Le Conseil économique, social et environnemental (Cese), troisième chambre de la république au rôle consultatif, est critiqué dans un rapport parlementaire publié ce mercredi pour le "trop faible investissement de ses membres", "des publications peu nombreuses".
"Certains avis rédigés reposent sur un nombre très faible d'auditions", a fustigé le rapporteur macroniste (EPR) Daniel Labaronne devant la commission des finances de l'Assemblée nationale. "Le rapporteur a été surpris de constater que seules six auditions avaient été organisées pour rédiger une étude sur la santé au travail, ce qui lui paraît relativement modeste étant donné les problématiques soulevées par un tel sujet", selon le rapport d'information.
Daniel Labaronne a relevé devant la commission que pour une rémunération de "2.500 euros net par mois", les conseillers du Cese ne devaient travailler au total que "quatre journées par mois". Il a aussi critiqué "un vrai tropisme en faveur des questions environnementales", au détriment des questions économiques et sociales, et le fait que "ses travaux sont essentiellement le fruit d'auto-saisines" et non de saisines par les parlementaires ou le gouvernement.
Faire varier la rémunération en fonction des participations aux réunions
Le Cese compte 175 conseillers, dont 52 représentants des salariés, autant des entreprises, 45 au titre de la vie associative et 26 au titre de la défense de l'environnement. Le rapport préconise de "réduire le nombre des excuses autorisées pour justifier l'absence d'un membre à une réunion" ou encore de "prévoir que la rémunération des membres augmente, jusqu'à un plafond, à mesure qu'ils sont présents lors des réunions".
Alors que la loi prévoit que le Cese peut être saisi par les citoyens sur la base d'une pétition ayant recueilli 150.000 signatures, le rapport demande à l'institution de "davantage mettre en valeur" sa "plateforme de dépôt des pétitions et de recueil des signatures". Il souhaite enfin "rendre publics les comptes" du CSE, dont le budget pour 2025 s'élève à 34,4 millions d'euros, et veut supprimer 12 "jours Cese" de congés dont bénéficient les 154 agents de l'institution, payés en moyenne 5.678 euros bruts par mois.
Le Cese va par ailleurs faire l'objet d'un rapport de la Cour des Comptes qui devrait être publié avant la pause estivale fin juillet. Selon un "rapport d'observations provisoires" de la Cour non rendu public mais révélé en mars par le Canard enchaîné, les informations fournies par le Cese "sur sa situation financière sont extrêmement succinctes".
Encore un scandale, et pas besoin d'être Nicolas pour préconiser la suppression du CESE, repaire de retraités et disgrâciés protégés par le pouvoir.
Pourquoi le supprimer ? Si vous faites mal votre boulot, faudra aussi supprimer votre poste ? Le CESE n'a plus qu'à se mettre au travail et se mettre au pli, c'est tout.
Dans ce cas-là, je demande à supprimer tous les partis politiques dont un ou plusieurs de leurs membres ont eu affaire à la justice.
"La valeur ne dépend pas de la religion, mais de l'amour qui nous fait considérer l'autre comme un frère ou une sœur"
Sœur Emmanuelle
"Notre vraie nationalité est l'Humanité" Herbert Georges Wells
Encore un scandale, et pas besoin d'être Nicolas pour préconiser la suppression du CESE, repaire de retraités et disgrâciés protégés par le pouvoir.
Pourquoi le supprimer ? Si vous faites mal votre boulot, faudra aussi supprimer votre poste ? Le CESE n'a plus qu'à se mettre au travail et se mettre au pli, c'est tout.
Dans ce cas-là, je demande à supprimer tous les partis politiques dont un ou plusieurs de leurs membres ont eu affaire à la justice.
Oui, si je fais mal mon boulot dans mon groupe, on supprime mon emploi et on me met dehors, et si la division entière travaille mal ou ne sert plus à rien on supprime la division et on fait un Plan de Sauvegarde de l'Emploi (façon poli de dire qu'on vire 50% avec un petit chèque et qu'on reclasse assez mal le reste). Je ne suis plus guère concerné, la retraite est imminente et je suis en prise de CP préalable.
Concernant le CESE, son inutilité est notoire, ce n'est pas un coût gigantesque mais quand on a 150 milliards d'€ de déficit et 3 000 milliards de dettes publiques il faut bien considérer que les petits ruisseaux font les grandes rivières et il n'y a pas de petites économies. Donc à mort le CESE.
Et vous les fonctionnaires, veuillez considérer que vous n'êtes pas propriétaires de vos emplois et que le fonctionnariat c'est du vol. Amen.
“Dieu se rit des hommes qui se plaignent des conséquences alors qu'ils en chérissent les causes." Jacques-Bénigne Bossuet.
LeGrandNoir a écrit : ↑02 juillet 2025 17:13
Oui, si je fais mal mon boulot dans mon groupe, on supprime mon emploi et on me met dehors, et si la division entière travaille mal ou ne sert plus à rien on supprime la division et on fait un Plan de Sauvegarde de l'Emploi (façon poli de dire qu'on vire 50% avec un petit chèque et qu'on reclasse assez mal le reste). Je ne suis plus guère concerné, la retraite est imminente et je suis en prise de CP préalable.
Concernant le CESE, son inutilité est notoire, ce n'est pas un coût gigantesque mais quand on a 150 milliards d'€ de déficit et 3 000 milliards de dettes publiques il faut bien considérer que les petits ruisseaux font les grandes rivières et il n'y a pas de petites économies. Donc à mort le CESE.
Et vous les fonctionnaires, veuillez considérer que vous n'êtes pas propriétaires de vos emplois et que le fonctionnariat c'est du vol. Amen.
non si tu fais mal ton boulot, on te remplace.
c'est tout.
mais attention, il faut savoir une chose, si ça n'arrive pas dans la fonction publique (de licencier des gens ou alors à titre exceptionnel), se faire chopper comme ils viennent de le faire, signifie pour eux la fin de leur carrière, des primes, et de leur évolution, autant dire le placard.
LeGrandNoir a écrit : ↑02 juillet 2025 17:13
Oui, si je fais mal mon boulot dans mon groupe, on supprime mon emploi et on me met dehors, et si la division entière travaille mal ou ne sert plus à rien on supprime la division et on fait un Plan de Sauvegarde de l'Emploi (façon poli de dire qu'on vire 50% avec un petit chèque et qu'on reclasse assez mal le reste). Je ne suis plus guère concerné, la retraite est imminente et je suis en prise de CP préalable.
Concernant le CESE, son inutilité est notoire, ce n'est pas un coût gigantesque mais quand on a 150 milliards d'€ de déficit et 3 000 milliards de dettes publiques il faut bien considérer que les petits ruisseaux font les grandes rivières et il n'y a pas de petites économies. Donc à mort le CESE.
Et vous les fonctionnaires, veuillez considérer que vous n'êtes pas propriétaires de vos emplois et que le fonctionnariat c'est du vol. Amen.
non si tu fais mal ton boulot, on te remplace.
c'est tout.
mais attention, il faut savoir une chose, si ça n'arrive pas dans la fonction publique (de licencier des gens ou alors à titre exceptionnel), se faire chopper comme ils viennent de le faire, signifie pour eux la fin de leur carrière, des primes, et de leur évolution, autant dire le placard.
Tu as sans doute une grande expérience du privé pour parler ainsi ...
“Dieu se rit des hommes qui se plaignent des conséquences alors qu'ils en chérissent les causes." Jacques-Bénigne Bossuet.