vivarais a écrit : ↑10 avril 2025 16:36
Corvo a écrit : ↑09 avril 2025 23:46
Plutôt de comme d'habitude raconter des billevesées renseignez vous
comme des millions de personnes j'ai vu les vidéos sur les médias TV et peut être vous aussi
Mon pôvre ; vous ignorez qu'aujourd'hui plus rien ne peut être caché
https://www.bing.com/videos/riverview/r ... ORM=VRDGAR
Encore une fois vous révélez votre mauvaise foi
il y a des fois où il vaut mieux faire la carpette
Et ce que les gens ont vu à une heure de grande écouté au 20 h sur tous les média a plus de poids que le procès du RN électoralement
je savais qu'en s'attaquant à des journalistes le comportement des député et leurs assistants de gauche y compris PS (ce qui démontre une FLIsation du PS) plus la CGT cela ferait une levée de bouclier de tous les journalistes qui à chaque fois se font agresser par les manifestants de gauche
Là c'est vous qui êtes renseigné sur ce que vous niez
Vous criez au loup si un jour le RN gouvernait mais là est la prueve à quoi nous avons échappé si le NFP avait gouverné comme il l'éxigeait
Affrontement
A l’Assemblée, tensions entre députés, collaborateurs et journalistes du média identitaire Frontières
Après la publication d’un article sur des collaborateurs de députés LFI, qualifiés de «nébuleuse de collaborateurs radicaux», par le magazine, une manifestation était organisée ce mercredi 9 avril au Palais-Bourbon. Plusieurs journalistes du magazine ont été exfiltrés.
Des tensions ont opposé à l’Assemblée des députés de gauche et des collaborateurs du magazine d’extrême droite Frontières, ce mercredi 9 avril. Plusieurs dizaines de collaborateurs parlementaires étaient rassemblées en début d’après-midi dans les jardins du Palais-Bourbon, à l’appel de syndicats et d’associations de collaborateurs, pour protester contre un article récemment publié par le magazine identitaire.
Dans son édition du printemps, consacré à La France insoumise, qualifié de «parti de l’étranger», le trimestriel vise dans un article les collaborateurs LFI. «Derrière la façade parlementaire, se cache toute une nébuleuse de collaborateurs qui propagent un discours radical», écrit le journal d’extrême droite, citant des «soutiens» aux black blocs, des «pro-Hamas» ou «autres prêcheurs en ligne».
«
Frontières met une cible dans le dos des collaborateurs·trices parlementaires», peut-on lire sur un visuel qui appelait les concernés à se rassembler mercredi. Avec les collaborateurs, plusieurs députés LFI, socialistes, communistes et écologistes ont également pris part au rassemblement, réclamant entre autres le retrait des accréditations accordées à Frontières pour accéder à l’Assemblée.
Des tensions se sont manifestées lorsque des collaborateurs du même magazine se sont présentés sur les lieux. Côté Assemblée, une source institutionnelle assure que ceux-ci étaient accrédités et avaient donc droit d’être présents dans les murs du Palais-Bourbon. Mais les participants au rassemblement ont manifesté leur désaccord. «Frontières casse-toi, l’Assemblée n’est pas à toi», ont scandé plusieurs collaborateurs dans les jardins de l’Assemblée, tandis que trois journalistes du média d’extrême droite filmaient le rassemblement. Le député socialiste Arthur Delaporte leur a demandé de quitter les lieux. «Leur but, c’est de foutre le feu à la société, dénonce l’élu du Calvados. Ce n’est pas du journalisme, c’est de la désinformation.» Le député communiste Jean-Paul Lecoq et ses collègues LFI Carlos Martens Bilongo et Raphaël Arnault, député antifa du Vaucluse, ont enserré les journalistes du magazine.
Ces tensions ont décidé les fonctionnaires de l’Assemblée à exfiltrer les journalistes de Frontières. «Les députés d’extrême gauche viennent de franchir toutes les limites et lignes rouges en intimidant physiquement notre équipe au sein de l’Assemblée», a réagi l’un d’eux, Jordan Florentin, sur X. Plusieurs députés du Rassemblement national ont embrayé en interpellant la présidente de l’institution, Yaël Braun-Pivet.
Lancé en 2023 par un proche de Marion Maréchal, le controversé Erik Tégner, Frontières ambitionne de devenir un Mediapart de droite.
Pour se faire connaître, il a multiplié les unes tapageuses et les procédés les plus discutables, comme en diffusant les identités d’une soixantaine d’avocats accusés d’être «complices» des personnes en situation irrégulière.
https://www.liberation.fr/politique/a-l ... rce=545187
Ah ils sont beaux vos amis d'extrême droite...ils sont beaux !!!