«L’éducation à la vie affective, relationnelle et à la sexualité est absolument indispensable», affirme Élisabeth Borne

[Kabé]

Je ne vois vraiment pas l'intérêt d'enseigner cette "matière" à l'école.
Cela me paraît être un délire complet. Une autre preuve de la décadence de nos sociétés.
Que l'on remette des cours d'éducation civique, alors là oui, je dis bravo.
Mais on voit bien que le but de la bien-pensance gaucho-progressiste qui sévit à l'EN n'est pas de fabriquer de bons citoyens français mais des drag-queens en plus grand nombre possible !

C'est vrai : il suffit de se poster aujourd'hui devant un collège ou un lycée, au début et/ou à la fin d'une journée, et il n'y a que des drag-queens qui y entrent et sortent...

Pauvre Victor, tellement paniqué par l'idée que son petit fils viendra lui rendre visite à l'EHPAD, là justement où il vient d'être élu le plus borné et le plus réactionnaire des habitants par ces colocataires... Même les vieux sont devenus gaucho-progressistes - mais où vas le monde ?
Et là, le petit-fils qui arrive... en DRAG-QUEEN !
Pourquoi donc, entend-on émerger tous ces fou-rires de tous les coins possibles de cet EHPAD ?

Heureusement que le ridicule ne tue pas...

[Victor]

Tu trolles encore. Vas voir les programmes ou ce que j'ai écrit au-dessus, il n'y a aucune promotion des drag-queens ou de la transsexualité à l'école. Par contre on y éduque les jeunes à repérer des dérives pédophiles, à prévenir des gens quand ils en sont victimes, à ne pas se fier aux vidéos pornos qu'ils regardent pour gérer leur sexualité naissante, etc. Genre éduquer pour à terme diminuer le nombre de victimes de violences sexuelles.

Quel délire.
Pendant des millénaires, il n'y a pas eu de cours de sexualité et cela n'a pas empêché l'espèce humaine de développer une sexualité inventive et variée.
Quand j'étais au collège, on organisait des boums avec des séries de slow. On passait directement à la pratique. Je ne pense pas qu'on ait eu besoin de cours théorique avant de passer à la pratique.

[Patchouli38]

Tu trolles encore. Vas voir les programmes ou ce que j'ai écrit au-dessus, il n'y a aucune promotion des drag-queens ou de la transsexualité à l'école. Par contre on y éduque les jeunes à repérer des dérives pédophiles, à prévenir des gens quand ils en sont victimes, à ne pas se fier aux vidéos pornos qu'ils regardent pour gérer leur sexualité naissante, etc. Genre éduquer pour à terme diminuer le nombre de victimes de violences sexuelles.

Quel délire.
Pendant des millénaires, il n'y a pas eu de cours de sexualité et cela n'a pas empêché l'espèce humaine de développer une sexualité inventive et variée.
Quand j'étais au collège, on organisait des boums avec des séries de slow. On passait directement à la pratique. Je ne pense pas qu'on ait eu besoin de cours théorique avant de passer à la pratique.

Dans votre temps, et le mien, il n'y avait pas internet. Cela n'empêchait pas les garçons, lors des boums, de peloter les filles. J'y ai eu droit dans ma jeunesse ou les garçons vous serrent très voir trop fort contre eux, sans votre consentement.
Avant, la pornographie était réduite à des bouquins vendus dans les librairies mais mis en hauteur à distance des mains juvéniles. Cela ne les empêchait pas de les lire, prêtés par le frangin ou tout simplement subtilisés à ce dernier. Mais bon, cela ne restait que des images.

Aujourd'hui, les gamins ont accès directement aux vidéos, ou l'on voit les détails, les gros plans, et en réel, et ce, dès le plus jeune âge.
Les réseaux sociaux leur donne une vision erronée de la sexualité et l'amplifie. La femme est réduite à un objet sexuel.

Il y a des millénaires, la notion de consentement et de viol n'existait pas. Le mec qui avait envie de sauter une bonne femme le faisait et la plainte de cette dernière restait lettre morte car, bien souvent, accusée d'avoir incité le viol par son comportement.
Alors, des millénaires avant, c'était pas mieux car la femme était généralement moins bien considérée, voir pas du tout.

Les mœurs ont évolué et les époques également, en bien ou en mal suivant les pays.
Avant, les homosexuels et les transsexuels étaient considérés comme des malades mentaux ou atteints d'une maladie honteuse. On les enfermait, les frappait, les rejetait durement. Vous croyez que c'était mieux ?
Aujourd'hui, la parole s'est libérée, mais la tolérance mène toujours bataille contre l'intolérance.

Vous imaginez une époque idéalisée du s'était mieux avant, mais ce n'était pas mieux avant car chaque période possède également ses côtés sombres.

[Victor]

Quel délire.
Pendant des millénaires, il n'y a pas eu de cours de sexualité et cela n'a pas empêché l'espèce humaine de développer une sexualité inventive et variée.
Quand j'étais au collège, on organisait des boums avec des séries de slow. On passait directement à la pratique. Je ne pense pas qu'on ait eu besoin de cours théorique avant de passer à la pratique.

Dans votre temps, et le mien, il n'y avait pas internet. Cela n'empêchait pas les garçons, lors des boums, de peloter les filles. J'y ai eu droit dans ma jeunesse ou les garçons vous serrent très voir trop fort contre eux, sans votre consentement.
Avant, la pornographie était réduite à des bouquins vendus dans les librairies mais mis en hauteur à distance des mains juvéniles. Cela ne les empêchait pas de les lire, prêtés par le frangin ou tout simplement subtilisés à ce dernier. Mais bon, cela ne restait que des images.

Aujourd'hui, les gamins ont accès directement aux vidéos, ou l'on voit les détails, les gros plans, et en réel, et ce, dès le plus jeune âge.
Les réseaux sociaux leur donne une vision erronée de la sexualité et l'amplifie. La femme est réduite à un objet sexuel.

Il y a des millénaires, la notion de consentement et de viol n'existait pas. Le mec qui avait envie de sauter une bonne femme le faisait et la plainte de cette dernière restait lettre morte car, bien souvent, accusée d'avoir incité le viol par son comportement.
Alors, des millénaires avant, c'était pas mieux car la femme était généralement moins bien considérée, voir pas du tout.

Les mœurs ont évolué et les époques également, en bien ou en mal suivant les pays.
Avant, les homosexuels et les transsexuels étaient considérés comme des malades mentaux ou atteints d'une maladie honteuse. On les enfermait, les frappait, les rejetait durement. Vous croyez que c'était mieux ?
Aujourd'hui, la parole s'est libérée, mais la tolérance mène toujours bataille contre l'intolérance.

Vous imaginez une époque idéalisée du s'était mieux avant, mais ce n'était pas mieux avant car chaque période possède également ses côtés sombres.

Est-ce que vous pensez réellement que des cours "d’éducation à la vie affective, relationnelle et à la sexualité" vont empêcher les ados et pré-ados de regarder des vidéos pornographiques ?!?
Faut être sérieux 5 mn, svp.

Et puis pour revenir aux boums, si les filles ne voulaient pas être pelotées, elles n'avaient qu'à pas venir aux boums ou à refuser le slow !

[latresne]

Dans votre temps, et le mien, il n'y avait pas internet. Cela n'empêchait pas les garçons, lors des boums, de peloter les filles. J'y ai eu droit dans ma jeunesse ou les garçons vous serrent très voir trop fort contre eux, sans votre consentement.
Avant, la pornographie était réduite à des bouquins vendus dans les librairies mais mis en hauteur à distance des mains juvéniles. Cela ne les empêchait pas de les lire, prêtés par le frangin ou tout simplement subtilisés à ce dernier. Mais bon, cela ne restait que des images.

Aujourd'hui, les gamins ont accès directement aux vidéos, ou l'on voit les détails, les gros plans, et en réel, et ce, dès le plus jeune âge.
Les réseaux sociaux leur donne une vision erronée de la sexualité et l'amplifie. La femme est réduite à un objet sexuel.

Il y a des millénaires, la notion de consentement et de viol n'existait pas. Le mec qui avait envie de sauter une bonne femme le faisait et la plainte de cette dernière restait lettre morte car, bien souvent, accusée d'avoir incité le viol par son comportement.
Alors, des millénaires avant, c'était pas mieux car la femme était généralement moins bien considérée, voir pas du tout.

Les mœurs ont évolué et les époques également, en bien ou en mal suivant les pays.
Avant, les homosexuels et les transsexuels étaient considérés comme des malades mentaux ou atteints d'une maladie honteuse. On les enfermait, les frappait, les rejetait durement. Vous croyez que c'était mieux ?
Aujourd'hui, la parole s'est libérée, mais la tolérance mène toujours bataille contre l'intolérance.

Vous imaginez une époque idéalisée du s'était mieux avant, mais ce n'était pas mieux avant car chaque période possède également ses côtés sombres.

Est-ce que vous pensez réellement que des cours "d’éducation à la vie affective, relationnelle et à la sexualité" vont empêcher les ados et pré-ados de regarder des vidéos pornographiques ?!?
Faut être sérieux 5 mn, svp.

Et puis pour revenir aux boums, si les filles ne voulaient pas être pelotées, elles n'avaient qu'à pas venir aux boums ou à refuser le slow !

Est ce qu'on peut dire que la plupart des filles venaient aux booms en espérant se faire peloter ?

[Time]

Et puis pour revenir aux boums, si les filles ne voulaient pas être pelotées, elles n'avaient qu'à pas venir aux boums ou à refuser le slow !

Oué! Les filles à la broderie et aux cuisines!

[UBUROI]

Et puis pour revenir aux boums, si les filles ne voulaient pas être pelotées, elles n'avaient qu'à pas venir aux boums ou à refuser le slow !

Oué! Les filles à la broderie et aux cuisines!

Les hommes à la mine dès 14 ans, 6j/7 et 80 heures/ semaine et à la guerre + les corvées pour les Chanoines

[Mesoke]

Quel délire.
Pendant des millénaires, il n'y a pas eu de cours de sexualité et cela n'a pas empêché l'espèce humaine de développer une sexualité inventive et variée.
Quand j'étais au collège, on organisait des boums avec des séries de slow. On passait directement à la pratique. Je ne pense pas qu'on ait eu besoin de cours théorique avant de passer à la pratique.

Pendant des millénaires l'Humanité a standardisé le viol conjugal, le tabou de la dénonciation de ces viols conjugaux, le tabou de la dénonciation de viol en général. Aujourd'hui la parole se libère, donc c'est bien d'enseigner aux jeunes, surtout jeunes filles, qu'elles n'ont plus à subir d'agression sexuelle, que leur corps est à elles, qu'elles n'ont pas à accepter de se faire peloter sans leur consentement.

Si c'est ce qu'elles désirent en allant à une boum, bah elles le peuvent, c'est leur choix. Si elles ne veulent pas on n'a pas à le leur imposer. Mais ça si on ne l'apprend pas ça n'est pas évident à savoir.

Et il y a bien d'autres apprentissages lors de ces rares cours d'éducation à la sexualité.

[scorpion3917]

Je suis d'accord avec Madame BORNE. Les parents, de manière générale, n'osent pas parler de ce sujet à leurs enfants. Ces derniers se renseignent plutôt sur internet ou en questionnant les copains.

L'école leur apporte des connaissances un peu plus complète et sur les appareils génitaux, et sur tout ce qui tourne autour (maladies sexuellement transmissibles, les diverses formes de contraception, etc.
Dans le cas présent, Madame BORNE parle de cours adaptés à chaque catégorie d'âge des enfants.
Il est également logique de parler homosexualité, transsexualité, etc. avec eux afin de leur ôter tout préjugé en la matière et être tolérant envers celles et ceux ayant fait un choix de vie différent de la leur.
Notre société est actuellement axée sur l'égocentrisme, l'intolérance, le rejet de l'Autre, et l'école est un très bon rempart pour contrer tout cela.

Oui enfin tout ça c'est bien joli.
Mais étrangement les gosses n'aborderaient ces questions que lorsqu'ils rentrent à l'école.....

L'éducation nationale doit se concentrer sur son objectif premier qui est de TRANSMETTRE LE SAVOIR.

C'est enlever aux parents leur rôle dans ce domaine de la sexualité et sur tant d'autres.

[oups]

Et puis pour revenir aux boums, si les filles ne voulaient pas être pelotées, elles n'avaient qu'à pas venir aux boums ou à refuser le slow !

Oué! Les filles à la broderie et aux cuisines!

Ça c’est ce dont rêvent les mères de famille qui font les 3x8 en usine et celles qui nettoyent nos bureaux des 6h le mat puis après 20 h
Et puis le boulot , c’est bien un asservissement, nan

[mic43121]

Je ne vois vraiment pas l'intérêt d'enseigner cette "matière" à l'école.
Cela me paraît être un délire complet. Une autre preuve de la décadence de nos sociétés.
Que l'on remette des cours d'éducation civique, alors là oui, je dis bravo.
Mais on voit bien que le but de la bien-pensance gaucho-progressiste qui sévit à l'EN n'est pas de fabriquer de bons citoyens français mais des drag-queens en plus grand nombre possible !

Est ce que l'un d'entre vous a eut droit au cours d'éducation sexuelle ?
Est ce que l'un (ou une ) d'entre vous n'a toujours pas découvert comme s'y prendre devant une personne sexe opposé ?
Est ce que l'un d'entre vous n'a pas su comment faire ...
Et pourtant a mon époque la télé n'existait pas ..le porno encore moins ..
Et on a tous trouvé comment s'y prendre .
Mais C'est vrai que si une prof se fout à poil pour la démonstration ,je veux bien rajeunir a la puberté .

[Mesoke]

Tu n'as pas compris. On n'apprend pas aux élèves à copuler. On leur apprend à reconnaitre une agression sexuelle, à savoir à qui et comment les dénoncer, les moyens de contraception et de protection, les différences sexuelles, les dangers de la pornographie, qui est largement accessible aux jeunes d'aujourd'hui, la biologie reproductive, etc.

Mais non, on n'apprend pas à des gamins de primaire comment niquer ...

[Time]

L'éducation nationale doit se concentrer sur son objectif premier qui est de TRANSMETTRE LE SAVOIR.

Et c'est exactement ce qu'elle fait, en transmettant les notions qu'énonce Mesoke ici :

On n'apprend pas aux élèves à copuler. On leur apprend à reconnaitre une agression sexuelle, à savoir à qui et comment les dénoncer, les moyens de contraception et de protection, les différences sexuelles, les dangers de la pornographie, qui est largement accessible aux jeunes d'aujourd'hui, la biologie reproductive, etc.

En plus, c'est 4 h par année, pas de quoi fouetter un chat.

C'est enlever aux parents leur rôle dans ce domaine de la sexualité et sur tant d'autres.

Non, c'est le compléter efficacement. Et parfois, donner des défenses à l'enfant contre l'inceste, qui est malheureusement trop courant dans les familles.

[vivarais]

Comme chaque ministre de l'EN elle veut laisser l'empreinte de son passage pour faire croire à son utilité
Le seul qui ne s'est pas mêlé du contenu des programmes de l'EN ; c'est ATAL
Lui s'est contenté de son rôle "veiller au respect de la laïcité de cette institution"

[vivarais]

L'éducation nationale doit se concentrer sur son objectif premier qui est de TRANSMETTRE LE SAVOIR.

Et c'est exactement ce qu'elle fait, en transmettant les notions qu'énonce Mesoke ici :

On n'apprend pas aux élèves à copuler. On leur apprend à reconnaitre une agression sexuelle, à savoir à qui et comment les dénoncer, les moyens de contraception et de protection, les différences sexuelles, les dangers de la pornographie, qui est largement accessible aux jeunes d'aujourd'hui, la biologie reproductive, etc.

En plus, c'est 4 h par année, pas de quoi fouetter un chat.

C'est enlever aux parents leur rôle dans ce domaine de la sexualité et sur tant d'autres.

Non, c'est le compléter efficacement. Et parfois, donner des défenses à l'enfant contre l'inceste, qui est malheureusement trop courant dans les familles.

L'enfant doit chercher sa sexualité , on ne doit pas l'orienter sur celle que l'on voudrait qu'elle soit
Pour l'inceste cela se passe souvent à un âge où l'on n'enseigne pas encore l'éducation sexuelle
Il faut arrêter de croire que la potion magique existe contre cela

C'est comme croire qu'un texte pour amadouer le PS va résoudre les problèmes d'ascenseurs
texte 4/ veut lutter contre les pannes d'ascenseur,