#2 Guerre en Ukraine : nouvelle donne sous Trump, l'Europe réagit
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Re: #2 Guerre en Ukraine : nouvelle donne sous Trump, l'Europe réagit
Le pire est à craindre parce qu' il y a longtemps que Trump est sous l'influence de Poutine. En 2018, en présence même de Poutine, en conférence de presse à Helsinki, il avait publiquement désavoué ses propres services de sécurité qui avaient soupçonné une ingérence des services secrets russes d'ingérence dans les dernières élections américaines ! Fallait le faire quand même !
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Re: #2 Guerre en Ukraine : nouvelle donne sous Trump, l'Europe réagit
Histoire vraie.
Poutine dit ok pour une rencontre aux usa, mais ce sera en Alaska. Trump lui répond no problème, puis se retourne vers ses conseillers ;"c'est où l'Alaska?".
Entre un abruti qui croit que la Guyane est une île et l'autre qui ne connaît même pas les états de son pays, on est mal barré.
Poutine dit ok pour une rencontre aux usa, mais ce sera en Alaska. Trump lui répond no problème, puis se retourne vers ses conseillers ;"c'est où l'Alaska?".
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Re: #2 Guerre en Ukraine : nouvelle donne sous Trump, l'Europe réagit
Dernière perle de Trump : " si je n'avais pas été président, Poutine aurait pris toute l' Ukraine."
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Re: #2 Guerre en Ukraine : nouvelle donne sous Trump, l'Europe réagit
Autre perle de Trump : " j'ai été trop dur avec Poutine."
Il va se retrouver seul en tête à tête avec son homologue russe, les deux interprètes et aucun autre témoin.
Un adulte de 15 ans d'âge mental face à un ex agent du KGB rusé, malin, qui connait son ascendant sur lui.
J'ai entendu des experts hier évoquant comment il pourrait être manipulé par Poutine lui présentant d'anciennes cartes plus ou moins trafiquées pour prouver que l'Ukraine aurait toujours été russe et qu'elle doit revenir à la Russie, que c'est dans l'ordre des choses. Et Trump d'être convaincu.
Cette technique consistant à utiliser le narratif de Poutine , Trump y est très sensible et il l'a montré à la conférence de presse d'Helsinki en 2018 en désavouant la CIA devant Poutine, à la stupeur de tous les observateurs des relations diplomatiques des États Unis avec la Russie. Poutine lui avait retourné le cerveau.
C'est ce qui risque de se passer à nouveau.
Autre chose : il est très probable qu'il ne soit pas que question de l'Ukraine dans le cadre de ce tête à tête secret et que Poutine amène à Anchorage un autre " fromage" auquel Trump est si sensible : la perspective de faire de belles affaires en Russie en échange de quoi les Etats Unis renonceraient aux sanctions économiques contre la Russie.
Jamais un tel tête à tête secret entre ces deux hommes n'aurait dû être accepté sans aucun autre responsable européen et ukrainien en présence. Sans aucun " adulte dans la pièce".
Parce qu'on sait très bien à quel point Trump apprécie et même : admire Poutine pour son pouvoir dictatorial dont il rêverait lui même.
Parce qu'on sait aussi à quel point les relations humaines directes sont importantes pour Trump indépendamment de tous les enjeux géostratégiques pour lesquels seuls comptent en fait la lucidité, la rationalité et les rapports de force en dehors des affects humains.
Oui, on peut craindre le pire de ce qui va ressortir de ce tête à tête au moment de la conférence de presse au cours de laquelle Trump va nous dire à quel point elle aura été " formidable", " extraordinaire", " unique" aux côtés de Poutine buvant du petit lait et assuré d'avoir gagné la partie.
Pourquoi pas un projet americano russe de type" Riviera" en Ukraine comme celui de Gaza ?
Avec la petite vidéo qui finira par sortir filmant Poutine et Trump allongés côte à côte en chaise longue devant une Trump Tower flamboyante à Kiev ?
Quant aux Ukrainiens, ces gêneurs, plusieurs millions sont déjà partis. Il ne restera plus qu'aux autres à faire pareil ou à accepter de redevenir les serfs du Tsar.
Il va se retrouver seul en tête à tête avec son homologue russe, les deux interprètes et aucun autre témoin.
Un adulte de 15 ans d'âge mental face à un ex agent du KGB rusé, malin, qui connait son ascendant sur lui.
J'ai entendu des experts hier évoquant comment il pourrait être manipulé par Poutine lui présentant d'anciennes cartes plus ou moins trafiquées pour prouver que l'Ukraine aurait toujours été russe et qu'elle doit revenir à la Russie, que c'est dans l'ordre des choses. Et Trump d'être convaincu.
Cette technique consistant à utiliser le narratif de Poutine , Trump y est très sensible et il l'a montré à la conférence de presse d'Helsinki en 2018 en désavouant la CIA devant Poutine, à la stupeur de tous les observateurs des relations diplomatiques des États Unis avec la Russie. Poutine lui avait retourné le cerveau.
C'est ce qui risque de se passer à nouveau.
Autre chose : il est très probable qu'il ne soit pas que question de l'Ukraine dans le cadre de ce tête à tête secret et que Poutine amène à Anchorage un autre " fromage" auquel Trump est si sensible : la perspective de faire de belles affaires en Russie en échange de quoi les Etats Unis renonceraient aux sanctions économiques contre la Russie.
Jamais un tel tête à tête secret entre ces deux hommes n'aurait dû être accepté sans aucun autre responsable européen et ukrainien en présence. Sans aucun " adulte dans la pièce".
Parce qu'on sait très bien à quel point Trump apprécie et même : admire Poutine pour son pouvoir dictatorial dont il rêverait lui même.
Parce qu'on sait aussi à quel point les relations humaines directes sont importantes pour Trump indépendamment de tous les enjeux géostratégiques pour lesquels seuls comptent en fait la lucidité, la rationalité et les rapports de force en dehors des affects humains.
Oui, on peut craindre le pire de ce qui va ressortir de ce tête à tête au moment de la conférence de presse au cours de laquelle Trump va nous dire à quel point elle aura été " formidable", " extraordinaire", " unique" aux côtés de Poutine buvant du petit lait et assuré d'avoir gagné la partie.
Pourquoi pas un projet americano russe de type" Riviera" en Ukraine comme celui de Gaza ?
Avec la petite vidéo qui finira par sortir filmant Poutine et Trump allongés côte à côte en chaise longue devant une Trump Tower flamboyante à Kiev ?
Quant aux Ukrainiens, ces gêneurs, plusieurs millions sont déjà partis. Il ne restera plus qu'aux autres à faire pareil ou à accepter de redevenir les serfs du Tsar.
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Re: #2 Guerre en Ukraine : nouvelle donne sous Trump, l'Europe réagit
Pourquoi un tête-à-tête secret entre les deux ? Cela sent la magouille à plein nez, la petite soupe entre amis, un petit trafic secret ou les deux discuteront de ce que se partage apportera à l'un et à l'autre et tout cela, au détriment de l'Ukraine et de ses alliés.Once a écrit : ↑15 août 2025 09:48 Autre perle de Trump : " j'ai été trop dur avec Poutine."
Il va se retrouver seul en tête à tête avec son homologue russe, les deux interprètes et aucun autre témoin.
Un adulte de 15 ans d'âge mental face à un ex agent du KGB rusé, malin, qui connait son ascendant sur lui.
J'ai entendu des experts hier évoquant comment il pourrait être manipulé par Poutine lui présentant d'anciennes cartes plus ou moins trafiquées pour prouver que l'Ukraine aurait toujours été russe et qu'elle doit revenir à la Russie, que c'est dans l'ordre des choses. Et Trump d'être convaincu.
Cette technique consistant à utiliser le narratif de Poutine , Trump y est très sensible et il l'a montré à la conférence de presse d'Helsinki en 2018 en désavouant la CIA devant Poutine, à la stupeur de tous les observateurs des relations diplomatiques des États Unis avec la Russie. Poutine lui avait retourné le cerveau.
C'est ce qui risque de se passer à nouveau.
Autre chose : il est très probable qu'il ne soit pas que question de l'Ukraine dans le cadre de ce tête à tête secret et que Poutine amène à Anchorage un autre " fromage" auquel Trump est si sensible : la perspective de faire de belles affaires en Russie en échange de quoi les Etats Unis renonceraient aux sanctions économiques contre la Russie.
Jamais un tel tête à tête secret entre ces deux hommes n'aurait dû être accepté sans aucun autre responsable européen et ukrainien en présence. Sans aucun " adulte dans la pièce".
Parce qu'on sait très bien à quel point Trump apprécie et même : admire Poutine pour son pouvoir dictatorial dont il rêverait lui même.
Parce qu'on sait aussi à quel point les relations humaines directes sont importantes pour Trump indépendamment de tous les enjeux géostratégiques pour lesquels seuls comptent en fait la lucidité, la rationalité et les rapports de force en dehors des affects humains.
Oui, on peut craindre le pire de ce qui va ressortir de ce tête à tête au moment de la conférence de presse au cours de laquelle Trump va nous dire à quel point elle aura été " formidable", " extraordinaire", " unique" aux côtés de Poutine buvant du petit lait et assuré d'avoir gagné la partie.
Pourquoi pas un projet americano russe de type" Riviera" en Ukraine comme celui de Gaza ?
Avec la petite vidéo qui finira par sortir filmant Poutine et Trump allongés côte à côte en chaise longue devant une Trump Tower flamboyante à Kiev ?
Quant aux Ukrainiens, ces gêneurs, plusieurs millions sont déjà partis. Il ne restera plus qu'aux autres à faire pareil ou à accepter de redevenir les serfs du Tsar.
"La valeur ne dépend pas de la religion, mais de l'amour qui nous fait considérer l'autre comme un frère ou une sœur"
Sœur Emmanuelle
"Notre vraie nationalité est l'Humanité" Herbert Georges Wells
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Re: #2 Guerre en Ukraine : nouvelle donne sous Trump, l'Europe réagit
Je ne crois pas que cette rencontre puisse aboutir à quoi que ce soit, Poutine dont l'armée avance, ces derniers jours, plus rapidement a tout intérêt à faire durer.Patchouli38 a écrit : ↑15 août 2025 12:17
Pourquoi un tête-à-tête secret entre les deux ? Cela sent la magouille à plein nez, la petite soupe entre amis, un petit trafic secret ou les deux discuteront de ce que se partage apportera à l'un et à l'autre et tout cela, au détriment de l'Ukraine et de ses alliés.
En revanche, Si Zelensky ne pèse pas lourd dans l'esprit de Trump l'Europe si elle veut bien faire corps derrière ses négociateurs, peut peser d'autant plus lourd que si et Zelensky et l'UE refusent les conditions d'un éventuel accord, celui ci ne se fera pas.
Néanmoins restent des questions embarrassantes telles que:
- Poutine n'acceptera un cessez le feu que si il a l'assurance de gagner beaucoup de territoires. Que l' oblast russophone de Louhansk tombe dans son escarcelle sans être juste ( l'agresseur gagnerait) serait logique au vu de la situation militaire actuelle. Que tout le Donbass tombe entre ses mains est inenvisageable, mais je suis sûr que c'est ce qu'il va exiger. Trump acceptera-t-il la demande de Poutine ?
- Zelensky n'a plus les moyen militaires en effectifs pour contenir l'armée russe. L'UE doit elle venir aider en effectifs l'Ukraine ?
- Poutine refusera l'adhésion de l'Ukraine à l'Otan. Trump acceptera le principe de non adhésion, mais quid de l'UE si elle veut éviter une nouvelle attaque très bientôt ?
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Re: #2 Guerre en Ukraine : nouvelle donne sous Trump, l'Europe réagit
Autre exemple de l'ineptie totale de Trump en matière de géopolitique quand il parle " d'échanges de territoires" à négocier.
MAIS QUELS ÉCHANGES DE TERRITOIRES ? Parce que Poutine va échanger la Sibérie contre l'Ukraine ?
Il y a eu un moment où l'armée ukrainienne a occupé une bonne partie de Krousk : là, il y aurait eu quelque chose à " échanger".
Mais du fait que - à la suite du piège tendu à Zelensky humilié à la Maison blanche - Trump a suspendu criminellement durant une quinzaine son aide à l'Ukraine qui n'a pu bénéficier de l'aide satellitaire américaine, et bien cela a fait qu'elle a perdu cette petite enclave en territoire russe.
Chapeau l'artiste ! Et à présent le voilà qui vient parler " d'échanges de territoires" ?
On n'aura jamais vu un irresponsable pareil !
Je vais le dire sans prendre de gants : Trump n'est que la p... de Poutine
MAIS QUELS ÉCHANGES DE TERRITOIRES ? Parce que Poutine va échanger la Sibérie contre l'Ukraine ?
Il y a eu un moment où l'armée ukrainienne a occupé une bonne partie de Krousk : là, il y aurait eu quelque chose à " échanger".
Mais du fait que - à la suite du piège tendu à Zelensky humilié à la Maison blanche - Trump a suspendu criminellement durant une quinzaine son aide à l'Ukraine qui n'a pu bénéficier de l'aide satellitaire américaine, et bien cela a fait qu'elle a perdu cette petite enclave en territoire russe.
Chapeau l'artiste ! Et à présent le voilà qui vient parler " d'échanges de territoires" ?
On n'aura jamais vu un irresponsable pareil !
Je vais le dire sans prendre de gants : Trump n'est que la p... de Poutine
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Re: #2 Guerre en Ukraine : nouvelle donne sous Trump, l'Europe réagit
"C'est une honte!": en marge du sommet Trump-Poutine, la ville d'Anchorage manifeste contre la venue du président russe"

"Si les dirigeants américains et russes ne sortiront pas de la base militaire d'Elmendorf lors de leur sommet, la ville voisine d'Anchorage compte faire entendre sa voix en dénonçant l'invitation de Donald Trump à Vladimir Poutine sur le territoire américain.
Pendant 24 heures, la ville d'Anchorage en Alaska sera le centre du monde diplomatique. Les dirigeants des États-Unis et de la Russie s'y réunissent ce vendredi 15 août, pour la première fois en six ans, pour négocier d'une éventuelle fin du conflit en Ukraine.
Vladimir Poutine et Donald Trump discuteront au sein de la base militaire d'Elmendorf à la sortie de la ville. Un site immense, qui fait trois fois la taille de Paris, mais qui est surtout ultra-sécurisé, ce qui permettra aux deux présidents de rester dans la base militaire.
Alors, à dix kilomètres de là, rien ne laisse présager l'arrivée du président des États-Unis et de son homologue russe pour des discussions à l'enjeu historique. Aucun dispositif de sécurité n'est déployé dans les rues du centre-ville. En revanche, en coulisses, des signes ne trompent pas et laissent entendre une certaine effervescence.
Un agent immobilier a par exemple loué en express une maison au Secret service, chargé de la protection de Donald Trump. "Ils ont découvert dans un tweet qu'il devait aller en Alaska", confie Beau Disbrow. "Ils étaient en panique pour essayer de loger tous leurs agents. Le lendemain ce sont les Russes qui m'ont appelé: ils voulaient louer la même maison."
"Il faudrait l'arrêter!"
Et bien qu'Anchorage semble calme, à quelques heures du sommet, les voix dissonantes se font entendre. Des centaines d'Alaskiens se sont réunis pour dénoncer la venue du Vladimir Poutine sur le territoire. Drapeaux américains et ukrainiens sont brandis aux côtés de pancartes à l'encontre du patron du Kremlin, le décrivant de "criminel de guerre" ou laissant entendre qu'il fait de Donald Trump sa marionnette.
"Que notre président l'invite, c'est une honte", scande un manifestant. "Ça n'est pas ce que représente notre pays. Notre pays doit défendre la paix."
"Il faudrait l'arrêter!", ajoute une autre militante. "Mais là, il est accueilli, et sur une base militaire en plus! C'est choquant!"
Vladimir Poutine est en effet sur le coup d'un mandat d'arrêt émis par la Cour pénale internationale depuis mars 2023, ce qui devrait l'interdire de fouler n'importe quel sol non-russe. Néanmoins, les États-Unis, tout comme les Russes, ne reconnaissent pas cette juridiction.
Très vocal quant à son opposition à la Cour pénale internationale lors de son premier mandat, Donald Trump a accusé la juridiction le 6 février dernier d'avoir "engagé des actions illégales et sans fondement contre l’Amérique et notre proche allié Israël" dans un décret controversé lors de sa seconde présidence.
Dans ce contexte, le risque d'arrestation lors de la venue du président russe à Anchorage semble nul. Malgré cela, les manifestants n'ont pas prévu de baisser les bras et comptent bien faire entendre leurs voix. D'autres mobilisations sont prévues ce vendredi en marge du sommet."
https://www.bfmtv.com/international/ame ... 50154.html

"Si les dirigeants américains et russes ne sortiront pas de la base militaire d'Elmendorf lors de leur sommet, la ville voisine d'Anchorage compte faire entendre sa voix en dénonçant l'invitation de Donald Trump à Vladimir Poutine sur le territoire américain.
Pendant 24 heures, la ville d'Anchorage en Alaska sera le centre du monde diplomatique. Les dirigeants des États-Unis et de la Russie s'y réunissent ce vendredi 15 août, pour la première fois en six ans, pour négocier d'une éventuelle fin du conflit en Ukraine.
Vladimir Poutine et Donald Trump discuteront au sein de la base militaire d'Elmendorf à la sortie de la ville. Un site immense, qui fait trois fois la taille de Paris, mais qui est surtout ultra-sécurisé, ce qui permettra aux deux présidents de rester dans la base militaire.
Alors, à dix kilomètres de là, rien ne laisse présager l'arrivée du président des États-Unis et de son homologue russe pour des discussions à l'enjeu historique. Aucun dispositif de sécurité n'est déployé dans les rues du centre-ville. En revanche, en coulisses, des signes ne trompent pas et laissent entendre une certaine effervescence.
Un agent immobilier a par exemple loué en express une maison au Secret service, chargé de la protection de Donald Trump. "Ils ont découvert dans un tweet qu'il devait aller en Alaska", confie Beau Disbrow. "Ils étaient en panique pour essayer de loger tous leurs agents. Le lendemain ce sont les Russes qui m'ont appelé: ils voulaient louer la même maison."
"Il faudrait l'arrêter!"
Et bien qu'Anchorage semble calme, à quelques heures du sommet, les voix dissonantes se font entendre. Des centaines d'Alaskiens se sont réunis pour dénoncer la venue du Vladimir Poutine sur le territoire. Drapeaux américains et ukrainiens sont brandis aux côtés de pancartes à l'encontre du patron du Kremlin, le décrivant de "criminel de guerre" ou laissant entendre qu'il fait de Donald Trump sa marionnette.
"Que notre président l'invite, c'est une honte", scande un manifestant. "Ça n'est pas ce que représente notre pays. Notre pays doit défendre la paix."
"Il faudrait l'arrêter!", ajoute une autre militante. "Mais là, il est accueilli, et sur une base militaire en plus! C'est choquant!"
Vladimir Poutine est en effet sur le coup d'un mandat d'arrêt émis par la Cour pénale internationale depuis mars 2023, ce qui devrait l'interdire de fouler n'importe quel sol non-russe. Néanmoins, les États-Unis, tout comme les Russes, ne reconnaissent pas cette juridiction.
Très vocal quant à son opposition à la Cour pénale internationale lors de son premier mandat, Donald Trump a accusé la juridiction le 6 février dernier d'avoir "engagé des actions illégales et sans fondement contre l’Amérique et notre proche allié Israël" dans un décret controversé lors de sa seconde présidence.
Dans ce contexte, le risque d'arrestation lors de la venue du président russe à Anchorage semble nul. Malgré cela, les manifestants n'ont pas prévu de baisser les bras et comptent bien faire entendre leurs voix. D'autres mobilisations sont prévues ce vendredi en marge du sommet."
https://www.bfmtv.com/international/ame ... 50154.html
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Re: #2 Guerre en Ukraine : nouvelle donne sous Trump, l'Europe réagit
Trump ou Trempe ?...
La montagne accouche d’une souris lorsque des projets ambitieux n’obtiennent finalement que des résultats médiocres…On rêve d’une montagne et on a une souris…
Trump et Poutine se séparent sans dévoiler de plan pour l’Ukraine
Les deux chefs d’Etat se sont rencontrés sur le tarmac d’une base militaire à Anchorage, en Alaska, ce vendredi 15 août. L’ambiance était cordiale mais ils n’avaient rien de concret à annoncer après trois heures de discussion.
Tout ça, pour ça. Après trois heures d’entretien, ce vendredi en Alaska, sur l’avenir de l’Ukraine, Donald Trump et Vladimir Poutine ont annoncé qu’il n’y avait rien à annoncer. Les présidents américains et russes se sont séparés sont sans rien dévoiler d’un possible plan de paix pour l’Ukraine, tout en multipliant les déclarations engageantes et les gestes amicaux.
«Très productive», pour Trump, « constructive» pour Poutine ont respectivement commenté les deux protagonistes à propos d’une réunion dont en réalité rien n’a filtré immédiatement. Le président américain, qui aime tant à se présenter en négociateur décisif, a assuré pendant des déclarations conjointes à la presse qu’il restait « très peu » de points à régler pour trouver une issue à la guerre déclenchée il y a plus de trois ans par l’invasion russe de l’Ukraine. Enigmatique, Trump a aouté: « L’un d’entre eux (ces points) est probablement le plus important », mais sans dire lequel. Dans une réthorique qui n’appartient qu’à lui, il a conclu avant de redécoller pour Washington: « Nous n’y sommes pas, mais nous avons fait des progrès. Il n’y a pas d’accord jusqu’à ce qu’il y ait un accord. » En tout état de cause, il n’a pas réussi à arracher de Poutine un cessez-le-feu qu’il s’était juré d’obtenir. Lui et Vladimir Poutine ont passé, en tout et pour tout, six heures en Alaska. La discussion proprement dite a duré trois heures, alors que Poutine avait annoncé auparavant qu’elle pourrait être deux fois plus longue.
Plus tard, sur la chaîne américain Fox News, Trump en a dit un peu plus, il a estimé qu’un accord pour mettre fin à la guerre « dépendait vraiment du président » ukrainien Volodymyr Zelensky, le grand absent d’un sommet pour lequel il n’a pas réussi à imposer sa présence.
Pas de conférence de presse
Avec son homologue russe, le président américain n’avait plus le ton quelque peu bravache d’avant la rencontre, lorsqu’il menaçait de claquer la porte en cas d’impasse, ou assurait qu’avec lui Vladimir Poutine ne « ferait pas le malin ». Ce dernier, sur la même tonalité engageante et cordiale, a dit espérer que « l’entente » trouvée en Alaska apportera « la paix » en Ukraine.
Les deux hommes, qui s’exprimaient devant un fond bleu portant l’inscription « Pursuing Peace » (« Oeuvrer pour la paix »), avaient promis une conférence de presse. Mais ils se sont seulement serré la main après avoir fini leurs discours et sont partis sans répondre aux journalistes qui, debout, les assaillaient de questions.
Donald Trump a affirmé qu’il appellerait dans la foulée les dirigeants de pays de l’Otan ainsi que Volodymyr Zelensky, disant à propos des Ukrainiens: « En dernier ressort, cela dépend d’eux .». Il a aussi estimé qu’il pourrait revoir « très bientôt » le président russe. Ce à quoi Vladimir Poutine a réagi en lançant, en anglais, « la prochaine fois à Moscou », sur un ton badin. « J’imagine que cela pourrait arriver », lui a rétorqué l’autre duettiste d’Anchorage.
Ce sommet s’était ouvert sur un accueil chaleureux pour Vladimir Poutine, qui signe là un spectaculaire retour sur la scène internationale, alors que le conflit le plus meurtrier en Europe depuis la Seconde Guerre mondiale continue. Les présidents se sont longuement salués à la descente de leurs avions respectifs avant de remonter un long tapis rouge côte à côte et de poser sous les yeux des photographes. Vladimir Poutine a ignoré un journaliste qui lui a demandé s’il allait cesser de tuer des civils. Puis les deux présidents sont montés dans la voiture présidentielle américaine.
Trump applaudit brièvement Poutine
Alors qu’était prévu un tête-à-tête entre les deux hommes, Trump était accompagné de son secrétaire d’Etat, Marco Rubio, et de son envoyé spécial, Steve Witkoff, Poutine était lui a flanqué de ses conseillers. La réunion s’est tenue sur la base aérienne d’Elmendorf-Richardson, un complexe militaire situé aux portes de la Russie et hautement stratégique.
Donald Trump a brièvement applaudi pendant que son homologue russe s’avançait vers lui sur le tarmac. Ont suivi des poignées de mains et des sourires dans une mise en scène exposant toute la puissance militaire américaine, avec des avions de combat de pointe rangés auprès du tapis rouge et survolant les deux hommes.
L’Ukraine et les Européens redoutaient par-dessus tout que ce sommet ne permette à Vladimir Poutine de manipuler son homologue américain. Volodymyr Zelensky avait déclaré « compter » sur Donald Trump pour mettre un terme au conflit. Les soldats russes « continuent à tuer le jour des négociations », avait-il déploré, tandis que l’armée ukrainienne annonçait vendredi avoir repris six villages dont des unités russes s’étaient emparées ces derniers jours, lors d’une avancée particulièrement rapide.
Le président ukrainien et les dirigeants européens attendent donc maintenant que l’imprévisible président américain les informe de la teneur de son entrevue.
La Russie réclame que l’Ukraine lui cède quatre régions partiellement occupées (Donetsk, Lougansk, Zaporijjia et Kherson), en plus de la Crimée annexée en 2014, et qu’elle renonce aux livraisons d’armes occidentales et à toute adhésion à l’Otan. C’est inacceptable pour Kiev, qui veut un cessez-le-feu inconditionnel et immédiat, ainsi que des garanties de sécurité futures. Des positions irréconciliables que la rencontre en Alaska était censée rapprocher.
Mise à jour le 16 août à 5 heures à la fin du sommet
https://www.liberation.fr/international ... MXP22K4Q4/
La montagne accouche d’une souris lorsque des projets ambitieux n’obtiennent finalement que des résultats médiocres…On rêve d’une montagne et on a une souris…
Trump et Poutine se séparent sans dévoiler de plan pour l’Ukraine
Les deux chefs d’Etat se sont rencontrés sur le tarmac d’une base militaire à Anchorage, en Alaska, ce vendredi 15 août. L’ambiance était cordiale mais ils n’avaient rien de concret à annoncer après trois heures de discussion.
Tout ça, pour ça. Après trois heures d’entretien, ce vendredi en Alaska, sur l’avenir de l’Ukraine, Donald Trump et Vladimir Poutine ont annoncé qu’il n’y avait rien à annoncer. Les présidents américains et russes se sont séparés sont sans rien dévoiler d’un possible plan de paix pour l’Ukraine, tout en multipliant les déclarations engageantes et les gestes amicaux.
«Très productive», pour Trump, « constructive» pour Poutine ont respectivement commenté les deux protagonistes à propos d’une réunion dont en réalité rien n’a filtré immédiatement. Le président américain, qui aime tant à se présenter en négociateur décisif, a assuré pendant des déclarations conjointes à la presse qu’il restait « très peu » de points à régler pour trouver une issue à la guerre déclenchée il y a plus de trois ans par l’invasion russe de l’Ukraine. Enigmatique, Trump a aouté: « L’un d’entre eux (ces points) est probablement le plus important », mais sans dire lequel. Dans une réthorique qui n’appartient qu’à lui, il a conclu avant de redécoller pour Washington: « Nous n’y sommes pas, mais nous avons fait des progrès. Il n’y a pas d’accord jusqu’à ce qu’il y ait un accord. » En tout état de cause, il n’a pas réussi à arracher de Poutine un cessez-le-feu qu’il s’était juré d’obtenir. Lui et Vladimir Poutine ont passé, en tout et pour tout, six heures en Alaska. La discussion proprement dite a duré trois heures, alors que Poutine avait annoncé auparavant qu’elle pourrait être deux fois plus longue.
Plus tard, sur la chaîne américain Fox News, Trump en a dit un peu plus, il a estimé qu’un accord pour mettre fin à la guerre « dépendait vraiment du président » ukrainien Volodymyr Zelensky, le grand absent d’un sommet pour lequel il n’a pas réussi à imposer sa présence.
Pas de conférence de presse
Avec son homologue russe, le président américain n’avait plus le ton quelque peu bravache d’avant la rencontre, lorsqu’il menaçait de claquer la porte en cas d’impasse, ou assurait qu’avec lui Vladimir Poutine ne « ferait pas le malin ». Ce dernier, sur la même tonalité engageante et cordiale, a dit espérer que « l’entente » trouvée en Alaska apportera « la paix » en Ukraine.
Les deux hommes, qui s’exprimaient devant un fond bleu portant l’inscription « Pursuing Peace » (« Oeuvrer pour la paix »), avaient promis une conférence de presse. Mais ils se sont seulement serré la main après avoir fini leurs discours et sont partis sans répondre aux journalistes qui, debout, les assaillaient de questions.
Donald Trump a affirmé qu’il appellerait dans la foulée les dirigeants de pays de l’Otan ainsi que Volodymyr Zelensky, disant à propos des Ukrainiens: « En dernier ressort, cela dépend d’eux .». Il a aussi estimé qu’il pourrait revoir « très bientôt » le président russe. Ce à quoi Vladimir Poutine a réagi en lançant, en anglais, « la prochaine fois à Moscou », sur un ton badin. « J’imagine que cela pourrait arriver », lui a rétorqué l’autre duettiste d’Anchorage.
Ce sommet s’était ouvert sur un accueil chaleureux pour Vladimir Poutine, qui signe là un spectaculaire retour sur la scène internationale, alors que le conflit le plus meurtrier en Europe depuis la Seconde Guerre mondiale continue. Les présidents se sont longuement salués à la descente de leurs avions respectifs avant de remonter un long tapis rouge côte à côte et de poser sous les yeux des photographes. Vladimir Poutine a ignoré un journaliste qui lui a demandé s’il allait cesser de tuer des civils. Puis les deux présidents sont montés dans la voiture présidentielle américaine.
Trump applaudit brièvement Poutine
Alors qu’était prévu un tête-à-tête entre les deux hommes, Trump était accompagné de son secrétaire d’Etat, Marco Rubio, et de son envoyé spécial, Steve Witkoff, Poutine était lui a flanqué de ses conseillers. La réunion s’est tenue sur la base aérienne d’Elmendorf-Richardson, un complexe militaire situé aux portes de la Russie et hautement stratégique.
Donald Trump a brièvement applaudi pendant que son homologue russe s’avançait vers lui sur le tarmac. Ont suivi des poignées de mains et des sourires dans une mise en scène exposant toute la puissance militaire américaine, avec des avions de combat de pointe rangés auprès du tapis rouge et survolant les deux hommes.
L’Ukraine et les Européens redoutaient par-dessus tout que ce sommet ne permette à Vladimir Poutine de manipuler son homologue américain. Volodymyr Zelensky avait déclaré « compter » sur Donald Trump pour mettre un terme au conflit. Les soldats russes « continuent à tuer le jour des négociations », avait-il déploré, tandis que l’armée ukrainienne annonçait vendredi avoir repris six villages dont des unités russes s’étaient emparées ces derniers jours, lors d’une avancée particulièrement rapide.
Le président ukrainien et les dirigeants européens attendent donc maintenant que l’imprévisible président américain les informe de la teneur de son entrevue.
La Russie réclame que l’Ukraine lui cède quatre régions partiellement occupées (Donetsk, Lougansk, Zaporijjia et Kherson), en plus de la Crimée annexée en 2014, et qu’elle renonce aux livraisons d’armes occidentales et à toute adhésion à l’Otan. C’est inacceptable pour Kiev, qui veut un cessez-le-feu inconditionnel et immédiat, ainsi que des garanties de sécurité futures. Des positions irréconciliables que la rencontre en Alaska était censée rapprocher.
Mise à jour le 16 août à 5 heures à la fin du sommet
https://www.liberation.fr/international ... MXP22K4Q4/
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Re: #2 Guerre en Ukraine : nouvelle donne sous Trump, l'Europe réagit
Je découvre les infos de la nuit : si je comprends bien, c'est une capitulation totale de Trump face à Poutine concernant le sort de l'Ukraine considérée comme celle qui empêche la paix. Cette guerre est considérée comme une " guerre européenne" ( et non plus comme une guerre de valeurs et de respect du droit international que les Etats Unis ont toujours défendu avec ses alliés.) Et l'UE est invitée à se démerder avec.
Cela correspond aussi à une réintégration totale de Poutine, l'ex pestiféré dans le concert des nations et tout cela grâce à Trump qui le remet en selle et le rend incontournable. Avec le projet de la fin des sanctions contre la Russie.
Sur le plan moral et de ce qui a fait la grandeur de l'Amérique, Trump est un vendu, une crapule qui n'est intéressée que par le fric et la prédation : ce pays touche le fond.
Ce pays a pu me faire rêver autrefois pour des tas de choses, j'y ai fait quelques beaux périples, ce pays ne me fait plus rêver et je n'y foutrai plus les pieds tant qu'il sera dirigé par le plus grand imposteur et inverseur de valeurs que cette démocratie ait jamais pu porter au pouvoir.
Ce pays est en route pour le fascisme. Coup de chapeau aussi aux électeurs américains qui ont porté cette anomalie au pouvoir !
Et courage à l'Ukraine et aux Ukrainiens plus seuls que jamais face au prédateur Poutine qui n'aurait pas pu rêver mieux que ce que le vendu Trump lui offre sur un plateau.
Cela correspond aussi à une réintégration totale de Poutine, l'ex pestiféré dans le concert des nations et tout cela grâce à Trump qui le remet en selle et le rend incontournable. Avec le projet de la fin des sanctions contre la Russie.
Sur le plan moral et de ce qui a fait la grandeur de l'Amérique, Trump est un vendu, une crapule qui n'est intéressée que par le fric et la prédation : ce pays touche le fond.
Ce pays a pu me faire rêver autrefois pour des tas de choses, j'y ai fait quelques beaux périples, ce pays ne me fait plus rêver et je n'y foutrai plus les pieds tant qu'il sera dirigé par le plus grand imposteur et inverseur de valeurs que cette démocratie ait jamais pu porter au pouvoir.
Ce pays est en route pour le fascisme. Coup de chapeau aussi aux électeurs américains qui ont porté cette anomalie au pouvoir !
Et courage à l'Ukraine et aux Ukrainiens plus seuls que jamais face au prédateur Poutine qui n'aurait pas pu rêver mieux que ce que le vendu Trump lui offre sur un plateau.
- mic43121
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Re: #2 Guerre en Ukraine : nouvelle donne sous Trump, l'Europe réagit
Sérieusement
il y a encore des personnes qui pensent que trump peut tout arrêter .?

Il vise le Prix Nobel de la paix ...
il aura TOUT FAIT pour arrêter cette guerre...




Il vise le Prix Nobel de la paix ...
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Modifié en dernier par mic43121 le 16 août 2025 10:13, modifié 1 fois.
La tolérance c'est quand on connait des cons- et qu'on ne dit pas les noms
- Corvo
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Re: #2 Guerre en Ukraine : nouvelle donne sous Trump, l'Europe réagit
Trump le Donald "laquet" de Poutine...
- mic43121
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Re: #2 Guerre en Ukraine : nouvelle donne sous Trump, l'Europe réagit
Salut l'ami

Pas trop chaud chez toi ?
Ici la clim toute la nuit ...


La tolérance c'est quand on connait des cons- et qu'on ne dit pas les noms
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- Posteur Titanesque
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Re: #2 Guerre en Ukraine : nouvelle donne sous Trump, l'Europe réagit
En fait, il y un black out sur tout ce qui s'est dit durant cette rencontre qui a duré 3 heures . Et dont Zelensky et l'UE sont clairement tenus à l'écart. Ce qui est incroyable d'ailleurs puisque ce sont les premiers concernés. Ça peut en dire long sur ce qui se trame entre Trump et Poutine.
Eux se considèrent en première division avec la Chine, nous on est relégués en deuxième division.
Eux se considèrent en première division avec la Chine, nous on est relégués en deuxième division.
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- Petit Posteur
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Re: #2 Guerre en Ukraine : nouvelle donne sous Trump, l'Europe réagit
C'est plutôt une "bonne chose" que rien n'ait fuité, ça signifie que les discussions avec Zelensky et l'Europe vont compter.
Si Poutine et Trump avaient conclu lors de la conférence de presse, ça aurait été malvenu.
Enfin nous verrons...
Si Poutine et Trump avaient conclu lors de la conférence de presse, ça aurait été malvenu.
Enfin nous verrons...