Face à l’obscurantisme woke: ce que contient le livre que les wokistes ont voulu censurer

[papibilou]

Et vous Kelenner, vous comptez le lire ?
En ce qui me concerne, c'est certain qu'il fait partie de mes prochains achats.

J'ai une bibliothèque de plus de 1000 bouquins, mais en général j'essaye plutôt de lire des vrais livres.

J'avais beaucoup plus de bouquins que ça, mais j'alimente régulièrement les boîtes à livres de ma commune. Ça fait de la place. Quelle est votre définition des vrais livres ? Pas de romans ni de théâtre ni d'humour ?

[Yaroslav]

Il n'y a rien de progressiste dans la cancel culture et dans l'idéal de censure envers tous ceux qui ne pensent pas woke. L'expression du wokisme est bien plus proche du totalitarisme que du progressisme.

Non parce que tout ce qui n'est pas réactionnaire est devenu "woke" dans la bouche de beaucoup de droitards.
Des politiques d'égalité des chances, de sensibilisation aux discriminations dans les entreprises privées, jusqu'au pape (précédent et actuel).
Ce qualificatif de "woke" est devenu un mot-épouvantail, donc les anti-progressistes ouvrent l'éventail au maximum pour pouvoir le prononcer.

[Fonck1]

c'est dire le peu d'imagination qu'ils ont pour contrer l'évolution de la société, les pauvres.

[Victor]

Le "wokisme" est effectivement un néologisme politique que les droitards de France réutilisent autant que possible pour diaboliser tout ce qui peut avoir de près ou de loin un caractère progressiste.

Tout faire pour interdire un livre, c'est du progressisme ?
Et allez saccager les locaux de l'éditeur, aussi ?
Votre vision du progressisme, c'est du totalitarisme.

[Yaroslav]

Le "wokisme" est effectivement un néologisme politique que les droitards de France réutilisent autant que possible pour diaboliser tout ce qui peut avoir de près ou de loin un caractère progressiste.

Tout faire pour interdire un livre, c'est du progressisme ?
Et allez saccager les locaux de l'éditeur, aussi ?
Votre vision du progressisme, c'est du totalitarisme.

La critique est un droit démocratique. Le bouquin est critiquable et critiqué. Ça c'est tout à fait normal. Libre aux PUF de considérer ou non que ce bouquin pourrait lui faire plus de mauvaise pub qu'autre chose.

Mais la dégradation des biens par contre ne l'est pas. Les initiatives qui ont conduit à saccager des locaux doivent être condamnées en justice comme il se doit.

[Victor]

Tout faire pour interdire un livre, c'est du progressisme ?
Et allez saccager les locaux de l'éditeur, aussi ?
Votre vision du progressisme, c'est du totalitarisme.

La critique est un droit démocratique. Le bouquin est critiquable et critiqué. Ça c'est tout à fait normal. Libre aux PUF de considérer ou non que ce bouquin pourrait lui faire plus de mauvaise pub qu'autre chose.

Mais la dégradation des biens par contre ne l'est pas. Les initiatives qui ont conduit à saccager des locaux doivent être condamnées en justice comme il se doit.

Absolument pas d'accord.
Les PUF doivent décider de publier ou non un ouvrage en fonction de sa qualité, de sa rigueur intellectuelle et non pas en fonction d'une quelconque "publicité" ou de la manière dont il va être reçu par la bien-pensance gaucho-terroriste.

[Yaroslav]

La critique est un droit démocratique. Le bouquin est critiquable et critiqué. Ça c'est tout à fait normal. Libre aux PUF de considérer ou non que ce bouquin pourrait lui faire plus de mauvaise pub qu'autre chose.

Mais la dégradation des biens par contre ne l'est pas. Les initiatives qui ont conduit à saccager des locaux doivent être condamnées en justice comme il se doit.

Absolument pas d'accord.
Les PUF doivent décider de publier ou non un ouvrage en fonction de sa qualité, de sa rigueur intellectuelle et non pas en fonction d'une quelconque "publicité" ou de la manière dont il va être reçu par la bien-pensance gaucho-terroriste.

Ça c'est à l'éditeur de l'évaluer et de prendre sa décision en conséquence.
Quand on assure une prestation, on évalue toujours la qualité de la prestation en elle-même mais aussi l'image globale que cette prestation donne à l'entité. Il se passe un peu la même chose lorsqu'une société brise un contrat avec un influenceur, une personnalité, parce que l'actualité fait que cette personne se met à nuire à l'image de l'entreprise (contre-publicité).

[Victor]

Absolument pas d'accord.
Les PUF doivent décider de publier ou non un ouvrage en fonction de sa qualité, de sa rigueur intellectuelle et non pas en fonction d'une quelconque "publicité" ou de la manière dont il va être reçu par la bien-pensance gaucho-terroriste.

Ça c'est à l'éditeur de l'évaluer et de prendre sa décision en conséquence.
Quand on assure une prestation, on évalue toujours la qualité de la prestation en elle-même mais aussi l'image globale que cette prestation donne à l'entité. Il se passe un peu la même chose lorsqu'une société brise un contrat avec un influenceur, une personnalité, parce que l'actualité fait que cette personne se met à nuire à l'image de l'entreprise (contre-publicité).

Je ne vois pas le rapport avec cet essai réalisé sérieusement vu qu'il est publié par une maison d'édition reconnue par la qualité de ses publications.
Où le problème ?
Parce que cet essai déplaît au plus au point à des activistes gauchistes et wokistes, on devrait céder à la pression de ces terroristes ?

[Yaroslav]

Je ne vois pas le rapport avec cet essai réalisé sérieusement vu qu'il est publié par une maison d'édition reconnue par la qualité de ses publications.
Où le problème ?
Parce que cet essai déplaît au plus au point à des activistes gauchistes et wokistes, on devrait céder à la pression de ces terroristes ?

Si l'éditeur est persuadé que ce livre ne lui fera pas de contre-publicité, alors il n'a aucune raison d'hésiter.

[LeGrandNoir]

Le "wokisme" est effectivement un néologisme politique que les droitards de France réutilisent autant que possible pour diaboliser tout ce qui peut avoir de près ou de loin un caractère progressiste.

Il n'y a rien de progressiste dans la cancel culture et dans l'idéal de censure envers tous ceux qui ne pensent pas woke. L'expression du wokisme est bien plus proche du totalitarisme que du progressisme.

En effet, dans les années 65 à 75, nous avions le maoïsme socialiste agraire, et maintenant nous avons le wokisme. 2 faces d'une même pièce: le gauchisme dictatorial.

[LeGrandNoir]

Je ne vois pas le rapport avec cet essai réalisé sérieusement vu qu'il est publié par une maison d'édition reconnue par la qualité de ses publications.
Où le problème ?
Parce que cet essai déplaît au plus au point à des activistes gauchistes et wokistes, on devrait céder à la pression de ces terroristes ?

Si l'éditeur est persuadé que ce livre ne lui fera pas de contre-publicité, alors il n'a aucune raison d'hésiter.

Pour l'instant, ma lecture avance doucement, je bosse encore, mais cela me parait être un pamphlet de bonne tenue.

[Victor]

Je ne vois pas le rapport avec cet essai réalisé sérieusement vu qu'il est publié par une maison d'édition reconnue par la qualité de ses publications.
Où le problème ?
Parce que cet essai déplaît au plus au point à des activistes gauchistes et wokistes, on devrait céder à la pression de ces terroristes ?

Si l'éditeur est persuadé que ce livre ne lui fera pas de contre-publicité, alors il n'a aucune raison d'hésiter.

En fait vous nous expliquez que les PUF doivent prendre en compte la wokisation des universités françaises et censurer les ouvrages qui la dénoncent.
Bref faire toujours et encore du politiquement correct.

[mic43121]

Il n'y a rien de progressiste dans la cancel culture et dans l'idéal de censure envers tous ceux qui ne pensent pas woke. L'expression du wokisme est bien plus proche du totalitarisme que du progressisme.

Non parce que tout ce qui n'est pas réactionnaire est devenu "woke" dans la bouche de beaucoup de droitards.
Des politiques d'égalité des chances, de sensibilisation aux discriminations dans les entreprises privées, jusqu'au pape (précédent et actuel).
Ce qualificatif de "woke" est devenu un mot-épouvantail, donc les anti-progressistes ouvrent l'éventail au maximum pour pouvoir le prononcer.

C'est normal ..un mouvement qui veut refaire l'histoire n'est pas le bienvenu ...`
En venir a changer le nom des rues ..il fallait y penser
Pourquoi pas le nom des gens ? Michel Noir est passé tout prêt de la lame.... Michel Blanc aussi
Bref, revenir en arrière ne sert a rien ...si ce n'est emmerder le monde
D'autre part je ne vois pas ou est l'insulte ,quand on parle de noir pour un Africain ..
Que faut il dire pour que ça ne contrarie pas "Ceux qui veulent changer" sans être concernés ..(les blancs)
Les noirs sont des personnes comme les blancs ,on les distingue par leur couleur les noir et les blancs ..
Les boers ont martyrisés les noirs "les cafres" (nom donnés aux exclaves noirs par les nérgiers Arabes "infidèle" )
Faut il tout effacer ?

[Yaroslav]

Si l'éditeur est persuadé que ce livre ne lui fera pas de contre-publicité, alors il n'a aucune raison d'hésiter.

En fait vous nous expliquez que les PUF doivent prendre en compte la wokisation des universités françaises et censurer les ouvrages qui la dénoncent.
Bref faire toujours et encore du politiquement correct.

Lorsque CNews ferme toutes les portes aux points de vue progressistes et fait du 100% "anti-woke", vous n'êtes pas choqué, n'est-ce pas ?
Pourquoi un éditeur ne pourrait pas non plus avoir un public cible et une certaine "ligne éditoriale" (même si elle ne vous plaît pas) ? Autrement dit, pourquoi le voir différemment que CNews par exemple ?

[Yaroslav]

C'est normal ..un mouvement qui veut refaire l'histoire n'est pas le bienvenu ...`
En venir a changer le nom des rues ..il fallait y penser
Pourquoi pas le nom des gens ? Michel Noir est passé tout prêt de la lame.... Michel Blanc aussi
Bref, revenir en arrière ne sert a rien ...si ce n'est emmerder le monde
D'autre part je ne vois pas ou est l'insulte ,quand on parle de noir pour un Africain ..
Que faut il dire pour que ça ne contrarie pas "Ceux qui veulent changer" sans être concernés ..(les blancs)
Les noirs sont des personnes comme les blancs ,on les distingue par leur couleur les noir et les blancs ..
Les boers ont martyrisés les noirs "les cafres" (nom donnés aux exclaves noirs par les nérgiers Arabes "infidèle" )
Faut il tout effacer ?

D'une, la droite ne se contente pas de ces sujets là pour ses procès en "wokisme".

De deux, chaque nouvelle municipale accompagne son lot de nouveaux noms de rue, le sujet n'est pas tabou. On peut de temps à autre se faire la réflexion qu'il n'y a pas que les généraux pour désigner les rues et qu'on peut mettre au goût du jour. Mais les discussions doivent être apaisées, je pense que ce genre de sujet ne mérite pas des manifestations de part et d'autre.

Noir, black, white, blanc, pourquoi pas. J'ai une préférence pour des désignations morphologiques par continent, mais peu importe.
Par contre, nègre, négro, dans la bouche de Français, comment dire... ?