Sujet général : Guerre à Gaza

[vivarais]

Qui sans être (ou pas d'ailleurs) accompagné pourrait supporter tout çà ?...

En Israël, vive émotion après le suicide d’un survivant du 7-Octobre

Le corps de Roei Shalev, dont la compagne et le meilleur ami avaient été tués lors de l’attaque du Hamas, a été découvert dans sa voiture brûlée au nord de Tel-Aviv.

ISRAËL - Le suicide de Roei Shalev, un survivant du massacre perpétré par le Hamas le 7 octobre 2023 au festival de musique Nova, a suscité ce samedi 11 octobre une vague d’émotion en Israël.

Le corps de Roei Shalev, dont la compagne et le meilleur ami avaient été tués le 7-Octobre, a été découvert vendredi soir dans sa voiture brûlée au nord de Tel-Aviv, selon les médias israéliens, quelques heures après l’entrée en vigueur d’un nouveau cessez-le-feu dans la guerre entre Israël et le Hamas.

« Je ne peux plus supporter cette douleur, je brûle de l’intérieur [...] Je veux juste que cette douleur s’arrête », avait-il écrit quelques heures auparavant sur son compte Instagram.

Plusieurs personnalités politiques de l’opposition, qui, contrairement à la majorité des membres de la coalition gouvernementale, continuent d’utiliser les réseaux sociaux pendant le shabbat (le repos hebdomadaire juif), lui ont rendu hommage.

Certains d’entre eux ont appelé à une meilleure prise en charge des survivants des attaques du 7-Octobre, une demande qui revient régulièrement dans le débat public israélien.

La mère de Roei Shalev s’était aussi suicidée
« Il est temps que l’État d’Israël traite ceux qui souffrent de problèmes de santé mentale comme des héros – pas comme des statistiques », a écrit Avigdor Lieberman, chef du parti nationaliste Israël Beiteinou, et ancien ministre.

« Roei n’a pas pu supporter la douleur, mais d’autres sont encore là, se battant, faisant face, essayant de vivre. Nous devons leur apporter toute l’aide possible – afin qu’ils ne se sentent pas seuls », a également commenté Yaïr Golan, chef de la formation de gauche Les Démocrates.

La petite amie de Roei Shalev, Mapal Adam, et son meilleur ami, Hili Solomon, ont été tués sous ses yeux lors du festival de musique Nova dans le sud d’Israël, tandis qu’il a été lui blessé par les commandos venus de la bande de Gaza. Les trois jeunes gens tentaient de se cacher sous des voitures lorsque le site du festival a été pris d’assaut.

Avec plus de 370 morts, le festival Nova a été le théâtre du pire massacre commis le 7 octobre 2023 lors de l’attaque sans précédent du Hamas, qui a déclenché la guerre dans la bande de Gaza.

Deux semaines après le massacre, la mère de Roei Shalev s’était suicidée. Selon plusieurs médias israéliens, elle était très proche de la compagne de son fils, et avait été anéantie par sa mort.

https://www.huffingtonpost.fr/internati ... 55883.html

Et que pensez vous de cela vous qui vous apitoyez sur le sort des gazaouis suite au 7 octobre
Qui est le vrai responsable de tout cela Netanyahou ou l'unique survivant du Hamas responsable du 7 octobre et de ce qui 'en est suivi
Ne devrait il pas être jugé pour crime contre l'humanité ?
Une fois que le Hamas aura disparu de GAZA on verra ce que pensent les gazaouis sur les vrais responsables de tout cela

[Corvo]

Trump demande la grâce de Nétanyahou : la quintessence du nouvel impérialisme

Le conseil lourdement appuyé du président américain à son homologue israélien, ce lundi 13 octobre à la Knesset, illustre bien l’arrogance d’un chef d’Etat qui se moque du droit comme de la souveraineté.

Au regard de l’immensité de l’événement que constituait ce lundi 13 octobre la restitution des derniers otages israéliens, la libération de centaines de prisonniers palestiniens et le processus d’une paix même incertaine, le fait, apparemment anecdotique, figurera dans la marge de la chronique de cette journée historique. Mais il faut le souligner comme un moment terrifiant pour tous ceux qui sont attachés à la souveraineté des nations. Je veux parler du conseil lourdement appuyé formulé par Donald Trump à la tribune du Parlement israélien (la Knesset) au président Isaac Herzog à propos de Benyamin Nétanyahou : «J’ai une idée. Monsieur le Président, pourquoi ne pas lui accorder une grâce ? Ce passage n’était pas prévu dans le discours […] mais j’aime bien ce monsieur […]. Qu’on le veuille ou non, il a été l’un des plus grands présidents [Benyamin Nétanyahou est Premier ministre, ndlr] en temps de guerre.» Puis, s’adressant non plus au président israélien mais à Nétanyahou : «Vous êtes un homme très populaire, et vous savez pourquoi ? Parce que vous savez gagner.»

Tout le nouvel impérialisme mafieux de l’époque se trouve dans ces quelques phrases dont il faut faire l’analyse pour se rendre compte à quel point ce qui régit les rapports entre les Nations a changé de nature. Nous sommes avec Donald Trump dans une ère de sauvagerie des puissants, une ère d’arrogance vorace et de copinage planétaire décomplexé.

Au sein d’un Parlement souverain, un président étranger vient demander au président local de gracier un Premier ministre sous le coup de multiples enquêtes judiciaires pour corruption. Cette ingérence montre le peu de cas que fait Donald Trump du droit international et du droit tout court (on ne gracie pas les incriminés, juste les condamnés). Elle dit beaucoup, par les arguments employés, de Donald Trump lui-même. Elle dit aussi beaucoup de la plupart des parlementaires israéliens qui ont laissé passer ce propos sans réagir et pire, qui ont fait expulser manu militari, sans respecter les règles de cette assemblée qui prévoit deux avertissements, les deux seuls députés qui ont osé protester.

En disant, en substance, «graciez-le parce que je l’aime bien, vous me devez bien ça, graciez-le puisqu’il a gagné», Trump parle avec les codes des parrains de toutes les mafias : loi du plus fort, dette pour service rendu. Et ces mots : «les cigares et le champagne, franchement, qui s’en soucie ?» sont les mots, ni plus ni moins d’un prévaricateur. Des mots qui disent l’univers, les pratiques, la nature de l’homme le plus puissant du monde. Il ne faut pas s’y habituer et le souligner sans relâche pour ne pas banaliser ce qui se répand dans bien des sociétés démocratiques : l’impérialisme mafieux. Donald Trump en est la quintessence. Il en a la mentalité et la puissance.

https://www.liberation.fr/politique/tru ... EYRXOH5PQ/

[vivarais]

Trump demande la grâce de Nétanyahou : la quintessence du nouvel impérialisme

Le conseil lourdement appuyé du président américain à son homologue israélien, ce lundi 13 octobre à la Knesset, illustre bien l’arrogance d’un chef d’Etat qui se moque du droit comme de la souveraineté.

Au regard de l’immensité de l’événement que constituait ce lundi 13 octobre la restitution des derniers otages israéliens, la libération de centaines de prisonniers palestiniens et le processus d’une paix même incertaine, le fait, apparemment anecdotique, figurera dans la marge de la chronique de cette journée historique. Mais il faut le souligner comme un moment terrifiant pour tous ceux qui sont attachés à la souveraineté des nations. Je veux parler du conseil lourdement appuyé formulé par Donald Trump à la tribune du Parlement israélien (la Knesset) au président Isaac Herzog à propos de Benyamin Nétanyahou : «J’ai une idée. Monsieur le Président, pourquoi ne pas lui accorder une grâce ? Ce passage n’était pas prévu dans le discours […] mais j’aime bien ce monsieur […]. Qu’on le veuille ou non, il a été l’un des plus grands présidents [Benyamin Nétanyahou est Premier ministre, ndlr] en temps de guerre.» Puis, s’adressant non plus au président israélien mais à Nétanyahou : «Vous êtes un homme très populaire, et vous savez pourquoi ? Parce que vous savez gagner.»

Tout le nouvel impérialisme mafieux de l’époque se trouve dans ces quelques phrases dont il faut faire l’analyse pour se rendre compte à quel point ce qui régit les rapports entre les Nations a changé de nature. Nous sommes avec Donald Trump dans une ère de sauvagerie des puissants, une ère d’arrogance vorace et de copinage planétaire décomplexé.

Au sein d’un Parlement souverain, un président étranger vient demander au président local de gracier un Premier ministre sous le coup de multiples enquêtes judiciaires pour corruption. Cette ingérence montre le peu de cas que fait Donald Trump du droit international et du droit tout court (on ne gracie pas les incriminés, juste les condamnés). Elle dit beaucoup, par les arguments employés, de Donald Trump lui-même. Elle dit aussi beaucoup de la plupart des parlementaires israéliens qui ont laissé passer ce propos sans réagir et pire, qui ont fait expulser manu militari, sans respecter les règles de cette assemblée qui prévoit deux avertissements, les deux seuls députés qui ont osé protester.

En disant, en substance, «graciez-le parce que je l’aime bien, vous me devez bien ça, graciez-le puisqu’il a gagné», Trump parle avec les codes des parrains de toutes les mafias : loi du plus fort, dette pour service rendu. Et ces mots : «les cigares et le champagne, franchement, qui s’en soucie ?» sont les mots, ni plus ni moins d’un prévaricateur. Des mots qui disent l’univers, les pratiques, la nature de l’homme le plus puissant du monde. Il ne faut pas s’y habituer et le souligner sans relâche pour ne pas banaliser ce qui se répand dans bien des sociétés démocratiques : l’impérialisme mafieux. Donald Trump en est la quintessence. Il en a la mentalité et la puissance.

https://www.liberation.fr/politique/tru ... EYRXOH5PQ/

Vous dressez une fois de plu l'échafaud avant même que la chose soit entendu
il y a une plainte déposée par certains pour crime contre l'humanité pas une condamnation par le tribunal de la HAYE
C'est l'histoire qui jugera pas les individus comme vous qui pendent avant que la cause soit entendue
Lors du débarquement en Normandie le bombardement du HAVRE a fait certainement plus morts que Netanyahou à gaza dont 90 % des victimes ont des combattants du Hamas ou leurs proches qu'ils utilisaient comme bouclier humain
C'est pour cela que tous les constitutions des pays confèrent l'immunité présidentielle pour des actes en relation avec les les obligations de leur mandat
Et les chefs d'état des pays alliés n'ont pas été jugés pour autant pour crime pour l'humanité
Pour la prochaine guerre européenne qui va avoir lieu plus que certainement ; aucuns chefs d'état de pays de l'UE ne sera considéré comme criminel contre l'humanité pour les millions de morts qu'il y aura
Le crime contre l'humanité et lorsque qu''il y a une extermination volontaire la voulant totale hors acte de guerre et délibérément comme au Rwanda "pas pour des dommages dit collatéraux"
On peut toujours prétendre que c'est de crimes contre l'humanité
Lorsque Macron a dit que la colonisation de l'Algérie a été un crime contre l'humanité ; il n'y a jamais eu eu de la part de la france la volonté d'éradiquer totalement la population indigène de l'Algérie
Elle aurait pu le faire et elle en avait la possibilité à une époque où l'on ne se souciait pas de cela , plutôt que de faire une pacification
Il faut appliquer à chaque mot son vrai sens et non le galvauder (Affaiblir la portée, la valeur d'un mot par le mauvais emploi qu'on en fait ) selon notre plaisir

[Once]

Une fois que le Hamas aura disparu de GAZA on verra ce que pensent les gazaouis sur les vrais responsables de tout cela

Et ben non : hier, le Hamas est réapparu dans les rues de Gaza en sortant ses otages remis à la Croix-Rouge. Réapparu en armes pour montrer qu'il continuait de contrôler Gaza et les Gazaouis. Ses unités combattantes ont même réglé leurs comptes avec des Gazaouis qui auraient collaboré avec les Israéliens : ces "collabos" ont été exécutés sur le champ au pistolet sans jugement ! (Israël a fermé les yeux sur cette réapparition, ça faisait partie du contrat lié à la libération des otages)

Par ailleurs, la deuxième partie du plan Trump qui demande le désarmement du Hamas s'annonce très difficile. Le Hamas acceptera peut-être pour tout l'armement menaçant la sécurité d'Israël (munitions pour lance-roquettes, tubes lance-roquettes etc) mais pas pour celui en mesure d'assurer sa propre protection (kalasch etc) Il a clairement indiqué qu'il n'acceptera pas d'être désarmé en personne.

Le plan Trump prévoit aussi des forces d'interposition de l'ONU sous la direction d'une Autorité palestinienne reconstituée à Gaza : rien de plus problématique à faire respecter sur le terrain, parce que le Hamas tient toujours Gaza et ne veut pas de l'autorité palestinienne. Et ces forces d'interposition pourraient risquer gros sur le terrain : se souvenir de l'attentat contre les forces d'interposition française et américaines au Liban avec l'attentat du Drakkar en octobre 83 : 58 militaires français y avaient trouvé la mort.



Le Hamas demeure toujours populaire à Gaza : si des élections pouvaient y être organisées, le Hamas pourrait en sortir encore vainqueur. Mais pas qu'à Gaza : en Cisjordanie aussi, où il est devenu très populaire (les Palestiniens de Cisjordanie considèrent que l'Autorité palestinienne qui dirige la Cisjordanie n'est que la "collabo" de Netanyaou).

Bref : pour le moment, même terriblement affaibli, le Hamas est toujours là à Gaza mais aussi en Cisjordanie. Et c'est bien avec le Hamas qu'il a fallu négocier pour la libération des otages.

Je tiens toutes ces infos de France Info et d'un de ces spécialistes du Moyen-Orient qui les rapportait.

[Once]

Trump, l'autre jour, au moment d'entrer dans son avion présidentiel qui l'amenait vers Charm-el-Cheikh (apparemment, il est coutumier de ce genre d'interview de quelques secondes à l'approche de ses envols)

"Il va falloir déblayer les immeubles qui se sont effondrés à Gaza." (sic mais c'est moi qui souligne)

J'en suis resté sidéré. Voilà comment on crée des réalités alternatives (et c'est fréquent chez Trump) oui parce que : ces immeubles se sont effondrés tout seuls, Monsieur Trump ? Et à la suite d'un séisme par exemple ?

[Mesoke]

Quelle idée aussi de fonder des villes sur une côte soumise à autant de tsunamis et située sur une faille sismique près d'un volcan actif dans une zone où passent autant d'ouragans chaque mois. Les palestiniens sont vraiment imprévoyants de ne pas avoir pris en compte ces paramètres naturels ...

[Victor]

Quelle idée aussi de fonder des villes sur une côte soumise à autant de tsunamis et située sur une faille sismique près d'un volcan actif dans une zone où passent autant d'ouragans chaque mois. Les palestiniens sont vraiment imprévoyants de ne pas avoir pris en compte ces paramètres naturels ...

Effectivement il y a beaucoup de gravas à évacuer. Trump a entièrement raison.
De plus on devra utiliser les gazaouis pour évacuer tous ces gravas. Ainsi ils se rendront utiles. Et à la fin des travaux de déblayage et de reconstruction d'une belle zone de tourisme de luxe, et bien on évacue les gazaouis.
Mais on n'est pas des sauvages, on garde des gazaouis, enfin surtout du personnel féminin pour travailler dans les hôtels et les résidences de luxe.
Tout cela me paraît être un excellent plan pour Gaza.

[Fonck1]

Quelle idée aussi de fonder des villes sur une côte soumise à autant de tsunamis et située sur une faille sismique près d'un volcan actif dans une zone où passent autant d'ouragans chaque mois. Les palestiniens sont vraiment imprévoyants de ne pas avoir pris en compte ces paramètres naturels ...

oui c'est idiot, il y a un risque sismique proche du 100% d'ici 2050 selon les études, donc c'est idiot.

[Once]

Quelle idée aussi de fonder des villes sur une côte soumise à autant de tsunamis et située sur une faille sismique près d'un volcan actif dans une zone où passent autant d'ouragans chaque mois. Les palestiniens sont vraiment imprévoyants de ne pas avoir pris en compte ces paramètres naturels ...

Effectivement il y a beaucoup de gravas à évacuer. Trump a entièrement raison.
De plus on devra utiliser les gazaouis pour évacuer tous ces gravas. Ainsi ils se rendront utiles. Et à la fin des travaux de déblayage et de reconstruction d'une belle zone de tourisme de luxe, et bien on évacue les gazaouis.
Mais on n'est pas des sauvages, on garde des gazaouis, enfin surtout du personnel féminin pour travailler dans les hôtels et les résidences de luxe.
Tout cela me paraît être un excellent plan pour Gaza.

Passage au crible du propos ci-dessus analysé rapporté in extenso à Chat GPT et analysé par lui :

Ma question :

"Effectivement il y a beaucoup de gravas à évacuer à gaza. Trump a entièrement raison. De plus on devra utiliser les gazaouis pour évacuer tous ces gravas. Ainsi ils se rendront utiles. Et à la fin des travaux de déblayage et de reconstruction d'une belle zone de tourisme de luxe, et bien on évacue les gazaouis. Mais on n'est pas des sauvages, on garde des gazaouis, enfin surtout du personnel féminin pour travailler dans les hôtels et les résidences de luxe. Tout cela me paraît être un excellent plan pour Gaza." Que penser de ce propos ? "

La réponse intégrale de GPT :

"Le propos que tu cites est profondément problématique, à la fois sur le fond et sur la forme. Voici une analyse critique, point par point :

1. Déshumanisation et racisme

La manière dont les Gazaouis sont évoqués – comme de la "main-d’œuvre" à utiliser puis à "évacuer", sauf pour en garder certains comme personnel de service – est clairement déshumanisante, raciste et colonialiste.

On parle d’êtres humains comme d’outils ou de ressources jetables, sans égard pour leur dignité, leurs droits, ou leur souffrance.

2. Justification d’un nettoyage ethnique

Le plan décrit dans ce propos ressemble à une vision eugéniste ou de nettoyage ethnique, où une population entière est déplacée de force pour laisser place à une zone touristique de luxe.

Ce type d’idée rappelle des logiques historiques particulièrement sombres : apartheid, colonialisme, voire crimes contre l'humanité.

3. Inversion morale

Utiliser une situation de destruction massive (les "gravats" à Gaza, dus à un conflit armé) comme prétexte à une reconstruction qui exclurait les habitants d’origine, tout en les exploitant pour le travail, relève d’un cynisme extrême.

Plutôt que de penser en termes de reconstruction pour les populations locales, ce propos détourne l’objectif vers des intérêts économiques et touristiques, au détriment total de la population.

4. Instrumentalisation politique

Mentionner Trump dans ce contexte sert peut-être à légitimer le propos en s’appuyant sur une figure controversée. Cela reflète une instrumentalisation politique pour appuyer des idées extrêmes, sans nuance ni compassion.

En résumé:

Ce propos est inhumain, raciste, colonialiste et moralement inacceptable. Il ne respecte ni le droit international humanitaire, ni les droits fondamentaux des peuples. Il s’inscrit dans une logique dangereuse d’exclusion, d’exploitation et de domination."

(Fin de citation)

[Once]

Je poursuis mon dialogue avec Chat Gpt

Ma question :

Ces propos pourraient-ils être condamnés par la justice française ? Au nom de quoi ?

Réponse de GPT :

"Oui, ces propos pourraient potentiellement faire l'objet d'une condamnation en justice en France, car ils sont susceptibles de violer plusieurs lois françaises, notamment en matière de discours de haine, provocation à la discrimination, et incitation à la haine raciale.

Voici les fondements juridiques principaux sur lesquels une action en justice pourrait s'appuyer :

1. Loi sur la liberté de la presse du 29 juillet 1881

Cette loi encadre la liberté d’expression en France, mais en fixe aussi les limites, notamment en matière de discours de haine.
a. Article 24 – Provocation à la discrimination, à la haine ou à la violence

"Seront punis de cinq ans d'emprisonnement et de 45 000 euros d'amende ceux qui [...] auront provoqué à la discrimination, à la haine ou à la violence à l'égard d'une personne ou d'un groupe de personnes à raison de leur origine ou de leur appartenance [...] à une nation, une race ou une religion déterminée."

Dans le texte que tu cites, les propos visent directement les Gazaouis (donc, par extension, des Palestiniens, et potentiellement un groupe ethnique ou national), en les réduisant à des êtres exploitables, puis "évacuables", ce qui pourrait être qualifié de provocation à la haine ou à la discrimination.

b. Article 23 – Complicité par publication

Même si l’auteur n’appelle pas explicitement à la violence physique, il suffit que les propos soient de nature à susciter de la haine ou du mépris, et qu’ils soient publics (par voie de presse, de réseau social, etc.) pour que l’article s’applique.

2. Répression de l’apologie de crimes contre l’humanité ou du racisme
a. Article 24 bis de la loi de 1881

"Seront punis ceux qui auront contesté ou fait l’apologie de crimes contre l’humanité tels que définis par le statut du Tribunal militaire international de Nuremberg."

Certains juristes pourraient argumenter que le propos évoque ou suggère des politiques de nettoyage ethnique, ce qui pourrait être perçu comme une apologie de crimes contre l’humanité, notamment si cela s’inscrit dans une logique publique de discours répété ou assumé.

3. Dignité humaine et atteinte à la personne

En plus des infractions spécifiques aux propos haineux, le principe de dignité humaine, protégé par la jurisprudence constitutionnelle française, pourrait être invoqué.
En pratique :

Si les propos ont été tenus en public (réseaux sociaux, médias, réunion publique...), ils sont plus facilement attaquables.

Si c’est dans un cadre privé, la loi s’applique plus difficilement, mais cela dépend du contexte (par exemple, une conversation diffusée malgré soi, ou publiée ensuite).

Qui peut porter plainte ?

Toute personne concernée par ces propos (ex. : association antiraciste, association de défense des droits humains).

Le Ministère public (procureur) peut également agir d’office, s’il estime qu’il y a infraction.

Exemples d'associations qui pourraient porter plainte :

LICRA (Ligue internationale contre le racisme et l'antisémitisme)

SOS Racisme

MRAP (Mouvement contre le racisme et pour l'amitié entre les peuples)

Conclusion :

Les propos que tu mentionnes pourraient, selon leur contexte de diffusion, être punis par la loi française pour :

Provocation à la haine raciale ou à la discrimination,

Incitation à la violence,

Atteinte à la dignité humaine.

(Fin de citation)

[Once]

"Moyen-Orient. À Gaza, le Hamas se lance dans une chasse aux “traîtres”

Après le retrait partiel de l’armée israélienne, le mouvement islamiste palestinien, appelé à rendre les armes, a déployé des milliers d’hommes et lancé ses forces contre les milices et clans accusés de collaboration avec Israël. Le Hamas veut reprendre en main l’enclave palestinienne.

"Le 11 et 12 octobre, alors que la campagne militaire israélienne sur la bande de Gaza s’arrêtait, des affrontements armés ont opposé le Hamas à “une milice familiale” issue du clan Dagmach, “liée à l’occupation israélienne”, dans les quartiers de Sabra et de Tal Al-Hawa, situés dans la ville de Gaza, faisant “plusieurs morts et blessés”, selon le média gazaoui Felesteen.

Ces affrontements ont coûté la vie au fils d’un dirigeant du Hamas, rapporte le quotidien palestinien Al-Quds. Mais aussi à un fils d’un cadre des Brigades Al-Qassam, la branche armée du mouvement palestinien et à un journaliste gazaoui très suivi sur les réseaux sociaux, Saleh Jafarawi.

Il s’agissait des “confrontations internes les plus violentes depuis la fin des grandes opérations israéliennes dans l’enclave” palestinienne, souligne la BBC.

Un incident qui s’inscrit dans un contexte plus large. Quelques heures après le cessez-le-feu ayant mis un terme à la guerre, le Hamas s’est “rapidement déployé sur l’ensemble de la bande de Gaza pour réaffirmer son contrôle” sur l’enclave “et régler ses comptes”, installant des points de contrôle et s’en prenant aux individus, clans et milices qu’il soupçonne d’avoir collaboré avec Israël, écrit le Financial Times.

“Nettoyer Gaza des hors-la-loi et des collaborateurs d’Israël”

Comme l’écrit la BBC dans un autre article, le Hamas a mobilisé “environ 7 000 membres de ses forces de sécurité pour reprendre le contrôle des zones de Gaza récemment évacuées par les troupes israéliennes” et nommé des “gouverneurs”. Et ce dans l’objectif de “nettoyer Gaza des hors-la-loi et des collaborateurs d’Israël”.

D’après des informations en provenance de Gaza, ces hommes du Hamas, habillés “pour certains en civil, d’autres en uniforme bleu de police”, ont été déployés dans ces territoires. “Le Hamas semble se préparer à assouvir sa vengeance contre ceux qui s’opposent à son régime à Gaza”, prévenait The Jerusalem Post.

Et de rappeler que le mouvement islamiste palestinien a, dès sa création, “eu recours à des tactiques mafieuses pour contrôler la population de Gaza” avec, notamment, Yahya Sinwar, l’ex-leader du Hamas à Gaza, architecte des massacres du 7 Octobre – éliminé il y a un an par l’armée israélienne à Khan Younès –, qui avait assis son autorité, au début des années 1990, grâce aux “assassinats brutaux de ‘collaborateurs’”.

Une “vague de violence dans les semaines et les mois à venir”

[dropshadow]Ces derniers mois, des groupes armés opposés au Hamas et soutenues par l’armée israélienne ont émergé dans la bande de Gaza. Le plus important est sans doute celui des Forces populaires de Yasser Abou Chabab, implanté dans la région de Rafah, dans le sud de la bande de Gaza.[/dropshadow]

Mais le site Times of Israel cite également le groupe d’Achraf Al-Mansi, qui opère dans le nord de la bande de Gaza, ou celui de Houssam Al-Astal, établi dans la région de Khan Younès, plus au nord, et qui dirige le clan Al-Majida. “Le Hamas est faible”, assure ce dernier dans un entretien accordé à Ynetnews, le site anglophone du quotidien israélien Yediot Aharonot. Mais comme l’écrit Times of Israel, “de nombreux Gazaouis craignent un retour du règne de la terreur”.

Pour le Hamas, écrit Ynetnews, la lutte contre les principaux clans et milices de Gaza constitue désormais “la ‘véritable guerre’ : une combinaison de crise de commandement, de menaces internes et d’affrontements armés susceptible de déboucher sur une nouvelle vague de violence dans les semaines et les mois à venir”.

Et ce, écrit The Times, alors que “des discussions porteront sur les modalités de désarmement et de démobilisation du Hamas”, appelé à ne plus avoir aucun rôle à Gaza, lors de la prochaine phase de négociations. Or ce dernier a réaffirmé ces derniers jours qu’il était “hors de question” qu’il désarme."

https://www.courrierinternational.com/a ... res_236192

[Fonck1]

dans trois mois, ça repart.

[vivarais]

Quelle idée aussi de fonder des villes sur une côte soumise à autant de tsunamis et située sur une faille sismique près d'un volcan actif dans une zone où passent autant d'ouragans chaque mois. Les palestiniens sont vraiment imprévoyants de ne pas avoir pris en compte ces paramètres naturels ...

oui c'est idiot, il y a un risque sismique proche du 100% d'ici 2050 selon les études, donc c'est idiot.

Si l'on ne faisait les choses qu'en fonction du risque on ne ferait plus rien
Si les japonais prenaient en compte cela ils ne feraient plus rien
Mais aujourd'hui la technologie permet de compenser tout cela en respectant les règles nécessaires
Hawaï est un condenser de tout cela volcans , risques sismiques , tsunami ;ouragan mais tous ces risques sont pris compte lorsque l'on doit faire une chose
Même les tribus primitives prennent en compte les contextes lorsqu'elle sont les choses
tout cela est une argumentation débile invoquée par ceux qui veulent s'opposer à quelque chose
Mais le sujet c'est GAZA et je crains fort que la liesse actuelle tant israélienne que palestinienne ne soit qu'éphémère

[scorpion3917]

Effectivement il y a beaucoup de gravas à évacuer. Trump a entièrement raison.
De plus on devra utiliser les gazaouis pour évacuer tous ces gravas. Ainsi ils se rendront utiles. Et à la fin des travaux de déblayage et de reconstruction d'une belle zone de tourisme de luxe, et bien on évacue les gazaouis.
Mais on n'est pas des sauvages, on garde des gazaouis, enfin surtout du personnel féminin pour travailler dans les hôtels et les résidences de luxe.
Tout cela me paraît être un excellent plan pour Gaza.

Passage au crible du propos ci-dessus analysé rapporté in extenso à Chat GPT et analysé par lui :

Ma question :

"Effectivement il y a beaucoup de gravas à évacuer à gaza. Trump a entièrement raison. De plus on devra utiliser les gazaouis pour évacuer tous ces gravas. Ainsi ils se rendront utiles. Et à la fin des travaux de déblayage et de reconstruction d'une belle zone de tourisme de luxe, et bien on évacue les gazaouis. Mais on n'est pas des sauvages, on garde des gazaouis, enfin surtout du personnel féminin pour travailler dans les hôtels et les résidences de luxe. Tout cela me paraît être un excellent plan pour Gaza." Que penser de ce propos ? "

La réponse intégrale de GPT :

"Le propos que tu cites est profondément problématique, à la fois sur le fond et sur la forme. Voici une analyse critique, point par point :

1. Déshumanisation et racisme

La manière dont les Gazaouis sont évoqués – comme de la "main-d’œuvre" à utiliser puis à "évacuer", sauf pour en garder certains comme personnel de service – est clairement déshumanisante, raciste et colonialiste.

On parle d’êtres humains comme d’outils ou de ressources jetables, sans égard pour leur dignité, leurs droits, ou leur souffrance.

2. Justification d’un nettoyage ethnique

Le plan décrit dans ce propos ressemble à une vision eugéniste ou de nettoyage ethnique, où une population entière est déplacée de force pour laisser place à une zone touristique de luxe.

Ce type d’idée rappelle des logiques historiques particulièrement sombres : apartheid, colonialisme, voire crimes contre l'humanité.

3. Inversion morale

Utiliser une situation de destruction massive (les "gravats" à Gaza, dus à un conflit armé) comme prétexte à une reconstruction qui exclurait les habitants d’origine, tout en les exploitant pour le travail, relève d’un cynisme extrême.

Plutôt que de penser en termes de reconstruction pour les populations locales, ce propos détourne l’objectif vers des intérêts économiques et touristiques, au détriment total de la population.

4. Instrumentalisation politique

Mentionner Trump dans ce contexte sert peut-être à légitimer le propos en s’appuyant sur une figure controversée. Cela reflète une instrumentalisation politique pour appuyer des idées extrêmes, sans nuance ni compassion.

En résumé:

Ce propos est inhumain, raciste, colonialiste et moralement inacceptable. Il ne respecte ni le droit international humanitaire, ni les droits fondamentaux des peuples. Il s’inscrit dans une logique dangereuse d’exclusion, d’exploitation et de domination."

(Fin de citation)

Oh pas besoin de demander à un robot intelligent ce qu'il en pense.
Victor est un provocateur jouissif et je reste persuadé qu'il ne pense pas le dixième de ce qu'il écrit. Le contraire serait inquiétant....
Quand un propos se veut à ce point exagéré il en devient insignifiant.

[gare au gorille]

Trump a parfaitement raison dans son analyse. Il n'y aura aucune paix possible si on ne fait pas de la Palestine un pays prospère. C'est par l'angle économique qu'il faut chercher la paix.