Viol : Emmanuel Macron se dit favorable à l’inscription du consentement dans le droit français

[Yaroslav]

C'est exactement ça.
Ce projet vise principalement les mentalités et veut lever l'ambiguïté qu'il y a entre "elle n'a pas dit non" et "elle a dit oui".
Sous entendu, ce n'est pas parce qu'elle n'a pas dit "non" qu'elle était forcément consentante.

Donc, je repose la question : comment s'assurer de son consentement, si on considère que le simple fait de ne pas dire non ne vaut pas consentement ?

On pose la question à la personne et on attend une réponse affirmative (SOLO SI ES SI).

[jeandu53]

Donc, je repose la question : comment s'assurer de son consentement, si on considère que le simple fait de ne pas dire non ne vaut pas consentement ?

On pose la question à la personne et on attend une réponse affirmative (SOLO SI ES SI).

Et le cas échéant, comment prouver qu'on lui a posé la question et qu'elle a répondu oui ?

[vivarais]

Après faut sortir ses couilles dans la vie.

Non, justement : il ne faut pas les sortir trop souvent.

Il faut surtout les sortir dans un contexte sécurisé
Et c'est aujourd'hui les zone payantes que cela est sécurisé

[Mesoke]

Encore une fois le truc c'est surtout de pouvoir agir plus efficacement contre tous ceux qui sont passé à l'acte malgré un "non" clair et précis. Mais il y aura toujours des zones d'ombre. Sauf qu'il y en aura vachement moins.

[vivarais]

Encore une fois le truc c'est surtout de pouvoir agir plus efficacement contre tous ceux qui sont passé à l'acte malgré un "non" clair et précis. Mais il y aura toujours des zones d'ombre. Sauf qu'il y en aura vachement moins.

Inscrire le consentement dans le droit français comme pour l'avortement tout cela n'est que du populisme vu que la loi prend cela déjà en compte depuis toujours
Il y a eu depuis toujours des condamnations à ce sujet

[Fonck1]

Encore une fois le truc c'est surtout de pouvoir agir plus efficacement contre tous ceux qui sont passé à l'acte malgré un "non" clair et précis. Mais il y aura toujours des zones d'ombre. Sauf qu'il y en aura vachement moins.

Inscrire le consentement dans le droit français comme pour l'avortement tout cela n'est que du populisme vu que la loi prend cela déjà en compte depuis toujours
Il y a eu depuis toujours des condamnations à ce sujet

je vous rappellerais quand c'est du populisme et que vous acquiescez.

[Yaroslav]

On pose la question à la personne et on attend une réponse affirmative (SOLO SI ES SI).

Et le cas échéant, comment prouver qu'on lui a posé la question et qu'elle a répondu oui ?

Ça ne changera strictement rien sur ce plan.

Comment s'assurer qu'elle était consentante ? ou qu'elle ne l'était pas ? ou qu'elle a dit oui ? Bref, quelles preuves on a ? Ces questions là resteront tout aussi difficiles à aborder qu'avant.

C'est pour ça que je parlais d'action sur les mentalités. Il y a plein de films où on voit des mecs sauter sur des filles qui ont donc eu de facto un rapport sexuel "par la force des choses". Jusqu'il y a peu, nos sociétés ne considéraient pas ça comme des viols. Aujourd'hui on admet que ça peut en être.

[Fonck1]

Et le cas échéant, comment prouver qu'on lui a posé la question et qu'elle a répondu oui ?

Ça ne changera strictement rien sur ce plan.

Comment s'assurer qu'elle était consentante ? ou qu'elle ne l'était pas ? ou qu'elle a dit oui ? Bref, quelles preuves on a ? Ces questions là resteront tout aussi difficiles à aborder qu'avant.

C'est pour ça que je parlais d'action sur les mentalités. Il y a plein de films où on voit des mecs sauter sur des filles qui ont donc eu de facto un rapport sexuel "par la force des choses". Jusqu'il y a peu, nos sociétés ne considéraient pas ça comme des viols. Aujourd'hui on admet que ça peut en être.

généralement, l'engagement d'une personne ça se sent.
une personne qui ne veut pas, ça se sent aussi.

parce que si vous ne faites pas la différence, je vous invite à interroger toutes vos "conquêtes", vous allez surement redescendre de votre piédestal.

[Yaroslav]

Ça ne changera strictement rien sur ce plan.

Comment s'assurer qu'elle était consentante ? ou qu'elle ne l'était pas ? ou qu'elle a dit oui ? Bref, quelles preuves on a ? Ces questions là resteront tout aussi difficiles à aborder qu'avant.

C'est pour ça que je parlais d'action sur les mentalités. Il y a plein de films où on voit des mecs sauter sur des filles qui ont donc eu de facto un rapport sexuel "par la force des choses". Jusqu'il y a peu, nos sociétés ne considéraient pas ça comme des viols. Aujourd'hui on admet que ça peut en être.

généralement, l'engagement d'une personne ça se sent.
une personne qui ne veut pas, ça se sent aussi.

parce que si vous ne faites pas la différence, je vous invite à interroger toutes vos "conquêtes", vous allez surement redescendre de votre piédestal.

C'est peut-être pour ça qu'il y a une clarification à faire au niveau du consentement.
Pour qu'on ne se retrouve pas devant un tribunal avec un mec déclarant "je l'ai bien senti pourtant".

[Fonck1]

généralement, l'engagement d'une personne ça se sent.
une personne qui ne veut pas, ça se sent aussi.

parce que si vous ne faites pas la différence, je vous invite à interroger toutes vos "conquêtes", vous allez surement redescendre de votre piédestal.

C'est peut-être pour ça qu'il y a une clarification à faire au niveau du consentement.
Pour qu'on ne se retrouve pas devant un tribunal avec un mec déclarant "je l'ai bien senti pourtant".

la sensation est quelque chose de palpable.
une femme qui se laisse embrasser et une femme qui embrasse, on voit tout de suite la différence.
si pour vous ça n'est pas clair, il faut se poser des questions.

[Yaroslav]

C'est peut-être pour ça qu'il y a une clarification à faire au niveau du consentement.
Pour qu'on ne se retrouve pas devant un tribunal avec un mec déclarant "je l'ai bien senti pourtant".

la sensation est quelque chose de palpable.
une femme qui se laisse embrasser et une femme qui embrasse, on voit tout de suite la différence.
si pour vous ça n'est pas clair, il faut se poser des questions.

Merci d'éviter un peu ces tentatives d'attaques personnelles. On aura bien compris qu'il ne s'agit pas de moi ici.
Simplement, vous vous doutez bien qu'on ne peut pas juger des affaires de viols sur des "impressions". Une femme dit qu'en réalité elle ne voulait pas, le mec répond qu'il avait "senti" qu'elle voulait, et alors on fait quoi avec ça ?

[Fonck1]

la sensation est quelque chose de palpable.
une femme qui se laisse embrasser et une femme qui embrasse, on voit tout de suite la différence.
si pour vous ça n'est pas clair, il faut se poser des questions.

Merci d'arrêtez un peu ces tentatives d'attaques personnelles. On aura bien compris qu'il ne s'agit pas de moi ici.
Simplement, vous vous doutez bien qu'on ne peut pas juger des affaires de viols sur des "impressions". Une femme dit qu'en réalité elle ne voulait pas, le mec répond qu'il avait "senti" qu'elle voulait, et alors on fait quoi avec ça ?

je ne parlais pas de vous de façon particulière, mais de votre reflexion.
pour moi, les choses sont plus que claires, je n'ai jamais gardé ni même réitéré une conquête qui n’était pas dans le partage à 100%.
aucun intérêt.

les hommes ont cette culture de la dominance physique depuis toujours, mais qui ne la ramène pas quand il faut parler du bonheur de leurs femmes, si elles entaient libre et sans courroux, ça défouraillerait bien plus que ça, nous sommes dans un monde patriarcal, c'est clair, et les femmes la ferment plus qu'elles ne l'ouvrent.

maintenant, que elles ne viennent pas se plaindre derrière, j'entends souvent dire "j'attends un homme pour porter ça ou faire ce truc", je leur rétorque que l'égalité des sexes, c'est pas une invention masculine - quelles se démerdent !

mais j'entends aussi l'inverse aujourd’hui, on ne trouve plus un homme digne de ce nom.

bah quelque part, elles ont le retour de bâton.

le problème, c'est que la femme a peur de s'imposer quand on s'impose à elle, c'est un tort et c'est un fait de société qui ne s'arrête hélas pas qu'à ça.
les gens n'ont plus de courage pour rien.

résultat, les hommes de draguent plus, ne blaguent plus, ne cherchent plus, et les femmes se comportent pour certains comme de vraies hystériques.
tout ça par manque de courage.

[Patchouli38]

Merci d'arrêtez un peu ces tentatives d'attaques personnelles. On aura bien compris qu'il ne s'agit pas de moi ici.
Simplement, vous vous doutez bien qu'on ne peut pas juger des affaires de viols sur des "impressions". Une femme dit qu'en réalité elle ne voulait pas, le mec répond qu'il avait "senti" qu'elle voulait, et alors on fait quoi avec ça ?

je ne parlais pas de vous de façon particulière, mais de votre reflexion.
pour moi, les choses sont plus que claires, je n'ai jamais gardé ni même réitéré une conquête qui n’était pas dans le partage à 100%.
aucun intérêt.

les hommes ont cette culture de la dominance physique depuis toujours, mais qui ne la ramène pas quand il faut parler du bonheur de leurs femmes, si elles entaient libre et sans courroux, ça défouraillerait bien plus que ça, nous sommes dans un monde patriarcal, c'est clair, et les femmes la ferment plus qu'elles ne l'ouvrent.

maintenant, que elles ne viennent pas se plaindre derrière, j'entends souvent dire "j'attends un homme pour porter ça ou faire ce truc", je leur rétorque que l'égalité des sexes, c'est pas une invention masculine - quelles se démerdent !

mais j'entends aussi l'inverse aujourd’hui, on ne trouve plus un homme digne de ce nom.

bah quelque part, elles ont le retour de bâton.

le problème, c'est que la femme a peur de s'imposer quand on s'impose à elle, c'est un tort et c'est un fait de société qui ne s'arrête hélas pas qu'à ça.
les gens n'ont plus de courage pour rien.

résultat, les hommes de draguent plus, ne blaguent plus, ne cherchent plus, et les femmes se comportent pour certains comme de vraies hystériques.
tout ça par manque de courage.

Je suis une femme et je partage totalement votre analyse.

Avant quand une femme se faisait siffler par un homme, parce qu'il la trouve mignonne ou belle, elle rougissait ou se sentait valorisée dans sa beauté. Aujourd'hui, une femme considère cela comme une agression sexuelle.

En 1994, alors que je marchais dans la rue, une voiture s'était arrêtée à ma hauteur et le conducteur m'avait demandé s'il pouvait toucher mes fesses (véridique). Je lui ai répondu NON. Il n'a pas insisté et il est parti.

L'homme n'ose plus faire le premier pas, draguer, car il craint de faire un geste mal interprété et finir dans une cellule pour "agression sexuelle". Je trouve que l'on vit dans une époque ou la femme n'ose plus s'imposer, usant plus facilement la carte de la plainte. Dans certains cas, cela peut même friser l'abus.

Je suis pour l'égalité salariale, l'égalité des tâches ménagères à la maison, l'égalité de traitement, ce qui est logique, mais pour le reste, la femme doit apprendre à se défendre elle-même. Bien entendu, en cas d'agression sexuelle, la plainte a toute sa place. Mais porter plainte parce qu'un mec l' a sifflé tient tout simplement de l'exagération.

[Fonck1]

je suis sorti il y a trois semaines en soirée branchée avec trois de mes anciens étudiants diplômés en 2013 que j'aime beaucoup et qui viennent passer un we par an chez moi.

j'ai été stupéfait de voir qu'il n'y avait plus de pistes de danse et que tout le monde restait dans son petit coin.

c'"est d'une tristesse, et c'est sans doute cela, le résultat des courses.

[Patchouli38]

je suis sorti il y a trois semaines en soirée branchée avec trois de mes anciens étudiants diplômés en 2013 que j'aime beaucoup et qui viennent passer un we par an chez moi.

j'ai été stupéfait de voir qu'il n'y avait plus de pistes de danse et que tout le monde restait dans son petit coin.

c'"est d'une tristesse, et c'est sans doute cela, le résultat des courses.

Il arrive que la cause soit aussi le téléphone portable. Les gens ne savent plus parler entre eux et son tous greffer sur leur téléphone, que ce soit dans un cabinet médical, à une station de bus, dans un groupe. Les français se plaignent d'être seul mais font tout pour l'être.

Lors de mon bénévolat, le samedi midi, je mange au magasin avec la collègue, ou ses remplaçants. Et bien c'est téléphone portable pendant le repas. Un jour, je n'avais même pas fini mon repas tellement cela m'avait énervé et j'étais retourné dans les rayons du magasin. Quand je raconte cela à ma fille, elle trouve normal que mes collègue regardent Facebook au lieu d'engager la conversation avec moi.

Alors quand vous ajouter cela au fait que les hommes n'osent plus parler aux femmes ou danser avec elle, parce qu'ils ont peur de faire un geste considéré comme déplacé, cela donne des pistes de danse vides.