Donald Trump s’offre une parade militaire pour son anniversaire

[lepicard]

[UBUROI]

Reagardez moi tout ce cirque avec ce guignol saluant les "losers" qu'il méprise ! pas étonnant qu'on puisse en rire ! Quant à son mannequin ambulant, elle donne carrément l'impression de ne pas prendre son pied !



Edit : question innocente : à quoi sert le vitrage ?

j'aime bien sa blonde qui pousse pour chier

...et le simiesque Pitre Hegseth qui salue par un son érection bi mestrielle, son voisin de droite en rigole encore!
Pitoyables USA!

[Corvo]

Ce type est un grand malade.

Face aux oppositions, Donald Trump se rêve en chef de guerre civile

Entre parade de blindés dans les rues de Washington, utilisation abusive de la garde nationale à Los Angeles, manifestations monstres en réponse partout ailleurs et attentats politiques contre des élus démocrates, les Etats-Unis sont confrontés à des affrontements politiques de plus en plus violents.

On pouvait distinctement entendre les chaînes des chars couiner samedi 14 juin à Washington, lors de l’anniversaire en majesté que Donald Trump avait voulu célébrer sous la forme d’une grande parade de l’armée américaine – laquelle fêtait accessoirement, son bicentenaire et demi. La pluie attendue n’est certes pas venue arroser le 79e printemps du président. Mais la foule non plus, pour ne peser au final qu’une fraction menue des quelque 200 000 personnes espérées par l’organisation – des responsables de la vaste opération de commémoration patriotique, largement noyautés par sponsors douteux et fidèles du président, de son codirecteur de campagne en 2024 aux architectes du meeting qu’il avait tenu en ces mêmes parages au cœur de la capitale un certain 6 janvier 2021.

Et les gradins clairsemés samedi le long de Constitution Avenue, tandis que défilaient infanterie plus ou moins perruquée et véhicules militaires, auront donc trouvé un contre-champ particulièrement cinglant dans les images de millions de personnes ayant simultanément envahi les rues de petites et grandes villes partout à travers le pays, avec précisément pour mot d’ordre de s’opposer à pareils caprices et dérives d’un exécutif aux accents de plus en plus autocratiques.

Une mobilisation monstre, de loin la plus massive depuis le retour à la Maison Blanche de Donald Trump, que n’avait donc pas su dissuader la menace proférée quelques jours plus tôt – «si des gens veulent protester [contre sa parade], ils seront accueillis avec une très grande force». «Mais je n’ai pas entendu parler de la moindre manifestation», avait-il précisé, malgré quelque 2 000 appels publics au rassemblement – était-ce là le fait du déni, d’une bulle informationnelle surprotectrice ou des ravages du grand âge rendant le Président un peu dur de la feuille ?

«Ennemi de l’intérieur»
Peu d’incidents hostiles ont au final été recensés, au regard de l’ampleur de l’affluence populaire, d’un SUV délibérément lancé contre les manifestants en Virginie à une fusillade en marge d’un rassemblement dans l’Utah, laissant une personne grièvement blessée. Mais la journée de samedi s’était ouverte sur l’effroyable nouvelle d’une double tentative de meurtre dirigée la nuit précédente contre des élus démocrates du Minnesota et leurs conjoints respectifs. La députée Melissa Hortman et son mari ont été tués, tandis que le sénateur John Hoffman et son épouse étaient hospitalisés dans un état grave, à la suite de ce que le gouverneur de l’Etat, Tim Walz, a qualifié d’«assassinats politiques» commis par un même suspect en fuite. Un homme identifié comme un professionnel de la sécurité âgé de 57 ans, enregistré comme républicain, supporteur fervent de Donald Trump, et revendiquant sur son site une formation militaire. Dans sa voiture abandonnée, les enquêteurs ont retrouvé une pile de flyers pour les manifestations du jour, et une liste de cibles comportant les noms de près de 70 politiciens démocrates, ainsi que des professionnels de santé et activistes pro-IVG.

Les ressorts idéologiques et motivations exactes de cet acte restaient certes à établir formellement, tandis que la chasse à l’homme se poursuivait dimanche. Et un communiqué présidentiel diffusé par la Maison Blanche dès samedi en guise de réaction de Donald Trump à «la terrible fusillade» clamait qu’«une violence aussi horrible ne sera pas tolérée aux Etats-Unis.» Mais impossible de ne pas songer aux imprécations du même Trump, tout au long de sa campagne 2024, assimilant fréquemment diverses figures de proue du Parti démocrate à un «ennemi de l’intérieur» à éradiquer. Lundi 9 juin, le Président s’était aussi dit charmé par l’hypothèse de voir le gouverneur de Californie, Gavin Newson, être arrêté, au nom du seul «crime» d’avoir brigué son poste. Trois jours plus tard, la ministre trumpiste de la Sécurité intérieure, Kristi Noem, revendiquera expressément l’ambition de «libérer» la ville de Los Angeles et la Californie des élus démocrate à leur tête.

Lors de la même conférence de presse, le sénateur démocrate de Californie Alex Padilla, venu l’interpeller, avait été brutalement repoussé, plaqué au sol et menotté par des agents du Secret Service et du FBI, sans que la ministre y trouve à redire. Et la scène, aussi sidérante soit-elle, ne faisait guère que marquer là un nouveau palier franchi dans une succession d’actes d’intimidation de toute forme d’opposition idéologique par l’exécutif trumpien, après les arrestations d’une juge dans le Wisconsin, d’un leader syndical à Los Angeles, du maire de Newark et d’une élue au Congrès du New Jersey tandis qu’ils protestaient contre l’ouverture d’une prison privée, ou encore les mesures vindicatives prises depuis le Bureau ovale à l’encontre d’universités et cabinets d’avocat.

Officiellement motivé par la nécessaire répression d’«émeutes» – au prétendu caractère «insurrectionnel» hypertrophié par la loupe des médias conservateurs –, le déploiement depuis une semaine de militaires dans les rues de Los Angeles sert en réalité le double objectif trumpien d’envenimer la confrontation tout en soutenant les opérations de chasse aux étrangers conduites par la police fédérale de l’immigration (l’ICE). Cette décision s’enracine elle aussi dans les promesses serinées tout au long de sa campagne par le candidat Trump d’engager les forces armées dans diverses missions domestiques et «à n’importe quel endroit» du pays. Entendre par là : ces villes et Etats gouvernés par ses adversaires idéologiques, dont il s’emploie déjà à conditionner les allocations de fonds fédéraux à une pleine allégeance à ses politiques les plus réactionnaires et xénophobes.

Ainsi la doctrine «America First», selon ce président officiellement hostile à l’implication de l’Amérique dans les conflits lointains du moment, consiste donc surtout à s’ériger en chef de guerre à domicile, revendiquant l’extension de son pouvoir exécutif à la mesure d’une urgence à éteindre des feux plus ou moins fantasmés, qu’il a lui-même attisés à dessein. Son dévoué patron du Pentagone, Pete Hegseth, en aura livré la confirmation la semaine passée lors de son audition au Congrès : «Je pense que nous entrons dans une nouvelle phase, en particulier sous le président Trump […] où la garde nationale et les réservistes deviennent une composante essentielle de la façon dont nous sécurisons le territoire national.»

Camouflet suspendu
Si la justice a certes paru à même de s’ériger en obstacle à cette dérive, à la faveur de la décision jeudi 12 juin d’un juge fédéral déclarant «illégale» la mobilisation de la garde nationale par Trump contre l’avis des autorités locales, et rappelant ainsi l’exécutif aux contours de ses prérogatives définies par la Constitution, les effets de ce camouflet auront aussitôt été suspendus par une cour d’appel, en attendant les prochaines étapes d’un parcours judiciaire qui promet d’être arbitré in fine par la Cour suprême.

D’ici là, le décret mobilisant les troupes envoyées à Los Angeles peut bien continuer de s’appliquer, sans qu’il y soit fait mention ni de la ville, ni de l’Etat de Californie en particulier : pareils déploiements en réponse à «la violence et [au] désordre» y apparaissent confiés «à la discrétion du ministre de la Défense», sans limite explicite de durée. Et ainsi l’expérimentation répressive engagée depuis une semaine contre les manifestants californiens, tout comme la procession de chars d’assaut entre les sièges des pouvoirs et contre-pouvoirs à Washington, pourrait ne s’avérer encore qu’une esquisse de la vaste militarisation de l’affrontement que Donald Trump voudrait livrer à toute forme d’altérité, jusqu’à ce que soumission s’ensuive.

https://www.liberation.fr/international ... M5VOP2WSY/

[mic43121]

c'est d'une simplicité enfantine ..
Après sa tentative de coup d'état on savait que c'était un dictateur ..prêt a tout pour garder le pouvoir ..
Là il assume ce rôle depuis les élections ...il modifie , il supprime , a sa guise ..
Et vous verrez qu'aux prochaines élections "malgré la loi" . .il sera a nouveau élu .

[vivarais]

Tous les pays ont des parades militaires pour leur fête nationale
Pourquoi cela serait différent pour les USA
Aux USA c'est les mêmes imbéciles que ceux de la gauche française qui voudraient supprimer pour le 14 juillet le défilé militaire et changer les paroles de l'hymne national
Comme en france sur 200 millions seuls quelques imbéciles dons les merdias se font écho manifeste contre cela
C'est une première qui va se perpétuer pour les 3 ans à venir et qui va entrer dans les US si bien que les qu'ils soient républicains ou démocrate
les autres présidents perpétueront la chose par électoralisme
C'est comme la vente des armes ; aucuns présidents républicains ou démocrates n'a osé faire de décrets pour l'interdire

[Once]

j'aime bien sa blonde qui pousse pour chier

...et le simiesque Pitre Hegseth qui salue par un son érection bi mestrielle, son voisin de droite en rigole encore!

Pas mal ! Excellent sens de l'humour qui fait du bien par ces temps assez anxiogènes.

[Mesoke]

Tous les pays ont des parades militaires pour leur fête nationale
Pourquoi cela serait différent pour les USA

Genre parce que là c'était pour l'anniversaire du pseudo-dictateur local et pas pour la fête nationale, deux semaines plus tard ? Parce qu'on parle d'un défilé privé à la gloire d'une personne, mais aux frais du contribuable américain à qui on demande de couper dans des dizaines budgets ?

[Corvo]

Tous les pays ont des parades militaires pour leur fête nationale
Pourquoi cela serait différent pour les USA
Aux USA c'est les mêmes imbéciles que ceux de la gauche française qui voudraient supprimer pour le 14 juillet le défilé militaire et changer les paroles de l'hymne national
Comme en france sur 200 millions seuls quelques imbéciles dons les merdias se font écho manifeste contre cela
C'est une première qui va se perpétuer pour les 3 ans à venir et qui va entrer dans les US si bien que les qu'ils soient républicains ou démocrate
les autres présidents perpétueront la chose par électoralisme
C'est comme la vente des armes ; aucuns présidents républicains ou démocrates n'a osé faire de décrets pour l'interdire

"Tous les pays ont des parades militaires pour leur fête nationale"
Sauf que la fête nationale aux USA est le 4 juillet.

[Once]

Tous les pays ont des parades militaires pour leur fête nationale
Pourquoi cela serait différent pour les USA

Genre parce que là c'était pour l'anniversaire du pseudo-dictateur local et pas pour la fête nationale, deux semaines plus tard ? Parce qu'on parle d'un défilé privé à la gloire d'une personne, mais aux frais du contribuable américain à qui on demande de couper dans des dizaines budgets ?

Exact. (C'est moi qui ai souligné). Tristement et... dangereusement exact. Parce qu'on est où là ? On est toujours aux Etats-Unis ? Ou plutôt dans telle ou telle petite dictature africaine minable voire en Corée du Nord ?

Ce type a quel âge mental au juste ?

[Once]

Put 1 ! Si on pouvait finir avec ce virus dès demain !

[UBUROI]

...et le simiesque Pitre Hegseth qui salue par un son érection bi mestrielle, son voisin de droite en rigole encore!

Pas mal ! Excellent sens de l'humour qui fait du bien par ces temps assez anxiogènes.

Comme disait le regretté Desproges qui osait dans un spectacle s'exclamer "...on m'a dit qu'il y avait des juifs dans la salle?! "
- la dérision permet de supporter la réalité
C'est de mémoire

[Once]