Sujet général : Guerre à Gaza

[papibilou]

Le plan de Trump n'est pas sans mérite, il faut le reconnaître. Il pourrait permettre un retour des otages, en échange d'un arrêt des massacres, et rien que pour cette raison il mérite d'être examiné. C'est plutôt "l'après" qui est moins convaincant, car on voit mal comment une administration douteuse sous direction américaine pourrait contrôler véritablement Gaza sans laisser les mains libres à Netanyahou, ni comment l'AP pourrait jouer un rôle significatif -ce que Netanyahou, d'ailleurs, semble déjà refuser catégoriquement. Rien non plus sur la Cisjordanie et sa colonisation scandaleuse, qui reste le noeud du problème. Bref, comme cessez-le-feu à court terme, ça pourrait être un deal acceptable par les deux parties, mais comme solution de paix pérenne sûrement pas, car aucune des questions de fond n'est véritablement traitée.

Vous avez raison et de plus j'imagine mal le Hamas rendre les armes. Donc rien pour l'avenir et des doutes sur la faisabilité présente.

[Once]

Le Hamas est quand même en train d'obtenir la libération de plusieurs centaines de prisonniers palestiniens ( dont certains condamnés à vie) si il accepte de libérer ses derniers otages en déposant les armes pour bénéficier en plus de la garantie d'un exil .

S'il accepte, il sort de Gaza la tête haute, il préserve la survie momentanée des Gazaouis, il sauve sa peau en gardant la possibilité de continuer à mener son combat quelque part ailleurs ( où Tsahal se fera un malin plaisir à aller décapiter ses nouveaux chefs comme il sait si bien faire.)

Le problème est qu'on ne sait pas trop comment fonctionne le cerveau d'un membre du Hamas. Et que le cerveau d'un djihadiste n'a rien à voir avec la rationalité occidentale.

Le problème est qu'on ne sait pas trop non plus ce qu'il reste d'unités vraiment combattantes du Hamas à Gaza.

Le problème est encore que les derniers combattants du Hamas à Gaza sont divisés en au moins deux ou trois branches, que les derniers otages ne sont pas détenus auprès des mêmes membres, bref qu'il n'y a pas d'unité de commandement pour négocier et que c'est le bordel entre eux.

Le problème est enfin qu'il faut s'attendre au fait que la branche jusqu'au boutiste l'emporte chez eux parce que mourir au combat garantit le statut de martyre et l'entrée au paradis dans leur esprit .Et la honte éternelle salira ceux qui seraient tentés d'accepter le plan de leurs pires ennemis.

[Mesoke]

Mais aussi que vont faire les membres du Hamas ? Leurs chefs ? Ils ne vont pas se constituer prisonniers en Israël, et qui voudra les accueillir dans son pays ?

[Once]

Mais aussi que vont faire les membres du Hamas ? Leurs chefs ? Ils ne vont pas se constituer prisonniers en Israël, et qui voudra les accueillir dans son pays ?

L'Iran ? La Turquie ?

[Mesoke]

L'Iran oui, au point où ils en sont ... Et vu qu'ils finançaient le Hamas

Mais la Turquie ? Tu penses qu'ils pourraient descendre si bas ?

[Once]

L'Iran oui, au point où ils en sont ... Et vu qu'ils finançaient le Hamas

Mais la Turquie ? Tu penses qu'ils pourraient descendre si bas ?

Je me base sur ceci :

"Le plaidoyer pro-Hamas de la Turquie complique sa relation avec l'UE"

Le plaidoyer pro-Hamas affiché par le président turc Recep Tayyip Erdogan, dans la guerre menée par Israël contre groupe islamiste palestinien, vient compliquer davantage la relation de son pays avec l'Union Européenne, déjà mise à mal par des années de crises et d'incompréhension.

Juste après l’attaque meurtrière lancée par le Hamas contre Israël le 7 octobre, le président Erdogan a d’abord cherché à jouer les médiateurs.

Mais cette ambition semble avoir totalement disparu depuis qu’il a choisi de considérer le Hamas comme un groupe de moudjahidines, de combattants de la liberté, plutôt qu’un groupe terroriste, qualification retenue dans l’Union européenne, aux Etats-Unis et en Israël."

https://euractiv.fr/news/le-plaidoyer-p ... -avec-lue/

Toutefois, maintenant que le Hamas paraît complètement coincé à Gaza, il est fort possible que la Turquie ait évolué dans son soutien au Hamas : preuve en est au soutien sans réserve de la Turquie au plan Trump qui discrédite le Hamas et le somme de rendre les armes.

En tout cas, au niveau officiel. Pour le reste = mystère. Mais comme la Turquie sait remarquablement jouer double jeu et garder quelques cartes sous la main au cas où, rien n'empêche qu'elle pourrait discrètement accorder asile à quelques leaders du Hamas. Le Qatar le fait bien déjà. Et pas discrètement : mais officiellement.

[Once]

A l'approche de l'anniversaire du 7 octobre, deux émissions à ne pas rater ce soir :

1) "Les guetteuses du 7 octobre : on ne les pas écoutées" : à visionner ce soir en direct sur France 5 à 21h 10 . Mais enregistrement possible aussi ou alors restera le podcast.

Emission très attendue et déjà évoquée ici : viewtopic.php?f=2&t=58248&start=1545#p1058681707

2) Dimanche 5 octobre 2025 à 23:15, Bernard de la Villardière présentera sur M6 un nouvel inédit du magazine "Enquête Exclusive" dont le thème sera : « Tragédie du 7 octobre : enquête sur l’échec des services secrets israéliens ».



"La plus grande tragédie qu’ait connu Israël aurait-elle pu être évitée ? C’est la question que posent aujourd’hui certaines familles de victimes de l’attaque terroriste du 7 octobre 2023. Ce jour-là, les raids sanglants du Hamas ont fait près 1 200 morts et 251 Israéliens sont pris en otage. Depuis, la guerre menée par Israël contre l’organisation terroriste dans la bande de Gaza a coûté la vie à près de 62 000 Palestiniens selon un récent rapport de l’ONU. Le Proche-Orient est à nouveau plongé dans le chaos et la paix semble plus éloignée que jamais.

Cette catastrophe était-elle inéluctable ? Les plans des terroristes du Hamas étaient connus et ses hommes se sont entrainés pendant des mois devant les soldats et les guetteuses de l’armée israélienne sans que leurs alertes soient prises au sérieux. Dans les heures qui ont précédé l’attaque, de nombreux signaux inquiétants ont été enregistrés, mais négligés. Même la défense de la frontière avec Gaza et la riposte de l’armée ont souffert de tragiques lacunes.

Les responsables des renseignements sont mis en cause par le pouvoir politique qui les accuse d’aveuglement, d’excès de confiance et de sous-estimation de l’adversaire.

L'enquête du magazine se penche également sur les responsabilités du pouvoir politique israélien qui refuse, depuis deux ans, la mise en place d’une commission d’enquête d’État. Le directeur des services des renseignements intérieurs, le Shin Bet, accuse « les échelons politiques » de « mépris délibéré et prolongé des avertissements ».

À défaut de réponses, les familles des victimes que les journalistes du magazine ont suivies mènent aujourd’hui leur enquête citoyenne."

Martine Laroche-Joubert et Emmanuelle Elbaz-Phelps ont recueilli en exclusivité les témoignages des témoins directement impliqués pour retracer l’histoire de ce que l’armée israélienne appelle son « échec total ».

https://www.coulisses-tv.fr/index.php/m ... 025-sur-m6

[Once]

Les britanniques... ils avaient déjà fait un boulot de merde en Palestine durant la période du mandat (1917-1947). Ils en ont refait un en Irak en 2003 (pour lequel le "travailliste" Tony Blair dit "de gauche" ne s'est jamais excusé).

Et les voici prêts à en refaire un autre à Gaza avec le même blairot toujours en quête de pognon et de juteuses affaires sous couvert de philanthropie et d'humanisme ! Quelle hypocrisie !


"Tony Blair et le déni de la Palestine"

"Les liens étroits de l’ancien premier ministre britannique avec Benyamin Nétanyahou en font un acteur central du plan de Donald Trump pour Gaza."



"Le peuple palestinien a appris, au long de sa douloureuse histoire, que son sort pouvait être discuté loin, très loin de la Palestine, et sans que l’on fasse même semblant de le consulter. Et c’est à la Maison Blanche, le 27 août, que le président américain, Donald Trump, a convié au sujet de Gaza son gendre, Jared Kushner, et son partenaire de golf et d’affaires, Steve Witkoff. Le premier a été son envoyé spécial pour le Moyen-Orient durant son précédent mandat et le second est son actuel émissaire pour la région.

Etait également invité Tony Blair, premier ministre britannique de 1997 à 2007, dont la société de conseil, l’Institut Tony Blair, travaille depuis des mois avec Jared Kushner et Steve Witkoff à l’habillage politique du projet de transformation de Gaza en « Riviera du Moyen-Orient ». Et quand Donald Trump a révélé, le 29 septembre, son plan pour Gaza, il a affirmé que Tony Blair siégerait à ses côtés dans un « comité de paix » chargé de gérer l’enclave palestinienne. Cet engagement de Tony Blair au service d’un tel dessein américain s’inscrit dans le prolongement de décennies d’hostilité à l’encontre du nationalisme palestinien.

En mobilisant le Royaume-Uni aux côtés des Etats-Unis, en 2003, le premier ministre Blair n’a pas seulement contribué de manière déterminante à la désastreuse invasion de l’Irak. Il a aussi souscrit à la vision tout aussi dévastatrice des néoconservateurs américains qui avaient convaincu George W. Bush que « la route de Jérusalem passera par Bagdad ». Ces idéologues de la « guerre globale contre la terreur » affirmaient en effet que le renversement du dictateur irakien Saddam Hussein entraînerait un cycle vertueux de démocratisation d’abord en Irak, puis dans le reste du monde arabe, d’où une dynamique irrésistible de paix avec Israël, selon l’axiome que « deux démocraties ne se font pas la guerre ».

https://www.lemonde.fr/un-si-proche-ori ... 16995.html

[Once]

Oui, parce que c'est quoi le fameux "Institut Tony Blair" ?

Eclairage !

La philanthropie très intéressée de l’ancien premier ministre britannique

L’Institut Tony Blair, un business africain




"Après son départ du 10 Downing Street, en 2007, M. Anthony Blair a entrepris de monnayer, à travers des activités de conseiller et de conférencier, le prestige de son ancienne fonction et le carnet d’adresses qu’il y avait acquis. Face aux polémiques suscitées, l’ex-premier ministre britannique s’est recentré sur la philanthropie, espérant restaurer une réputation en chute libre. Avec un succès mitigé…

Au Mali, on ne plaisante pas avec la souveraineté nationale. Lorsque, le 23 mars 2021, le gouvernement issu du coup d’État du 18 août 2020 (1) a annoncé qu’un partenariat « d’assistance technique » avait été conclu avec le Tony Blair Institute for Global Change (TBI), qui le conseillerait dans l’élaboration d’une nouvelle Constitution, le sang des patriotes n’a fait qu’un tour. Dans un pamphlet publié sur sa page Facebook, M. Brahima Fomba, spécialiste de droit constitutionnel, s’indignait de voir des experts étrangers, qu’il comparait à des « vautours », s’asseoir à la même table que les ministres, les magistrats et les hauts fonctionnaires maliens. Lors d’une conférence de presse, le 22 mai 2021, M. Choguel Maïga, l’un des dirigeants du Mouvement du 5 juin — Rassemblement des forces patriotiques (M5-RFP), une coalition d’opposition, dénonçait une décision « malencontreuse », qu’il qualifiait d’« injure à l’intelligence de notre peuple, à l’honneur et à la dignité des cadres maliens ».

Dès le mois de novembre 2020, le gouvernement de transition à peine installé, des émissaires de l’institut dirigé par M. Anthony Blair s’étaient rendus à Bamako. La petite armée de technocrates issus des plus grandes écoles britanniques qui anime le TBI comprend d’excellents représentants de commerce, qui, selon les mots d’un ancien collaborateur, « vendraient du sable à un Bédouin ». L’ex-premier ministre britannique a lui-même finalisé l’opération séduction en rencontrant, le 22 mars, le président intérimaire Bah N’Daw. À l’issue de leur entrevue, M. Blair, très satisfait, est allé jusqu’à affirmer, contre toute évidence, que la période de transition était « propice à l’établissement des bases d’une stabilisation » du pays. Deux mois plus tard, le 24 mai, M. N’Daw et son équipe étaient démis de leurs fonctions à l’issue d’un nouveau putsch, et le TBI suspendait sa mission.

Quête frénétique de contrats

Si ce bref partenariat a provoqué la colère de personnalités locales, il a aussi suscité l’incompréhension de plusieurs cadres ou ex-cadres du TBI. « Cela n’avait aucun sens, estime l’un d’eux, qui requiert l’anonymat. L’institut se targue de travailler sur le long terme à des réformes en profondeur. Ce n’est pas le rôle d’un régime de transition. Bien au contraire. Sans oublier qu’on est en présence d’un processus très militarisé. » Cette collaboration contre nature illustre la quête frénétique de contrats que mène M. Blair sur le continent africain, y compris avec des régimes peu respectueux des droits humains ou dont la légitimité est faible.

https://www.monde-diplomatique.fr/2021/08/CARAYOL/63385

[jeandu53]

Flottille pour Gaza : quatre élus LFI détenus en Israël entament une grève de la faim

Les quatre élus se trouvaient à bord de la Global Sumud Flottille, une flottille humanitaire en direction de Gaza, lorsque cette dernière a été interceptée par Israël.

suite

On peut se demander si c'est bien le rôle de députés que d'aller se promener en bateau là-bas... Tant pis pour eux s'ils se sont fait arrêter...

[Mesoke]

D'un côté en effet que font ces gens sur cette flottille ? Quel rapport avec leur boulot de député ? Ont-ils pris un congé sans solde pour participer à cette flottille ?

Mais d'un autre côté ils ont, encore une fois, atteint leur but : prouver que l'armée israélienne organise bien un blocus humanitaire contre Gaza.

[Fonck1]

D'un côté en effet que font ces gens sur cette flottille ? Quel rapport avec leur boulot de député ? Ont-ils pris un congé sans solde pour participer à cette flottille ?

Mais d'un autre côté ils ont, encore une fois, atteint leur but : prouver que l'armée israélienne organise bien un blocus humanitaire contre Gaza.

j'en doute hélas.
il serait interessant que l'on se penche dessus? oui.
ce n'est pas leur boulot ni à eux de réclamer quoi que ce soit.

[Once]

Le sujet, c'est pas la flottille. C'est franchement bidon, ça.

Le sujet, c'est le 7 octobre qui n'aurait jamais dû avoir lieu.

A la veille de l'anniversaire du 7 Octobre, nom d'une pipe, le sujet, c'est ça : viewtopic.php?f=2&t=58248&start=1560#p1058682352

J'ai vu en direct hier soir le sujet sur la 5 suivi du débat : j'en ai pas bien dormi de la nuit tant ça a suscité émotion mais aussi colère. C'est comme si ça avait été mes filles. Une quinzaine d'entre elles ont été livrées à elles- mêmes le 7 octobre et ont fini brûlées vivantes dans leur bunker.

Ces gamines étaient -LES YEUX ET LES OREILLES d'Israël à Gaza- et elles ont été sacrifiées pour rien, c'est comme si elles n'avaient servi à rien.

Honte à la hiérarchie qui ne les a pas écoutées, honte à Netanyaou premier responsable en chef de cette catastrophe. Et courage aux pères de ces gamines qui ne lâchent pas le morceau jusqu'à obtenir une commission d'enquête d'état que Netanyaou fait tout pour empêcher car il sait très bien qu'elle lui vaudra la taule.

Oui, de la taule et c'est déjà arrivé pour Ehud Olmert : reconnu coupable et condamné pour des faits de corruption lorsqu'il était maire de Jérusalem,il a été condamné à six ans de prison et un million de shekels (210.000 euros) et il a fait seize mois de détention entre 2016 et 2017.

Edit : à voir aussi "Enquête exclusive" sur la 6 : Tragédie du 7 Octobre : enquête sur l'échec des services secrets israéliens" . Je l'ai enregistré mais pas encore visionné.

[Corvo]

Une organisation peut en cacher d'autres...

"La guerre civile ne va pas tarder" : à Gaza, le Hamas, plus affaibli que jamais, fait face à la montée en puissance de plusieurs milices

De nombreuses milices se sont renforcées à Gaza depuis deux ans et tentent de concurrencer le Hamas.

Ce sont peut-être les négociations de la dernière chance et elles débutent, lundi 6 octobre, en Egypte. Les Israéliens et des représentants du Hamas ne se parleront pas directement mais échangeront via les médiateurs sur les modalités d'échanges d'otages et de prisonniers. D'un côté, 48 otages, dont une vingtaine présumés vivants.

De l'autre, 250 auteurs de crimes de sang qui purgent des peines de prison ainsi que 1 700 Gazaouis, arrêtés, pour certains sans charges avérées, après le massacre du 7 octobre. C'est donc un Hamas, affaibli mais toujours au pouvoir, qui va essayer de sauver sa peau. À Gaza, l'organisation islamiste doit faire face à une opposition farouche.

"Pour chaque tête, vous aurez 50 dollars"
Le plan Trump prévoit la démilitarisation de l'enclave palestinienne. Avec le désarmement du Hamas bien sûr, mais aussi des nombreuses autres milices qui, depuis deux ans, se sont renforcées.

Nabil Diab est journaliste à Gaza : "La guerre civile ne va pas tarder. Ça a commencé par les grandes familles, Al-Astal à Khan Younès, Abu Shabbab... Il y a aussi une autre milice à Bet Lahia. Ils ont dit : '50 dollars pour la tête du H'. Pour chaque tête, vous aurez 50 dollars." H pour Hamas donc, et 50 dollars pour chaque milicien...

"Le Hamas reste l'acteur dominant"
Pourtant, l'organisation islamiste reste dominante à Gaza. C'est la conviction de Michael Milstein, ancien membre du renseignement militaire israélien et spécialiste des Affaires palestiniennes : "Il y a plusieurs clans mais s'ils concurrencent le Hamas, ils ne le remplacent pas. Ils ne sont pas rassemblés en un seul front. Et puis, même après deux ans, le Hamas reste l'acteur dominant à Gaza. Ce n'est pas comme en Somalie, avec des gangs au pouvoir qui remplacent le régime. À Gaza, le régime, c'est toujours le Hamas !"

Michael Milstein a une conviction : qu'il reste au pouvoir ou retourne dans la clandestinité, le Hamas est et restera un acteur majeur pour résoudre la question palestinienne.

https://www.franceinfo.fr/monde/palesti ... 34867.html

[Once]

Quel bordel ! Ce sont même de nouveaux bordels ( groupes anti Hamas) dans le bordel principal ( le Hamas) lui même divisé entre une branche politique ( au Qatar) et une branche armée ( à Gaza).

Donc, Netanyahou ( qui devait "détruire le Hamas") a encore du pain sur la planche pour s'accrocher au pouvoir.