« Des organisations à la violence sans limite ont fait irruption dans le rap français »

[Once]

« Des organisations à la violence sans limite ont fait irruption dans le rap français » : les extraits de « L’Empire », dans les coulisses criminelles d’une industrie aux chiffres vertigineux."



Dans un livre riche en révélations publié mercredi 29 octobre par Flammarion, les journalistes Paul Deutschmann, Simon Piel et Joan Tilouine racontent la face cachée d’un milieu dominé par des rappeurs ultracapitalistes, aussi décomplexés que déterminés, parfois liés à la grande criminalité.

"Aujourd’hui, le rap s’est hissé au sommet. Depuis une décennie, ses stars, encore presque exclusivement masculines, dominent la scène musicale hexagonale. Leur puissance ne se mesure pas seulement à ces stades remplis en un temps record, aux milliards de streams, aux albums écoulés par dizaines de millions ou aux centaines de millions de vues sur YouTube. Car au-delà de ces chiffres vertigineux, ce genre musical bouleverse la langue française, influence la mode, questionne la société et façonne une certaine vision du monde. Le rap redessine aujourd’hui l’imaginaire collectif de millions de Français bercés à PNL, Jul, Werenoi, Gims, SCH et d’autres.

En dix ans, de 2015 à 2025, tout a basculé : explosion du genre reconfiguré par le numérique ; affaiblissement progressif des géants de l’industrie musicale. Les rappeurs ont de façon spectaculaire renversé le rapport de force avec les maisons de disques : les contrats se signent à leurs conditions, les avances atteignent des millions. Ces artistes ont tous imposé leur façon de faire : celle d’entrepreneurs ultracapitalistes, totalement décomplexés. "

[Once]

Vidéos :

[papibilou]

Outre que l'on écoute de la m. ce qui a pour conséquence l'incapacité d'apprécier ce qui est mélodieux puisque toute mélodie est absente du rap, on a une vision du rap, sans doute venue des USA, celle de types bodybuildés, tatoués de partout, essayant de se faire la plus sale gueule possible et poussant à la révolte, au meurtre des forces de l'ordre, à la consommation de drogue, au viol, etc.. Le problème est que les jeunes préfèrent ça à Tchaïkovski.

[mic43121]

Comment peut on payer pour écouter ou voir ce genre de débile qui déblatèrent sur le reste du monde ..
C'est ça qu'on appelle des chanteurs des artistes

[Once]

Outre que l'on écoute de la m. ce qui a pour conséquence l'incapacité d'apprécier ce qui est mélodieux puisque toute mélodie est absente du rap, on a une vision du rap, sans doute venue des USA, celle de types bodybuildés, tatoués de partout, essayant de se faire la plus sale gueule possible et poussant à la révolte, au meurtre des forces de l'ordre, à la consommation de drogue, au viol, etc.. Le problème est que les jeunes préfèrent ça à Tchaïkovski.

Le rap n'est pas du tout ma tasse de thé mais il faut bien admettre que c'est le genre musical le plus vendu en France et le plus apprécié des jeunes générations quelles que soient leurs origines : c'est un agent de transmission. de la colère et du ressentiment de jeunes qui se sentent exclus du pays et qui ont de sérieux problèmes d'identité = racisés en France et "Frankaouis" quand ils retournent au bled.

Moi aussi j'ai du mal avec ces diarrhées verbales et cette langue française complètement "revisitée". Mais qu'y faire ?

Ceci étant dit, le vrai problème est le banditisme qui gravite autour de certains de ces groupes.

[Once]

Comment peut on payer pour écouter ou voir ce genre de débile qui déblatèrent sur le reste du monde ..
C'est ça qu'on appelle des chanteurs des artistes

Le rock, quand il est apparu en France dans les années 50 produisait les mêmes effets auprès des adultes de l'époque : souvenez-vous !

[Mickey]

Le rap est un repère de criminels, quelle nouveauté.

[Kelenner]

Outre que l'on écoute de la m. ce qui a pour conséquence l'incapacité d'apprécier ce qui est mélodieux puisque toute mélodie est absente du rap, on a une vision du rap, sans doute venue des USA, celle de types bodybuildés, tatoués de partout, essayant de se faire la plus sale gueule possible et poussant à la révolte, au meurtre des forces de l'ordre, à la consommation de drogue, au viol, etc.. Le problème est que les jeunes préfèrent ça à Tchaïkovski.

Ce qui est nommé "rap" depuis une dizaine d'années n'a plus qu'un lointain rapport avec le hip-hop des origines, ou celui qui a été popularisé en France durant les années 90-2000 par des groupes et artistes comme NTM, IAM, La Rumeur, Lunatic, Hugo TSR, Zoxea, Fabe, Busta Flex, Scred Connexion, pour n'en citer que quelques-uns. A l'époque, c'était très clairement le style musical le plus novateur, avec une recherche à la fois technique (le "flow"), stylistique et musicale. Certaines chansons, notamment celles de Zoxea ou Hamé de La Rumeur, sont des bijoux d'écriture et de rythmique qui surclassent largement la majorité des bouses de la variété type Sardou et compagnie. Il est vrai que le pseudo "rap" actuel, en réalité une forme de variété très formatée, est beaucoup plus difficilement audible, généralement très pauvre au niveau des paroles, du flow monocorde et auto-tuné ou du sample simpliste. Mais au contraire du rap "conscient" de jadis, il ne pousse absolument pas à la rébellion et est au contraire très individualiste et pro-capitaliste, c'est en réalité une musique macroniste, que IAM dénonçait déjà il y a une quinzaine d'années dans le titre "Rap de droite".

[latresne]

Les rappeurs ,et leurs publids sont souvent violents, et racistes anti-blancs.
Dans 20 ans ils seront dépassés par une"musique" nouvelle.Heureusement il rest Léo Ferré,Charles Trenet,Georges Brassens,Aznavour ,Barbara etc etc.

[Fonck1]

c'est ce qu'écoutent les gamins de 14 ans, c'est ce que je leur passe au bal de fin d'année.
et ils adorent les paroles....pourries bien sur.

ça devrait être interdit.

[Once]

Outre que l'on écoute de la m. ce qui a pour conséquence l'incapacité d'apprécier ce qui est mélodieux puisque toute mélodie est absente du rap, on a une vision du rap, sans doute venue des USA, celle de types bodybuildés, tatoués de partout, essayant de se faire la plus sale gueule possible et poussant à la révolte, au meurtre des forces de l'ordre, à la consommation de drogue, au viol, etc.. Le problème est que les jeunes préfèrent ça à Tchaïkovski.

Ce qui est nommé "rap" depuis une dizaine d'années n'a plus qu'un lointain rapport avec le hip-hop des origines, ou celui qui a été popularisé en France durant les années 90-2000 par des groupes et artistes comme NTM, IAM, La Rumeur, Lunatic, Hugo TSR, Zoxea, Fabe, Busta Flex, Scred Connexion, pour n'en citer que quelques-uns. A l'époque, c'était très clairement le style musical le plus novateur, avec une recherche à la fois technique (le "flow"), stylistique et musicale. Certaines chansons, notamment celles de Zoxea ou Hamé de La Rumeur, sont des bijoux d'écriture et de rythmique qui surclassent largement la majorité des bouses de la variété type Sardou et compagnie. Il est vrai que le pseudo "rap" actuel, en réalité une forme de variété très formatée, est beaucoup plus difficilement audible, généralement très pauvre au niveau des paroles, du flow monocorde et auto-tuné ou du sample simpliste. Mais au contraire du rap "conscient" de jadis, il ne pousse absolument pas à la rébellion et est au contraire très individualiste et pro-capitaliste, c'est en réalité une musique macroniste, que IAM dénonçait déjà il y a une quinzaine d'années dans le titre "Rap de droite".

Bonne analyse, il me semble. Mais, même dans ce rap contemporain qui vire anarcho-capitaliste, il y a toujours cette colère et ce ressentiment en bruit de fond. C'est peut-être une posture parce que les mecs se font un maximum de thunes avec. Des thunes qui créent des envies dans leur environnement humain (avec risques d'extorsions et de fortes pressions pour "partager" un peu la manne avec leurs anciens potes de quartiers) : à tel point que certains sont obligés d'aller se planquer à Dubaï ou ailleurs.


Mais tout cela n'est pas très sain et il y a bien quelque chose de pourri dans le royaume du rap actuel.

[Once]

c'est ce qu'écoutent les gamins de 14 ans, c'est ce que je leur passe au bal de fin d'année.
et ils adorent les paroles....pourries bien sur.

ça devrait être interdit.

Je ne vois pas comment interdire le genre musical le plus populaire en France. C'est comme si on avait voulu interdire le rock dans les années 50/60.

[Fonck1]

c'est ce qu'écoutent les gamins de 14 ans, c'est ce que je leur passe au bal de fin d'année.
et ils adorent les paroles....pourries bien sur.

ça devrait être interdit.

Je ne vois pas comment interdire le genre musical le plus populaire en France. C'est comme si on avait voulu interdire le rock dans les années 50/60.

je ne le sais que trop bien.
mais dans le rock, il y avait au moins de la musique, là il n'y a rien.

[Once]

.Heureusement il rest Léo Ferré,Charles Trenet,Georges Brassens,Aznavour ,Barbara etc etc.

Ah oui ! Mais ne pas oublier Hugues Aufray parce que lui, il est toujours vivant !



Toujours actif sur scène (et pas que...) et en pleine forme à 94 ans, le coquin !

[Once]

Je ne vois pas comment interdire le genre musical le plus populaire en France. C'est comme si on avait voulu interdire le rock dans les années 50/60.

je ne le sais que trop bien.
mais dans le rock, il y avait au moins de la musique, là il n'y a rien.

Pour les aînés d'avant, le rock, ce n'était pas de la musique !