Journée de mobilisation aujourd'hui

[Fonck1]

Sur fond d’unité syndicale et de climat d’exaspération dans le pays, jusqu’à 900.000 manifestants sont attendus ce jeudi par les autorités. Une affluence qui dépasserait largement le mouvement «Bloquons Tout» du 10 septembre.

mobilisation du 18 septembre : suivez les grèves et les manifestations à l’appel de l’intersyndicale

Pour la première fois depuis le 6 juin 2023, date de la dernière mobilisation contre la réforme des retraites, les syndicats sont unis dans la rue pour tenter de peser sur les choix budgétaires. Ce mouvement intervient tandis que Sébastien Lecornu poursuit ses consultations.
https://www.lemonde.fr/politique/live/2 ... 23448.html

[vivarais]

Et exaspération de la france qui se lève tôt qui aura du mal à se rendre au travail pour ceux qui n'ont pas la possibilité de faire du télétravail
Exaspération aussi des parents pour la garde de leurs enfants
En fait ceux qui vont manifester ou faire grève seront en :
1 les fonctionnaires ou les services publiques
2 Ceux qui vivent des aides sociales diverses sans travailler
3 les fils de bourgeois qui vivent de la CB des parents
4 les racailles dont c'est une aubaine pour les pillages

Est ce normal que pour des revendications "peut être justifiées" , la france soit obligée de se barricader pour se protéger ??
Une fois de plus qui va en tirer profit
Surement pas les partis politiques et institutions organisatrices qui les ont généré
Intelligemment ce genre de manifs devrais se dérouler par exemple sur des périphs de ville où il n'y a aucun commerce à piller et où le vandalisme
serait insignifiant
Lorsque les routier ; taxis agriculteurs organisent des manifs en opération escargot cela est plus efficace et accepté même si cela provoque une gène

[Fonck1]

Mon campus est bloqué aujourd'hui.
Normal si j'ose dire, ça ne durera pas.
je me rappelle dans les années 80, ça durait 15 jours....

[jeandu53]

Sur fond d’unité syndicale et de climat d’exaspération dans le pays, jusqu’à 900.000 manifestants sont attendus ce jeudi par les autorités. Une affluence qui dépasserait largement le mouvement «Bloquons Tout» du 10 septembre.

mobilisation du 18 septembre : suivez les grèves et les manifestations à l’appel de l’intersyndicale

Pour la première fois depuis le 6 juin 2023, date de la dernière mobilisation contre la réforme des retraites, les syndicats sont unis dans la rue pour tenter de peser sur les choix budgétaires. Ce mouvement intervient tandis que Sébastien Lecornu poursuit ses consultations.
https://www.lemonde.fr/politique/live/2 ... 23448.html

Le folklore habituel, dans notre pays.

En gros : ceux qui veulent travailler (salariés du privé, commerçants, étudiants...) vont être bloqués, pendant que les grévistes, manifestants, bloqueurs et casseurs professionnels s'en donneront à coeur joie.

Au demeurant, on ne sait même pas trop ce que ces gens-là revendiquent, vu qu'il n'y a plus de gouvernement et que le projet de budget présenté par Bayrou n'est plus d'actualité.

Il y aura bien sûr beaucoup de casse, de dégradations, malgré un déploiement policier massif, et les casseurs (anarchistes, ultra-gauche) ne seront pas retrouvés (ou si peu).

Bien sûr, vous nous expliquerez que, malgré tout, le danger, c'est l'extrême-droite.

Et bien sûr, c'est Nicolas qui va payer, pour permettre à tous ces emmerdeurs de s'amuser.

[LOFOTEN]

Manif ridicule..
Pas de gouvernement absence de Macron...je ne vois pas du tout ce que cette manif aura de positif. De la casse que nous devrons réparer par nos impots.....

[scorpion3917]

Manif ridicule..
Pas de gouvernement absence de Macron...je ne vois pas du tout ce que cette manif aura de positif. De la casse que nous devrons réparer par nos impots.....

Ah bon. Et bien je ne suis pas d'accord
Que la casse qui est organisée (n'en doutez pas) soit payée par les syndicats qui ont voulu récupérer le mouvement du 10 septembre.

Par ailleurs, les destructions organisées par l'extrême gauche et la meluch nationale ne serviront que les intérêts du gouvernement qui y voit une opportunité pour les libertés fondamentales.
Il n'y a qu'à lire certains commentaires sur certains réseaux.
Ça fait froid dans le dos et je pense à nos forces de l'ordre en première ligne.
Comment se fait il que l'on connaisse déjà le nombre de casseurs ?

Tout cela ne sent pas bon mais vraiment pas.
Il serait temps que les gens de bien ouvrent les yeux sur ces pretendues manif où le seul mot d'ordre est de rameuter des adhésions alors que les syndicats sont subventionnés par l'état.

Ces mêmes syndicats qui ont fait bloc comme un seul homme pour le réélection de monsieur Macron.

Que veulent ils au final ?
Les adhérents de ces syndicats sont les perdants, les grands perdants de ces tambouilles politicardes qui perdurent depuis des décennies.
J'espère au moins qu'ils en ont conscience.

Quant à l'extrême gauche, par ses actions dévastatrices en organisant sciemment et en encourageant la casse, elle ne fait que servir les intérêts du gvt.

J'ai mal pour ma France devant ce ramassis de fouteur de merde orchestrée pour la détruire en fait.

[Fonck1]

Manif ridicule..
Pas de gouvernement absence de Macron...je ne vois pas du tout ce que cette manif aura de positif. De la casse que nous devrons réparer par nos impots.....

tu voudrais quand même pas que Macron aille manifester

[latresne]

Les assurances qui vont rembourser les dégats nous feront payer la facture l'année prochaine en augmentant les cotisations.

[Fonck1]

il ne se passe pas grand chose dans les faits.

[Corvo]

Bilan Mobilisation du 18 septembre : ce qu’il faut savoir à la mi-journée

Plus d’une centaine d’actions étaient recensées par les autorités ce jeudi matin en France. Huit jours après Bloquons tout, les syndicats ont appelé à se mobiliser contre les mesures budgétaires «brutales» annoncées cet été.

Blocage de lycées et de dépôts de bus, piquets de grève, coupure d’eau temporaire en Martinique… Un peu plus d’une semaine après le mouvement citoyen Bloquons tout, la mobilisation de ce jeudi 18 septembre se fait sur l’impulsion de l’intersyndicale. CFDT, CGT, FO, CFE-CGC, CFTC, Unsa, FSU et Solidaires ont appelé à la grève et à manifester partout en France contre les mesures budgétaires «brutales» annoncées cet été. Voici ce qu’il faut retenir de la mobilisation à la mi-journée – Libé vous faisant vivre en direct l’intégralité de cette journée ici.

L’ampleur du mouvement…
Les autorités ont annoncé anticiper une mobilisation plus importante ce jeudi que lors du mouvement Bloquons tout ; évoquant une «menace hybride» entre des actions coups de poing mêlant une partie syndicale constituée des cortèges classiques et une séquence qualifiée de «plus politique», portée selon eux par des «militants de La France insoumise». Jusqu’à 900 000 manifestants sont attendus dans les rues ce jeudi : quelque 250 cortèges sont prévus dans toute la France, avec pas moins d’un tiers d’enseignants grévistes dans les écoles.

…à Paris…
Dans la capitale, plusieurs lycées et université ont été bloqués. Au moins 300 lycéens se sont par exemple rassemblés devant le lycée Maurice-Ravel (XXe arrondissement). Le site universitaire Tolbiac (XIIIe arrondissement) – haut lieu des mouvements sociaux - était également bloqué ce matin. Et l’université Paris-I Panthéon-Sorbonne a décidé de fermer ce campus à la suite «d’actions violentes à l’encontre des personnels et d’un blocage des issues du bâtiment».

Un cortège emmené par les neuf leaders syndicaux et plusieurs responsables de gauche doit s’élancer à 14 heures de la place de la Bastille en direction de la place de la Nation.

…et ailleurs en France
Les établissements scolaires sont également au cœur des blocages à Marseille, comme au lycée Thiers, dans le centre-ville. D’autres petits groupes qui tentaient de se rassembler ont été rapidement dispersés, parfois à coup de lacrymogènes, notamment dans le quartier de la Joliette.

A Lyon, une cinquantaine de personnes se sont emparées du rond-point de la Feyssine, tournant en rond à pied et à vélo pour empêcher la circulation. Dans le Nord, plusieurs dizaines de manifestants ont bloqué quelques heures un dépôt de bus à Villeneuve-d’Ascq, près de Lille. Et dans l’Est, à Belfort, aucun camion de livraison ne franchit les portes du site industriel General Electric, Alstom et Arabelle Solutions depuis 5 heures ce matin, a constaté une de nos journalistes. Une centaine de salariés occupent les lieux et réclament la fin de la «casse sociale».

Le dispositif sécuritaire
Un dispositif de sécurité du même ordre que le 10 septembre a été déployé ce jeudi avec environ 80 000 policiers et gendarmes, appuyés notamment par des drones et des canons à eau.

En fin de matinée, lors d’un point presse à l’issue d’une cellule de crise, le ministre de l’Intérieur démissionnaire, Bruno Retailleau, a fait état d’«actions moins intenses que prévu». Il dénombre 230 actions de blocages dans toute la France et «95 tentatives de blocages de site» à 10 heures. Selon le ministre, «10 000 personnes étaient engagées sur ces actions» et 58 personnes ont été interpellées dans la matinée. Dans les Bouches-du-Rhône, par exemple, 22 personnes ont été interpellées, indique la police, après qu’«un attroupement de plus de 100 personnes a été contrôlé» vers 7 h 30 devant les Terrasses du Port.

Les secteurs d’activité en grève
Chez les enseignants, le Snes-FSU – premier syndicat des collèges et des lycées – a comptabilisé 45 % de grévistes : une «forte mobilisation des personnels du second degré» qui «témoigne d’une profonde colère face aux conditions de rentrée, au déclassement salarial et à la mise à mal de l’école publique». La FSU parle d’une mobilisation «d’ampleur», comparable à celle contre la réforme des retraites en 2023. De son côté, le ministère de l’Education avance des chiffres bien inférieurs. Selon le ministère, 17,48 % des enseignants sont grévistes dans le premier degré et 16,78 % dans le second degré (collèges et lycées). Le taux de grévistes s’élèverait à 14,16 % en moyenne en ajoutant les autres types de personnels, indique-t-il.

Comme prévu, les transports en commun franciliens étaient très perturbés ce jeudi matin, mais la situation est globalement stable dans le reste de la France. La situation est «perturbée», mais «pas bloquée», a observé le ministre des Transports démissionnaire, Philippe Tabarot. Les perturbations sont «conformes aux attentes», avec la plupart des métros et RER qui ne circuleront qu’aux heures de pointe, a de son côté indiqué la RATP. Les blocages de dépôts de bus ont rapidement été levés. Côté trains, la SNCF a fait savoir que le «plan de transport» était «conforme aux attentes», avec neuf TGV sur dix en circulation, un Intercité sur deux et trois TER sur cinq.

Les pharmaciens se mobilisent, eux aussi, pour dénoncer la réduction des remises commerciales sur les médicaments génériques. Neuf officines sur dix devraient rester fermées. «Je fais partie d’une confrérie, je me dois d’être solidaire envers tous ceux qui partagent la même profession», a expliqué le patron d’une officine du quartier d’affaires de la Défense à une de nos journalistes.

https://www.liberation.fr/societe/mobil ... 3T4IRRWEY/

[papibilou]

Bayrou ayant disparu de la circulation et Lecornu n'ayant annoncé aucune mesure budgétaire, ce n'est donc plus contre un budget que se mobilisent les syndicats aujourd'hui.
Ils n'ont donc eu d'autre ressource que changer le mot d'ordre en revendication pour le pouvoir d'achat, mot d'ordre qui a l'avantage de fonctionner en permanence toute l'année.

[vivarais]

Bilan Mobilisation du 18 septembre : ce qu’il faut savoir à la mi-journée

Plus d’une centaine d’actions étaient recensées par les autorités ce jeudi matin en France. Huit jours après Bloquons tout, les syndicats ont appelé à se mobiliser contre les mesures budgétaires «brutales» annoncées cet été.

Blocage de lycées et de dépôts de bus, piquets de grève, coupure d’eau temporaire en Martinique… Un peu plus d’une semaine après le mouvement citoyen Bloquons tout, la mobilisation de ce jeudi 18 septembre se fait sur l’impulsion de l’intersyndicale. CFDT, CGT, FO, CFE-CGC, CFTC, Unsa, FSU et Solidaires ont appelé à la grève et à manifester partout en France contre les mesures budgétaires «brutales» annoncées cet été. Voici ce qu’il faut retenir de la mobilisation à la mi-journée – Libé vous faisant vivre en direct l’intégralité de cette journée ici.

L’ampleur du mouvement…
Les autorités ont annoncé anticiper une mobilisation plus importante ce jeudi que lors du mouvement Bloquons tout ; évoquant une «menace hybride» entre des actions coups de poing mêlant une partie syndicale constituée des cortèges classiques et une séquence qualifiée de «plus politique», portée selon eux par des «militants de La France insoumise». Jusqu’à 900 000 manifestants sont attendus dans les rues ce jeudi : quelque 250 cortèges sont prévus dans toute la France, avec pas moins d’un tiers d’enseignants grévistes dans les écoles.

…à Paris…
Dans la capitale, plusieurs lycées et université ont été bloqués. Au moins 300 lycéens se sont par exemple rassemblés devant le lycée Maurice-Ravel (XXe arrondissement). Le site universitaire Tolbiac (XIIIe arrondissement) – haut lieu des mouvements sociaux - était également bloqué ce matin. Et l’université Paris-I Panthéon-Sorbonne a décidé de fermer ce campus à la suite «d’actions violentes à l’encontre des personnels et d’un blocage des issues du bâtiment».

Un cortège emmené par les neuf leaders syndicaux et plusieurs responsables de gauche doit s’élancer à 14 heures de la place de la Bastille en direction de la place de la Nation.

…et ailleurs en France
Les établissements scolaires sont également au cœur des blocages à Marseille, comme au lycée Thiers, dans le centre-ville. D’autres petits groupes qui tentaient de se rassembler ont été rapidement dispersés, parfois à coup de lacrymogènes, notamment dans le quartier de la Joliette.

A Lyon, une cinquantaine de personnes se sont emparées du rond-point de la Feyssine, tournant en rond à pied et à vélo pour empêcher la circulation. Dans le Nord, plusieurs dizaines de manifestants ont bloqué quelques heures un dépôt de bus à Villeneuve-d’Ascq, près de Lille. Et dans l’Est, à Belfort, aucun camion de livraison ne franchit les portes du site industriel General Electric, Alstom et Arabelle Solutions depuis 5 heures ce matin, a constaté une de nos journalistes. Une centaine de salariés occupent les lieux et réclament la fin de la «casse sociale».

Le dispositif sécuritaire
Un dispositif de sécurité du même ordre que le 10 septembre a été déployé ce jeudi avec environ 80 000 policiers et gendarmes, appuyés notamment par des drones et des canons à eau.

En fin de matinée, lors d’un point presse à l’issue d’une cellule de crise, le ministre de l’Intérieur démissionnaire, Bruno Retailleau, a fait état d’«actions moins intenses que prévu». Il dénombre 230 actions de blocages dans toute la France et «95 tentatives de blocages de site» à 10 heures. Selon le ministre, «10 000 personnes étaient engagées sur ces actions» et 58 personnes ont été interpellées dans la matinée. Dans les Bouches-du-Rhône, par exemple, 22 personnes ont été interpellées, indique la police, après qu’«un attroupement de plus de 100 personnes a été contrôlé» vers 7 h 30 devant les Terrasses du Port.

Les secteurs d’activité en grève
Chez les enseignants, le Snes-FSU – premier syndicat des collèges et des lycées – a comptabilisé 45 % de grévistes : une «forte mobilisation des personnels du second degré» qui «témoigne d’une profonde colère face aux conditions de rentrée, au déclassement salarial et à la mise à mal de l’école publique». La FSU parle d’une mobilisation «d’ampleur», comparable à celle contre la réforme des retraites en 2023. De son côté, le ministère de l’Education avance des chiffres bien inférieurs. Selon le ministère, 17,48 % des enseignants sont grévistes dans le premier degré et 16,78 % dans le second degré (collèges et lycées). Le taux de grévistes s’élèverait à 14,16 % en moyenne en ajoutant les autres types de personnels, indique-t-il.

Comme prévu, les transports en commun franciliens étaient très perturbés ce jeudi matin, mais la situation est globalement stable dans le reste de la France. La situation est «perturbée», mais «pas bloquée», a observé le ministre des Transports démissionnaire, Philippe Tabarot. Les perturbations sont «conformes aux attentes», avec la plupart des métros et RER qui ne circuleront qu’aux heures de pointe, a de son côté indiqué la RATP. Les blocages de dépôts de bus ont rapidement été levés. Côté trains, la SNCF a fait savoir que le «plan de transport» était «conforme aux attentes», avec neuf TGV sur dix en circulation, un Intercité sur deux et trois TER sur cinq.

Les pharmaciens se mobilisent, eux aussi, pour dénoncer la réduction des remises commerciales sur les médicaments génériques. Neuf officines sur dix devraient rester fermées. «Je fais partie d’une confrérie, je me dois d’être solidaire envers tous ceux qui partagent la même profession», a expliqué le patron d’une officine du quartier d’affaires de la Défense à une de nos journalistes.

https://www.liberation.fr/societe/mobil ... 3T4IRRWEY/

Ils sont où les 900 milles manifestants
Qu'est ce qui a été bloqué le 10 septembre

[oups]

il ne se passe pas grand chose dans les faits.

Bah si tout de même, ceux qui devraient actuellement travailler péniblement pour gagner ce foutu et indispensable pognon.... ne le font pas
Heureusement que d’ici quelques jours ils ne se plaindront pas de ne pas en avoir suffisement
Cela dit pour le moment c’est plutôt sage ,en fait suffit que comme ce matin JLM le demande pour que ça semble favoriser le truc , faudrait analyser plus .

[UBUROI]

Les assurances qui vont rembourser les dégats nous feront payer la facture l'année prochaine en augmentant les cotisations.

Planqués...dans vos trous! Les progrès sociaux, c'est pas grâce à vous...et pourtant vous en profitez, hypocrites!

[UBUROI]

Bayrou ayant disparu de la circulation et Lecornu n'ayant annoncé aucune mesure budgétaire, ce n'est donc plus contre un budget que se mobilisent les syndicats aujourd'hui.
Ils n'ont donc eu d'autre ressource que changer le mot d'ordre en revendication pour le pouvoir d'achat, mot d'ordre qui a l'avantage de fonctionner en permanence toute l'année.

Va voir les mots d'ordre pour faire payer les riches plutôt que les précaires, les classes moyennes..et ce dans un cadre de rigueur budgétaire à redéfinir. L'action du 18/9 lancée sous Bayrou...a d'autant plus d'actualité après la rupture conventionnelle de Bayrou
Gare Lecornu!