Piratage de la campagne de Macron 2017 la France accuse formellement le renseignement militaire Russe

[vivarais]

Quand je dis qu'il faut cesser toute relation avec la Russie, fermer l'Ambassade de Russie à Paris et virer tous les russes expats en France.

Les russes expatriés au cas vous l'ignore c'est des opposants à poutine et vous voulez les lui livrer ????

[Yaroslav]

Les services russes considèrent désormais l'Europe comme l'ennemi numéro 1.

Une illustration sur le site officiel des renseignements militaires montre un drapeau américain et un drapeau russe agressant à la baïonnette une croix gammée européenne avec une carricature de von der Leyen à sa tête...

https://www.lemonde.fr/international/ar ... _3210.html

[Fonck1]

Qu'attendons nous pour œuvrer à la déstabilisation de Poutine dans son pays ? Sommes nous bien moins efficaces qu'eux ?

peut être juste moins manipulateurs.

[lepicard]

Qu'attendons nous pour œuvrer à la déstabilisation de Poutine dans son pays ? Sommes nous bien moins efficaces qu'eux ?

peut être juste moins manipulateurs.

et pourtant ,on devrait ,,,en particulier sur le carractère fallacieux des indemnités monstrueuses lors du recrutement militaire

[Corvo]

Réseaux sociaux : comment des agents russes s'en sont pris à Brigitte Macron avec un faux témoignage
Publié le 06/05/2025 20:50
Mis à jour le 06/05/2025 21:00

Dans une vidéo relayée sur les réseaux sociaux, un homme se présentant comme un ancien élève de Brigitte Macron affirme avoir été agressé sexuellement par la Première dame. Les équipes de "L'Œil du 20 heures" ont enquêté sur cette campagne montée de toutes pièces par des agents russes.

C'est une vidéo qui cherchait à déstabiliser jusqu'au sommet de l'Etat. Un prétendu ancien élève de Brigitte Macron l'aurait accusée d'agression sexuelle. Face caméra, on y voit un homme avec un accent accuser la Première dame de l'avoir embrassé sur la bouche. Un témoignage d'autant plus grave qu'il est totalement faux.

Un vrai nom usurpé
A l'origine de cette campagne de désinformation nommée "Storm1516", des agents russes. La vidéo a été postée par un certain Lionel T., que nous avons recherché en ligne. Cela correspond bien au nom d'un ancien élève de l'épouse d'Emmanuel Macron, qui a bien été scolarisé dans l'établissement où enseignait Brigitte Macron dans les années 1980, en Alsace. Mais l'homme que nous avons retrouvé n'est pas celui de la vidéo. Il a accepté de témoigner.

Retrouvez l'intégralité du reportage dans la vidéo ci-dessus

https://www.francetvinfo.fr/internet/re ... =DM1098420

[Yaroslav]

Réseaux sociaux : comment des agents russes s'en sont pris à Brigitte Macron avec un faux témoignage
Publié le 06/05/2025 20:50
Mis à jour le 06/05/2025 21:00

Dans une vidéo relayée sur les réseaux sociaux, un homme se présentant comme un ancien élève de Brigitte Macron affirme avoir été agressé sexuellement par la Première dame. Les équipes de "L'Œil du 20 heures" ont enquêté sur cette campagne montée de toutes pièces par des agents russes.

C'est une vidéo qui cherchait à déstabiliser jusqu'au sommet de l'Etat. Un prétendu ancien élève de Brigitte Macron l'aurait accusée d'agression sexuelle. Face caméra, on y voit un homme avec un accent accuser la Première dame de l'avoir embrassé sur la bouche. Un témoignage d'autant plus grave qu'il est totalement faux.

Un vrai nom usurpé
A l'origine de cette campagne de désinformation nommée "Storm1516", des agents russes. La vidéo a été postée par un certain Lionel T., que nous avons recherché en ligne. Cela correspond bien au nom d'un ancien élève de l'épouse d'Emmanuel Macron, qui a bien été scolarisé dans l'établissement où enseignait Brigitte Macron dans les années 1980, en Alsace. Mais l'homme que nous avons retrouvé n'est pas celui de la vidéo. Il a accepté de témoigner.

Retrouvez l'intégralité du reportage dans la vidéo ci-dessus

https://www.francetvinfo.fr/internet/re ... =DM1098420

Vous avez pas compris : c'est "la liberté d'expression" et les électeurs sont "assez grands" pour "se faire un avis" tout seuls.
(les éléments de langage habituels de l'ED pour justifier ce genre de chose...)