par le ministère de l’Intérieur, elle promet «une réponse administrative aux personnes en situation irrégulière qui, durant leurs gardes à vue, seront placées en centre de rétention administrative.»

La préfète entend enfin et surtout mettre l’accent sur ce qu’elle appelle «les points noirs», à commencer par la vente à la sauvette. Dans le centre-ville de Marseille, et particulièrement dans le quartier de Noailles, tout près du Vieux Port, de nombreuses personnes s’adonnent en effet à cette activité illicite, en vendant à même le trottoir, comme le rappelle Frédérique Camilleri, «des choses récupérées dans les poubelles, du trafic de médicaments ou de la vente à la sauvette de cigarettes.» «L’objectif avec la nouvelle brigade qui a été créée est de passer non pas une fois mais six, sept ou dix fois pour systématiquement verbaliser et demander aux contrevenants de partir».

«La vente à la sauvette est un de nos objectifs car il est particulièrement visible et impacte fortement le sentiment d’insécurité, abonde Cédric Esson, directeur interdépartemental de la police nationale. Nous sommes en plus dotés de moyens informatiques qui nous permettent de faire des verbalisations directement sur la voie publique.» Sur ce point, le procureur de la République de Marseille, Nicolas Bessone, promet une réponse judiciaire coordonnée et à la hauteur, avec des «comparutions immédiates» à venir dans certains dossiers qui le justifient.


À six mois des JO

L’autre point noir sur lequel la préfète entend agir est le trafic de drogue qui sévit dans certains quartiers du centre-ville de Marseille. Pour rappel, face à cette problématique, le site Colbert de la faculté d’économie et de gestion de Marseille avait menacé à l’automne dernier de fermer tant que le point de deal qui existait face à l’université demeurait sans présence policière permanente. Dans ces quartiers subsiste en effet «un deal de niveau moins industriel que dans les quartiers nord ou sud de Marseille, mais peut-être plus répandu», estime Nicolas Bessone. Selon lui, «il existe dans ce secteur quelques réseaux qu’il conviendra de traiter», rappelant que deux enquêtes sur ces dossiers précis sont en cours.

«Nous avons mis la présence statique de policiers devant la faculté, rappelle Frédérique Camilleri. Cette présence s'est prolongée plusieurs mois. Ça a évidemment ramené le calme aux abords immédiats de la faculté. Et j’ai demandé de rayonner autour de la faculté pour lutter contre le phénomène de report. Et c’est pour ça que, depuis plusieurs semaines, le dispositif s’est élargi autour de la Halle Puget», du nom du bâtiment qui faisait face à la faculté et abritait un point de deal.

Ces annonces vers un durcissement des politiques de sécurité dans le centre-ville de Marseille interviennent à six mois des Jeux olympiques de Paris. «Il est clair que ça permettra d'accueillir les Jeux olympiques dans de meilleures conditions pour les visiteurs mais, non, ce n'est pas une stratégie pour les JO», clame pour autant la préfète de police. Pour rappel, outre l’arrivée de la flamme olympique sur le Vieux Port, le 8 mai prochain, Marseille accueillera plusieurs épreuves, dont l’intégralité des compétitions de voile

https://www.lefigaro.fr/marseille/marse ... rafic-de-d

[UBUROI]

C'est vrai que c'est pas mon fils cadre à Marseille qui va vendre à la sauvette ou dealer, les 2 fléaux dénoncés par la préfète.
Mais y a quand même, à la louche, 100-67 = 33% de FDS (Français de souche) qui emmerdent le monde.

Attaquez vous aux consommateurs de drogue, et y a plus de containers bourrés de drogue qui débarquent dans les ports européens. Mais là, y a plus personne, et pourquoi? Les consommateurs c'est qui?

[sofasurfer]

la problématique éternelle, c'est que les pays d'origine refusent quasi systématiquement de les reprendre. Ils ne sont pas fous, ils ne vont pas récupérer des cas sociaux et criminels qui nuiraient aux autres chez eux.

Alors on pourrait faire comme en Algérie qui abandonne les migrants en plein Sahara, on les abandonne en pleine jungle guyanaise et ils se démerdent, ou comme en Tunisie on fout le type en prison sans bouffer et il demande à sa famille de lui payer le billet d'avion.

Mais bon on a signé la charte des droits de l'homme...

[vivarais]

C'est vrai que c'est pas mon fils cadre à Marseille qui va vendre à la sauvette ou dealer, les 2 fléaux dénoncés par la préfète.
Mais y a quand même, à la louche, 100-67 = 33% de FDS (Français de souche) qui emmerdent le monde.

Attaquez vous aux consommateurs de drogue, et y a plus de containers bourrés de drogue qui débarquent dans les ports européens. Mais là, y a plus personne, et pourquoi? Les consommateurs c'est qui?

Oui c'est qui , déjà toutes les racailles sont souvent contrôlées positives à la drogue
Tous les terroristes étaient connus comme consommateurs de stup
Votre fils cadre à Marseille comme vous prof dans l'EN
merci d'avoir confirmé que vous êtes français de papier vu que votre fils ne fait par partie des 37 % des FDS qui selon vous emmerdent
La vérité finit toujours par transparaitre
On comprends comme d'autres votre répulsion pour la montée du RN

[Patchouli38]

C'est vrai que c'est pas mon fils cadre à Marseille qui va vendre à la sauvette ou dealer, les 2 fléaux dénoncés par la préfète.
Mais y a quand même, à la louche, 100-67 = 33% de FDS (Français de souche) qui emmerdent le monde.

Attaquez vous aux consommateurs de drogue, et y a plus de containers bourrés de drogue qui débarquent dans les ports européens. Mais là, y a plus personne, et pourquoi? Les consommateurs c'est qui?

Oui c'est qui , déjà toutes les racailles sont souvent contrôlées positives à la drogue
Tous les terroristes étaient connus comme consommateurs de stup
Votre fils cadre à Marseille comme vous prof dans l'EN
merci d'avoir confirmé que vous êtes français de papier vu que votre fils ne fait par partie des 37 % des FDS qui selon vous emmerdent
La vérité finit toujours par transparaitre
On comprends comme d'autres votre répulsion pour la montée du RN

Si le trafic de drogue se porte aussi bien, c'est bien parce que cela se vend bien voir même très bien. Et grâce à qui ? Grâce au consommateur tels que des fils à papa, des FDS jeunes ou vieux, etc. Cela va de l'adolescent au cadre, tout cela de manière discrète, sans témoin. Le niveau de responsabilité de ce marché florissant est aussi du côté des consommateurs. Je parie même que des politiques s'y mettent aussi à sniffer ou fumer de la drogue tel que le haschis et/ou le cannabis en passant par les personnalités du show biz, des chanteurs, humoristes (affaire Palmade), etc.

[vivarais]

Oui c'est qui , déjà toutes les racailles sont souvent contrôlées positives à la drogue
Tous les terroristes étaient connus comme consommateurs de stup
Votre fils cadre à Marseille comme vous prof dans l'EN
merci d'avoir confirmé que vous êtes français de papier vu que votre fils ne fait par partie des 37 % des FDS qui selon vous emmerdent
La vérité finit toujours par transparaitre
On comprends comme d'autres votre répulsion pour la montée du RN

Si le trafic de drogue se porte aussi bien, c'est bien parce que cela se vend bien voir même très bien. Et grâce à qui ? Grâce au consommateur tels que des fils à papa, des FDS jeunes ou vieux, etc. Cela va de l'adolescent au cadre, tout cela de manière discrète, sans témoin. Le niveau de responsabilité de ce marché florissant est aussi du côté des consommateurs. Je parie même que des politiques s'y mettent aussi à sniffer ou fumer de la drogue tel que le haschis et/ou le cannabis en passant par les personnalités du show biz, des chanteurs, humoristes (affaire Palmade), etc.

ben voyons , il n'y a que les français de souche qui se droguent
On le voit bien avec les salles de shoot ce ne sont que des français de souche
https://www.lefigaro.fr/nice/une-salle- ... s-20230730
Les politiques ; show, biz etc : eux se font livrer à domicile
On le voit dans le reportage
aucuns doute ceux qui se shoot ce sont bien et uniquement des français de souche
https://www.bing.com/videos/riverview/r ... ORM=VRDGAR
çà vous sert à quoi de raconter de telles balivernes alors que vous allez vous faire ramasser avec liens à l'appui

[mic43121]

Oui c'est qui , déjà toutes les racailles sont souvent contrôlées positives à la drogue
Tous les terroristes étaient connus comme consommateurs de stup
Votre fils cadre à Marseille comme vous prof dans l'EN
merci d'avoir confirmé que vous êtes français de papier vu que votre fils ne fait par partie des 37 % des FDS qui selon vous emmerdent
La vérité finit toujours par transparaitre
On comprends comme d'autres votre répulsion pour la montée du RN

Si le trafic de drogue se porte aussi bien, c'est bien parce que cela se vend bien voir même très bien. Et grâce à qui ? Grâce au consommateur tels que des fils à papa, des FDS jeunes ou vieux, etc. Cela va de l'adolescent au cadre, tout cela de manière discrète, sans témoin. Le niveau de responsabilité de ce marché florissant est aussi du côté des consommateurs. Je parie même que des politiques s'y mettent aussi à sniffer ou fumer de la drogue tel que le haschis et/ou le cannabis en passant par les personnalités du show biz, des chanteurs, humoristes (affaire Palmade), etc.

Sans consommateur il n'y a plus de trafic ...Je me pose la question la drogue ça fait QUOI ?
je sais ,je suis inculte en la matière .. .Je sais que c'est le MANQUE qui fait marcher le commerce .
expliquez moi ceux qui y ont gouté ..ne me racontez pas de salade
je pense a un truc ..il y a certainement un rigolo qui qui va me le dire ..
ha je vois que Bertrand est présent ...je sais d'ou viennent tes hallucinations

[vivarais]

Recadrons le sujet qui n'est pas la drogue mais les étrangers à marseille sont responsables de 67 % de la délinquance
Ce qui est normal vu le pourcentage d'étranger dans la population marseillaise
La rue d'oran porte bien son nom

[latresne]

Marseille : immigration, vente à la sauvette, trafic de drogue... La préfète de police veut serrer la vis dans le centre-ville

Lors d’une conférence de presse, la préfète de police de Marseille, Frédérique Camilleri, a détaillé une série de mesures visant à lutter contre le sentiment d’insécurité dans le centre-ville, à six mois des Jeux olympiques.


La préfète de police de Marseille l’assure : 2024 sera l’année du changement dans le centre-ville de la cité phocéenne. Au cours d’une conférence de presse donnée ce mardi en présence notamment du procureur de la République de Marseille, Frédérique Camilleri a détaillé devant les journalistes les principales mesures de son nouveau plan d’action pour lutter contre l’insécurité dans le centre de la deuxième ville de France. Un plan qui a pour ambition de faire de ce centre-ville «la vitrine d'une ville sûre, agréable et vivante.»

La préfète de police promet tout d’abord une présence policière accrue dans les rues du centre de Marseille. «Les policiers doivent non seulement arrêter les délinquants mais aussi parler aux commerçants», réclame Frédérique Camilleri, qui se réjouit de la création, en novembre dernier, d’une brigade de dix policiers dédiés spécifiquement à l’hypercentre de Marseille. Ces membres des forces de l’ordre patrouillent à pied tous les jours aux heures d’ouverture des commerces. Leur mission ? «Prendre contact systématiquement avec les commerçants, détaille la préfète de police. Il rentre dans chaque commerce pour prendre des nouvelles et essayer d’avoir des informations». Pour renforcer la visibilité des policiers, la préfète de police annonce également la pérennisation d’un système de «commissariat mobile» logé dans un fourgon et testé lors de la Coupe du monde de rugby.

Frédérique Camilleri a également annoncé renforcer la lutte contre l’immigration, notamment irrégulière, dans le centre-ville de Marseille, mère de beaucoup de maux d’après elle. «Désormais nous allons faire des opérations de lutte contre l’immigration irrégulière réorientée en priorité dans l’hypercentre. Il y a un vrai enjeu de délinquance liée aux étrangers dont l’écrasante majorité est en situation irrégulière.» Elle relève ainsi que «les étrangers sont responsables de 67% de la délinquance sur la voie publique à Marseille.»
Des «points noirs»

Pour autant, les propos de la préfète relèvent de l’estimation fondée sur «un rapide sondage». En effet, Frédérique Camilleri reconnaît elle-même que «les statistiques permettent seulement de voir si quelqu'un est français ou pas, et non de savoir si la personne est en situation irrégulière ou régulière». Conformément aux consignes données par le ministère de l’Intérieur, elle promet «une réponse administrative aux personnes en situation irrégulière qui, durant leurs gardes à vue, seront placées en centre de rétention administrative.»

La préfète entend enfin et surtout mettre l’accent sur ce qu’elle appelle «les points noirs», à commencer par la vente à la sauvette. Dans le centre-ville de Marseille, et particulièrement dans le quartier de Noailles, tout près du Vieux Port, de nombreuses personnes s’adonnent en effet à cette activité illicite, en vendant à même le trottoir, comme le rappelle Frédérique Camilleri, «des choses récupérées dans les poubelles, du trafic de médicaments ou de la vente à la sauvette de cigarettes.» «L’objectif avec la nouvelle brigade qui a été créée est de passer non pas une fois mais six, sept ou dix fois pour systématiquement verbaliser et demander aux contrevenants de partir».

«La vente à la sauvette est un de nos objectifs car il est particulièrement visible et impacte fortement le sentiment d’insécurité, abonde Cédric Esson, directeur interdépartemental de la police nationale. Nous sommes en plus dotés de moyens informatiques qui nous permettent de faire des verbalisations directement sur la voie publique.» Sur ce point, le procureur de la République de Marseille, Nicolas Bessone, promet une réponse judiciaire coordonnée et à la hauteur, avec des «comparutions immédiates» à venir dans certains dossiers qui le justifient.


À six mois des JO

L’autre point noir sur lequel la préfète entend agir est le trafic de drogue qui sévit dans certains quartiers du centre-ville de Marseille. Pour rappel, face à cette problématique, le site Colbert de la faculté d’économie et de gestion de Marseille avait menacé à l’automne dernier de fermer tant que le point de deal qui existait face à l’université demeurait sans présence policière permanente. Dans ces quartiers subsiste en effet «un deal de niveau moins industriel que dans les quartiers nord ou sud de Marseille, mais peut-être plus répandu», estime Nicolas Bessone. Selon lui, «il existe dans ce secteur quelques réseaux qu’il conviendra de traiter», rappelant que deux enquêtes sur ces dossiers précis sont en cours.

«Nous avons mis la présence statique de policiers devant la faculté, rappelle Frédérique Camilleri. Cette présence s'est prolongée plusieurs mois. Ça a évidemment ramené le calme aux abords immédiats de la faculté. Et j’ai demandé de rayonner autour de la faculté pour lutter contre le phénomène de report. Et c’est pour ça que, depuis plusieurs semaines, le dispositif s’est élargi autour de la Halle Puget», du nom du bâtiment qui faisait face à la faculté et abritait un point de deal.

Ces annonces vers un durcissement des politiques de sécurité dans le centre-ville de Marseille interviennent à six mois des Jeux olympiques de Paris. «Il est clair que ça permettra d'accueillir les Jeux olympiques dans de meilleures conditions pour les visiteurs mais, non, ce n'est pas une stratégie pour les JO», clame pour autant la préfète de police. Pour rappel, outre l’arrivée de la flamme olympique sur le Vieux Port, le 8 mai prochain, Marseille accueillera plusieurs épreuves, dont l’intégralité des compétitions de voile

https://www.lefigaro.fr/marseille/marse ... rafic-de-d

Bon courage à madame la Préfète.Mais si il n'y a pas des résultats ,attention au retour de baton.

[Transfert]

C'est vrai que c'est pas mon fils cadre à Marseille qui va vendre à la sauvette ou dealer, les 2 fléaux dénoncés par la préfète.
Mais y a quand même, à la louche, 100-67 = 33% de FDS (Français de souche) qui emmerdent le monde.

Attaquez vous aux consommateurs de drogue, et y a plus de containers bourrés de drogue qui débarquent dans les ports européens. Mais là, y a plus personne, et pourquoi? Les consommateurs c'est qui?

Eh oui, vous avez raison! sans ces étrangers il y aurait 67% de délinquance en moins

[Crapulax]

C'est vrai que c'est pas mon fils cadre à Marseille qui va vendre à la sauvette ou dealer, les 2 fléaux dénoncés par la préfète.
Mais y a quand même, à la louche, 100-67 = 33% de FDS (Français de souche) qui emmerdent le monde.

Attaquez vous aux consommateurs de drogue, et y a plus de containers bourrés de drogue qui débarquent dans les ports européens. Mais là, y a plus personne, et pourquoi? Les consommateurs c'est qui?

Si l'on prend compte de cela dans l'article posté,Il me semble qu'il s'agit d'étrangers dans le sens "hors nationalité" Française.

Il y a un vrai enjeu de délinquance liée aux étrangers dont l’écrasante majorité est en situation irrégulière.» Elle relève ainsi que «les étrangers sont responsables de 67% de la délinquance sur la voie publique à Marseille.»

...Ce qui fait qu'il ne peut rester 33% de FDS responsables de cette délinquance...Maintenant parmi ces 33% combien sont réellement FDS?....Comparé à ceux qui seraient Français d'origines immigrées?.......

Tu considérais donc tout ceux n'étant pas FDS comme "étrangers"?.....Et donc les Français d'origines immigrées?.....Dis moi...Tu fleurtes avec le racisme en ce moment?....

[Patchouli38]

Si le trafic de drogue se porte aussi bien, c'est bien parce que cela se vend bien voir même très bien. Et grâce à qui ? Grâce au consommateur tels que des fils à papa, des FDS jeunes ou vieux, etc. Cela va de l'adolescent au cadre, tout cela de manière discrète, sans témoin. Le niveau de responsabilité de ce marché florissant est aussi du côté des consommateurs. Je parie même que des politiques s'y mettent aussi à sniffer ou fumer de la drogue tel que le haschis et/ou le cannabis en passant par les personnalités du show biz, des chanteurs, humoristes (affaire Palmade), etc.

ben voyons , il n'y a que les français de souche qui se droguent
On le voit bien avec les salles de shoot ce ne sont que des français de souche
https://www.lefigaro.fr/nice/une-salle- ... s-20230730
Les politiques ; show, biz etc : eux se font livrer à domicile
On le voit dans le reportage
aucuns doute ceux qui se shoot ce sont bien et uniquement des français de souche
https://www.bing.com/videos/riverview/r ... ORM=VRDGAR
çà vous sert à quoi de raconter de telles balivernes alors que vous allez vous faire ramasser avec liens à l'appui

Vous parlez de balivernes quand cela ne tourne pas dans votre sens. Pierre Palmade serait-il un étranger ?

Tenez, voici un article confirmant mes dires :

"Artiste, restaurateur, chômeur…

Dans les années 1980 et 1990, l’usage de la cocaïne concernait essentiellement des personnes de milieux sociaux favorisés, proches du monde du spectacle, ou au contraire des publics marginalisés, en retrait du marché du travail. Depuis les années 2000, cet usage s’est généralisé à d’autres milieux.

Les chômeurs sont toujours très concernés (8,7 % ont expérimenté la cocaïne en 2017), mais les actifs occupés ne sont plus tant en retrait (5,6 % en 2017). Les professions intermédiaires et ouvriers sont particulièrement touchés (6,2 %).

Certains secteurs d’activité sont plus touchés que les chômeurs : près de 10 % de personnes ont expérimenté la cocaïne dans l’hébergement et la restauration (un chiffre qui monte à 16 % chez les hommes), près de 10 % dans l’information et la communication, et même 18 % dans l’univers des arts et du spectacle (un chiffre qui monte à 26 % chez les hommes).

Les marins-pêcheurs constituent un autre milieu très touché par la consommation de cocaïne, particulièrement en Bretagne. Une étude de 2013 relevait que 8 % des marins âgés de moins de 35 ans étaient positifs à la cocaïne.
Originaire de Guyane, Provence-Alpes-Côte d’Azur voire de Bretagne

Outre les grandes villes, l’accessibilité de la cocaïne a surtout augmenté dans les zones urbaines de moindre importance, selon l’OFDT.

Selon Santé publique France, les passages aux urgences liés à la cocaïne sont particulièrement nombreux en Guyane (44,1 pour 100 000 passages), Provence-Alpes-Côte d’Azur (40,8), Bretagne (34,4) et Occitanie (27).
Polyconsommateur

Consommations d’alcool, tabac et cannabis sont souvent associées à l’usage de cocaïne. Parmi les 18-34 ans, 16 % des usagers de cocaïne au cours de l’année déclarent un usage quotidien d’alcool (contre 3 % de l’ensemble des 18-34 ans) et 87 % des usagers au cours de l’année ont consommé du cannabis au cours des douze derniers mois (contre 18 % des 18-34 ans), rapporte l’OFDT. De même, la consommation de tabac est deux fois plus élevée parmi les usagers de cocaïne.
Qui achète lui-même sa cocaïne

En 2021, selon l’OFDT, 62 % des usagers de cocaïne ont acheté le produit (livré à domicile pour 35 % d’entre eux, acheté via une connaissance pour 34 %, acheté à un endroit fixé par rendez-vous pour 30 %) et 32 % ont consommé un produit qui leur a été offert ou partagé.

Le prix du gramme, en France en 2021, était entre 50 et 70 €. C’est le prix le plus bas jamais enregistré par l’OFDT. Il est aussi possible d’acheter un demi-gramme (30 à 40 €) ou en unité fractionnée pour 20 €, voire même 10 €. Ce fractionnement permet aux personnes peu aisées financièrement de se procurer de la cocaïne."

https://www.ouest-france.fr/societe/dro ... 85e5fd9724

Et oui, pas besoin de se déplacer pour acheter sa petite drogue, vous pouvez aussi la recevoir directement chez vous. Alors, votre salle de shot n'est pas représentatif du profil-type de la personne droguée.

[vivarais]

ben voyons , il n'y a que les français de souche qui se droguent
On le voit bien avec les salles de shoot ce ne sont que des français de souche
https://www.lefigaro.fr/nice/une-salle- ... s-20230730
Les politiques ; show, biz etc : eux se font livrer à domicile
On le voit dans le reportage
aucuns doute ceux qui se shoot ce sont bien et uniquement des français de souche
https://www.bing.com/videos/riverview/r ... ORM=VRDGAR
çà vous sert à quoi de raconter de telles balivernes alors que vous allez vous faire ramasser avec liens à l'appui

Vous parlez de balivernes quand cela ne tourne pas dans votre sens. Pierre Palmade serait-il un étranger ?

Tenez, voici un article confirmant mes dires :

"Artiste, restaurateur, chômeur…

Dans les années 1980 et 1990, l’usage de la cocaïne concernait essentiellement des personnes de milieux sociaux favorisés, proches du monde du spectacle, ou au contraire des publics marginalisés, en retrait du marché du travail. Depuis les années 2000, cet usage s’est généralisé à d’autres milieux.

Les chômeurs sont toujours très concernés (8,7 % ont expérimenté la cocaïne en 2017), mais les actifs occupés ne sont plus tant en retrait (5,6 % en 2017). Les professions intermédiaires et ouvriers sont particulièrement touchés (6,2 %).

Certains secteurs d’activité sont plus touchés que les chômeurs : près de 10 % de personnes ont expérimenté la cocaïne dans l’hébergement et la restauration (un chiffre qui monte à 16 % chez les hommes), près de 10 % dans l’information et la communication, et même 18 % dans l’univers des arts et du spectacle (un chiffre qui monte à 26 % chez les hommes).

Les marins-pêcheurs constituent un autre milieu très touché par la consommation de cocaïne, particulièrement en Bretagne. Une étude de 2013 relevait que 8 % des marins âgés de moins de 35 ans étaient positifs à la cocaïne.
Originaire de Guyane, Provence-Alpes-Côte d’Azur voire de Bretagne

Outre les grandes villes, l’accessibilité de la cocaïne a surtout augmenté dans les zones urbaines de moindre importance, selon l’OFDT.

Selon Santé publique France, les passages aux urgences liés à la cocaïne sont particulièrement nombreux en Guyane (44,1 pour 100 000 passages), Provence-Alpes-Côte d’Azur (40,8), Bretagne (34,4) et Occitanie (27).
Polyconsommateur

Consommations d’alcool, tabac et cannabis sont souvent associées à l’usage de cocaïne. Parmi les 18-34 ans, 16 % des usagers de cocaïne au cours de l’année déclarent un usage quotidien d’alcool (contre 3 % de l’ensemble des 18-34 ans) et 87 % des usagers au cours de l’année ont consommé du cannabis au cours des douze derniers mois (contre 18 % des 18-34 ans), rapporte l’OFDT. De même, la consommation de tabac est deux fois plus élevée parmi les usagers de cocaïne.
Qui achète lui-même sa cocaïne

En 2021, selon l’OFDT, 62 % des usagers de cocaïne ont acheté le produit (livré à domicile pour 35 % d’entre eux, acheté via une connaissance pour 34 %, acheté à un endroit fixé par rendez-vous pour 30 %) et 32 % ont consommé un produit qui leur a été offert ou partagé.

Le prix du gramme, en France en 2021, était entre 50 et 70 €. C’est le prix le plus bas jamais enregistré par l’OFDT. Il est aussi possible d’acheter un demi-gramme (30 à 40 €) ou en unité fractionnée pour 20 €, voire même 10 €. Ce fractionnement permet aux personnes peu aisées financièrement de se procurer de la cocaïne."

https://www.ouest-france.fr/societe/dro ... 85e5fd9724

Et oui, pas besoin de se déplacer pour acheter sa petite drogue, vous pouvez aussi la recevoir directement chez vous. Alors, votre salle de shot n'est pas représentatif du profil-type de la personne droguée.

Vous parlez de balivernes quand cela ne tourne pas dans votre sens. Pierre Palmade serait-il un étranger ?

Il n'allait pas s'approvisionner dans les quartiers nord de Marseille
comme les autres de son milieu , il se fait livrer par UBER -COCAÏNE
Vous voyez un mec avec une montre de luxe s'aventurer dans certains quartiers de Marseille
Et ensuite aller se piquer dans une salle de shoot
Ils ne fréquentent pas les mêmes lieux que vous et moi "hôtels , boites de nuits , restos , stations de ski etc"
Même en France les castes ne se mélangent pas
Vous êtes une nourrice pour connaitre le cours des drogues
Pourquoi citez vous palmade et pas le sénateur qui voulait shooter une députée