En déplacement à Chartres demain mardi, le Premier ministre présentera la réforme de l’administration territoriale de l’État.
Est-ce le début du grand chamboule-tout maintes fois annoncé par le président Macron ? Toujours est-il que le Premier ministre annoncera, demain mardi à Chartres, « une réorganisation complète de l'État, localement, autour des préfets ». « Le système actuel, avec son éclatement d'administrations et d'agences indépendantes les unes des autres, est très cher et inefficace », a martelé François Bayrou auprès du Parisien.
« Personne ne s'y retrouve », a encore tonné le Palois, qui plus est dans un contexte où « il faudra veiller encore plus à l'utilisation de l'argent public pour qu'il soit utilisé à bon escient » et surtout, pile poil, une semaine avant la présentation de ses premiers arbitrages budgétaires en vue de la loi de finances 2026. « Qu'il y ait un responsable, qui commande et à qui on demande si besoin des comptes », a-t-il encore résumé.
En déplacement à Chartres demain mardi, le Premier ministre présentera la réforme de l’administration territoriale de l’État.
Est-ce le début du grand chamboule-tout maintes fois annoncé par le président Macron ? Toujours est-il que le Premier ministre annoncera, demain mardi à Chartres, « une réorganisation complète de l'État, localement, autour des préfets ». « Le système actuel, avec son éclatement d'administrations et d'agences indépendantes les unes des autres, est très cher et inefficace », a martelé François Bayrou auprès du Parisien.
« Personne ne s'y retrouve », a encore tonné le Palois, qui plus est dans un contexte où « il faudra veiller encore plus à l'utilisation de l'argent public pour qu'il soit utilisé à bon escient » et surtout, pile poil, une semaine avant la présentation de ses premiers arbitrages budgétaires en vue de la loi de finances 2026. « Qu'il y ait un responsable, qui commande et à qui on demande si besoin des comptes », a-t-il encore résumé.
A moins de deux ans et sans doute moins de son second mandat Macron demande à son premier ministre intérimaire de lancer une réforme de ce type ?
Il fallait la mettre en chantier en 2017-2018 quand tout était possible...
"Qui cherche la vérité doit-être prêt à l'inattendu" Héraclite d'Ephèse.
Agnostirex a écrit : ↑08 juillet 2025 19:29
A moins de deux ans et sans doute moins de son second mandat Macron demande à son premier ministre intérimaire de lancer une réforme de ce type ?
Il fallait la mettre en chantier en 2017-2018 quand tout était possible...
à ll'époque ,il y avait d'autres priorités , en plus le premier mandat s'est vu torpillé d'entrée par les revanchards